J'ai bien aimé ce livre car j'aime les enquêtes et surtout celle -là .Elle parle d'un enfant qui se méfie de son frère car il se passe des choses bizarres chez lui...
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C’est horrible ce qu’ on apprend à la fin franchement c’est trop giga mega horrible.
L’enseignant de mon fils a lu ce livre à sa classe de CE2. Il a eu très peur de cette histoire. Cette erreur d’appréciation de l’âge des lecteurs est fort dommageable.
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Ce livre est plein de suspens.
Il parle d 'un enfant qui voit son frère avec les doigts rouges .
Les doigts rouges
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Mon fils de 9 ans et demi pleure et a peur à la lecture de ce livre. On y parle de massacre à la tronçonneuse ou des gens découpent d'autres gens à la tronçonneuse, on y parle d'un sac dans lequel on imagine le cadavre d'une personne qui a disparu, cette personne qui a disparue est retrouvée en dernière page du livre (désolé pour le spoiler!) : il avait volé une moto et s'est tué.
Je préfère faire lire des livres de joie de vivre, de leçons de vie, de contes, de romans sur la fraternité, d'histoire, que cette horreur pour des enfants de CM1. Je suis déjà choqué par l'instruction Française, mais qu'on fasse lire ce genre d'horreur à des enfants atteint, pour moi, et tant pis pour ceux qui diront que je suis ringard, un paroxysme de bêtise ou d'inconscience.
Je suis curieux de connaître les critiques des enfants, il me semble que ce ne sont que des adultes qui écrivent ici!
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Ce livre parle d'un grand frère qui veut peindre le vélo de son frère mais il le voit dans le garage couvert de liquide rouge croyant que c'est du sang .....
Ce livre a du suspense.
LISEZ-LE !
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Il était une fois une sœur et deux frères qui étaient à la plage en vacances, puis quelques jours plus tard, ils sont rentrés chez eux à Paris.
Le 7 septembre, c’est le jour de l’anniversaire de Ricky, et ce jour-là, il est réveillé par un bruit étrange venant de la grange. Il décide alors de se lever et de regarder par la fenêtre. Il demande ensuite à Sophie, sa sœur quel était ce bruit, et sa sœur répondit que c’était Georges, son frère qui coupait du bois a la tronçonneuse.
Ricky se demanda pourquoi son frère coupait du bois en plein été… Or, peu de temps auparavant, Ricky avait été terrorisé par le film « Massacre a la tronçonneuse » .
Il se met alors à croire que George a commis un crime, un crime horrible …
Quelle sera la réponse à cette énigme ?
J’ai surtout bien aimé bien le moment où Ricky se réveille et entend des bruits dans la grange, car c’est le moment qui m’aura fait le plus penser ou « rêver ».
Noah M.
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Ce livre ma beaucoup plus.J'ai bien aimai le mystère de cette enquête.
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Mon fils n'a pas tellement aimé ce livre à cause du dénouement. il l'a lu en classe de cm1. Lecture imposée.
Il a trouvé que ce n est pas parce qu on aime pas un personnage qu il faut le supprimer.
Il a trouvé le livre violent et n'a pas apprécié le thème à son âge.
Livre en 7 chapitres, assez rapide à lire.
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Ricky, 10 ans, passe l'été avec son grand frère et sa grande sœur. Il leur fait une totale confiance et adore passer du temps avec eux. Mais un jour, la police vient leur rendre visite, à la recherche d'un jeune qui a disparu. Ricky aperçoit son frère la nuit, les mains pleines de sang, sortir du hangar, dorénavant fermé à clé. Le doute s'installe...
Un roman policier petit format pour les lecteurs moins avancés. Le suspense est bien présent. Pour les pré-ado.
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Quand l'imagination prend le dessus, un grand frère idéal devient le criminel recherché!... Bien rythmé.
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Une histoire de meurtre et de tronçonneuse…très peu pour moi…Bien que ce ne soit que de l'ordre de la suspicion, et non fondé, ce genre de livre n'est pas adapté à mon sens à des enfants de 8-9 ans. Désolée, mais tous les enfants de cet âge là ne sont pas amateurs de ce genre d'histoires…et merci à la maîtresse pour les cauchemars qui en résultent !
Alors, classez moi dans la catégorie des mamans ringardes, j'assume, et je persiste : nos enfants ont bien davantage besoin de belles histoires, ou alors de contes, qui permettent de faire passer un message sans tomber dans le réalisme trop cru.
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Les doigts rouge
Marc Villard
C'est l'histoire d'un jeune garçon de huit ans nommé Ricky Miller qui va découvrir que Bruno Ségura a disparue.
Un policier lui apprend la nouvelle et petit à petit Ricky va commencer à soupçonner son frère Georges d'être complice de cette disparition.
En fait, toutes les apparences étaient contre son frère Georges alors qu'il était innocent.
En réalité, Bruno Ségura s'était enfui à moto en Italie.
Ce livre m'a plu car il est écrit comme une enquête policIère.
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En voilà une histoire! de quoi faire frissonner les plus jeunes.
Bien écrit pour les lecteurs en herbe. Une chute cependant un peu crue.
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C'est un très bon livre. Il y a beaucoup de moments de suspens. Au début il croyait que c'était un très gros crime mais à la fin ce n'est rien qu'un petit garçon qui voulait peindre son vélo en rouge. Je peux conclure que c'est un livre très bien écrit qui pourrait plaire à la plus part des collégiens.
Yaakoub Rejdali
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Titre : Les doigts rouges
Auteur/ Illustrateur : Marc Villard
Ca parle d'un petit garçon qui soupçonne son frère d’avoir tué un de ses ennemis à cause de plusieurs preuves contre lui . Le petit garçon mène son enquête à sa façon ...
Lis – Le si tu aimes les enquêtes et le suspense. Il est intéressant.
Recommandé Aussi : J’ai tué mon prof
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Un petit roman policier pour les enfants. Comment les apparences trompeuses font que Ricky imagine le pire.
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Retrouvé dans un improbable arrière rayon de ma bibliothèque, un exemplaire de cette collection dont jai dû un moment posséder l'intégralité. Mais comme le dit si bien Michele Mari, nous sommes des "dilapideurs". J'essaye de me remémorer la façon dont les autres opuscules ont disparus. Un déménageur peu scrupuleux ? Des emprunteurs indélicats ? La poubelle jaune ? Que sais-je encore ?
Je me plonge dans la lecture des Négatifs de la Canebière de Didier Daeninckx avec d'autant plus de plaisir.
Une lecture complète jusqu'aux indications relatives à l'impression , en Italie, chez Grafica Veneta en juillet 2012.
"Ce livre est imprimé grâce au soleil, par la première société au monde à zéro émission carbone."
On ne plaisante pas avec ces choses dans mon quotidien favori du soir.
L'histoire se lit comme on mange une truffe en chocolat de mère-grand. On retrouve tous les ingrédients au fur et à mesure de la mastication.
Un exercice de style réalisé sans difficulté et avec plaisir.
La période trouble de l'occupation dans le sud de la France. Des collabos passant leur temps à dépouiller des familles juives. Une milice qui en fait plus que la Gestapo. Des personnages sur mesure à peine plus caricaturaux que la réalité des exécutants de l'époque.
Emile Galande un critique littéraire au journal l'Emancipation, un intellectuel (?) matiné cochon d'Inde. Sa Bugatti Atlantic équipée de pneus à flancs blancs. Chloé Valmiérini, sa maîtresse, la soeur de Charles alias Rossignol pour ses talents de siffleur.
Bagaluti, le garde du corps analphabète. Bilhartz, l'Allemand aux paluches de catcheur qui joue du piano. Les frères Scoumoune, des Corses versés dans l'exploitation d'hôtels haut de gamme de la station de ski de Chamonix -putes et came à discrétion-
Accident ou un crime crapuleux ? La mort de Chloé, mobilise le commissaire Plisnar qui n'hésite pas à se mettre à dos, Rossignol chef du Groupe Action du parti Populaire Français, qui traite les suspects dans la prison privée de sa villa Conchita boulevard Carnot.
Un récit mené à la hussarde sur fond de débarquement allié, l'opération Dragoon entre Toulon et Cannes le 15 août 1944.
Malgré le nombre réduit de pages, Daeninckx nous livre une somme considérable d'informations sur la période de la fin de la guerre. Il joue à merveille des volte faces des résistants de la dernière heure, des libérations de prison par la résistance où la confusion entre droits communs et politiques est une aubaine pour certains.
Le suspect du meurtre est-il coupable ? le procés en appel se tient malgré la pression des événements.
Un retournement de situation intervient dans les dernières lignes, qui fait de ce récit court et concentré l'équivalent d'un roman qui n'aurait pas été à son terme.
Du pur Daeninckx, avec tous les ingrédients, justement salé et poivré, épicé comme il se doit pour notre plus grand bonheur.
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Une petite collection dans laquelles on retrouve des auteurs divers comme Thilliez, Loustal, Daeninckx et bien d’autres.
Ceux qui ’aiment pas les gros pavés apprécieront ces nouvelles courtes dans l’ensemble bien menées.Uu
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Marc Villard sort à nouveau du XVIIIème arrondissement et c'est pas pour faire du tourisme. Il nous emmène vers Saint-Quentin-en-Yvelines, Trappes, Guyancourt...
"Les portes de la nuit" donc. Ce coup-ci il est accompagné par Cyrille Derouineau, photographe. Le livre est un grand format, quatre nouvelles illustrées de clichés en noir et blanc sombres et granuleux, des quais de gares, des souterrains, des parkings, des endroits de passage qu'on voit sans regarder.
Quatre histoires rythmées par le hip-hop et la soul, aux accélérations brutales, à lire en pleine nuit, quand le sommeil s'est arrêté vers 2 ou 3h00 et qu'il ne reviendra plus, ou seulement quand il sera temps de se lever.
"Du côté des étangs" on enterre un cadavre en pleine nuit alors qu'on en était simplement à écrire de petits scénarios sur la mort en essayant d'arrêter de picoler. La vieille publicité "Balafre" au dos des Série Noire sauve probablement la vie de celui qui s'est trompé mais pas de celui qui se retrouve six pieds sous terre à côté de la bauge aux cochons. D'autres gagnent trois sous en chantant pour Noël dans une maison de retraite et voient la mort surgir face à eux.
La dernière nouvelle, "Tête cool" empêche de se rendormir. Tout en dialogue c'est une nouvelle foudroyante, glauque, qui fait monter une boule dans la gorge en un claquement de doigts.
À chaque texte les photos en regard apportent des éclairages abrupts.
Comme souvent quand Villard fait du noir, ce sont les femmes et les enfants qui prennent. Ces derniers sont les plus mal lotis ici, orphelins, morts, meutriers. L'enfance n'est ni heureuse ni innocente dans "Les portes de la nuit".
Dans la vraie vie ces histoires auraient pu faire une brève dans le Courrier des Yvelines, sous la plume de Marc Villard elles deviennent autre chose, des moments où la vie et la mort se croisent au gré des mots, des phrases.
C'est prefacé par Didier Daeninckx, raison de plus pour le lire.
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