Après une longue attente nous retrouvons enfin Dorothy et le monde fabuleux d'Oz dans ce cycle 3. Et cet opus commence fort avec un roman totalement loufoque comme seul sait les écrire Baum.
Rythmé, surprenant, fabuleusement magique, ce troisième tome remplit son rôle et procure des moments de lecture inoubliables. On appréciera la découverte de nouveaux personnages, toujours plus attachants les uns que les autres et le retour d'anciens qui nous ont tant manqués.
Seul bémol, la couverture grise, trop simple de ce troisième cycle fait un peu tache en comparaison des deux autres, très colorées et chargées. Idem pour les illustrations trop sombres, trop tournées dans l'artistique. On en oublierait presque qu'il s'agit d'un livre à destination de la jeunesse, public qui ne se retrouvera pas dans l'atmosphère de tous ces dessins.
Un bémol qui n'en gâche pas moins le plaisir de retrouver le monde merveilleux d'Oz. On espère cette fois que la suite arrivera plus vite, cette suite ayant tardée à sortir.
Merci à Babelio et le Cherche Midi pour ce partenariat hautement apprécié ! :)
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Après diverse aventures postales, le tome 3 du cycle d'Oz s'est fait dévorer en un éclair.
Entre le temps d'attente entre la sortie des différents tomes et le mois et quelque de surveillance effrénée de boite au lettre, j'avais plus que hate de le lire.
En plus, c'est bientôt Noel, ça appelle à la légèreté et à un retour en enfance (que de toute façon je ne quitte que rarement, l'un dans l'autre).
Et encore une fois, pas de déception.
Tout le monde connait les premières aventures de Dorothy en pays d'Oz, mais peu connaissent la suite. Pourtant, plus je lis ces suites, plus je les aime, effaçant presque la (grande) qualité de ce premier épisode.
On retrouve Dorothy, et ses aventures incongrues et sa capcité d'adaptation incroyable. Qui s'apparente parfois à un brin de fatalisme, mais plein d'entrain.
Les situations sont incongrues, les dialogues cocasses et sans queue ni tête mais d'une logique implacable. Et il y a un fond de philosophie qui rend le récit plus profond pour les lecteurs adultes (ou qui sont en âge d'être adultes officiellement).
Les nouveaux personnages sont charmants (même si j'ai mis du temps à me faire à Bouton Vif, mais c'est le seul qui ne m'a pas transporté) et on retrouve avec joie les compagnons des premières aventures en pays d'Oz et la désormais souveraine du-dit pays.
Les illustrations sont à la fois très simples mais appropriées et l'effet "coup de crayon" presque pas achevé rajoute une petite note d'onirisme tout a fait en accord avec le sujet.
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Merci à Babelio et aux éditions du Cherche-Midi pour ce partenariat.
Nous connaissons tous Le magicien d’Oz, mais qui connaît la suite de ce roman ? Presque personne, pour la simple et bonne raison que les tomes suivants sont devenus des raretés, voir n’ont pas été édités en France. Heureusement, les éditions du Cherche-Midi ont eu la bonne idée de les éditer.
Le cycle 3 comporte deux romans, la route d’Oz et la cité d’Emeraude. La route d’Oz montre Dorothy et Toto sur les routes – il y est peu fait mention du Kansas, de son oncle ou de sa tante. En compagnie de l’Homme Hirsute, un vagabond qui n’a que faire de l’argent, Dorothy reprend la route pour retourner au pays d’Oz, visiter son amie la princesse Ozma qui va fêter son anniversaire. Comme dans le premier tome, elle va de rencontre en rencontre. La magie est bien présente, ces conséquences aussi : jeter un sortilège n’est pas difficile, le supprimer est plus compliqué, surtout que celui qui l’a lancé est très satisfait du résultat, au contraire de celui qui en est le bénéficiaire, ou plutôt la victime. Ce n’est pas une manière de s’élever contre la magie – tout à Oz est magique, ou presque. Plutôt une manière de montrer que chacun croit être meilleur que l’autre, et ne peut apprécier que son semblable – ou celui qu’il juge être tel. Vaste programme – et vaste sujet de conflit, pour peu qu’on n’ait pas la capacité à les aplanir, comme Ozma.
Je vous rassure : Dorothy retrouve tous ses compagnons de route dans ce livre, et fait à nouveau un bout de chemin avec eux.
Dans La cité d’Emeraude, nous retrouvons l’oncle et la tante de Dorothy, nus les retrouvons dans une situation délicate. Ils avaient déjà de grandes difficultés dans Le Magicien d’Oz, elle a encore empirée – il suffit de quelques mauvaises récoltes pour ne plus pouvoir assurer le remboursement de son prêt bancaire (il a bien fallu reconstruire la ferme après le passage du cyclone), et d’une maladie pour aggraver encore la situation. Parfois, il est bon aussi de se souvenir de la chance que nous avons, en France, de pouvoir nous soigner dans de bonnes conditions. Bref, ils sont sur le point de tout perdre – et Dorothy de demander l’aide de son amie Ozma, à nouveau.
Ozma est d’une grande sérénité, d’une grande bonté et d’une grande sagesse, et si ce qu’elle dit est tout sauf facile à appliquer, je tiens à la citer : Nul n’a le droit de détruire d’autres êtres vivants, si maléfiques soient-ils, pas plus que de les faire souffrir ou de les rendre malheureux. En effet, le pays d’Oz n’est pas peuplé que de douces créatures, nous avons déjà eu l’occasion de croiser des peuplades féroces. Pourtant, il ne semble guère y en avoir de plus déterminer à nuire au peuple d’Oz que le roi des Nomes. Son motif ? Le plus vieux du monde, la vengeance. Ses alliés? Des êtres aussi malfaisants que lui, qui détestent plus que tout au monde voir les autres heureux. Même si tout semble jouer d’avance…. la lecture de ce roman réserve bien des surprises. Je n’ai garde d’oublier les illustrations de Stéphane Levallois, très réussies.
Tous en route vers la cité d’Emeraude !
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La littérature jeunesse n'est pas vraiment mon fort. J'ai du mal à lire un livre avec le regard d'un enfant et pourtant, j'ai de grosses lacunes en matière de classiques. Mais en ce moment, je (re)découvre certaines comédies musicales, d'où mon envie de lire Le magicien d'Oz avant de voir le film.
Je me suis engagée dans cette lecture avec appréhension. Quand je lis un roman jeunesse, le spectre du Petit Prince plane au dessus de moi. Je déteste ce classique d'une niaiserie sans nom. Heureusement, j'ai pris bien plus de plaisir à lire les aventures de Dorothée et ses amis ! L'univers que construit L. Frank Baum s'impose au lecteur avec magie. On n'éprouve aucune difficulté à s'imaginer les décors tantôt féériques et tantôt terrifiants du monde d'Oz, grâce aux mots simples de l'auteur. Toutes les couleurs qui innondent ce roman donnent vraiment l'illusion que l'on se trouve "over the rainbow".
On s'attache très vite à ces personnages étonnants qui forment une joyeuse bande autour de Dorothée. J'ai adoré l'épouvantail qui rêve d'une cervelle et le bûcheron en fer blanc qui veut simplement un coeur. Bien sûr, le bien triomphe du mal et tout finit bien. Cependant, je n'ai pas trop senti la lourdeur de la morale, propre aux livres pour enfants. Les leçons à tirer de cette histoire sont pleines de bon sens et pas trop niaises : le pouvoir de l'amitié et de la solidarité, la nécessité de prendre confiance en soi...
Malgré une fin qui s'étire un peu en longueur, ce fut une lecture agréable.
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Le cherche-midi publiera à l'automne le "Cycle d'Oz" de L. fRANCK bAUME
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Je suis une admiratrice inconditionnelle du travail de Benjamin Lacombe. Son univers me remplit de joie à chaque fois que je m'évade dans ses œuvres. Alors, en attendant de me procurer son dernier livre, je me replonge dans ses éditions passées (malgré ma gigantesque PAL...). Le magicien d'Oz est un classique et c'est toujours avec grand bonheur que j'ouvre de nouveau ce recueil. Et quand il est revu par le génial Sébastien Perez accompagné du non moins génial Benjamin Lacombe, la joie est bien présente !
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Il est toujours bon de connaître ses classiques (après je m'étonne que l'on m'appelle Wikipédia - certains semblent croire que je possède la science infuse), cette fois-ci, il s'agissait du magicien d'Oz, dont je connaissais : le film de Fleming (Somewhere - over the rainbow, sky are blue...), le dessin animé, diverses adaptations télévisuelles.
Après cet étalage de référence aussi pompeuse qu'inutile, j'en viens au vif du sujet : le LIVRE. Et bien, il est véritablement excellent, je n'ai pas retiré de cette lecture un arrière-gout désagréable comme pour Alice aux pays des merveilles, j'ai obtenu ce que j'espérai, autant dans le style que dans le récit. Une forme d'innocence bienveillante existe chez tous les personnages, même les méchants prennent plus ou moins le temps de t'expliquer que ce n'est pas ta faute si il meure...
On devine qu'il y a une idéologie politique derrière tout ça (on en parle très bien sur Wikipédia) mais le lecteur n'est pas noyé dans la moralité, la lecture peut rester légère pour un enfant, sauf peut-être dans son inconscient. Par ailleurs, le découpage des chapitres permet d'avoir une succession d'aventures clairement découpée, et qui permet d'accorder des pauses durant la lecture.
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Un classique de l'imaginaire anglais, lecture très appréciable, malgré tout, un peu long à lire. Nous sommes de A à Z dans le merveilleux. Le roman se déroule selon un schéma narratif clair, nous nous accrochons aux personnages tout au long de l'histoire. Toutefois, l'élément de résolution est un peu décevant malgré tout, ce qui me fait quelque peu baisser la note de cette lecture.
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J'ai lu cette magnifique adaptation illustrée par Benjamin Lacombe.
L'objet en lui-même est magnifique. Je suis fan des illustrations de Benjamin Lacombe et c'est en partie ce qui a motivé ma lecture. J'ai pris beaucoup de plaisir à redécouvrir ce conte que j'avais totalement oublié.
Ici le point de vue est celui de l'épouvantail qui est décroché de son poteau par Dorothy. Elle est en quête du magicien d'Oz afin de rentrer chez elle et va faire le chemin en compagnie de Maïs, l'épouvantail, mais aussi de plusieurs autres personnages qu'ils vont rencontrer au cours de leur route. J'ai bien aimé le côté innocent de l'épouvantail et les illustrations accompagnaient magnifiquement le récit. C'est un joli conte qui a quand même plus de 120 ans !
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Marquée par le film de 1939, avec Judy Garland, je n'avais jamais lu le roman à l'origine du film.
C'est désormais chose faite. J'ai choisi une édition bilingue, afin de découvrir l’œuvre en VO, mais en me laissant la possibilité de passer au français, si jamais. J'ai donc jonglé entre les deux, en fonction de mon niveau de concentration. Cette édition bilingue est également entrecoupée d'illustrations de Stéphane Mourgues.
J'ai passé un moment agréable, avec les images du film en tête. Il existe évidemment des différences entre les deux œuvres. Mes souvenirs du films datent tout de même de quelques années, alors il m'est difficile de toutes les noter. Celle qui m'a le plus marqué, concerne la couleur des chaussures, prises à la sorcière de l'Est : dans le film, elles sont rouges, mais dans le roman elles sont en argent !
J'ai aussi noté quelques aventures qui n'apparaissent pas dans le film, comme la traversée d'une ville toute en porcelaine mais aussi le fait que dans la citée d'Oz, tous les citoyens portent en permanence des lunettes vertes qu'ils ne peuvent pas enlever !
Un conte qui reste bien sympathique et dans lequel j'ai pris plaisir à retrouver l'Homme de Fer, l’épouvantail et le Lion Poltron.
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Dans le contexte d'une comédie musicale à venir sur ce conte, j’ai lu ce conte qui ne m'a pas en rien surpris : un vrai conte traditionnel pour enfants. Il est doux, mignon, rempli d'aventures et de personnages fantastiques.
Mais je préfère les romans un peu plus profonds : plus de suspense, d'émotions fortes, peut-être plus de drame ou d'horreur comme dans les vieux contes pour nous marquer davantage !
Mais c'est l'adulte que je suis qui parle là, car la préface mentionne bien que c'est un conte moderne pour enfants, conçu juste pour le plaisir des enfants, sans la vieille morale et sans les cauchemars de monstres !
C'est un joli conte, mais je n'y suis pas plus attachée que cela. Je n'ai pas été émue ni vu la magie.
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Un classique incontournable de la littérature de jeunesse américaine, qui fait aussi partie de la liste officielle de l'éducation nationale.
Qui ne connait pas Dorothée, l'épouvantail, l'homme en fer blanc et le lion, ainsi que Toto? Mais seriez-vous capable de retracer leur périple exact dans le Pays d'Oz... Pas sûr...
Je l'ai lu à mes élèves de CP et chaque fois que je ressortais le roman pour leur lire la suite, leurs yeux pétillaient pour savoir ce qui allait arriver aux héros. La lecture est fluide, facile pour des enfants de 8 ans, et peut aussi être un bon moment de complicité entre parents et enfants le soir avant de se coucher.
Le Magicien d'Oz reste une valeur sûre de la littérature de jeunesse. A lire sans modération.
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Le Magicien d'Oz est un roman merveilleux écrit par Lyman Frank Baum dont la première édition remonte à 1900 : son titre original est The Wonderful Wizard of Oz. La présente édition remonte, elle, à 2003 : il s'agit d'une traduction du texte original par Marianne Costa, illustrée par Christophe Durual, parue aux éditions Hachette Jeunesse dans la collection « Classique ». Le public conseillé est d'ailleurs de huit ans minimum.
Le roman commence par nous présenter une petite fille du nom de Dorothée qui se retrouve, sous l'effet d'un mystérieux cyclone, au pays d'Oz, un pays merveilleux dans lequel les animaux parlent et les objets semblent dotés d'une âme. Heureusement, elle n'est pas seule, puisqu'elle est accompagnée par son petit chien Toto, qui la rassurera tout au long de l'aventure. Pour retourner chez elle, dans son Kansas natal, elle devra se rendre jusque la légendaire Cité d'Émeraude, là où réside le Magicien d'Oz, seul capable de la ramener chez elle. Durant son périple, elle aura l'occasion de faire la connaissance des différents habitants du pays d'Oz, comme les peuples des Munchkins, Winkies ou encore des Singes Ailés. Elle en profitera d'ailleurs pour se faire de nouveaux amis dont les noms ne doivent pas vous être inconnus : l'Épouvantail, l'Homme en Fer-Blanc et le Lion Poltron la suivront jusque la cité d'Émeraude pour demander au Magicien respectivement un cerveau, un cœur et du courage. Encore faut-il braver les nombreux dangers présents sur la route qui mène à la Cité d'Émeraude et contrer la menace de la terrible Vilaine Sorcière de l'Ouest... Nos amis parviendront-ils à obtenir d'Oz ce qu'ils désirent le plus au monde ? Et d'abord, qui est véritablement ce Magicien que personne n'a jamais eu l'occasion de voir de ses propres yeux ?
C'est au cours du chapitre 15 : "Oz le Terrible est démasqué", que l'on apprend que Oz n'est qu'un charlatan qui n'a aucun talent de magie et que la cité d'Émeraude n'est même pas verte. Si les habitants portent des lunettes, c'est parce que ces lunettes ont des verres verts : il faut leur faire croire que la ville est réellement verte et que son éclat risquerait de les aveugler. Comment nos amis vont-il alors obtenir d'Oz ce qu'ils veulent ? Le "Magicien" va pourtant donner un "cerveau" à l'Épouvantail, un "cœur" à l'Homme en Fer-Blanc et du "courage" au Lion Poltron... qui s'avèrent tous fonctionner ! Et si la véritable magie était métaphorique ?
La traduction de Marianne Costa donne à lire des phrases pas trop longues et faciles à comprendre pour les plus jeunes. De plus, la présente édition est accompagnée de nombreuses notes expliquant notamment les archaïsmes du texte : rappelons que l’œuvre a été écrite en 1900 et que la traduction essaie de restituer le plus fidèlement possible le langage de l'époque ! On retrouvera, par exemple, de nombreux « Saperlipopette ! », juron typique de cette époque, ainsi que d'autres mots qui ne sont aujourd'hui plus du tout utilisés.
Le roman se base sur une narration à la troisième personne qui présente un narrateur omniscient : le lecteur peut de ce fait se situer au plus près des pensées des personnages. Le narrateur sait tout de tous ses personnages, mais en même temps, comme il est fidèle à leurs pensées, il ne peut volontairement pas prévoir certains événements Qui aurait pu prévoir quelle était la véritable nature du Magicien d'Oz avant de parvenir au chapitre 15 du roman ?
L'ensemble de l’œuvre fonctionne comme les contes de randonnée : après tout, c'est une œuvre de randonnée puisqu'elle narre le cheminement de Dorothée et de ses amis jusque la Cité d'Émeraude. Pour rappel, un conte de randonnée répète certains éléments narratifs à au moins trois reprises pour former comme une ritournelle que les enfants auront du plaisir à compléter si, évidemment, ils se rappellent de ce qui a été précédemment raconté. Ainsi, lorsque Dorothée et ses compagnons rencontrent enfin Oz au chapitre 11 : "La fabuleuse Cité d'Émeraude", le Magicien leur demande ce qu'ils attendent de lui : chacun des quatre dialogues est introduit par : "Je suis Oz, Tout-Puissant et Terrible. Qui es-tu, et que me veux-tu ?", puis suivi par une présentation du personnage puis l'objet de leur requête. Une formule ludique qui plaira à coup sûr aux plus jeunes.
Le rythme de l’œuvre est rapide, un peu trop rapide selon moi, mais en même temps, elle est d'abord destinée à un jeune public qui aime que les actions se déroulent vite et bien, et, de préférence, simplement. Et c'est le cas dans Le Magicien d'Oz. L'ordre des actions est linéaire puisque l'on suit nos personnages sur un chemin déjà tout tracé (la route pavée d'or pour la Cité d'Émeraude), et le lecteur n'est jamais perdu puisque, même si les personnages viennent malencontreusement à quitter momentanément le chemin pré-établi, ils finiront tôt ou tard par le retrouver, et ces incartades sont à chaque fois parfaitement justifiées et réexploitées dans la suite de l’œuvre
Petite particularité de cette édition : elle est illustrée. Et je ne parle pas que de la couverture qui, pour une raison que j'ignore, n'inclut pas le Lion Poltron, alors qu'on y voit pourtant Dorothée, Toto, L'Épouvantail, l'Homme en Fer-Blanc et la route dorée qui mène à la Cité d'Émeraude... qui, pour une raison que j'ignore, ne semble pas pavée... Un autre fait qui m'a légèrement perturbée : pourquoi Dorothée ne porte-t-elle pas sa robe à carreaux bleus et blancs sur la couverture, alors qu'on voit clairement qu'elle se trouve à Oz ?
L'édition présente également deux marque-pages inclus dans la couverture, dont un illustré. Sur cet encart, un petit labyrinthe présentant Dorothée (qui n'a toujours pas sa robe à carreaux bleus et blancs) et le Magicien d'Oz : on peut d'ores et déjà avoir une petite idée de son apparence avant même d'avoir lu le roman... mais est-il réellement ainsi en vérité ?
Le roman est d'ailleurs parsemé de petites illustrations, en noir et blanc cette fois, qui correspondent à ce qui est raconté dans la page d'à-côté. Par exemple, si la page 62 décrit l'attaque de l'Épouvantail et de l'Homme en Fer-Blanc par le Lion Poltron, l'illustration de la page 63 nous présentera les deux compagnons terrassés par la terrible bête... à la différence que l'illustration reprend davantage le texte de la page suivante qui montre Dorothée en train de sermonner un Lion Poltron bien honteux de ses actes. Ce qui permet d'anticiper un peu les événements.
Le Magicien d'Oz est un classique de la littérature américaine du début du XXème siècle que tout lecteur se doit d'avoir déjà lu. Il est en effet ce que l'on pourrait appeler un incontournable qui apparaît dans de nombreuses séries comme Les Simpson sous forme de références, et qui a été adapté à de nombreuses reprises au cinéma : on pense aux versions de 1939 avec Judy Garland et de 2012 avec notamment Mila Kunis.
Pour présenter ce classique à un jeune public, une édition illustrée comme celle-ci, facile à lire et à comprendre, fera parfaitement l'affaire : les plus jeunes lecteurs pourront plus aisément suivre le chemin que suivent les personnages grâce à l'aide fournie par les illustrations et n'auront pas trop de difficultés à comprendre le sens du texte à l'aide des nombreuses notes explicatives en bas de page.
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Je crois bien que c'est mon histoire préférer car c'est plus compréhensible vu que les chapitres sont reparties en plusieurs scènes ,si on peut dire sa comme sa. J'aime beaucoup l'imagination de cette histoire vous comprendrez par la suite de cette critique.
Petit résumé: Dorohté et son chien toto se son fait emporté par un immense ouragan qui emmène Dohroté et toto au pays d'oz. Puis Dohroté fait la rencontre de pleine de personnages imaginaire qu'on ne pourra jamais rencontrer dans la vrai vie, tel qu'un épouvantail qui parle ou même un tas de ferraille qui vie etc....Qui soit l'aide dans sa quête ou soit la ralenti.
A oui!!!!! J'ai oublier de vous dire quelle est sa quête.
Sa quête est de retourner dans son bon vieux pays qui je pense lui manque beaucoup.
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Dorothy, jeune fille du Kansas, est propulsée par une tournade dans un monde magique peuplé de personnes et créatures étranges et fantastiques: animaux qui parlent, sorcières, magiciens et bien d'autres. Pour pouvoir rentrer chez elle, elle devra trouver le fameux et puissant magicien d'Oz pour lui demander son aide. J'ai vu le film il y a longtemps, il ne m'avait ni plu ni déplu, mais j'ai beaucoup aimé suivre les aventures de Dorothy et ses compagnons à travers la lecture. Un conte de fée très sympa à suivre, sans temps mort, les aventures sont nombreuses et s'enchainent. Ca reste évidement bon enfant, les enfants étant la ''cible'' principale du livre, mais même en tant qu'adulte j'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce roman.
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C'est un conte merveilleux, qui relate les aventures d'une petite fille et de son chien, transportés dans un monde magique lors d'une tornade. Ils vont croiser d'étranges personnages et traverser de mystérieuses contrées, afin de rencontrer le Grand Magicien d'Oz, qui doit leur permettre d'exaucer leurs vœux...
Je ne me souviens plus très bien de cette histoire, lue il y a huit ans mais j'ai retrouvé quelques notes prises après la lecture:
J'ai bien aimé cette petite histoire. C'était très agréable à lire. Les chapitres sont très courts et on ne s'ennuie pas un seul instant.
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