Katsuhisa Minami

• The Fable, Tome 16

• Katsuhisa Minami (Scénario & Dessin)

• Pika



Seizième tome de The Fable, et nous sentons bien qu’avec ce nouvel arc, nous entrons dans l’arc final.

Le boss du clan Maguro a été tué, si c’est logiquement le numéro deux de l’organisation qui prend sa place, en dessous de lui, certains pourraient œuvrer à le faire tomber.

Du côté de Sato, les nouveaux ennemis apparus semblent en avoir après lui, des ennemis qui font également parti de « The Fable » et qui pourraient être des adversaires de taille.

On continue à osciller entre action et humour, et chaque tome de cette série est toujours aussi sympathique à lire.

Après cette tension dans le précédent tome, ce septième tome est beaucoup plus décontracté, laissant place au rire et à des situations absurdes qu'on comprend mieux en lisant, si avant on avait auparavant regardé la quatrième de couverture.



Fable et Yôko ramènent Kojima chez eux en le transportant dans le coffre de leur voiture.

Pour ensuite l'attacher et le présenter à son frère Ebihara qui décidera de son sort.



Après son échec dans l'entrepôt, Sunagawa y fait son ménage puis il cherche à en savoir plus sur qui est ce Fable...



Les réactions et expressions du visage de Yôko sont à se tordre de rire et ça fait vraiment du bien pour apaiser le choc, la peur,  traumatisme qu'a subit Misaki. Cette dernière après avoir été ramenée se rend chez Yôko puisqu'elle a perdu son sac, ses clés dans l'entrepôt. Une fois chez Yôko épuisée elle s'écroule dans la salle de bain.



Kuroshio lui aussi m'a fait beaucoup rire quand il s'extasie de joie quand on lui raconte comment Fable a agit dans l'entrepôt. Ce qui lui donne envie d'être encore plus son apprenti. Ensuite tous deux iront se préparer pour passer trois jours en forêt faire du camping, euh non un pique-nique, euh juste faire du survivalisme... enfin bref qu'on verra dans le prochain tome. ^^

De nouveaux personnages entrent en jeu dont Utsubo, (un monstre humain malfaisant) qui se fait passer pour un honnête homme voulant surprotéger les enfants pour leur soi-disant bien, alors qu'il cherche juste à manipuler les parents, la société pour transformer des enfants en proie facile d'accès. Dans son équipe il enrôle un ancien du clan Maguro : Isaki, dans  le but d'en apprendre plus sur ce Fable. Avec lui, déjà présent il y a Hiroshi Suzuki et Hinako Saba, une femme en fauteuil roulant qui a déjà croisé Fable par le passé et est la proie et poupée sexuelle d'Utsubo.



Fable croisera la route d'Hinako Saba, et cherchera à vérifier si c'est bien elle dont il a croisé sa route.



Une lecture qui annonce les couleurs sur la suite. Évidemment rien n'est rose dans ce monde perverti par les monstres d'hommes. Hâte de lire la suite pour savoir si les méchants auront retour du karma.

Nous voilà à suivre Fable, en mode survivaliste en forêt avec Kuroshio en mode camping, et davantage comme si nous étions ce dernier. Avec nos a priori sur la forêt, et nos faibles connaissances qui ne nous permettent pas de repérer la nourriture pourtant toute autour de nous. Comme le dirait Pocahontas dans le dessin animé : "La Terre nous offre ses trésors, ses mystères. Ici-bas le bonheur n'a pas de prix."

Attention quand même, la nature est sauvage, dangereuse quand on va hors des sentiers battus, comme le verront Fable et surtout Kuroshio.



La partie la plus hilarante, était Yôko qui va picoler avec Kawai, un adolescent trop sûr de lui-même. Ce dernier croyant la saouler avant lui en lui payant à boire pour l'amener à coucher avec lui et tel est pris qui croyait prendre. Pendant que le barman qui fait office de commentateur de match sportif en silence, observe ces deux jeunes dont il connaît leurs techniques.



Même si ça m'a fait les abdos à force de rire de cette situation absurde où les rôles sont inversés... il ne faut pas oublier la malhonnêteté de certains qui ont des buts mal intentionnés envers le sexe opposé.

Satô se voit confier une nouvelle mission par son patron : dessiner le père Noël. Mais quand il montre ses récents dessins fait sur son temps libre, c'est la rigolade. À travers ses dessins son patron apprend à mieux connaître l'humeur de son employé, grâce à la patronne d'un bar qui lui fait la remarque.



Le monde est très petit, où du moins les gens malfaisants comme des requins sont capables de sentir une goutte de sang dans l'océan... Utsubo, un horrible monstre d'humain manipulateur se sert indirectement de Misaki pour faire chanter son collègue pervers : Kainuma et sa mère pour leur soutirer des millions de yens. L'harceleur devient l'harceler mais au lieu de se venger sur celui qui s'en prend à lui, il met la faute sur Misaki. Ainsi va le monde... plus facile de faire du mal, de se venger sur des innocent.es que de se remettre en question.





Malgré tout l'étau se ressert sur l'organisation d'Utsubo car lui et ses membres se font remarquer directement par Satô... vivement la suite !





Un excellent tome tant dans le scénario que dans le dessin :)

Fable, tome 6.

Opération sauvetage de Misaki !!



Dans la 1ere moitié du manga : Pour ne pas mettre la vie de Misaki en danger de mort et qu'il est en période de repos ( = pas d'assassinat), Fable a décidé d'aider Misaki, sans commettre d'assassinats. Même si cela aurait été plus facile, rapide, aurait évité à Misaki de faire des actes contre son gré et que s'il les aurait tué, on aurait été bien content de les voir morts ! Mais l'histoire aurait tourné plus court ^^.



On voit la préparation de Fable avec la création de ses armes non létales qui lui prennent du temps. Du côté de Kojima, il donne à son acolyte Takahashi, une réplique d'un pistolet puisqu'ils vont devoir voir le clan rival. Les intentions de Kojima vis-à-vis de Misaki sont ignobles, et on espère qu'il sea empêché.

Parallèlement Ebihara, encore alité à l'hôpital reçoit la visite d'un homme qui est le mentor de Fable. Ce dernier lui explique calmement avec un couteau de John Rambo dans les mains,  qu'il a intérêt à ne plus mêler Satô dans ces histoires.



La 2nd moitié du manga, se déroule dans l'aciérie Yamashita. Lieu de rencontre organisé par Sunagawa avec les sbires de Kojima et Misaki qui sert de marchandise sexuelle contre son gré. Heureusement, Fable est là pour la sauver !



Juste quelque peu dommage, je trouve que ça manque de communication, interaction entre Misaki et l'homme de main #2 qui a eu une mission confiée par Fable. Mais sinon très bonne suite et des dessins époustouflants, d'un haut niveau dans l'aciérie.

Fable tome 5

On continue sur la fin du tome précédent où le soir en arrivant devant chez elle, Misaki tombe face à face avec Kojima, (qui a une énorme cicatrice au visage, donc bonsoir l'accueil).

Ce dernier lui propose de travailler pour lui dans un Deliheal, en la menaçant qu'il pourrait y avoir des proches à Misaki de blessés si elle refuserait.

Et il va mettre ses menaces à exécutions.





Parallèlement le chef de gang de Kojima  reçoit la visite du chef de clan adverse : Sunagawa, qui sachant que Kojima empiète sur son business donc son territoire, vient demander qu'il cesse cela...Ou il y aura du sang.



Pendant ce temps-là, Fable qui a ressenti le besoin de parler de Misaki puis sa tristesse.  Il fera le lien avec les propos de Kojima qu'il a espionné sous la demande de son frère hospitalisé... et il voit rouge.



Eh bien vivement la suite !!



Ce tome 5 nous fait écho à notre lamentable  société d'esclavage. Ainsi qu'au quotidien que vivent les personnes malchanceuses. Et qui nous donne le ressenti qu'il y a plus de gens à agir violemment que pour le bien.

Donc c'est dur de voir, de lire quelqu'un d'innocent qui mérite le bonheur, la paix, l'amour... qui est tombée dans les mains d'un monstre d'humain qui sans scrupules veut obtenir ce qu'il souhaite avoir.

Dur également d'espérer lire dans les prochaines pages, qu'elle sera sauvée et le monstre puni,... mais la réalité on la connaît. Alors à voir la suite dans le tome 6.



Visuellement les dessins de Katsuhisa Minami sont légers, fins et surtout sublimes à regarder :)

C’est toujours un plaisir de découvrir un nouveau furyo manga qui arrive en France, et cette fois-ci, les éditions Pika ont acquis The Fable, un titre terminé au Japon avec 22 tomes.





Nous avons ici un manga qui va traiter de gang, de pègre, mais qui va surtout se concentrer sur le coté humain du personnage principal : Fable. Sous ce surnom, se cache un tueur à gage très efficace, trop efficace même, puisqu’il a commencé à se faire remarquer, et va devoir aller se mettre au vert.





En effet, son boss décide de l’envoyer vivre à la campagne pour vivre une vie normale, sans faire de vague, pendant une année complète, le temps que les choses se tassent. Mais voilà, il n’est pas simple de rester à sa place quand on a le sang chaud et qu’on ne tolère pas les injustices.





Fable va donc devoir apprendre à se comporter comme quelqu’un de normal, de ne pas réagir face à ceux qui lui chercheraient des problèmes, et surtout, se méfier de ceux qui l’hébergent, qui le surveillent en permanence.





Pour un manga du genre furie, j’ai trouvé ce premier tome assez calme, ce qui est est plutôt sympa puisque ça permet de bien poser l’histoire, et de ne pas avoir que de la baston pure et simple. Il y en a un peu, mais ce n’est pas le cœur du sujet, en tout cas pour l’instant.





Le seul bémol vient de la jaquette, tout jeune qui n’est pas sans rappeler l’affiche de Kill Bill. Quand on regarde la couverture Japonaise, je trouve dommage de ne pas l’avoir choisie, car elle est bien plus belle et colle plus à l’ambiance du manga. Et même si les éditions Pika ont opté pour une couverture réversible, on sait bien qu’il est quasiment impossible de la retourner, car les pliures risqueraient de s’abimer. Pour le coup, c’est pas la meilleure des idées…





Hormis ce détail, qui n’ampute rien à la qualité de ce premier tome, The fable est une excellente réussite, dont j’ai hâte de lire la suite, le mois prochain !

Après ce combat dans les bois et le piège centré sur Hina qui s'était fini en gros suspens, ce treizième tome est à se tordre de rire grâce au personnage féminin de Yôko.



Je crois que je n'ai jamais autant rigolé auparavant dans mes lectures qu'avec cette série de Katsuhisa Minami. Ce chapitre sur Noël est trop bien, avec Takôda, le patron de Satô qui propose de fêter Noël avec ses employés : Misaki et Satô et pour ne pas laisser les gens seuls à noël ils se rassemblent chez Yôko. Ensembles tous les quatre, habillé pour l'occasion et avec suffisamment à boire, cette fête de Noël finit en beauté, tel un flocon de neige qui ne fond pas dans notre main. Ainsi que sur une note de respect et de bienveillance qui fait chaud au cœur dans ce monde violent.



La qualité des dessins, les expressions des visages sont toujours aussi excellentes :)

Ouhlala, nous revoilà tout de suite replongé dans un plan destiné à assassiner Satô. Hinako a-t-elle vraiment crue Utsubo qui lui a fait croire que Satô et l'assassin de ses parents et donc maintenant, elle veut se venger ? Ou, joue-t-elle double jeu ?



Utsubo de son vrai nom : Kôichi Kawahira entre en contact avec Satô pour le faire venir dans son piège.



Du côté d'Isaki, chargé d'enterrer Kainuma, l'eau est montée en crue, le voilà donc à courser un cadavre pas encore refroidi ^^



L'humour est également au rendez-vous, ça contrebalance des situations hypers sérieuses, et c'est ce qui est trop drôle, à se tordre de rire :))

Sans oublier les titres des chapitres qui collent parfaitement aux situations.



D'ailleurs, ce final en mode gros suspense est vraiment très bien réussi. On a envie dr savoir la suite :3



C'est toujours une excellente suite et un plaisir de lire cette série de Katsuhisa Minami, très bien scénarisée et dessinée :))

Sunagawa, un mafieux qui ressemble à un requin, n'a pas abandonné l'idée de prendre le contrôle du clan Maguro. (Celui où Satô est sous leur protection). Donc Sunagawa fait appel à un tueur professionnel avec pour mission de tuer d'une mort la moins suspecte possible le chef du clan : Hiroshi Hamada ou le lieutenant Takeshi Ebihara.



Le nouvel an approche et on y découvre les projets de Satô qui font rire ses collègues, comme ces derniers ne se doutent pas de l'enfance qu'il n'a pas eue.



Et c'était toujours un super bon moment de lecture marrant avec Yôko et Satô.

Sans oublier cette fin qui rappel la réalité et des dangers du quotidien que rencontres les femmes dû aux comportements toxiques et pervers de ces "hommes".

On aurait envie de leur mettre un bon coup dans leur entrejambe.

:)

Après que Sâto ait intercepté Kainuma qui  voulait assassiner sa collègue de travail, (car il met toute sa frustration d'échec et de désir sur elle) leur patron aimerait comprendre les raisons exactes. Mais Kainuma en profite pour s'échapper et tombe dans les bras de Suzuki qui était venu le capturer pour la suite de leur plan machiavélique.



Sachant par la suite où habite Yôko, la sœur de Sâto, et que cette maison appartient au clan Maguro, Suzuki s'y rend quand même. Et là, c'est la meilleure partie de ce tome de voir les compétences qu'a Yôko.

:)

Quant à Hinako, toujours prisonnière de son fauteuil roulant et de son bourreau de pervers de manipulateur de patron, alias Utsubo, elle a des prémonitions que Sâto se fera tuer par Utsubo.

Et cerise sur le gâteau, ce coup de théâtre final qui nous est dévoilé !!

Un virtuose de la gâchette peut-il adopter le masque du type ordinaire comme il portait celui de criminel ? Surtout lorsque qu'un Yakuza se met en tête de le provoquer ?



Un premier tome convainquant pour moi. J'apprécie le dessin réaliste et le rythme feuilletonesque. On y retrouve le héros caractéristique des mangas, désinvolte, naïf, mais badass en même temps (Dragon Ball, One Piece, One Punch Man…), ce qui crée des situations sociales amusantes (comme de faire tranquillement remarquer son poil de nez trop long à un gros bonnet de la pègre)



Il semble qu'on ai à faire à un manga d' "auteur" comme on dit ; on échappe aux personnages aux yeux de biches. Katsuhisa Minami gère ici toute la boutique (scénario et dessin) et semble, au vu de sa technique, être un mangaka accompli.



Je serai là pour les prochains. Et je serais aussi bien curieux de découvrir l'autre production de l'auteur : Naniwa Tomoare (malheureusement pas encore traduite en français).



« Tu sais, si j'avais un hobby ou ce genre de truc… Il y a longtemps que je serais mort et enterré. »

• The Fable, Tome 15

• Katsuhisa Minami (Scénario & Dessin)

• Pika Edition



Le très bon arc arc précédent ayant pris fin dans le tome 13 et le tome 14 étant un tome de transition avec beaucoup d'humour, ce quinzième volume, nous fait entrer dans un nouvel arc.

Et si il faut un peu de temps avant de lancer la machine et que j'ai trouvé les premières pages un peu en deçà de ce qui était fait précédemment, rapidement l'auteur nous montre qu'il a encore beaucoup de choses à nous offrir et de quoi nous surprendre.

Nouvel arc, nouvelle menace, et cette fois, notre "fratrie" d'assassins pourrait bien être en danger.

Une série que je prends plaisir à suivre et dont chaque tome me donne envie de connaitre la suite rapidement.

Fable tome 15 nous dévoile un peu plus sur qui est Yamaoka. Pourquoi inspire-t-il une telle peur dans son entourage et quels sont ses plans... Dont la première partie était d'engager un assassin professionnel et minutieux, pour tuer l'un des membres haut placé du clan Maguro. 



Du côté de Satô, c'est plutôt calme. Son patron chez Octopus a aménagé dans un nouveau lieu de travail, et il a évoqué un travail sur la Saint Valentin. Notre personnage principal ne connaissant pas cette pratique, il va la découvrir. (Et nous aussi également, car au Japon c'est un poil different).



Yôko continu sa traque du ou des chikan, alias frotteurs pervers qui font des attouchements et sévissant dans les transports en commun.



Une chose dont j'avais zappé, et qui concerne tout milieux mafieux, comme ici certains des personnages de ce clan de Yakuza sont sympathiques est qu'ils vivent via des recettes d'extorsion de commerces. Et ça, c'est vraiment pas cool.



Visuellement, c'est toujours aussi bien soigné les détails des dessins. Et c'est très agréable à regarder :)

Le scénario est assez calme, malgré la tempête qu'elle prépare. Et donc vivement la suite :)

Wow ! Que dire !

Le niveau montait déjà dans le tome 5 qui redonnait un nouveau souffle à la série mais ce tome 6 à réussi à me surprendre.

L'auteur n'hésite pas à prendre des décisions fortes concernant ses personnages et j'aime cela.

En parlant des personnages, ils sont tous bien écrit et attachant et c'est un vrai plus pour la série.

Le tome 5 confirme ce que les tomes 3 et 4 m'amenait à penser.

Si au début de la série j'avais peur que cette dernière s'essouffle sur la durée et devienne vite répétitive, l'apparition d'un personnage sortit de prison amenait une nouvelle donnée intéressante sur l'échiquier.

Et en effet, avec ce tome 5, la série ne s'essouffle pas, au contraire elle gagne en intensité.

L'humour est moins présent mais l'intérêt que j'éprouve pour cette série augmente.

Si j'avais apprécié les deux premier tomes, j'avais peur de ce que a série allait devenir sur la longueur, sachant qu'elle comptabilise déjà un nombre élevé de tomes, je craignais une certaine répétitivité.

La lecture des tomes 3 et 4 m'a bien plu et me laisse entrevoir le chemin que va prendre la série, et cela semble être un bon choix.

Hâte de lire la suite.

The Fable est une série qui ne cesse de me montrer que j'avais tort. En effet, au début de la série, bien qu'ayant accroché rapidement, je me disais que cette série ne pouvait fonctionner que sur une courte durée, et voyant le nombre de tomes déjà sortis au Japon (série terminé en 22 tomes + une deuxième série en cours), je me disait que cela devait tirer sur la longueur.



Eh bien oui, j'avais tort, et cela je l'ai compris il y a quelques tomes déjà. La série ne cesse de nous surprendre avec de nouveaux arcs tout aussi intéressants, si ce n'est plus, que les précédent. Le mangaka n'hésite pas à tuer un antagoniste (même si ce dernier est emblématique) et à passer à un autre.



Pour ce qui est de ce tome 14, après un tome 13 plus calme où les personnages fêtaient noël, ici, calendrier oblige, les personnages "fêtent" le nouvel an. Nous sommes encore sur un tome calme, pourtant, la préparation du prochain arc se fait bien sentir et vu ce qui se prépare, on ne peut qu'avoir hâte.

Ce tome 9 marque le début d'un nouvel arc.

Et qui dit nouvel arc, dit nouveaux personnages.

On nous en présente tout un paquet et si l'on comprend très vite qu'ils seront les nouveaux méchants, leurs intentions sont pour le moment encore un peu floues.

Début d'arc sympathique mais qui nécessite encore d'un peu plus de matière pour voir où l'auteur veut vraiment nous emmener.