Kim Wilkins

Le roi du Thyrsland va mal : un maléfice lui a été jeté, lui faisant alterner des phases d'éveil démentes et un sommeil de mort. Ses cinq filles se réunissent pour cacher leur père et son état, et trouver un moyen de lever le sortilège (punir son auteur).



Je ne connaissais pas cette autrice, et j'ai découvert ici une plume immersive, agréable, plutôt entraînante. Elle n'a pas ce petit quelque chose en plus, mais je l'ai trouvée maîtrisée et le récit bon.



J'ai tout de suite été emballée par l'idée de suivre en grande majorité des protagonistes féminins, les cinq filles du roi. J'ai apprécié qu'elles soient toutes très différentes les unes des autres.

Bluebell est une guerrière dite invincible et faite pour régner. Rose est une amoureuse transie, mais pas de son mari. Ash a été envoyée en formation pour devenir conseillère et sent grandir en elle un don particulier. Ivy n'a d'yeux que pour les hommes et met tout en oeuvre pour les séduire. Willow s'est plongée dans la religion et ne jure que par celle-ci.

J'ai trouvé les premières parties avec chaque soeur intéressantes, car on les découvrent et on se rend compte qu'elles sont toutes plus ou moins opposées. Cependant je les ai presque trouvé trop "plates". Un tempérament leur a été donné mais elles manquent un peu de nuance.



Je vais aller à contre-courant d'autres lecteurs qui ont été déçus de ne pas s'attacher aux personnages. Je ne dirais pas que je me suis attachée à eux, mais je pense que tous les personnages ne sont pas fait pour être aimé, comme Bluebell. C'est aussi intéressant de ne pas aimer tout le monde et de ne pas détester que le méchant de l'histoire.



Le scénario en lui-même est assez simple mais la force du roman tient dans les rebondissements, révélations et trahisons qui parsèment le chemin des soeurs. Il y a eu quelques passages palpitants que j'ai vraiment dévorés. Il y a eu quelques longueurs, mais rien de trop important.



Ce T1 pourrait presque se suffir à lui-même, s'il n'y avait eu Willow, et l'arc se clot plutôt bien. Ça a été assez rapide tout de même sur la fin, mais ça marche plutôt bien.

J’avais vu passer ce premier tome lors de sa sortie en grand format mais il n’avait pas retenu mon attention plus que ça. Le trouvant par hasard en format poche et le résumé piquant quelque peu ma curiosité, je me suis lancée dans cette lecture.

Et je regrette vraiment. Ce premier opus a été une très grande déception à cause des personnages. Sur les cinq sœurs, une seule s’est démarquée. Ash est gentille, elle se cherche à cause de son don qui lui en fait voir et elle a peur du jugement des autres. C’est la seule qui trouve grâce à mes yeux. Rose, je peux comprendre son comportement et sa vision de sa vie car être marié à un homme pour signer la paix entre deux royaumes et servir de poulinière royale... Bluebell, déjà j’ai eu du mal avec son horrible prénom et en plus, elle est antipathique et désagréable. Elle pense et agit comme un homme et s’octroie de choisir le destin de ses sœurs juste pour sceller des alliances. Parfois, elle peut avoir raison mais cela ne redore pas son blason. Pour finir les jumelles : Willow, gentille, aimable mais le cerveau lavé par la nouvelle religion. Ivy, c’est la pire de toutes. Obnubilé par les hommes, pourrie gâtée, mesquine et j’en passe. Ses actions la mènent à un sort qui ne lui serait pas arrivé si elle avait tenu sa langue et personnellement, je n’ai aucune sympathie ni pitié pour elle.

Concernant l’histoire, un peu bateau et part dans tous les sens. C’est ennuyeux malgré quelques scènes d’action, très stéréotypé vieux fantasy. Pour des éléments du scénario qui aurait pu produire un bon récit.

Pour conclure, je n’ai pas aimé ma lecture. Je me suis forcé à lire en diagonale pour me faire un avis assez complet de ce premier tome.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..

Ce roman donne la voix à deux générations de femme.

D'un côté Beattie, une femme forte qui ne se satisfait pas de sa condition sociale ni des diktats et croyances de la société du début XXe.

De l'autre, sa petite-fille Emma, qui voit sa carrière de danseuse étoile s'arrêter brutalement et toutes ses certitudes et son avenir voler en éclats.

Malgré les années qui les séparent, toutes deux vont trouver, au cœur de la Tasmanie, les ressources et l'énergie nécessaire pour avancer.



L'autrice dresse ici un magnifique portrait de ces deux femmes.

En alternant la narration entre le XXe et le XXIe siècle, Kimberley Freeman dévoile progressivement les secrets familiaux et la passion qui les entourent.

On peut aussi y lire, en filigrane, l'évolution de la société et notamment la place de la femme.

Ce livre est un bel hommage à toutes celles qui se battent pour casser les codes.

Ce premier tome du Sang et l’Or met en scène Les Filles de l’Orage, cinq sœurs nées de l’union du roi d’Ælmesse avec sa première épouse. Lorsqu’il sombre dans une étrange maladie qui tient du maléfice, les soupçons de Bluebell se portent aussitôt sur sa belle-mère. En compagnie de ses cadettes, elle part à la recherche de sa tante, une puissante sous-magicienne susceptible de sauver le souverain.



Une lecture qui m’aura laissée de marbre. C’est… Comment dirais-je ? Plein de vide. Beaucoup de descriptions, beaucoup de petites péripéties qui rallongent superficiellement l’intrigue, beaucoup d’allées et venues, mais concrètement, il ne se passe quasiment rien. Le résumé résume tout.



L’univers aurait pu être intéressant, mais même lui est assez creux. On a deux religions qui s’opposent, deux royaumes qui essayent de maintenir une paix fragile entre eux, une terre de magiciens, et… Là encore, ça ne va pas plus loin. De grandes lignes esquissées, mais pas d’éléments vraiment approfondis.



Quant aux cinq sœurs, à l’exception d’Ash, elles sont toutes plus ou moins antipathiques. Willow est une religieuse fanatique, Ivy est prompte à sauter sur chaque mâle qui passe dans son champ de vision, et Rose, juste sur le neveu de son époux. Quant à Bluebell, c’est ma plus grosse déception.



Dès le début, elle est présentée comme une redoutable guerrière dont tout le monde a peur. Eh bien, la redoutable guerrière, je la cherche. À chacun de ses combats, elle se retrouve en fâcheuse posture. Chaque fois, elle ne doit sa survie qu’à des interventions opportunes (ses alliés, sa sœur, le Dieu-Cheval…).



Elle est sévère, exigeante, impitoyable et même odieuse, ce que j’aurais pu accepter si elle avait été une bonne chef, mais ce n’est pas le cas. La plupart des décisions qu’elle prend m’ont paru manquer de bon sens, un manque de bon sens confirmé par le fait qu’il en résulte presque systématiquement un retour de bâton.



Cette remarque s’applique également à Wylm (et, à bien y réfléchir, à sensiblement tous les protagonistes). Lui aussi avait du potentiel, un potentiel qui retombe comme un soufflet au fil des pages. Il aurait pu être un antagoniste intrigant, mais c’est juste un couard qui n’assume pas ses actions et qui, au final, ne servira pas à grand-chose non plus, hormis à mettre en avant Eni, le seul personnage vraiment attachant de cette histoire, avec Ash.



Plus de quatre cents pages pour ne raconter que cela, c’est trop, beaucoup trop, et la raison pour laquelle j’en ai lu la moitié en diagonale. Ce roman m’aurait sans doute moins ennuyée s’il avait été plus court, mais l’auteur a brodé autour de tout ce qui pouvait l’être. Si vous n’êtes pas rebutés par les longueurs et le manque d’action, vous pouvez toujours vous laisser tenter. Pour ma part, je passe mon tour pour la suite.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Envie de partager ce livre parce que...

 

... Ce roman est à couper le souffle ! Paru en 2003, "L'envoûtée" est un thriller fantastique, puissant et sombre. Si vous aimez les passions déchirantes, la sorcellerie, la terreur et les polars, alors ce livre devrait vous combler !

 

... J'aime beaucoup les romans à 2 voix, et plus encore lorsque nos héroïnes vivent dans deux époques différentes. On alterne ainsi entre le XXIe siècle et le XVIIe. Pour autant, Lisa et Elizabeth sont toutes les deux des femmes de caractère bien décidés à prendre leur vie en main, refusant la fatalité.

 

... "L'envoûtée" fait partie des premiers romans de Kim Wilkins. Elle signe ici un thriller fantastique très fort. J'ai aimé son style fluide et direct. Chaque mot est choisi pour insuffler un sentiment de peur, d'angoisse et même de terreur au lecteur. Lorsque j'ai commencé à lire ce roman, il m'a été très difficile de la lâcher !  531 pages en 2 jours... Le titre a particulièrement bien été choisi !

Quel bon moment de lecture ! Alors oui, niveau intrigue nous partons sur du basique : Une quête – le remède du roi -, une communauté prête à s’enquérir de cette tâche – les filles du roi et leur escorte.

Malgré le manque de surprise, on se prend au jeu et nous suivons les filles du roi avec plaisir dans leur recherche du remède. Le rythme est fluide, on alterne entre révélations et rebondissements. Le tout suit un fil conducteur qui nous apporte à la fois des réponses et de nouveaux questionnements. On reste dans un univers de fantasy simple, basique, le tout ponctué de magie, d’intrigues politiques et de soif de pouvoir.



Les sœurs sont toutes différentes les unes des autres et nous apprenons à les connaître au fil et à mesure de leur quête. Elles ont des préoccupations propres à chacune et se heurtent à différentes contraintes : leur devoir, les obligations familiales, la découverte de soi, la religion, … En ce qui concerne les autres personnages, ils sont ambitieux, fourbes, déloyaux et prêts à tout pour monter sur le trône.



En bref, j’ai énormément aimé cette lecture et espère lire le tome 2 dans les prochains mois ✨
Lien : https://www.instagram.com/p/..

joli livre bien écrit et pourtant il ne m’a pas emportée, on s’attend trop à ce qu’il va se passer ....et ca se passe ! roman à l’eau de rose, facile à lire mais qui ne me laissera aucun souvenir. J’ai préféré l’époque de la grand-mère à celle de la petite-fille, elle est plus immersive sur l’ambiance de la vie à l’époque , toutefois l’histoire est prévisible et sans intérêt sur le fait que le lieu soit la Tasmanie, cela aurait pu se passer de la même manière ailleurs.

Nous sommes à Londres, à l'époque victorienne. Peter Owling a créé un livre pour invoquer Satan en personne, dans le but d'obtenir l'immortalité. À vous aussi ça vous rappelle quelque chose ? Un petit air de déjà vu, mais poursuivons.

Bien mal lui en a pris, puisqu'en fait on ne retrouva que son cadavre, un bout de son livre épinglé sur sa poitrine par une dague enfoncée en plein coeur.

Nous revenons ensuite dans le présent, à Melbourne, où un groupe de férus de magie noire tentent de reconstituer le grimoire dont les bouts ont été dispersés à tous les coins du monde.

Mais trois étudiants en littérature victorienne peuvent éviter le pire. Accepteront-ils de s'unir pour déjouer le pacte satanique et sauver l'humanité ? Il vous faudra lire le lvire pour le savoir.

Bon, on ne passe pas un moment désagréable, mais j'ai connu bien mieux dans le genre. Je dirais sympa, sans plus. Et la partie romance, c'est définitivement trop pour moi.

Lisa Seeshan est guitariste et chanteuse dans un groupe de rock, les747. Tout va pour le mieux jusqu'à ce que sa meilleure amie disparaisse subitement et que deux groupies se fassent tuer inexplicablement. Complètement paumée, Lisa est en proie à des hallucinations plus vraies que nature. Elle veut essayer de comprendre et recourt à l'auto-hypnose. Ses séances l'amènent à découvrir qu'elle est liée à Lady Elizabeth, qui s'adonnait à la magie noire au 17e siècle.

Réincarnation ou phénomène de possession ? quelle est la nature du lien qui unit ces femmes ?

J'ai découvert l'auteure avec ce livre et passé un bon moment. La plume est fluide et Kim Wilkins dispose d'un véritable talent de narratrice. On passe d'une époque à l'autre avec aisance et sans à-coups, un véritable travail de recherche a été effectué. Si l'intrigue ne brille pas par son originalité spectaculaire, les personnages attachants, ni tout noirs ni tout blancs, et le style de l'auteure compensent cette petite lacune et on passe un agréable moment.

J'ai adoré cette histoire remplie d'émotion, de tendresse et de tristesse.

Une très belle découverte absorbée dès les premières pages. les chapitres défilent à une allure folle. Histoire très bien racontée, l'auteur nous emmène au fil de l'histoire. Ecriture au top, j en lirai d'autre de cet auteur. Je la recommande vivement.

Ce livre est arrivé tout récemment dans ma PAL mais quand j’ai vu la notation qu’il avait sur Livraddict (moyenne de 18 sur plus de 100 votes), j’ai eu envie de le lire directement. Et j’ai plongé alors dans un très beau roman qui réunit tout ce que j’aime.



Fleurs sauvages fait partie des nombreux romans où deux époques vont se mêler, créant un lien entre deux personnages. En 2009, Emma, danseuse étoile, va subir une blessure très importante mettant fin à sa carrière. Elle retourne alors en Australie où sa mère lui apprend qu’elle a hérité de la ferme de sa grand mère. A Wildflower, elle va se reconstruire et trouver des souvenirs bien mystérieux de la vie de sa grand mère.



En 1919, nous allons suivre Beattie dans son exil vers l’Australie au côté de l’homme qu’elle aime. Un homme sur lequel je ne me suis jamais fait aucune illusion et dont je savais qu’il ne serait pas le futur de Beattie. C’est donc sans surprise que j’ai suivi la chute de sa vie rêvée. Puis, cette héroïne déterminée va prendre son destin en main d’une façon qui force l’admiration. J’ai adoré suivre cette mère courageuse, déterminée et sincère. Les personnages secondaires qu’elle croise sur sa route sont soit franchement affreux soit terriblement attachants et je me suis vraiment passionnée pour le quotidien d’une ferme en Australie. En toile de fond, rien n’est si parfait dans la vie de Beattie et les choix qu’elle est amenée à faire sont si terriblement injustes qu’on en a le cœur noué.



J’aime beaucoup les romans ayant l’Australie pour toile de fond et celui-ci n’a pas fait exception à la règle. J’ai aimé me plonger une nouvelle fois dans ces vies authentiques, Kimberley Freeman évoque de nombreux sujets au cours du roman et tous sont parfaitement traités : le racisme envers les aborigènes, le handicap, la garde partagée d’un enfant, l’amour. Tout y est pour un roman offrant de belles heures de lecture.
Lien : https://liseusehyperfertile...

Le récit se déroule quatre ans après les événements du premier opus.



L'intrigue principale se révèle une fois de plus fort simple, à savoir qu'il s'agit pour Bluebell la princesse guerrière de trouver laquelle de ses sœurs détient l'épée spécialement forgée pour la tuer.



L'auteur reprend le même synopsis que dans le tome précédent, l'on suit en alternance les cinq sœurs et la petite Rowan au travers d'intrigues secondaires qui se révèlent elles aussi fort simples. Si les événements sont un peu plus présents ils n'apportent pas de réels bouleversements dans le récit.



La magie est beaucoup plus présente avec les pouvoirs de Ash qui prennent de l'ampleur. Les combats quand à eux ils se révèlent toujours inexploités, ils auraient pu donner plus de rythme au récit qui se révèle fort plat.



Au niveau des personnages, certaines des sœurs prennent un peu plus d'ampleur. Willow devient de plus en plus obsédée par l'église trymatyre. Et sa jumelle s'est beaucoup assagie.



La plume de l'auteur est toujours aussi agréable, presque fluide malgré que les actions soient peu présentes.



Au final un tome en demi-teinte tout comme le précédent.
Lien : http://imaginaire-chronique...

Pour convertir le roi D'Aelmesse à la religion trymarite et évincer ses filles du trône, la reine Gudrun achète un maléfice à une sous-magicienne de passage. Mais le charme n'a pas l'effet escompté et le roi sombre dans le coma, craignant la colère de la princesse Bluebell, elle fait avertir son fils, mais un des hommes de la princesse guerrière surprend la conversation et la lui rapporte. Bluebell se rend à la capitale bien décidée, avec l'aide de ses quatre sœurs, à trouver un remède pour son père et châtier les responsables n'étant pas du tout convaincue par le médecin de sa belle-mère qui lui affirme qu'il s'agit d'une maladie.



L'univers n'est pas très développé, quelques royaumes et villes sont citées mais l'on n'a que peu de description. De surcroît l'absence de carte ne permet pas de se faire une idée de la répartition des différents territoires et lieux énoncés dans le récit



L'auteur nous parle longtemps de sous-magie ce qui pourrait laisser à croire qu'il existe une autre magie mais il n'en est rien.



Le récit est exclusivement centré sur les cinq sœurs, on a doit à leurs ressentis, leurs états d'âme, leurs humeurs, leurs défauts,... mais on ne sait rien de ce qui se passe dans le monde à peine esquissé : pas de us et coutumes des peuples, rien de la vie à la cour d'Aelmesse,...



Certes l'histoire n'est pas inintéressante mais à l'instar de l'intrigue elle se révèle très simple comme c'est souvent le cas dans les fantasy dites intimistes. La mise en contexte est très longue, et le développement n'offre pas assez d'action, d’événements ou de retournements de situation. Les combats sont plutôt rares et quand il y en a ils ne sont traités qu'en seulement quelques mots.

Dans ce roman l'on suit essentiellement les destins croisée des cinq filles du roi, et l'a encore on a du mal à accrocher aux personnages, l'aînée est froide et agressive, la seconde est énamourée et trompe son mari avec le neveu de ce dernier, quand aux jumelles l'une ne pense qu'a séduire les hommes et l'autre ne voit que par la religion. Seule la troisième des sœurs présente un intérêt car elle se découvre des pouvoirs de sous-magicienne, et que la voit un peu désemparée.



Le point fort de ce premier tome réside dans la plume fluide et agréable de l'auteur.



Un premier tome qui ne parvient pas à convaincre le lectorat : à la fin de la lecture on a l'impression d'avoir plein de vides. En espérant que le deuxième opus soit plus riche en péripéties et que l'auteur développe son univers.


Lien : http://imaginaire-chronique...

Je ne vais pas laisser le suspence plus longtemps : je n’ai pas du tout aimé ce roman.



Je trouve ça dommage car je sais qu’il a plus à beaucoup de personnes et qu’il a même été traduit en plusieurs langues. Mais je n’ai vraiment trouvé presque aucun point positif dedans.



L’intrigue prenait trop de temps à venir. J’ai trouvé des petits détails écrits par l’auteur trop inutiles. Après je sais que je ne suis pas allée à la fin de l’histoire alors c’est peut être pour ça. seulement tout allait au ralentis et j’attendais seulement l’action. Mais au bout de 300 pages rien n’est arrivé alors j’ai décidé d’abandonner.



De plus, je ne me suis attaché à aucun personnage. Au contraire, je ne comprenais pas leurs choix et je ne les aimaient pas. Dans le sens où je n’avait aucune empathie pour eux.



La plume de l’auteur ne m’a pas plu du tout et je n’ai pas aimé me replonger dedans. Je n’avais juste aucune hâte d’aller lire ce roman.



Peut-être à cause de la plume surtout qui était assez complexe étant donné que je sortait tout juste d’un jeunesse.



BREF, Je n’ai pas passé une bonne lecture
Lien : https://lectriceadict.wordpr..

Je suis réellement triste de fermer ce roman et de quitter Emma et Beattie....

Un vrai gros coup de coeur pour moi.

Tous les ingrédients y sont réunis pour moi... les paysages et la sensation d'être dans le bush Australien, de sentir les fleurs sauvages, d'être au pied de ce gommier...

L'histoire d'amour magnifique mais interdite de Beattie et Charlie, la quête de cette femme qui prend son destin en main malgré toutes les difficultés qu'elle a dû surmonter et puis l'histoire parallèle d'Emma, cette ballerine à son apogée qui va tout perdre... ou tout gagner finalement en partant sur les traces de la vie de sa grand-mère en Tasmanie...

Je me répète mais GROS GROS COUP DE COEUR 😆😆

Ce roman a aussi été édité sous le titre "La maison de l'espoir" si jamais... Je vous le conseille fortement ;-)

Superbe portrait de deux femmes, de la même famille mais qui vivent à des époques bien différentes. L'une a connu un parcours difficile, une vie jonchée d 'obstacles qu'elle a surmontés avec beaucoup de courage et d'obstination. L'autre, plus gâtée par la vie, se montre perdue, fragile, semble laisser tomber les bras face à l'épreuve. Entre les deux, un secret, lourd, douloureux. J'ai adoré ces deux destins de femme, c'est raconté avec beaucoup de pudeur, de tolérance, c'est aussi un bel hommage à l'amour maternel, qu'on offre sans rien attendre en retour. Les lieux sont décrits avec beaucoup de tendresse et l'auteure a su parfaitement en rendre l'atmosphère palpable. Même constatation pour les personnages secondaires qui offrent une panoplie de caractères et de comportements variés . La fin , quant à elle, est entièrement en nuances et en délicatesse, elle est remplie d'un message fort , d'une vive émotion.

ENCORE UN COUP DE COEUR, je ne regrette pas!



Des les premières pages, j'ai bien accroché et j'ai eu du mal à lâcher le livre :)



Une histoire assez banale mais avec pleins d'émotions (tristesse, joie)!!

Le roman nous livre la vie de deux femmes : Beatie à partir de 1929 à Glasgow et sa petite fille Emma en 2009.

Beatie vient d'un milieu très pauvre où le père n'assume pas sa famille. A dix-huit ans, elle effectue des travaux de couture la journée et sert dans un bar le soir.

Elle nourrit de grands rêves pour sa vie future.

Cela semble mal commencer : elle rencontre Henry, un homme marié et elle tombe enceinte d'une petite fille, Lucy.

Elle part pour l'Australie où elle commence une vie de domestique mais Beatie a des dons, se montre franche, honnête et saisit les opportunités qui s'ouvrent à elle.

Elle réalisera une partie de ses rêves, souffrira, sera heureuse. Une vie pas commune quand même dans cette Tasmanie où elle a élu domicile.

En 2009, Emma, sa petite-fille est danseuse étoile et forcée d'arrêter suite à une blessure. Elle revient en Australie dans la maison que lui a légué sa grand-mère.

Emma mène une véritable enquête pour connaître la vie de Beatie. C'est là que cela devient plus intéressant car les parties du livre qui parlent d'Emma forment un lien avec le personnage de Beatie à laquelle je m'étais plus attachée qu'à sa petite-fille.

J'ai attribué 4 étoiles et pas 5 car je n'adore pas les livres où on doit quitter une héroïne à laquelle on s'attache pour entrer dans la vie d'une autre et plonger dans une autre époque.

L'auteure ne manque pas d'imagination, elle sait créer de l'action, du sentiment. Elle ne remplit pas son récit de phrases inutiles tout en créant une belle écriture, un beau style, grâce aussi à la traduction.

J'ai beaucoup aimé la fin où Emma avancera dans la recherche de sa grand-mère.



Challenge pavés 2019

Ah que j’aime les femmes fortes, comme Beattie, qui se battent, qui ne ploient pas sous les coups du sort !

C’est qu’elle en a connu, des coups du sort, cette pauvre Beattie !

Ecossaise enceinte à 18 ans des œuvres d’un homme marié (nous sommes en 1929), embarquée en Australie – plus précisément la Tasmanie, une île au sud – en compagnie de son amant, subissant l’alcoolisme de celui-ci, peinant sous la pauvreté, elle ne commence pas sa vie de façon idéale, c’est le moins qu’on puisse dire.

Mais elle ne renonce pas à l’appel de la vie, au contraire.

Une vie longue, pleine d’aléas et de joies, avec des coups très durs.





Cette vie, ou du moins la partie non dévoilée à sa famille, sa petite-fille Emma la découvrira à travers quelques lettres, quelques photos, lorsqu’elle se rendra en Tasmanie après le décès de sa grand-mère et surtout après l’immense déception de sa carrière de danseuse.

Et nous voilà en train de suivre également le parcours un peu chaotique de cette jeune femme des années 2000, un peu trop égocentrique, un peu trop froide.





La narration intercalée me permet de comparer les deux femmes, de comprendre et d’approuver surtout Beattie, d’être irritée devant Emma, de m’énerver devant cette bigoterie de bon aloi des années d’avant-guerre, et de rugir devant ce racisme ambiant (surtout, ne pas converser de façon sérieuse avec un aborigène, quelle honte ! Un Noir ! ).





Bref, beaucoup d’émotions pour moi à la lecture de cette saga où la femme a le rôle principal, et c’est ce que j’aime.

Par contre, le style assez plat m’a un peu déçue, quoiqu’il soit habituel à ce genre. J’ai trouvé notamment les descriptions de l’amour et de l’homme aimé un peu trop clichés à mon goût, un peu trop sirupeuses.



Mais ne boudons pas notre plaisir ! J’ai beaucoup aimé vivre quelques jours dans cette région du monde qui m’est inconnue, en compagnie de battantes aux prises avec leur destin.

Merci à Magali pour ce relais féminin si agréable !

Superbe histoire. On se laisse porter tout au long du livre par la dure vie de Beattie et simultanément par celle de la jeune Emma. Deux époques différentes que le destin va croiser. Je le recommande vraiment.