Loup Durand

"Fascinant" me paraît être l'adjectif correspondant le mieux à ce roman.On est effectivement fasciné par le personnage principal, Saorge,qui lit dans les pensées des autres.



Cela suscite évidemment des convoitises, notamment un milliardaire passionné par ce don, à des fins malhonnêtes. C'est alors la traque haletante par des tueurs brutaux, commandés par Nick Cassetti, fou dangereux qui veut surtout la peau de Saorge pour des raisons personnelles...



François Saorge est malheureux de cette malédiction qui pèse sur lui et supporte difficilement ce don. Il le ressent comme une maladie, l'obligeant à vivre loin des hommes, dans la solitude d'un univers lui aussi fascinant: le Grand Nord canadien, règne du " grand silence".Dans ce pays blanc, il trouvera l'amour...



Ce livre mêle réalisme parfois cru et fantastique, c'est aussi un roman d'aventures et un thriller psychologique.Je l'ai trouvé original et prenant. On est Saorge, on vit ses émotions. Et l'on découvre avec lui ce silence de glace envoûtant ...

On imagine aisément le Grand Nord canadien truffé de caméras, micros directionnels, guetteurs, hélicoptères, installés par le perfide Nick Cassetti pour capturer et utiliser les pouvoirs spéciaux de Saorge.



Saorge peut en effet lire dans la pensée des animaux et des hommes à proximité (même si il en souffre et recherche la solitude du grand nord). Il est super intelligent, quasi invincible en close combat, capable de marcher des jours dans le blizzard sans gants ni capuchon, est très riche et très seul et incroyablement doué pour faire 'La chose' avec les femmes!

Mais avant, Nick lui envoie sa meilleure espionne, l'irrésistible Judith Jordaan.



Une traque à la 'James Bond' au pays des Inuits!

Malgré ses invraisemblances - il difficile d'imaginer un petit garçon aussi intelligent,, champion aux échecs et qui vit chaque situation inextricable comme un coup à jouer aux échecs, confronté de plus à un adversaire à une intelligence quasi semblable - ce livre à réussi à me tenir en haleine...

Le personnage le plus humain est sans contexte cet américain contacté par la mère du garçon, elle lui écrit qu'il s'agit du fils qu'elle a eu avec lui, et lui demande de le protéger.

Les péripéties sont nombreuses, comme les coups aux échecs.

Pas de la grande littérature mais un sens certain du suspense, j'ai dévoré rapidement ce thriller.

Dans les années 80-90 (je précise 1980-90, pour ceux qui penseraient à bien plus loin dans le passé...), Loup Durand savait écrire des thrillers rythmés (une qualité pas si commune à l’époque en France). Le seigneur des tempêtes fait partie de ce genre.



Comme dans Daddy, l’intrigue repose sur une course poursuite. Ici entre la police, des truands et un gars qui a juste oublié qui il est. On pense évidemment un peu à La mémoire dans la peau de Robert Ludlum…



J'ai lu ce livre avant de lire Daddy, ouvrage le plus connu de Durand, qui a bénéficié d'un meilleur bouche à oreille (et de plus grosses ventes...).

Loup Durand est surtout connu pour avoir été cité comme étant le « nègre » de Paul-Loup Sulitzer, ou, à tout le moins, celui qui réécrivait ses romans. Et justement Daddy est un récit qui ne manque pas de qualités d’écriture, en instaurant un rythme rapide.



Durant la seconde guerre mondiale, une course poursuite oppose un gamin surdoué à un philosophe nazi pour récupérer les codes bancaires qui mènent à un trésor. Le tout surveillé par le père putatif du gamin, un Américain.



Durand ne cherche pas la vraisemblance, s’amuse à faire des parallèles avec le jeu d’échec, mais sait tenir en haleine. Or, tout ce que propose ce roman, c’est justement de la distraction... de la pure distraction.

Prix du Quai des Orfèvres 1967, édité la même année chez Arthème Fayard, « La Porte d'Or » est un polar de 187 pages écrit par H.L. Dugall. Sous ce pseudonyme, se cache Loup Durand, écrivain et scénariste français (1933-1995), auteur d'une vingtaine de romans policiers dont les premiers ont selon toute évidence été rédigés à la manière d'un passe-temps pour leur auteur.



L'histoire est sombre. Jugez plutôt. Nathanaël Liedenski, avocat raté d'origine polonaise, échoue dans un hôtel crasseux de San Francisco, face à la Porte d'Or, avec en bout de mire l'ilôt d'Alacatraz, là où était enfermé Al Capone. Epuisé, désargenté et à bout de force, Liedenski erre en pleine nuit dans les ruelles de la ville ; titubant, il s'accroche au parapet du principal pont de la ville. L'apercevant, un passant, John Manning, le rattrape par l'épaule, certain qu'il allait se jeter à l'eau. En discutant au bar le plus proche avec Liedenski, John a la certitude de tenir celui qui pourra sauver sa cousine, Mary Weawer, des griffes de la police. Mary est en effet accusée d'avoir sauvagement assassiné Stephen Weawer, son oncle, un richissime américain qui a fait d'elle sa seule héritière. L'héritage se monte à trois millions de dollars, ce qui n'est pas rien. Comment sauver Mary ? Simple : il suffit que Liedenski invente une histoire à dormir debout, histoire qui devra convaincre le juré d'assises, histoire au terme de laquelle il apparaitra que c'est lui qui a tué l'oncle, par amour pour Mary. Liedenski ne risque théoriquement rien car, John Manning le lui a promis, il apportera au tribunal, au dernier moment, une preuve irréfutable qui disculpera Liedenski sans que pour autant Mary puisse être inquiétée. Ce sera donc un non-lieu, et Mary empochera l'héritage.



Liedenski va à la police et s'accuse : il est mis immédiatement sous les verrous. Si on le juge pour meurtre avec préméditation, c'est la peine capitale qui l'attend ! Pendant les plaidoiries, Liedenski est quasiment muet : résigné, il se laisse manipuler par Fletcher, l'avocat de l'accusation, ce qui surprend quelque peu le Juge Anderson. L'avocat a eu une enfance misérable, une adolescence privée d'affection, de toute amitié et de tout contact humain. Un seul ami a compté dans sa vie, Polly Jaslo, un jeune polonais dont le bras droit a été broyé lors d'une fausse manipulation en usine. Polly voulait devenir dessinateur : son avenir lui échappant, Polly s'est suicidé en se jetant par la fenêtre de l'hôpital où il était soigné. Solitaire, diplômé d'une école de droit de seconde catégorie, Liedenski a très tôt ressenti une incapacité à accéder à une vie normale. Rejeté de toute part, il voulait en finir avec la vie. Désoeuvré , mourant de faim et crevant de misère, Liedenski avait toutefois décidé de réaliser son rêve d'enfant : venir contempler la Porte d'Or au moment où le soleil se couche, d'où le titre du polar. Le verdict tombe : accusé ! Liedenski est condamné à mort. Revenant à lui, Liedenski réalise qu'il va mourir pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Dans cette salle d'audience noire de monde, il cherche des yeux John Manning mais ne le trouve pas. Mary, assise sur un banc, dans la salle, n'a pas bougé un seul instant pour le sauver. C'est fini, avocat minable, il ne peut plus être sauvé. Faux ! Un coup de théâtre se produit et tout est encore possible, si ...



Bon, je ne vais pas spoiler : vous n'aurez qu'à lire les dix dernières pages, le reste étant ennuyeux à mourir. Absence de suspense, personnages peu attachants, style quelconque, des redites, de la noirceur au kilomètre, de la psychologie de bas étage, des descriptions sordides et répétitives ; bref, un ouvrage qu'il vous faudra oublier au plus vite. Je mets une étoile, avec quelque indulgence.

J'avais découvert Loup Durand en lisant "Daddy "que j'avais beaucoup aimé. Aussi, il me paraissait normal de continuer à découvrir son œuvre.

Dans Le grand silence, l'auteur nous entraine dans le grand nord américain avec Saorge qui est doté d'un étrange pouvoir : il peut lire les pensées des êtres vivants..

Ce pouvoir va entrainer la convoitise de bien des personnes et Saorge va passer son temps à fuir pour y échapper et aussi pour retrouver le grand silence.

Sa fuite sera jalonnée de rencontres, certaines déterminantes pour cet homme qui vit ce pouvoir comme un handicap.

Les descriptions de cet environnement glacé sont très bien écrites ainsi que les habitudes des Inuits.

Cependant, je reconnais que j'ai moins aimé ce livre que le précèdent que j'avais lu de cet auteur. Je me suis moins attachée aux personnages, et il manquait un je ne sais quoi pour que j'adhère complètement à l'histoire.



Challenge ABC 2014/2015

Ce roman se déroule principalement en France, de 1942 à 1944.

Thomas vivait dans une maison rouge à Sanary, avec Papé et Mamé Allègre, ses soi-disant grands-parents, protégé par des Espagnols. Pour l'anniversaire de ses 11 ans il espérait la venue de sa mère qu'il n'a pas vue depuis 2 ans et qu'il appelle : "Elle". Mais ce sont des nazis qui viennent pour l'arrêter, avec Gregor Laemmle, homme aux yeux jaunes, à leur tête et Soëft, son second. Thomas réussit à s'enfuir. Cet enfant surdoué, à la mémoire prodigieuse, va s'efforcer de sommer ses poursuivants qui deviendront de plus en plus nombreux. Gregor joue au chat et à la souris avec lui, le protégeant d'autres nazis qui ne veulent que le tuer.

Je me suis attachée à cet enfant, et à Quattermain, l'Américain, aussi rusés et intelligents l'un que l'autre. Une fois commencé, ce livre est difficile à lâcher.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..

J'adore cet auteur! Il nous emmène dans des courses poursuites endiablées! Cette fois c'est un petit garçon ( très intelligent) qui fuit la Gestapo et qui a pour le protéger des gardes du corps espagnols. Autour de lui des gens qui vont l'accueillir au péril de leur vie et il va devoir affronter les conséquences de ses actes. Une histoire qui nous prend aux tripes et qu'on ne peux relâcher qu'une fois la dernière page atteinte!

Daddy de Loup Durand ( France Loisirs - 488 pages )



Si vous ne l'avez pas encore lu, alors ne passez pas à coté, je vous le recommande vivement.



Vous le commencez et impossible de le lâcher ! Beaucoup de thèmes sont développés dans ce roman qui vous pince douloureusement. Beaucoup d'émotions jusqu'au bout de la dernière page.



Thomas est un enfant surdoué que sa mère a endurci et formaté pour une mission d'adulte. Il n'a que 11 ans !



Elle, sa mère va lui faire apprendre une liste de noms et de chiffres que les nazis convoitent.



Elle va envoyer une lettre aux USA à David pour lui demander du secours car désormais la Gestapo, l'Homme aux yeux jaunes et d'autres sont à leurs poursuites.



Il a des gardes du corps et des gens vont l'héberger mais rien n'arrêtera les poursuivants.



Thomas, un as aux échecs va imaginer sa fuite comme une partie infernale contre l'homme aux yeux jaunes également très fort à ce jeu là



Vous allez trembler et avoir peur pour Thomas tout le long de ce roman diabolique.



Surtout n'allez pas chercher la petite bête en pinaillant sur certaines invraisemblances, laissez vous emporter dans cette cavale démentielle.



Une histoire que je ne suis pas prête à oublier. J'ai adoré !



Bonne lecture.



Mireine

Salut les Babelionautes

J’avais découvert Loup Durand avec son Roman Daddy et depuis je n’avais jamais trouvé le temps de continuer ma découverte de son œuvre.

Pourtant j’ai dans ma bibliothèque Le jaguar et Jaraï mais ce livre que je viens de refermer, le Grand Silence, je l’ai trouvé dans une boite a lire constitué d’une cabine téléphonique Anglaise.

La rumeur disait de lui qu’il a écrit quelques romans que Paul Loup Sulitzer a signé de son nom, je n’ai pas de certitude, sinon la ressemblance de style entre certains de ses romans avec ceux de Loup Durand.

Revenons à nos moutons ! Ou plutôt a la Faune qui hante les étendues du grand Nord Canadien, car c’est dans cet environnement que va se dérouler le Grand Silence.

Tout commence avec un Harfang des neiges, que les Inuits appellent ookpik, ce grand oiseau blanc aux yeux jaunes est très reconnaissable. Les mâles sont en général plus petits que les femelles.

Et bien sur le personnage principal du récit, Saorge, un adolescent avec un étrange pouvoir, il n’est pas télépathe mais il peut lire les pensées de tout les êtres vivants.

Vous vous dites que cela doit être fabuleux, ce n’est pas l’avis du principal intéressé, lui se voit comme un monstre.

Durant des années, il va vivre presque cloitré dans une clinique psychiatrique située sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent, dans la région des Laurentides.

Mais petit a petit il va apprivoiser ce don, qui qu’en il est en présence de beaucoup de personnes, provoque chez lui des crises qui s’apparente a de l’épilepsie.

Comme dans toute les Histoires il y a un méchant, Aloïs Brubaker, un multi milliardaire Américain qui veut s’emparer de lui pour l’étudier.

On a aussi une Femme Fatale en la personne de Judith Jordaan, elle est sans scrupule et se sert de tous les atouts, y compris son corps pour arriver à ses fins.

Aloïs Brubaker, qui c’est heurté a un refus catégorique lorsque ses avocats on fait des propositions a Saorge, va cette fois utilisé cette femme et un groupe de malfrats ayant une certaines expérience dans la violence, pour arriver a lui mettre la main dessus.

J’ai adoré les passages qui se déroulent dans le Grand Nord, même si cela m’a donné un peu froid, car imaginé des températures de moins 40° c’est difficile pour un Provençal.

La course poursuite au travers des étendues glacées, Saorge en traîneaux a chien et ses ennemis en chenillette vaut le détour, avec en prime quelques renseignements sur les Inuits.

Bref un très bon Thriller d’Aventure Fantastique qui me donne envie de relire les autres romans de Loup Durand.

Blanc.

Ce vieux livre aux pages jaunies m’a entraînée dans un univers vertigineusement blanc.

Blanches les plumes du harfang, les glaces du grand Nord Canadien ; blanc le pelage le l’ours, celui du loup arctique...

Du blanc pour du noir, car il s’agit bien d’un polar, même si les codes datés de presque trente ans ont quelque peu charbonné depuis.

Mais tabernak ! Je ne vais pas niaisé avec le puck, j’ai été totalement envoûtée par ce livre.

Un jeune homme solitaire et meurtris, Saorge, est atteint d’un mal étrange qui le met en capacité de lire en instantané les pensées de tout être vivant, homme ou animal. Condamné à un isolement farouche pour ne pas devenir fou, il vit au nord du Canada, très loin des foules bruyantes.

Ses facultés mettent en appétit un savant fou et millionnaire. Une gigantesque traque débute.

Droit devant, le Nunavut, l’île de Baffin, les terres boréales quasiment vierges, une nature aussi somptueuse qu’impitoyable.

Pour s’orienter, les milles signaux émis par le vivant ; l’incroyable acuité visuelle du harfang, la prudence innée du lièvre, l’intelligence du loup, la patience millénaire de l’ours, la mémoire des chiens et l’amitié offerte de nomades inuits.

Somptueuse ode à ces terres lointaines et mystérieuses, ce roman réussit le challenge de composer un thriller haletant autant qu’un texte d’une poésie sauvage.

Très belle lecture.



L'histoire est ces rebondissement nous emporte en dehors du temps.

L'histoire d'amour naissant entre le héros et sa belle est touchante.



L'auteur nous fait voyage de paysage en paysage, de personnalité en personnalité, et de changement en changement.



A lire.

Lu, il y a très très longtemps, ce thriller palpitant est monté de la même façon que "Le Grand silence" par Loup Durand, écrivain français du XX° siècle.

Un être surdoué (ici un enfant à l'intelligence et à la mémoire exceptionnelles chargé de retenir tous les codes secrets d'accés à une énorme somme d'argent) est protégé par des gentils(ici toute une armada de résistants) et poursuivi par des méchants cherchant à s'approprier son secret (les nazis à ses trousses).

L'enfant, Thomas, se terre avec sa mère dans le sud de la France, une course poursuite haletante s'en suivra, d'autant plus haletante que le chef de ses poursuivants est un prof de philo homosexuel complètement mégalo, surdoué lui aussi qui déplace ses pions comme dans les parties d'échecs qu'il affectionne, mais qui non comptant de s'approprier le trésor de guerre, a décidé de s'approprier Thomas!!!

Un américain intervient dans cet imbroglio. Est il le père de l'enfant?

Jolie compilation entre le roman d'aventure et le thriller. L'idée de découvrir la psychologie de Sorgue qui a ce don de lire les pensées de tout les êtres vivants qui l'entourent dans un certain rayon m'a énormément séduite.

Très vite on mesure combien ce don est surtout un handicap .

Sorgue est traqué comme un animal , sans répit .

Mais il est brillant, séduisant et inoffensif. Contrairement à bien des personnages qui l'entourent

L'auteur nous emmène ainsi , à travers cette poursuite, dans l'univers du Grand Nord Canadien , ses paysages glaciaux, blancs et lacustres.

Immensité certainement délicieuse pour les adeptes, j'y ai ressenti quelques longueurs.

Par ailleurs, la lecture nous fait approcher les peuplades inuits des ces régions arctiques et nous trace quelques notions de leurs coutumes et modes de vie.

Le grand silence a aiguisé ma curiosité, j'ai été séduite mais bien moins que je l'espérais...

Livre exceptionnel.



Pour ceux qui vont visiter le Cambodge, remarquable roman avec en arrière-plan l'évolution du pays entre 1969 et 1975.

Anthony Nicolas twin journaliste free lance a voulu faire un reportage sur les essais nucléaires

américain . mais alors qu'il

était caché dans l, ile ou

devait avoir lieu l, explosion

une crise de paludisme

va l, empêcher de rembarqué, et il va être

pris dans l, épicentre des

radiations. mais au lieu de

le tuer elle vont faire de

lui un surhomme aux

facultés sensorielles décuplés. ouïe, l, odorat,

le toucher, le goût, la vision,

il devient aussi plus rapide

et plus résistant au froid et

a la chaleur. Arnold Benedict, qui travaille pour le gouvernement américain, va l, employé

pour des missions qui serve plus ces intérêts.

et pour s, assuré de sa

coopération il hésite pas à

lui faire du chantage.

en effet Nicolas a une

fille handicapé et Arnold

lui dit qu'il mettra des

chercheurs pour trouver

un remède à sa guérison.

les éditions Lefranc édite

ses aventures en bande

dessinées, en supprimant

le coté érotiques des romans. pour en faire

une bd pour toute la famille. avec un héros

attachant, et humain, qui

va se trouver malgré lui

dans des situations où il

aura besoin de faire appels

a ses nouveaux pouvoirs

pour sans sortir.

même sans le coté érotique reste une bonne

bd d, aventure , d, action et de suspense.👍

Nous suivons en pleine seconde guerre mondiale, Thomas aux noms de famille multiples et Grégor Laemmle aux nationalités multiples, dans une partie d'échec grandeur nature, du sud de la France jusqu'en Allemagne, en passant par la Corrèze, Grenoble, Lyon, la Suisse.

Ce sont deux personnes très intelligents malgré leur différence d'âge. Thomas n'a que 11 ans et a été formé depuis son plus jeune âge à la dissimulation, à la réflexion, à l'anticipation : c'est un petit génie qui a la capacité de retenir des codes de coordonnées bancaires sur un nombre incalculable de pages. Ce n'est donc pas réellement un jeune garçon que l'on découvre mais une redoutable personne d'un point de vue stratégique même si souvent, sa jeunesse le rend très sensible ce qui m'a très souvent touchée. Laemmle, lui, est missionné pour à attraper Thomas pour lui faire dire ces codes bancaires que réclame Hitler.

Chacun avance ses pions, reines, rois, cavaliers et anticipent la réaction de l'autre pour pouvoir à son tour soit attaquer, soit se retirer.

J'ai trouvé plutôt judicieux ce jeu du chat et de la souris surtout que lorsque j'ai prête à m'ennuyer est rentré dans la partie, Quaterman. Américain, il a été contacté par la mère de Thomas en lui disant qu'il en était le père et que son fils était en danger (écris un peu comme ça, ça tombe comme un cheveux sur la soupe mais ce n'est pas vraiment le cas lorsque l'on lit le livre). Son arrivée permet de relancer le jeu à sa façon : cette personne est moins dans la réflexion mais plus dans l'action. Elles sont souvent très héroïques et cela équilibre le roman.

J'ai trouvé ce livre bien maîtrisé où se succèdent des moments d'actions coupés de moments plus calmes mais nécessaires pour l'élaboration des stratégies.

La guerre qui est le fond, la ligne directrice, n'est en fait pas très présente, ce qui est à mon avis très bien pour cette histoire, car ça ne plombe pas l'atmosphère qui est déjà tendue.


Lien : http://exulire.blogspot.fr/2..

Lu, il y a très longtemps. Ce thriller palpitant, de Loup Durand, écrivain français du XX° siècle, est monté de la même façon que "Daddy".

Un être au don exceptionnel(ici la transmission de pensée, car Soarge adulte à présent,lit toutes les pensées, qu'elles soient animales ou humaines) est protégé par des gentils (médecins qui l'ont installé dans une cabane à proximité de leur clinique, au Canada protégée de tout et de tous depuis son enfance suite au décés de sa mère) et poursuivi par un méchant mégalo voulant s'approprier son don monneyable(un scientifique milliardaire).

Loup Durand ayant beaucoup voyagé, nous sillonons en silence des paysages à la blancheur éclatante sur un attelage de chiens de traineau, survolés par un harfang qui se pose parfois sur un épicéa argenté pour surveiller les environs de son oeil aiguisé.

Un thriller écologique où l'amour pointe son nez pour quelques rebondissements captivants!

Mais il y a deux femmes, laquelle saura le comprendre et l'aimer sans intéret aucun?

Je viens alourdir encore plus la note de cette série qui ne restera pas dans les annales de la bande dessinée. Cela représente tout ce qu'il y a de plus mauvais : personnages stéréotypées, humour lourdingue, manque de rythme... Même l'autodérision caustique de cette série est indigeste. C'est dire!



S'il y a un négociant que rien ne rebute, c'est bien le maltais ! Vénalité dans toute sa splendeur qui jette l'opprobre sur le peuple de ce pays méditerranéen. Le stéréotype du commerçant maltais qui installe une diaspora à travers le monde et qui négocie à tout va sans aucune moralité. La caricature n'est pas maîtrisée à mon sens. On pourra faire l'impasse sans scrupules !