AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Kim Dong-Hwa (185)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Histoire Couleur Terre, tome 1

Le 1er tome d'une magnifique trilogie. Deux beaux portraits de femmes, une mère veuve et sa fille dans une Corée rurale et pleine de poésie.
Commenter  J’apprécie          00
Histoire Couleur Terre, tome 1

Un magnifique manga coréen sur l'amour et l'adolescence, sur la vie quotidienne avec ses joies et ses attentes. Une histoire de femmes avant tout car on suit Ihwa, une petite fille élevée par sa maman dans un petit village de Corée. Mère et fille partage leurs vies et leurs émotions avec beaucoup de pudeur et de bienveillance.

Ce premier tome retrace l'enfance et la prime adolescence d'Ihwa, lors de ses premiers éveils au fils des saisons. Eveils amoureux bien sûr quand son coeur bat trop vite pour un garçon, l'eveil au corps avec la différence entre "le piment" des garçons et " la graine de kaki" des filles, ou encore son apprentissage d'elle même et de ses émotions.

C'est doux, beau, pudique et plein de poésie.

Un grand merci à #lenalaplaya qui me l'a fait découvrir!
Commenter  J’apprécie          30
La mal aimée

Un vrai bijou coréen, subtil et délicat alliant des dessins superbes et plein de grâce à de belles histoires de femmes et donc d’hommes. Précieux
Commenter  J’apprécie          10
Histoire Couleur Terre, tome 3

Histoire couleur terre est vraiment un manhwa qui me change de ce que je lis d'ordinaire, qui m'a quelque peu fait sortir de ma zone de confort. J'aime en effet aller vers des lectures qui ne sont pas de mon registre pour une bonne (ou une mauvaise) surprise et là, je dois dire que ça a été une bonne surprise!







Je me suis vraiment faite aux dessins si particuliers qui ne plairont sans doute pas à tout le monde. C'est d'une simplicité, sans fioriture, juste de la beauté pure et simple.



Un dernier tome plein de mélancolie, de douceur, qui sent le printemps avec tellement de messages, qui parle d'amour, de sexualité, de féminisme où 'on a pu voir l'évolution d'Ihwa de son enfance à sa maturité! J'ai aimé les sous-entendus, les comparaisons, les métaphores qui sont fais de façon juste et apporte de la poésie à l'histoire.



En bref, c'est une bien jolie découverte, je pensais au début ne pas accrocher à cette saga mais finalement, ça a bien passé! C'est un manhwa extrêmement féministe qui transmet de nombreux messages forts et importants!
Commenter  J’apprécie          60
Histoire Couleur Terre, tome 2

J'avais plutôt bien aimé le premier tome d'Histoire couleur terre, une lecture qui m'a changé de ce que je lisais d'ordinaire. Une jolie découverte, faisant l'éloge de la femme.



Ihwa est une adolescente maintenant, qui a désormais de plus grandes aspirations. Elle est en quête du grand amour, le vrai, le bon. Sa mère lui répète souvent "jamais deux sans trois!". Alors, est-ce ce grand jeune homme fort et gentil, Deok-Sam? Une idylle est en train de naître petit à petit.



Parallèlement, la mère d'Ihwa est en plein doute, la solitude lui pèse plus que jamais. Elle est toujours dans l'attente de la venue de son amant, l'écrivain itinérant et ses visites sont trop rares et trop courtes. Quel avenir pour eux? De plus, elle repense à son défunt mari, sans compter qu'Ihwa lui cause bien des soucis sans le vouloir.



La relation mère/fille est plus que jamais fusionnelle, elles sont de plus en plus proches au fur et à mesure qu'Ihwa grandit et cette dernière se confie beaucoup plus à sa mère bien qu'il y ait des sujets un peu plus personnels qu'une jeune fille a parfois du mal à aborder. Une certaine jalousie s'installe aussi, une jalousie de la mère pour sa fille mais en même temps, elle a aussi peur de voir sa fille prendre son envol et la défend bec et ongles contre ceux qui veulent lui nuire.



J'aime toujours cet aspect de comparer les femmes aux fleurs, aux éléments de la nature, au printemps en général. Cela est fait en finesse et de façon poétique. Les dialogues sont donc très intelligents et invitent à la réflexion.



La question de la sexualité est encore plus mise en avant, ce qui est normal en un sens puisqu'Ihwa est désormais une adolescente. C'est assez drôle de voir la perception du sexe qu'avaient les gens à l'époque alors qu'aujourd'hui, ce n'est plus vraiment un tabou. Ce tome est la découverte du corps, de nouvelles sensations, d'expériences, de gênes et de malentendus. Aussi, on en apprend plus sur la Corée d'autrefois avec ses traditions, ses us et coutume.



En bref, on a une bien jolie avancée dans l'histoire. Ce manhwa est très féministe et poétique, plein de douceur et de justesse et il me reste donc à découvrir le troisième et dernier tome pour enfin connaître le destin de la mère et de la fille.
Commenter  J’apprécie          40
Histoire Couleur Terre, tome 1

Histoire couleur terre n'est pas mon premier manhwa lu et ne sera pas le dernier. Je suis plus une adepte des mangas et manhuas, mais j'ai vraiment envie de lire plus de bandes dessinées asiatiques.



Nous suivons une petite demoiselle, Ihwa, qui vit seule avec sa mère, patronne d'une taverne dans un petit village coréen du siècle dernier. Elle se pose beaucoup de questions, ce qui est tout à fait normal au fur et à mesure qu'elle grandit. On la voit passer de petite fille à jeune adolescente; elle en apprend plus sur son corps, sur la féminité, sur les hommes et l'amour.



J'ai aimé le côté tranche de vie, le côté simple de la vie. C'est poétique, doux, une histoire très féministe en fait. Une ode à la femme très souvent comparée aux fleurs. C'est important de voir la condition de la femme à cette époque; j'ai aussi apprécié la relation mère/fille très fusionnelle, et on a donc un parallèle entre deux générations dont on suit les peines et les joies. La mère d'Ihwa a elle aussi une vie pleine de rêves et de regrets. On a parfois le point de vue de certains hommes et garçons qui m'ont souvent dérangé, dans leur façon de parler des femmes ou dans leurs gestes sans équivoque, même si évidemment, ils ne sont pas tous comme ça.



J'ai bien aimé le graphisme étrangement. Il y a un côté vintage, très simple, sans fioritures, avec une certaine finesse dans le trait de crayon, avec des éléments très souvent mieux dessinés que d'autres et un design des personnages assez étrange mais peu importe au final, je me suis laissée porter car tout est dans la contemplation. C'est très particulier et nul doute que certains ne seront pas sensibles aux dessins.



J'ai trouvé ce manhwa très juste, romantique, élégant, un peu mélancolique par moment. C'est une histoire racontée avec finesse et délicatesse, avec des sens cachés et diverses figures de style (métaphores, comparaisons...) qui sont subtiles et bien pensées. Il me tarde de lire les deux derniers tomes car c'est vraiment une bien jolie découverte.
Commenter  J’apprécie          100
Histoire Couleur Terre, tome 3

Deok-sam a été obligé de quitter le village pour aller gagner sa vie sur un bateau de pêche. Les deux amoureux sont donc éloignés mais la jeune fille continue à espérer qu'il reviendra. De son côté, sa mère attend patiemment les visites de l'écrivain public qu'elle aime mais qui passe son temps à aller d'un village à l'autre. Le bonheur sera-t-il au rendez-vous ?

Trois tomes qui permettent au travers d'une belle histoire de découvrir un mode de vie fort éloigné du nôtre, une parenthèse enchantée.
Commenter  J’apprécie          20
Histoire Couleur Terre, tome 2

Nous retrouvons Ihwa qui est devenue une adolescente à la beauté éclatante. Elle rencontre Déok-sam, un jeune homme qui travaille comme valet chez maître Park. Les deux jeunes gens vont tomber amoureux mais bien des embûches seront sur leur chemin. De son côté, la mère d' Ihwa tient une auberge et dans cette société patriarcale, ce n'est pas facile. Elle doit souvent remettre les hommes à leur place, sans les vexer si elle veut qu'ils restent clients. Mère et fille sont proches, c'est ce qui fait leur force.
Commenter  J’apprécie          10
Histoire Couleur Terre, tome 1

Ihwa, fillette qui s'intéresse à tout ce qui l'entoure, vit avec sa mère à la campagne, en Corée. On va voir grandir la fillette au fil des saisons. Chacune de leur côté, la mère et la fille iront de rencontre en rencontre.

De belles illustrations pour un dépaysement total.
Commenter  J’apprécie          10
La mal aimée

Belles histoires (d'amour...) dans les campagnes d'Asie. Entre autres: très belles planches de deux pages en vis à vis, au traits noirs et blancs. Merci.
Commenter  J’apprécie          10
La Bicyclette Rouge, tome 4 : ...et, de nou..

Je termine sur une belle note la lecture des bandes dessinées de la Bicyclette rouge. Le troisième tome m’avait un peu déçu mais le quatrième et dernier, «… et, de nouveau, le printemps», a ravivé quelque peu mon intérêt. Et la principale raison, c’est le «retour» du facteur. Ce jeune était toujours là mais, dans les dernières aventures, il me semblait effacé. Là, il joue à nouveau un rôle de premier plan : le lien qui unit les différents habitants du village de Yahwari qu’on a appris à connaître, à apprécier et même à aimer. Leurs anecdotes et leurs petits travers adorables, elles sont mises en valeurs par le facteur qui sait en rire tendrement. Conséquemment, il ne se passe pas grand chose et c’est bien ainsi. On ne peut pas toujours lire des drames !



À part ça, l’employé des postes s’occupe de son petit monde comme pas un en rendant de menus services allant d’aider de vieux couples à se réconcilier à tenir compagnie à un veuf, même jusqu’à payer la facture d’électricité d’une dame âgée démunie. Surtout, il dispense quelques bons mots philosophiques (mais qui relèvent plus du bon sens que des questions métaphysiques) ou bien pousse la chansonnette. Plutôt, se fait le chantre de la nature en livrant sa poésie à tout vent. Il n’y a que du positif qui ressort de ce manhwa.



Au fil des albums, les dessins se ressemblent mais évoluent aussi. Dans ce dernier tome, je leur trouvais des airs de dessins animés. Tant au niveau du style que des couleurs. Et c’est une qualité. J’arrivais à faire les liens entre les cases et à imaginer le tout en mouvement, ça me faisait penser à ces «vieux» animés japonais que j’écoutais quand j’étais petit. Ça clôt merveilleusement bien une excellente série.
Commenter  J’apprécie          292
La Bicyclette Rouge, tome 3 : Les Mères

Ce troisième tome de la série de bandes dessinées La bicyclette rouge semble délaisser ce que je croyais être le personnage principal, le facteur qui se promenait allègrement dans Yahwari, au profit des couples âgés anonymes qui croisent son chemin matin et soir. Je l’admets d’emblée, mon intérêt s’émousse. D’abord, parce que l’effet de la nouveauté n’est plus là (et c’est normal) mais surtout parce que, même si tout est encore un peu poétique et enchanteur, ce l’est quand même moins que dans les tomes précédents.



Beaucoup des petites histoires concernent les relations de couples entre personnes du troisième âge. C’est un sujet qui m’attire moins. Ces aînés, dans leurs vieilles habitudes, ils s’aiment tendrement mais ils sont d’une autre époque, un peu maladroits. Ils ont trimé dur toute leur vie, ils continuent à s’occuper de leur petit lopin de terre mais leurs enfants sont partis à la ville. Lors des rares visites de ces derniers, le gap entre les deux générations devient évident et un peu malaisant. Les jeunes ont changé, leurs valeurs ne sont plus les mêmes, ils sont devenus ingrats. Est-ce la réalité en Corée, où la modernité est apparue trop rapidement après la Deuxième guerre mondiale ?



Dong-Hwa Kim se fait l’apôtre de la vie rurale, qui ne peut être que sereine, idéale, en même temps qu’il montre un parti pris pour ses aînés (même s’il n’est pas toujours tendre avec eux). Est-ce juste ? Pourquoi le mode de vie des personnes âgées à la campagne doit être meilleur ? Pourquoi les jeunes de la ville doivent être égoïstes ? Ce n’est pas mon point de vue ni ma réalité. Pas tous les citadins sont pressés, avares et incultes.



Je n’ai rien de plus à ajouter en ce qui concerne les dessins. Je les aime bien, ils colorés, réalistes mais pas trop. En effet, l’auteur-dessinateur se permet quelques fantaisies, ses personnages deviennent quelque peu caricaturaux quand ça se prête à l’histoire. Il ne reste qu’un tome alors, assurément, je le lirai aussi.
Commenter  J’apprécie          270
La Bicyclette Rouge, tome 2 : Les Roses Trémières

Ma critique de ce deuxième tome de la série de bande dessinée La bicyclette rouge ressemblera à celle du premier. Notre nouveau facteur préféré continue sa tournée dans la campagne, distribuant le courrier à des adresses aussi peu conventionnelles que «la maison ensoleillée» ou «la maison où il fleure bon les orchidées». Pas si facile à trouver en hiver… Hihihi ! Parlant d’hiver, l’album est divisé en quatre parties, chacune dédiée à une saison en particulier, commençant par le printemps bourgeonnant et joyeux.



Plus haut, je mentionnais le facteur mais ce n’est pas son travail qui est important, plutôt l’occasion de faire des pauses sous les arbres, de voir dans le paysage des des décors de romans classiques coréens, de lever les yeux au ciel pour admirer les étoiles. Ceci dit, le facteur s’efface tranquillement pour laisser la place aux habitants du village, à leurs aventures qui n’en sont pas vraiment, plutôt des tranches de vie auxquelles il est facile sinon de s’identifier du moins de les apprécier.



Le gap générationnel est abordé à nouveau, bien souvent doublé des différents citadins/ruraux puisque les enfants ont quitté la campagne et que les petits-enfants, qui ont grandi à la ville, en ont été coupé et n’en connaissent que les rares visites chez les grands-parents. J’ai trouvé très drôle ce garçon qui ne comprenait pas qu’il faille aller à la toilette dans un petit cabinet à l’extérieur de la maison, dans le jardin. Inversement, sa grand-père digère mal cette horrible pizza qui lui a couté si chère… D’autres épisodes sont plus émouvants, comme cette mamie attristée parce que sa nouvelle brue trouve ses photos de familles ringardes et ses bols dépareillés. C’est le charme de l’œuvre de Dong-Hwa Kim.



Mais, dans l’ensemble, c’est assez positif. Pareillement pour ses dessins, que je préfère à ceux du premier tome que je trouvais un peu trop minimalistes et dans les tons de pastel. Dans «Les roses trémières», on retrouve plus de détails, souvent subtils, qui ajoutent de la profondeur et qui aident à se rendre compte que tout se passe en Orient. Les paysages et les maisons sont mieux définis. Et les couleurs semblent plus réelles, plus proches de la terre avec différentes teintes de jaunes et de vert.
Commenter  J’apprécie          300
La Bicyclette Rouge, tome 1 : Yahwari

J’ai été séduit par cette courte BD, plutôt ce recueil de plusieurs petites histoires, toutes réunies par ce facteur circulant sur sa bicyclette rouge pour livrer le courrier à travers le village de Yahwari et les environs. Mais, son emploi n’est qu’un prétexte pour admirer le paysage et faire des rencontres. La vie, la vie ! Je lui trouvais un air qui me faisait penser au facteur dans Une ardente patience, d’Antonio Skarmeta (incarné au cinéma par Philippe Noiret). Surtout qu’une des premières historiettes concerne le poète du quartier de Sedong, qui laisse un petit mot dans sa boîte aux lettres pour remercier l’employé des postes.



Mais la poésie de cette bande dessinée dépasse largement ces petits mots, elle en est toute empreinte. Que ce soit cette femme que le facteur promène à vélo, ces graines qu’il plante pour que des fleurs poussent sur son passage, ces paysages bucoliques, sans oublier les villageois si drôles (parfois caricaturaux mais on pardonne) et humains à la fois. D’ailleurs, heureusement qu’ils sont là, ces villageois âgés. Ils incarnent les vieilles traditions et les valeurs ancestrales, une sorte de sagesse des ruraux, dans le genre profiter du temps qui passe.



Mais, surtout, ces vieillards ont un faciès typiquement oriental. Ils rappellent au lecteur que l’action se situe en Corée parce que le facteur et les plus jeunes personnages passent davantage pour des Occidentaux. Je me demande à quoi ça rime ? C’est probablement ma seule critique négative parce le reste des dessins de Dong-Hwa Kim est parfait. Ils sont d’un style minimaliste (parfois, les personnages sont devant un fond blanc, mais c’est pour mettre l’accent sur l’essentiel) mais tellement colorés et expressifs. Le bonheur, tout simplement !
Commenter  J’apprécie          352
La mal aimée

Douze histoires servies par un graphisme très fin et tout en délicatesse.

Chaque histoire a pour cadre le monde rural de la Corée, et grâce à la liberté dont dispose les gens du peuple, les personnages vivent pleinement l'épanouissement de leurs sentiments amoureux au fil des saisons... Par amour, les êtres humains - comme la nature ! - évoluent ! ...
Commenter  J’apprécie          130
La Bicyclette Rouge, tome 2 : Les Roses Trémières

Un deuxième tome dans la droite file du premier à tel point que j'ai eu quelques impressions de déjà-vu avec certaines des histoires. Mais l'ensemble reste aussi poétique et doux.
Commenter  J’apprécie          20
Histoires de Kisaeng, Tome 1 : La Barque du..

J'ai découvert l’œuvre de Kim Dong-Hwa avec Couleur terre et La bicyclette rouge. Ces ouvrages m'avaient complètement séduite par leur délicatesse et leur poésie. Cette série est à l'image des autres. Beaucoup de simplicité dans le dessin et le texte au service d'un récit profond et d'une grande finesse sur la condition de ces femmes, équivalentes des geishas japonaises.
Commenter  J’apprécie          00
La Bicyclette Rouge, tome 1 : Yahwari

Un dessin très soigné pour illustrer ces douces petites histoires poétiques et philosophiques d'un facteur à bicyclette rouge.

Voilà, je crois que j'ai fait le tour de ce j'avais à dire sur ce manga coréen (manhwa).
Commenter  J’apprécie          40
La Bicyclette Rouge, tome 4 : ...et, de nou..

Quel bonheur de démarrer l'année 2018 avec les dessins et les mots de Kim Dong Hwa.

Ce 4ème tome m'a ravie ; comme les précédents. J'ai une nouvelle fois apprécié la finesse des traits, retrouvé avec plaisir les personnages, y compris le couple qui se dispute régulièrement (j'y vois leur manière de se dire qu'ils s'aiment !). La poésie est toujours au rendez-vous. J'espère que la médiathèque possède d'autres livres de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          40
La Bicyclette Rouge, tome 3 : Les Mères

Je poursuis avec grand plaisir ma lecture de La bicyclette rouge. Ici il est question des mères et le facteur est moins présent.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Kim Dong-Hwa (549)Voir plus


{* *}