Citations de Katherine Pancol (3681)
Un homme cela demande beaucoup d'entretien .mais au moins le mien est en bonne santé, travail et ne boit pas comme le mari de blanche. Je n ai pas honte de lui quand nous sommes invité à la sous préfecture.
Vous les français vous bius battez pour l'argent .tandis que nous autres anglais , nous nous battons pour l'honneur.
On se bat toujours pour ce que l'on a pas . Avait ricanné le birux corsaire
On perd toujours à se comparer.
Elle ne colle pas un timbre, elle l'aplatit à coups de poing. Elle ne lit pas, elle dévore. Elle ne joue pas, elle régente les autres enfants.
Ça n'existe pas une bonne mère, c'est un mythe inventé pour culpabiliser les femmes et les garder à la maison !
Quand on ne peut pas changer un truc, on l'oublie. Sinon on est malheureux tout le temps.
C'est ça l'amour, je me suis dit en ouvrant la fenêtre et en tendant mon visage au soleil. C'est donner des forces à l'autre pour qu'il se sente libre et sûr de lui.
Mon premier amour était un pigeon, un pigeon de Paris, sale et gris, tenace et pugnace.
On porte chacun sa mère en soi. Nos mères s'incrustent en nous et on doit s'en débarrasser, sinon on finit en meurtrier. Tu me tues d'amour, je te tue de non-amour...
- Et si l'intime et l'intimité n'étaient pas la même chose ? a suggéré Valérie l'autre jour devant un café.
Il faut du courage pour être heureux.
- Je ne te juge pas ! Je voudrais simplement qu'on arrive à se comprendre, à s'aimer...
- On n'arrive pas à s'aimer, on s'aime. Un point, c'est tout. Toi, tu me juges toujours...
Moi, je voulais bien troquer mon corps mais pas contre n'importe quoi. Pas pour du travail, de l'avancement, un manteau de fourrure, un voyage dans les îles Bikini ou des diamants. Non, je voulais des renseignements sur mon âme, des indications sur la conduite à suivre pour devenir quelqu'un qui se respecte, savoir qui j'étais, où j'allais et quelle route emprunter. J'étais prête à verser une rançon pour qu'on me rende mon unité. J'offrais une récompense à qui me donnerait des informations susceptibles de me faire progresser dans mon enquête.
Épuisée mais heureuse, avec le sentiment que, pour la première fois de sa vie, elle avait osé être elle, cette femme qu'elle ne connaissant pas très bien, avec qui elle vivait depuis 40 ans sans vraiment lui prêter attention, mais dont elle mourrait d'envie, maintenant, de faire connaissance.
Il est impossible de vivre sans rater quelque chose, à moins de ne pas vivre du tout.
Ça n'existe pas une "bonne mère", c'est un mythe inventé pour culpabiliser les femmes et les garder à la maison.
La peur, elle se dit, c'est un truc qu'on gonfle tout seul dans sa tête. Et qui, si ça se trouve, n'existe que là.
La malveillance, c'est de la paresse intellectuelle. La bienveillance aussi, parfois. Elle peut même être suspecte. Une manière habile de se débarrasser des gens. On les écoute avec un grand sourire mais on ne les entend pas. On a qu'un envie, c'est d'en finir. Il faut trouver un chemin entre les deux, un sentier escarpé. Mais ça vaut le coup d'essayer non?
Je voudrais rencontrer une fille qui ne sache pas faire, qui n'ait pas de plans de carrière, qui ne sache pas compter, pas conduire, même pas prendre le métro. Une fille qui vive dans les livres, en buvant des litres de thé, en caressant son vieux chat enroulé sur son ventre!
Hortense, barbare affûtée, avait longtemps toisé cette petite sœur si fragile. L'une soumise, mendiant I'affection et la reconnaissance, l'autre intraitable, se taillant son chemin à coups de sabre. Zoé, limpide, tendre. Hortense, obscure, inflexible, dure. Avec mes deux filles, je ferais une huitre parfaite. Hortense pour la carapace et Zoé à l'intérieur.
L’amour c’est attendre. On ne devrait pas dire, je t’aime, on devrait dire, je t’attends