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Critiques de Karine Giebel (7180)
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De force

Encore une pépite de Giebel..c est le 8 ème livre que je découvre d'elle et malgré ce style identique , ses themes pourtant souvent répétitifs je ne m'en lasse pas, je ne décroche pas, je ne m'ennuie pas.. je passe un moment à oublier ce qui m'entoure, hypnotisée par sa plume, j'ai le véritable plaisir de la lecture.



Je n'ai pas encore lu "Glenn Afric", connu pour être son plus apprécié et pourtant je l'ai depuis longtemps, mais il a tellement fait parler de lui dans les coups de cœur que j'appréhende juste de le finir et de ne plus rien trouver de mieux à lire chez Giebel..



Ici, c'est l'histoire d'une jeune fille, Maud, fille d'un richissime et renommé Chirurgien, qui au cours d'un jogging se fait agresser par un homme qui tente de la violer. In extremis elle se fait sauver par "Luc" qui deviendra son garde du corps par la suite.



Un huit clos très prenant entre le chirurgien, le garde du corps, la domestique, la Belle mère, le jardinier et la jeune fille, où l'on se demande à chaque chapitre quels sont les secrets si douloureux enfouis au plus profond de chaque protagonistes. On va de surprises en surprises..



Giebel est décidément mon auteur coup de coeur de cette année.



C'est impressionnant comme avec des mots simples, des chapitres courts, elle a ce don de nous faire attacher à ses personnages.



L'humain dans toutes ses dérives, ses doutes, ses craintes, ses plaisirs, sa noirceur , sa détermination face aux cruautés sociales est au coeur de chaque ouvrage que j'ai pu découvrir.

Une fois embarquée chez Giebel, impossible de redescendre, pour ma part en tout cas. Je la recommande vivement pour le genre Thriller psychologique. Aucune déception pour le moment, à lire sans modération (en alternant quand même avec des lectures plus légères ;) ❤).











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Meurtres pour rédemption

Coup de cœur absolu pour ce roman de 2011 de l’incontournable Karine Giebel !



Difficile d’écrire une critique sur ce livre qui m’a terriblement touché, surtout quand on constate le nombre déjà existantes.



Pourtant, s’il y a bien un livre qu’il faut complimenter c’est lui ! Si vous aimez les histoires acérées, sombres et torturées, ce roman est d’avance fait pour vous.



Mariane de Greville est une jeune femme incarcérée pour meurtre, et sur pratiquement mille pages de roman, nous la suivons tout du long ! Et bien, j’ai littéralement adoré cette jeune femme de 20 ans, Mariane. Pourtant, c’est une meurtrière toxico, loin d’être la meilleure fréquentation... Sauf qu’après ces heures de lecture à ses côtés, j’ai eu du mal à la laisser partir à la fin de ce livre.



C’est une lecture puissante, incroyable. Vraiment le genre de roman où tu ressors de ta lecture avec ce sentiment de « ah ouais, c’est pour ça que j’aime tant lire » !



Bref n’hésitez pas une seule seconde, si vous avez envie de lire une histoire sur le système carcéral vu de l’intérieur et toutes les horreurs qui en découlent.



C’est brillamment raconté, écrit, touchant et surtout terriblement marquant. Ça fait un mois que j’ai lu ce livre et sachez que j’y pense encore.



Il me tarde donc de renouer avec la plume de Giebel avec ma @merakiread - merci pour la lecture commune fort sympathique !
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Ce que tu as fait de moi

Le commandant Richard Ménainville et le lieutenant Laëtitia Graminsky sont collègues pourtant aujourd'hui ils sont aux arrêts.



Interrogés chacun séparément ils doivent répondre de leurs actes suite aux évènements qui ont eu lieu au sein de la brigade des stups.

Les deux versions seront-elles identiques ?



Alors oui je peux comprendre que ce thriller psychologique mette mal à l'aise pour ma part je n'y ai pas vu ou plutôt lu quelque chose de dérangeant.

Je pense que l'auteure a voulu avertir le lecteur sur l'emprise et la perversion de certaines personnes.

Que même si l'on est averti,attentif et sur la défensive on peut toujours être victime malgré soi, voilà ce que je perçois dans le livre de Karine Giebel.



L'histoire est prenante troublante,les récits sont forts et perturbants et poussent à la perversion la plus totale.



C'est malsain et pourtant si addictif...

Karine Giebel met en avant l'amour mais un amour confus de haine destructeur et pourtant d'une rare intensité,toute l'ambiguïté règne ici.



Les personnages eux-mêmes sont perdus dans cet amour qui prend toute leur énergie.

Nous sommes spectateurs d'une longue descente aux enfers de chantage de torture physique et psychologique.



Pour moi aucun doute c'est encore du grand Karine Giebel.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Je fais une lecture commune avec mon amie Saiwhisper et on partage à notre rythme nos impressions. J'apprécie beaucoup l'auteure Karine Giebel. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai hâte de lire la suite.



Je suis très attentivement notre personnage principal Grégory qui travaille en tant qu'aide humanitaire. J'adore aussi suivre Paul qui rencontre au coeur de son travail et qui va devenir son meilleur ami.



C'est une très bonne lecture dans l'ensemble même si elle s'avère quand même assez difficile car je trouve que sa fiction est très près de la réalité. L'auteure Karine Giebel fait des recherches également. On constate que le livre est très bien construit, sa plume est très bien, sa thématique est très bien gardée et on s'oriente très bien.



L'auteure Karine Giebel parvient à très bien maîtriser les sujets et les enjeux qu'elle aborde.



L'auteure Karine Giebel nous amène ailleurs avec notre protagoniste Grégory. On l'accompagne dans ses missions, dans son quotidien, dans ses blessures, plus que ça l'avance et plus qu'on s'inquiète pour lui.



C'est une lecture éprouvante qui détient des passages très difficiles qui peuvent vraiment marquer les esprits. On se questionne aussi, on se sent un peu vulnérable nous aussi. Je confirme qu'il y a du bon et du moins bon mais je partage juste ce que je ressens face à Grégory, je me ferai une idée plus complète en lisant la suite.





Je suis contente de lire à nouveau mon auteure Karine Giebel.



Je suis très triste de quitter Grégory j'espère le retrouver prochainement même si j'ai beaucoup peur pour lui. Je remercie ma complice Saiwhisper pour nos échanges, j'invite aussi à lire son beau billet



Siabelle

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Glen Affric

Ce livre m'a tenu en haleine tout le temps de ma lecture.

On oublie très vite qu'il y a autant de page à lire.

Dès le départ, on s'attache aux différents personnages que ce soit Mona, Léonard ou encore Angélique.

En écrivant cette critique, j'en ai encore des frissons.

J'ai hâte de découvrir d'autres romans de Karine Giebel.



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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Ce livre est la première partie d'un récit qui se déroule en deux temps.

On y découvre Grégory, humanitaire dévoué corps et âme à ses missions, constamment aux services des autres, au détriment de sa propre vie et de sa propre famille.

L'ambivalence de ses sentiments est touchante et questionne. Doit-il vivre auprès de sa famille malgré l'ennui et le manque d'adrénaline ? Doit-il courir le monde au gré de ses missions malgré le manque des siens et l'horreur des guerres vécue au quotidien ?



Ce roman est différent de ce que nous propose habituellement l'autrice tant sur le fond que sur la forme.

Malgré la cruauté et la dureté de tous ces conflits, cette histoire est moins hard, moins gore, moins percutante que ses précédents romans.

Son écriture est aussi moins âpre, moins brute, moins acérée.



Grégory va de guerre en guerre, au gré des années qui passent. Le récit en devient un peu redondant. Je ne m'attendais pas à lire une sorte de journal de bord de la Croix-Rouge...

Mais le syndrome post-traumatique, tant pour les victimes de guerre que les humanitaires, est parfaitement décrit !



Vu la fin, j'attends beaucoup de la suite ! Sera-t-elle sur la même lignée ou prendra-t-elle une direction plus "thriller", comme à son habitude ?



Suspense et patience !
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Glen Affric

En voilà un roman qui m'a tenue en haleine : pas moins de 750 pages à couper le souffle !



J'ai suivi Léonard, le cœur serré, le ventre noué et les larmes aux yeux. Parce que Léo, la vie lui a pas fait de cadeau, pire que ça, la vie a été une vraie enflure avec lui. Pauvre gosse...



C'était mon premier roman de Karine Giebel et je suis pas sûre de retenter l'expérience car d'après vos retours, ils sont tous comme ça ! Par comme ça, j'entends "le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange..." Et moi, je ne peux pas. C'est pas possible, je ne lis pas pour me faire du mal, j'ai besoin d'espoir, d'amour et de soleil pour mon petit cœur !



Si vous n'avez pas peur de souffrir, foncez ! Parce que ce roman n'en est pas moins excellent pour autant ! Juste pas ma came !
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13 à table ! 2024

Pour connaître de nouveaux auteur c'est bien aussi

J'ai découvert François d' epenoux ainsi et je viens de lire quasi tou ses livres mon préféré c'est le vieux.....

Par contre des auteurs que vous aimez bien peuvent vous décevoir mais 5€ un livre avec une bonne action qd vs prenez le train c'est mieux qu'un magazines et ensuite vous le donnez,je ne garde plus aucun livre ,je fais tourner prêt, don boîte à livre.
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Purgatoire des innocents

Wow quel roman! C'est mon 2e roman que je lis de cette auteur. Quand on commence on est plus capable d'arrêter de lire. C'est très bon mais en même temps très difficile à lire. Il y a beaucoup de violence et c'est quand même trash comme livre. J'ai adoré et je vais en lire d'autres assurément.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Karine Giebel est une écrivaine qui aime pousser les curseurs au maximum. Elle fait tout son possible pour que chacun de ses romans laisse des traces dans notre esprit. Même si ses propositions sont variées, jusqu’à présent, je peux dire que qu’elle a toujours atteint ses objectifs avec moi !



Pour ce premier des deux volumes de « Et chaque fois, mourir un peu », elle nous fait partager le quotidien chaotique d’un infirmier engagé dans l’aide internationale. Il nous fait voyager vers des contrées variées où les conflits font rage : Rwanda, Tchétchénie, Congo, Colombie… Sur place, l’immersion est totale. On perçoit à travers ses yeux, la misère, la détresse des victimes collatérales et la cruauté des belligérants. Il apporte avec ses collègues une forme d’humanité dans ces endroits où elle semble avoir complètement disparue.



Dans ces différents romans, l’autrice essaye de nous pousser dans nos retranchements, d’ébranler nos certitudes, de mettre à mal nos émotions, de nous mettre face à l’indicible, de nous révolter contre les injustices. Elle réussit une nouvelle fois à combiner tous ces composants dans ce texte. Grâce à son style accessible et efficace, les pages se tournent facilement alors que la lecture s’avère terrible. Chaque scène nous met face à des monstruosités plus inhumaines les unes que les autres.



Sur toute la durée de roman, j’ai trouvé que les allers retours de Grégory étaient un peu répétitifs, mais c’était surement un mal nécessaire pour insister sur l’ampleur des drames qui secouent notre planète. Karine Giebel a frappé fort, comme d’habitude ! Elle m’a privé d’air, saisi aux tripes et écœuré tout au long de cette aventure. Je ne ressors donc pas indemne de cette lecture désespérante et oppressante dont la seule lueur d’espoir repose sur ces hommes et femmes qui vivent dans le seul but d’aider les autres.
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Toutes blessent la dernière tue

Il y a des livres qui se lisent vite parce qu'on a hâte d'en finir.

Il y a des livres qu'on oublie aussi vite qu'on les a lu, parce qu'il n'y a pas grand chose à en retenir.

Il y a des livres qui se lisent facilement parce que l'histoire est légère.

Il y a des livres qui se lisent sans émotions parce qu'ils ne renferment aucune surprise.



Et puis il y a des livres dont vous vous souvenez très longtemps.



Toutes blessent, la dernière tue appartient à cette catégorie d'ouvrages qui vous prend aux tripes, vous emporte avec lui et ne vous lâche que lorsque vous tournez la dernière page.

Œuvre coup de poing malheureusement si proche de la réalité, le roman de Karine Giebel est à lire absolument : 700 pages d'une histoire sordide où des ordures côtoient des salauds...
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Quelle écriture remarquable... Chaque page surprend, émeu , scandalisé, touche. Cette histoire raconte ce qu'il y a de pire et de meilleur dans l'humain. Livre indispensable.

Les situations décrites sont folles et pourtant réelles, ce livre nous permet de nous interroger sur des milliers de choses, quelles seraient nos réactions à la place de l'un ou de l'autre, fuir ou résister, se reconstruire ou couler..

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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Inutile de répéter l'amour que j'ai pour cette autrice ... Je crois que j'en ai assez dit sur elle, sur le pourquoi ses livres m'ont autant percuté. Depuis qu'elle a annoncé sur les reseaux sociaux la sortie de ce roman, j'étais à l'affut et quand le grand jour est arrivé, je me suis précipitée à ma librairie pour l'acheter ! Je me suis ruée sur ces pages et malheureusement elles ne m'ont pas transportées ... Quand mon ami m'a posé la question "c'est un thriller ? , il y a un gros méchant ? " je lui ai répondu oui le méchant dans cette histoire c'est la GUERRE ... Ce livre, c'est ça ... Les horreurs de la guerre à travers un personnage qui travaille pour la croix rouge.

On va d'horreur en horreur en se demandant combien de temps encore ça va durer ... Je vous avoue qu'après la 102 eme amputation, j'étais saoulée ... ! Ce livre est sans doute nécessaire pour qu'on ne banalise pas ces horreurs mais franchement ça m'a fait l'effet inverse ! Il y en a tellement que ça en devient "banal" ... Je lirai sans doute la suite car j'espère y trouver une chute plus "consistante" ... A suivre donc !
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Juste une ombre

Mon préféré de Giebel pour le moment ! Je l'ai trouvé réellement effrayant au début, quand on ne devine qu'à peine la réalité derrière l'ombre, qu'on doute comme les personnages de son existence ou non. Et puis, les deux personnages se rejoignent enfin, et la vraie enquête commence, c'est très prenant. Les deux persos principaux m'ont vraiment touchée, j'ai même versé ma petite larme au sujet d'Alexandre à plusieurs reprises. Tout le roman est merveilleusement bien dosé, je vais très probablement le conseiller à tout le monde.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

L'imagination humaine est fertile, et quand il s'agit de conflits armés, elle permet toutes les horreurs.



Gregory est infirmier pour le CICR. Une vocation, un besoin de se rendre utile qui l'envoie dans tous les coins du monde où les exactions et les catastrophes l'appellent. Et ce n'est pas le travail qui manque. Un besoin de servir, mais aussi une malédiction qui le ronge petit à petit.



Un roman sans véritable intrigue, mais une approche psychologique des personnages réaliste et qui semble bien documentée. Un plongée dans le pire de l'âme humaine dont on ne sort pas indemne.
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Juste une ombre

Deuxième roman pour moi de Karine Giebel, et confirmation de son talent pour le suspense ainsi que pour la description de la souffrance et de la violence. J’ai beaucoup aimé, même s'il est vrai que parfois il y a des longueurs et des redondances. Toutefois, il m’est impossible de sanctionner cela dans ma note, tant l’œuvre est savamment écrite.
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Glen Affric

GLEN AFFRIC de Karine Giebel

Emprisonné depuis 16 ans, Jorge clame son innocence depuis le début de l'enquête l'accusant d'avoir tué son ancienne copine et son compagnon, son frère adolescent quant à lui subit à l'école les sarcasmes de ses camarades, qui l'appellent le "triso" car il est différent. Ces deux frères ne se connaissent quasi pas, pas plus qu'ils ne connaissent Angélique, maltraitée par son oncle devenu son tuteur à la mort de ses parents, pourtant leurs histoires sont intimement liées.

Pour échapper à l'enfer, chacun d'eux s'évade grâce au rêve afin de supporter sa situation. Pour Léonard, ce sera partir à Glen Affric...

Un roman choral avec trois personnages cabossés par la vie et dont le point commun est d'être victime sans aucune reconnaissance ni de la justice ni de leur environnement.

Un roman noir au suspens glaçant, thriller psychologique présentant une histoire magistrale et émouvante.

Un style fluide, des expressions et émotions intenses...

Bref belle découverte de cette auteure avec ce livre qui donne envie d'en lire d'autres.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Voilà un livre difficilement classable. Karine Giebel écrit des polars, des thrillers mais là, dans ce premier tome on est plus sur une fiction mêlée à des événements historiques (un peu comme Giacometti et Ravenne).



Côté fiction, Grégory est un infirmier qui travaille dans l’humanitaire pour le CICR. (Croix Rouge Internationale). Mari et père comblé, il ne peut s’empêcher de partir régulièrement en mission sur des sites de conflits ou de catastrophes naturelles.



Son credo : aider les autres.



Son dévouement a un prix. Il cumule des images cruelles et bouleversantes qui génèrent de plus en plus de cauchemars.



Côté historique, l’auteure s’est plongée dans les archives du CICR pour nous décrire avec beaucoup de précisions les conditions dans lesquelles les personnels soignants interviennent dans les différents conflits internationaux ainsi que les dégâts collatéraux sur les civils.



Tous les chapitres concernant les missions humanitaires dénoncent les exactions commises par l’armée ou les groupuscules militaires. L’horreur suit l’horreur et toujours un cran plus haut.

Avec les camps de la mort de la seconde guerre mondiale, je croyais que la cruauté des hommes avait atteint le sommet. Eh bien, non !!! Faut croire que l’Homme est fou.



« Ça ne finira jamais. La pourriture est à l’intérieur de l’humain, comme le ver dans le fruit. » (Citation page 465).



Les chapitres concernant les retours de notre infirmier en France ne permettent pas de relâcher la pression du lecteur. Les tensions psychiques qu’il subit montrent comment le personnage essaie de tenir face à ses démons.



Les personnages de la fiction sont tous très attachants essayant de surpasser leurs traumatismes par l’humour, le travail ou encore le déni, l’alcool ou les médocs.



Un livre difficile mais qui met bien en valeur le travail de tous ces soignants qui donnent leur vie à tous ces gens totalement démunis.

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Meurtres pour rédemption

L’histoire se met en place progressivement, voire tire un peu en longueur au milieu du livre. Mais impossible de lâcher le livre. Même si certaines scènes sont insoutenables. Et la fin s’avère très bien ficelée. Bref, encore une pépite de cette auteure.

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Les Morsures de l'ombre

Un huis clos qui tourne en rond, apporte peu de suspense.

On se lasse vite de lire toutes les pensées ou souffrance endurées. Pas facile de tenir en haleine un livre qui se déroule à 90% dans une piece.

Au final, vu qu il n'est pas trop long, ca se laisse lire et on part sur une fin interessante. Mais on est ravi darriver au bout.
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