Citations de Marc Levy (4775)
...Maman m'a regardé et m'a dit : Il y a autant de mondes différents qu'il y a de vies dans l'univers ; mon monde à moi a commencé le jour où tu es né, au moment où je t'ai tenu dans mes bras. (366)
Je ne pourrais plus jamais regarder innocement le petit bandeau "Un an plus tard..." qui apparaît parfois sur les écrans du cinéma. Je n'avais jamais prêtés attention à l'émotion discrète, cachée derrière les trois petits points que seuls comprennent ceux qui savent combien l'attente peut engendrer de solitude. Qu'elles sont longues ses minutes qui se résument entre deux guillemets !
Nous voir assis ainsi réveilla d'autres souvenirs.
Le temps n'efface pas tout, certains instants restent intacts en nos mémoires, sans que l'on sache pourquoi ceux-là plus que d'autres.
Peut-être sont-ce là quelques confidences subtiles que la vie nous livre en silence. (396)
Nous n'avons pas fait l'amour ce soir-là. En apparence tout s'y prêtait, mais, certains soirs de votre vie, quelque chose s'impose de bien plus fort que le désir. La peur d'une maladresse, la peur d'être surpris dans ses sentiments, la peur du lendemain et des jours qui suivront. (190)
...le fait d'être près d'elle me rendait heureux... (301)
Il y a des baisers qui font basculer votre vie...
Ces premiers baisers vous cueillent, sans prévenir.
Parfois cela arrive au second baiser, même s'il ne vient que quinze ans après le premier. (175)
Pars avec qui tu veux, mais ne va pas t'amourracher d'un Canadien qui te garderait dans son pays. Une journée sans toi, c'est long, et je m'emmerde déjà.
je ne suis pas la buée à laquelle tu t'accroches les jours d'orages et que tu délaisses aussitôt qu'il fait beau :p
Nous cherchons à savoir d'où nous venons sans vouloir regarder ce que nous sommes aujourd'hui...
Nous sommes doués d'une intelligence extrème, d'un savoir en perpétuelle évolution et pourtant parfois si ignorants. (62)
Après avoir passé la plus grande partie de mon existence exilé dans les contrées les plus reculées du monde, à scruter l'univers à la recherche d'une lointaine étoile, j'écoutais, dans un vieux pub d'Hammersmith, la femme que j'aime converser et rire avec mon meilleur ami. Ce soir-là, je réalisai que ces deux êtres, si près de moi, avaient changé ma vie.
Chacun de nous a en lui un peu de Robinson avec un nouveau monde à découvrir et, finalement, un Vendredi à rencontrer.
On rêve d’un idéal, on le prie, on l’appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable. »
Les gens sont libres, et l’attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.
Il n’est de pire solitude que celle qu’on éprouve quand on est deux.
Le doute et le choix qui l’accompagne sont les deux forces qui font vibrer les cordes de nos émotions.
Un homme qui part ne doit jamais se retourner.
On ne peut pas tout vivre, alors l’important est de vivre l’essentiel et chacun de nous a “son essentiel
Les parents sont des montagnes que l’on passe sa vie à essayer d’escalader, en ignorant qu’un jour c’est nous qui tiendront leur rôle.
Tout le monde a peur du quotidien, comme s’il s’agissait d’une fatalité qui développe l’ennui, l’habitude...
« Personne n’est propriétaire du bonheur, on a parfois la chance d’avoir un bail, et d’en être locataire. Il faut être très régulier sur le paiement de ses loyers, on se fait exproprier très vite. »
C'est pendant qu'on calcule, qu'on analyse les pour et les contre, que la vie passe, et qu'il ne se passe rien.
Celui qui ne sait pas partager est infirme de ses émotions.