Citations de Marc Levy (4777)
Les années ne passent qu'en apparence. Les moments les plus simples sont ancrés en nous à jamais.
Si tu n'arrives plus à relativiser les choses essaie d'être un peu plus égoïste, cela fera de toi une meilleure personne.
C'est l'ignorance qui engendre la peur.
La vie a beaucoup plus d'imagination que nous.
Le manque de l'autre est un abîme.
Certaines blessures de l'enfance ne cicatrisent pas, elles se font oublier, le temps de nous laisser grandir, pour mieux resurgir plus tard.
Ça y est je viens de finir ce magnifique roman… j’ai lu, voire vu (j’y étais) ce qu’on appelle un « Road-movie » (ça ferait un vraiment un chouette film !) Tous les ingrédients y sont…amours contrariées…injustice…la jeunesse, l’activisme et ses conséquences…l’époque 1960/1970 à nos jours…le pays (l’Amérique, la ségrégation) mais les caractères des personnages, eux, sont universels…Sans parler des clins d’œil à notre époque (tout en délicatesse, et ça fait mouche !)On se reconnaît dans ce qu’on voit, lit, dit….je m’y retrouve à 100% Marc Levy brosse des portraits, narre une histoire touchante, très attachante avec toujours la même élégance, profondeur, on est beaucoup dans la noblesse des sentiments, ça me plaît beaucoup……jamais vulgaire, encore moins : ordinaire, mais surtout : jamais « trash ».J’ai offert ce livre à ma nièce, je vais me l’offrir !
Ça y est je viens de finir ce magnifique roman… j’ai lu, voire vu (j’y étais) ce qu’on appelle un « Road-movie » (ça ferait un vraiment un chouette film !) Tous les ingrédients y sont…amours contrariées…injustice…la jeunesse, l’activisme et ses conséquences…l’époque 1960/1970 à nos jours…le pays (l’Amérique, la ségrégation) mais les caractères des personnages, eux, sont universels…Sans parler des clins d’œil à notre époque (tout en délicatesse, et ça fait mouche !)On se reconnaît dans ce qu’on voit, lit, dit….je m’y retrouve à 100% Marc Levy brosse des portraits, narre une histoire touchante, très attachante avec toujours la même élégance, profondeur, on est beaucoup dans la noblesse des sentiments, ça me plaît beaucoup……jamais vulgaire, encore moins : ordinaire, mais surtout : jamais « trash ».J’ai offert ce livre à ma nièce, je vais me l’offrir !
Trop tard n'existe pas quand on a la chance que celui qui vous aime soit encore là pour vous le prouver.
- C'était au commencement. Mon frère avait le cœur d'un ange, la bouille d'un gamin. Il croyait au bien et au mal. Tu sais, j'ai compris dès le début qu'il était fichu. Avec une âme aussi pure, on ne peut pas faire la guerre. Et lui, son âme était si belle qu'elle brillait par-dessus la saleté des usines, par-dessous celle des prisons ; elle éclairait les chemins d'aube, quand tu pars au boulot avec la chaleur du lit qui te colle encore au dos.
La richesse d'un cœur attise souvent la jalousie ou le mépris de ses contemporains, poursuivit Jonathan. Certains hommes ne voient le beau que dans ce qui est mort.
Si les débuts étaient moches, les princes charmants disparaîtraient de la littérature et les comédies romantiques seraient classées au rayon films d'horreur.
Ils consultèrent le programme des divertissements.Mia opta pour une comédie romantique et Paul pour un thriller.Dix. minutes plus tard,Paul suivait le film qui défilait sur l'écran de Mia et Mia celui sur l'écran de Paul.Ils échangèrent d'abord un regard,puis leurs écouteurs, et enfinleur siège.
J’aurais voulu ne pas avoir perdu toutes ces années à croire que le bonheur était dans ce que j’accomplissais. Le bonheur est plus humble, il est dans l’autre.
Paul retrouva Mia dans le grand salon. En découvrant son teint blafard et sa mine défaite, elle reposa sa coupe de champagne, s'excusa auprès de l'invité avec lequel elle conversait et avança vers lui.
La liberté n'est pas un jeu, c'est une nécessité, il faut en avoir été privé pour comprendre ce qu'elle représente.
Sois gardienne de ta dignité autant que celle des autres. L'injustice et le mal se propagent dès que les gens de bien renoncent. La vraie laideur consiste à faire semblant, et à tolérer l'ignoble.
On ne peut pas tout vivre, alors l’important est de vivre l’essentiel et chacun de nous a "son essentiel".
- Vous croyez vraiment que l'on peut aimer toute une vie la même personne ? demanda Lauren.
- Je n'ai jamais eu peur du quotidien, l'habitude n'est pas une fatalité. On peut réinventer chaque jour le luxe et le banal, la démesure et le commun. Je crois à la passion qui se développe, à la mémoire du sentiment. Je suis désolé, tout cela est la faute de ma mère, elle m'a gavé d'idéaux amoureux, répondit Arthur.
Il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites.