AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Karl Marx (483)


Karl Marx
« L'humanité ne se pose jamais que les problèmes qu'elle peut résoudre. Le problème ne surgit que là où les conditions matérielles pour le résoudre existent déjà. »
Commenter  J’apprécie          30
Les processus sociaux ne seraient pas pathologiques si la société était pour les individus le lieu d'un accomplissement, d'un épanouissement ou d'une réalisation d'eux-mêmes. La critique de la réalité sociale existante, le repérage des pathologies sociales engendrées par la société existante se font chez Marx à partir de l'idée d'une "association dans laquelle le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous".
Commenter  J’apprécie          30
Karl Marx
Nous avons donc maintenant à concevoir l'enchaînement essentiel entre la propriété privée, la cupidité, la séparation entre le travail, le capital et la propriété foncière, entre l'échange et la concurrence, entre la valeur et la dévalorisation de l'homme, entre le monopole et la concurrence, etc., bref entre toute cette aliénation et le système de l'argent.
Commenter  J’apprécie          30
L'économiste national nous dit que tout est acheté par le travail et que le capital n'est rien d'autre que le travail accumulé, mais il nous dit en même temps que, loin que le travailleur puisse tout acheter, il lui faut se vendre lui-même et son humanité.
Commenter  J’apprécie          30
Karl Marx
« Si l'argent, d'après Augier, vient au monde avec une tache naturelle de sang sur la joue, le capital naît dégouttant de sang et de boue des pieds à la tête.»
Commenter  J’apprécie          30
"Si je ne tire de mes gens que 12 heures de travail, tandis que mon voisin en tire 18 ou 20 des siens, je serai battu par lui sur le prix de la marchandise."

Le Capital, Livre premier.
Commenter  J’apprécie          30
Karl Marx
Ce qu'il y a de certain, c'est que je ne suis pas marxiste .

Déclaration de Karl Marx à Paul Lafargue, journaliste ,fondateur avec Jules Guesde de "L'Egalité", journal fondé en 1879 .
Commenter  J’apprécie          31
Le rapport de l'industrie, du monde de la richesse en général, au monde politique est un problème capital des temps modernes.
Commenter  J’apprécie          30
Si l’argent est le lien qui me rattache à la vie humaine, qui lie à moi la société et qui me lie à la nature et à l’homme, l’argent n’est-il pas le lien de tous les liens ? N’est-il pas non plus de ce fait le lien universel de séparation ? Il est la vraie monnaie divisionnaire, comme le vrai moyen chimique d’union, la force universelle de la société.

Shakespeare souligne surtout deux propriétés de l’argent :

1. Il est la divinité visible, la transformation de toutes les qualités humaines et naturelles en leur contraire, la confusion et la perversion universelle des choses ; il fait fraterniser les impossibilités.

2. Il est la courtisane universelle, l’entremetteur universel des hommes et des peuples.

La perversion et la confusion de toutes les qualités humaines et naturelles, la fraternisation des impossibilités – la force divine de l’argent – sont impliquées dans son essence en tant que essence générique aliénée, aliénante et s’aliénant, des hommes. Il est la puissance aliénée de l’humanité. (p. 25)
Commenter  J’apprécie          30
Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !
Commenter  J’apprécie          30
Abolissez l'exploitation de l'homme par l'homme et vous abolirez l'exploitation d'une nation par une autre nation.
Commenter  J’apprécie          30
Dans la lutte politique, ils prennent donc une part active à toutes les mesures violentes contre la classe ouvrière. Et dans la vie de tous les jours, ils savent, en dépit de leur phraséologie boursouflée, s'abaisser pour ramasser les fruits d'or qui tombent de l'arbre de l'industrie et troquer toutes les vertus chevaleresques, l'honneur, l'amour et la fidélité contre la haine, le sucre de betterave et l'eau-de-vie.
Commenter  J’apprécie          30
Les classes dominantes n'ont cessé de vouloir conjurer le spectre de Paris-Commune, plusieurs fois ressuscité (en 1936 avec les grèves du Front Populaire, en 1945 avec l'insurrection et la libération de Paris, en 1968 avec sa grève générale et ses barricades). Depuis, toutes les politiques urbaines n'ont eu de cesse de vider le Paris-Commune de ses énergies populaires, en exilant le peuple des quartiers dans la zone grise des banlieues de plus en plus lointaines, pour en faire une cité sans citoyens, une ville-vitrine et une ville-monument. (introduction de Daniel Bensaïd)
Commenter  J’apprécie          30
[L'auteur dénonce la déclaration d'un membre du Parlement parue dans le journal Times.]

Il ne s'agit plus seulement de réduire les salaires anglais au niveaux de ceux de l'Europe continentale, mais de faire descendre, dans un avenir plus ou moins prochain, le niveau européen au niveau chinois.

(Section VII, Chapitre 24 « La transformation de la plus-value en capital », p. 44)
Commenter  J’apprécie          30
Le capital ne s'inquiète point de la durée de la force de travail. Ce qui l'intéresse uniquement, c'est le maximum qui peut en être dépensé dans une journée. Et il atteint son but en abrégeant la vie du travailleur, de même qu'un agriculteur avide obtient de son sol un plus fort rendement en épuisant sa fertilité.

(Section III, Chapitre 10 « La journée de travail », p. 249)
Commenter  J’apprécie          30
A mesure qu'est abolie l'exploitation de l'homme par l'homme, est abolie également l'exploitation d'une nation par une autre nation. Du jour où tombe l'antagonisme des classes à l'intérieur de la nation, tombe également l'hostilité des nations entre elles.
Commenter  J’apprécie          30
La bourgeoisie produit avant tout ses propres fossoyeurs.
Commenter  J’apprécie          30
Avec le Manifeste, au fur et à mesure qu'ils en assimilent le contenu, les prolétaires commencent à passer de la conscience de la misère à la science de la misère.
Commenter  J’apprécie          30
Carrière politique:

Une figure du Parlement

Caricature par l'observatoire de la loi républicaine (loi de l'année 1905 la laïcité ).

Portrait de Paul Doumer.
À son retour d'Indochine, il entre en contact avec l'historien et écrivain André Lichtenberger, qui devient son assistant, Réélu député de l'Aisne en 1902, il est placé à la tête de la commission des Finances. Ayant évolué avec son retour en politique, il subit de vives attaques de ses anciens compagnons radicaux, plus à gauche. À l'issue d'une élection où il fait figure de candidat des modérés, il remporte le 10 janvier 1905 la présidence de la Chambre des députés contre le sortant Henri Brisson. Lors de son élection, il promet de « rendre plus fécond le travail législatif ». Particulièrement apprécié pour son ardeur au travail et malgré une austérité quelque peu ostentatoire, sa courte présidence ne lui laisse pas le temps de mettre en œuvre ses projets, puisqu’à la fin de la législature, le 31 mai 1906, il cède sa place au « perchoir » à Henri Brisson.
Il perd son siège de député en 1910, mais revient au Parlement en 1912 comme sénateur de Corse. Dès avant, puis pendant la Première Guerre mondiale, il fait partie de la Commission de l'Armée du Sénat. En août 1914, il se met à la disposition du général Gallieni en ces termes : « Je sais commander ; je saurai donc obéir. » Gallieni le charge d’assurer la liaison avec le gouvernement replié à Bordeaux. Nommé ministre d’État du premier cabinet Painlevé, de septembre à novembre 1917, il devient à la fin de la guerre rapporteur général du budget, puis par deux fois ministre des Finances dans les septième et huitième cabinets Briand. Dans les années 1920, il participe au cartel des gauches, au sein duquel il représente le secrétaire général du Parti radical.
Il préside le Sénat de janvier 1927 jusqu’en juin 1931, date à laquelle il est investi de ses fonctions présidentielles.

Mandats électifs.
1888 - 1891 : député de l'Aisne (circonscription de Laon, parti radical).
1891 - 1895 : député de l'Yonne (circonscription d'Auxerre).
1902 - 1910 : député de l'Aisne (circonscription de Laon)
1912 - 1931 : sénateur de la Corse
Fonctions exécutives[modifier | modifier le code]
1895 - 1896 : ministre des Finances
1921 - 1922 : ministre des Finances du gouvernement Briand VII
1925 - 1926 : ministre des Finances
1927 - 1931 : président du Sénat
1931 - 1932 : président de la République
Décorations[modifier | modifier le code]

Sépulture de Paul Doumer au cimetière de Vaugirard
Grand-croix de la Légion d'honneur Grand-croix de la Légion d'honneur en 1931 en tant que président de la République
Grand-maître de la Légion d'honneur de 1931 à 1932
Ouvrages.
Paul Doumer, Situation de l'Indo-Chine (1897-1901) : rapport, Hanoï, F.-H. Schneider, 1902 (lire en ligne )
Paul Doumer, L'Indo-Chine française : souvenirs, Paris, Vuibert et Nony, 1905, 392 p. (notice BnF no FRBNF34137199, lire en ligne )
Paul Doumer, Livre de mes fils, Paris, Vuibert et Nony, 1906, 344 p. (notice BnF no FRBNF30351875, lire en ligne :

Humanisme: Paul Doumer, Paroles Humaines (dans la collection des Paroles du xxe siècle), Paris, Eugène Figuière, éditeur, 1929, 238 p.
Commenter  J’apprécie          31
La grande masse de la nation française est ainsi formée par simple addition de grandeurs de même nom, un peu comme des pommes de terre dans un sac forment un sac de pommes de terre.
Commenter  J’apprécie          30



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Karl Marx Voir plus

Quiz Voir plus

La liberté de la presse

Depuis quand la liberté de la presse est-elle reconnue par la loi en France ?

1918
1881
1789
1515

8 questions
23 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}