Citations de Léonie Bischoff (138)
Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire. Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Tu tombes amoureuse de l'esprit des gens. Je vais te perdre un ou jour ou l'autre
Je vis même doublement, triplement, car, quand j’écris et réécris, je vis encore plus intensément encore. Du journal à la fiction, de la fiction au journal, l’écriture est ce qui me permet de vivre.
Chaque homme fait émerger en moi de nouvelles émotions, de nouvelles idées. Chaque relation fait naitre une nouvelle Anaïs et un nouvel univers.
Et chaque Anaïs existe uniquement pour celui qui l'a révélée, tout en inspirant toutes les autres.
"Non."
Sans excuse, sans mensonge, sans justification.
Jamais, jusqu'à présent, je n'avais réussi à le dire à un homme.
Personne ne savait que Miss Rogers avait investi toutes ses économies dans mon affaire. C’était mieux comme ça.
- Je parie que le gamin n’arrivera pas à Denver avec la moitié de ses bêtes !
- Pari tenu !
- Quoi qu’il arrive durant cette aventure Simon, ne laisse jamais les gens se moquer de toi. Ils ne le feraient que par jalousie, parce que tu es en train de réaliser quelque chose, et qu’ils en sont incapables. Discrètement, elle m’a donné un peu d’argent à n’utiliser qu’en cas d’urgence. Elle m’a serré fort la main.
Bureau-crassie. J'espère m'enfoncer assez loin dans l'Ouest pour ne plus jamais entendre parler du gouvernement.
Si je ne me crée pas un monde par moi-même, et pour moi-même, je mourrai étouffée par celui que les autres définissent pour moi.
- Je voudrais être bonne… Je ne veux rien détruire.
- Il faut détruire pour pouvoir créer.
Les gens souffrent de la folie parce qu'ils ne savent pas quoi en faire. Les artistes s'y plongent, s'en pare comme d'un costume et y découvre d'autres vies.
- Je voudrais être bonne… Je ne veux rien détruire.
- Il fait détruire pour pouvoir créer.
- Pas si l’on ne crée que du rêve.
Quand j'ai enterré bébé Ada, j'ai su que c'était le pire moment de mes quatorze ans sur cette terre. Rien de pire ne pouvait arriver. Rien de meilleur non plus. Juste un immense gouffre
Je me sens innocente. Mes mensonges et mes costumes sont ma liberté. Si je ne me crée pas un monde par moi-même et pour moi-même, je mourrai étouffée par celui que d’autres définissent pour moi. Je n’ai plus peur des mensonges. Ma morale n’existe que lorsque je suis confrontée à la peine de quelqu’un d’autre.
Y a des gens qui ne comprennent pas que certaines choses vous appartiennent.
J’ai tout de suite vu, à la façon dont ils traitaient leurs chevaux, que ces types n’ont aucun respect pour les bêtes.
Mon Étincelle, on va faire une longue marche. Toi, moi et tes frères. On va voir le monde. Et on va devenir quelqu’un !
J'ai du inventer mon propre langage.
J'ai l'air tranquille et solide mais bien peu savent combien de femmes il y a en moi.
Je veux un embrasement complet des corps et des esprits.
Du journal à la fiction, de la fiction au journal, l'écriture est ce qui me permet de vivre.