Lucie Durbiano

Une histoire qui parlera forcément aux enfants, puisque le passage du vélo avec petites roues à sans petites roues est un rite par lequel ils passent tous à un moment.

Ici il est abordé avec humour et réalité en abordant à la fois la frustration de l'entrainement, les peurs et les joies de se voir grandir.
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Neuf courtes histoires parues dans Astrapi.

C'est gentillet, mais amusant, ça fait rêver les enfants de pouvoir ainsi se transformer en super héros, avec malgré tout pas mal de difficultés à surmonter.

Des albums sympathiques pour les plus jeunes.

Une histoire toute tendre, une histoire d'amitié avec un chien. Un chien sage et qu'on peut emmener partout, à l'école, au cinéma et même dans son lit.

Magnifique et très bien illustré.

Après avoir lu les 4 romans, que j'ai adorés, je saute sur tout ce qui sort autour des 4 soeurs de Malika Ferdjoukh.

J'adore tout ce que fait cet auteur en général, et ces 4 là en particulier...!

J'ai en effet une tendresse particulière pour les soeurs Verdelaine.

C'est donc pour cette raison que je me suis précipitée à la librairie dès la sortie de l'album.

Et je ne suis pas déçue. C'est agréable de retouver Enid, Bettina, Geneviève, Hortense, et Charlie.

L'album est illustré d'histoires courtes qui rythment de façon très agréable sa lecture.

Très agréable...!!!

J'ai entendu beaucoup de bien des quatre romans de Malika Ferdjoukh, et ce depuis quelques années, mais je n'ai pas encore eu le temps de les découvrir. L'occasion de découvrir leur adaptation en BD est peut-être - encore une fois - commencer à l'envers, mais l'idée était trop belle.

Je suis tombée sous le charme de cette fratrie fragile et forte à la fois, de ces personnages si bien esquissés que leur vraisemblance bouleverse, de ce quotidien incertain et pourtant cocasse et apaisant.

L'album, divisé en quatre saisons, nous entraîne dans le quotidien de ces soeurs, quotidien pris en charge tantôt par l'une tantôt par l'autre. Le découpage est intéressant et offre une réelle dynamique à ces aventures : à chaque double-page correspond un chapitre différent de la vie de l'une d'elle.

L'ensemble résonne à la fois au singulier mais évoque un choeur antique, une sorte de propos choral. C'est très beau, très émouvant, et c'est avec regret que la dernière page est tournée. Ces quatre soeurs laissent un vide, une fois qu'on les a quittées.
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Orage et Désespoir, 2 soeurs, passent leur vacances au bord de la mer. Comme tous les ans, elles retrouvent leurs amis Pierre et Martin. Au cours d'une après-midi à la plage, la petite bande fait la rencontre d'un ténébreux inconnu. Celui-ci aurait sauvé de la noyade la jeune Orage, qui s'était approchée trop près d'une île réputée maudite : "l'île aux mortes". Qui est-il? Pourquoi tourne-t-il autant autour de Désespoir? Y'a-t-il une part de vérité dans la terrible légende qui entoure l'île aux mortes?

Une BD fantastique qu'on lit d'une traite avec de l'action, des rebondissements et du suspens et qui s'inspire beaucoup des Teen Movie! Un dessin très plaisant et plein de fraîcheur!

Ce recueil d’histoires courtes nous parle d'amour, et ce de manière malicieuse. Tout ce que dessine Lucie Durbiano confine toujours au charme et aux élans de tendresse. Elle parvient à revisiter les contes de fées avec beaucoup d'astuce esthétique et d'habilité narrative. Ses personnages défilent joyeusement ou mélancoliquement. Un leitmotiv : la fin des passions sans pathos ni lyrisme. Celle-ci s'accorde parfaitement avec l'esprit acide qui se dégage également de ce one-shot plaisant, parfois impertinent, mais sans cesse crédible (et notamment dans sa forme : le trait est délicat et discret).

A bord d'un vaisseau spatial vit un équipage fort sympathique. Il y a Arturo le bienveillant, la pilote Chlamydia, Riri, et le capitaine, original et dilettante... Et puis il y a Laurence, une jolie jeune blonde qui est triste depuis que Bougnette les a quittés... Lors d'une escale sur une planète, des êtres vont l'aborder pour lui demander de sauver, par sa mort, leur civilisation.



Laurence est une bande dessinée très étrange, un petit O.V.N.I. plein de charme, qui offre un amusant décalage entre le réalisme et l'humour des dialogues très contemporains, et la situation fictionnelle de cette embarcation spatiale. L'histoire est légère et nous fait passer un bon moment grâce aussi au graphisme soigné et agréable des planches en noir & blanc.


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Au début, j’ai un peu eu l’impression de lire le club des cinq version BD, ensuite, de retrouver tintin et l’ile noire !

A la fin, cette BD m’a bien plus, l’histoire est sympa, on se perd pas dans les personnages, et l’intrigue est bien faite tout de même !

Bon je peux être un peu peureuse parfois, mais j’ai parfois ressenti le petit frisson de « mais qu’est ce que c’est… » !!

Bref une bonne histoire bien sympa à lire !

Pour rappel, c’est un livre de jeunesse, donc une intrigue de jeunesse aussi (d’où la petite pensée vers le club des cinq !)
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Comment faire pour passer un bon moment à la piscine quand on a peur de l'eau ? Jouer aux canards bien sûr. Tome très sympa sur l'amitié et les séances à la piscine avec les maîtres nageur. Ma fille a adoré retrouvé Lulu et ses amis.

On a d'ailleurs appris à imiter les canards !

Les ouvrages présentant des biographies de femmes et d'hommes célèbres se multiplient, mais celui-ci se démarque pour plusieurs raisons que je vais vous lister, à défaut de pouvoir "résumer" ce documentaire.



Au niveau de la forme, tout d'abord, il est très riche du fait du grand nombre de personnages présentés. Plusieurs artistes se sont prêtés au jeu de l'illustration des ces biographies, ce qui est un gros atout en termes d'esthétique.



Concernant le fond, il est essentiel de souligner l'immense diversité des profils présentés. Hommes et femmes célèbres, ou héros (presque) anonymes, du passé ou du présent, on découvre avec une curiosité grandissante au fil des pages des destins et des engagements qui forcent l'admiration et nourrissent l'inspiration. La ténacité, le dévouement, l'implication sont autant de qualités qui doivent être cultivée. Et voir leur répercution dans la vie des autres, la force et l'amplitude que peuvent prendre certaines actions qui semblent "petites" au départ, est une réelle motivation et peut semer des graines prometteuse parmi la jeune génération de citoyens du monde.



Cet ouvrage est une très bonne idée de cadeau de Noël pour les enfants dès 8-10 ans, mais il plaira et intéressera à mon sens même les plus grands.
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Bof ce livre est plutôt pour les jeunes

si vous avez entre 6 ans et 8 ans ce livre pourrait vous plaire

Chouette histoire d'inspiration mythologique, malheureusement mal servie par des dessins idyllique d'accord, mais aux traits et couleurs niaises (?) et de beaucoup trop grands phylactères (texte bien grand, d'accord: merci; mais laisse trop de blanc autour.)

j'aime beaucoup leurs histoires car elles sont droles

Voici le dernier album de Lucie Durbiano, Mélo pop, paru dans la collection Bayou de Gallimard. C’est drôle, pétillant, parfois surprenant et finalement charmant. J’ai passé un bon moment de lecture en parcourant cette BD, pour plusieurs raisons.



D’abord, ce qui saute aux yeux lorsqu’on feuillette l’album, ce sont les multiples couleurs qui font ressortir les dessins, les rendant attrayants et apportant un charme fou à l’ensemble.



Ensuite, sans être extraordinaire, l’intrigue est rigolote et m’a même étonnée à plusieurs occasions. Lucie Durbiano, s’amuse avec les situations, les personnages. Elle insuffle partout de la dérision, parfois de la profondeur, tout en soupoudrant le tout de légèreté irrésistible ! (vous me suivez ?).



Voici le fil sur lequel l’auteur nous embarque : les « Funny Pills« , un groupe de musique qui végète de bars en bars, a l’opportunité de jouer sur un superbe paquebot de croisière, l’occasion de se roder et de s’offrir des vacances peu onéreuses.



Evidemment, on s’attend à trouver certains personnages : le manager Dave, plutôt mauvais, Cheree, la groupie forcément amoureuse du chanteur Mike, dragueur impénitent. Ajoutons le célèbre producteur Phil Canichor, dont la compagne est l’ex d’un des musiciens du groupe, et c’est parti pour des chassés-croisés amoureux en pagaille ! Représentés sous les traits d’animaux, les personnages croqués avec humour renforcent le côté parodique de l’histoire.



Le titre de la BD est très bien trouvé : on est dans un sacré mélo !



Au final, je me suis bien amusée à suivre les personnages dans leurs aventures, amoureuses, musicales ou humaines. Parfois, certaines situations sonnent un peu faux mais ce n’est pas grave, car comme dans la série culte « la croisière s’amuse », la dérision l’emporte sur tout le reste. J’aime bien le style de Lucie Durbiano, faussement léger en apparence, piquant et amusant. Alors laissez-vous tenter : lisez Mélo pop, l’album pétillant de Lucie Durbiano !
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Moi aussi je suce mon pouce. Alors moi j'aime bien. Et vous

J'ai bien aimé parce que ça parle d'amoureux. Et moi aussi j'ai un amoureux.

Lo est une jeune nymphe, divinité subalterne au service de la très autoritaire déesse Diane. Lo mène sa petite vie de nymphe, entre confidences à son ami le satyre Pip, soirées organisées pour les Dieux, promenades.... Un jour elle tombe amoureuse d'un berger, Daphnis, qu'elle fera tout pour rencontrer et séduire. Mais Daphnis est lui, épris de la belle Chloé. Entre le monde des demi-divinités et celui des mortels débute une intrigue amoureuse faite de déclarations, de ruses, d'envoûtements, de quiproquos, de chagrin, de deuil et d'espoir...

Enfin, on parle de Lo ChezLo ;-) !

Avec ses airs de cucul-la-pral, Lo nous fait passer un beau moment avec ses péripéties, pas toutes mythologiquement correctes. Des paysages bucoliques, des bétises, des dialogues drôles.



C'est vivant, c'est charmant, c'est irrévérencieux. Un dessin qui fait des cases enfantines, avec ce décor coloré et ces visages simples. Et parfois les répliques surprennent par leur maturité et leur ton parfois très contemporain qui contrastent avec le graphisme. Alors on sourit.

Cette bande dessinée est librement inspirée de la légende mythologique de Daphnis et Chloé. Et les dieux et déesses que l'on croise (Diane, Zeus, Bacchus, Héra...) nous ramènent dans la Grèce antique tout en nous dévoilant leurs défauts, les faisant alors tomber de leur piédestal.



Une jolie BD malicieuse et vivifiante.
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Si vous avez besoin de vous bidonner un tantinet, je vous conseille Lo, de Lucie Durbiano (Gallimard, 2010). L'auteur s'est inspirée de la pastorale de Longus, Daphnis et Chloé, et raconte l'histoire de Lo, jeune et jolie nymphe qui tombe amoureuse du berger Daphnis, lui-même amoureux de sa bergère, Chloé.



Partir de la mythologie pour une bd, c'est déjà assez rare pour être original.



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Petite déception de la semaine. Claudine à l'école, en format BD (part Lucie Durbiano) n'a pas su me toucher comme elle aurait pu. Les dessins n'y sont pas vraiment pour grand-chose, le problème vient fort probablement du texte original. Je n'avais jamais rien lu de Colette et j'ose espérer qu'il ne s'agisse pas de sa meilleure œuvre. Parce qu'entre une étrange relation prof / élève et de la méchanceté gratuite, j'avoue ne pas avoir accroché à l'univers de Colette. Ça sera pour une prochaine fois !