AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Marie Dorléans (93)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Nous avons rendez-vous

Un magnifique album avec des illustrations d'une grande force qui nous emmène dans un voyage au cœur de la nuit pour aller découvrir avec qui nous avons rendez-vous. Nous ne le savons qu'à la fin, laissant le suspense planer. L'essentiel se concentre sur le chemin, sur les découvertes du monde nocturne, au fil des pages. Chaque double-page est comme un tableau de peinture. Les détails sont nombreux dans les illustrations. C'est une chouette promenade que l'on fait en même temps que les personnages du livre. Un très bel album !
Lien : http://capocapesdoc.over-blo..
Commenter  J’apprécie          00
Nous avons rendez-vous

« Les enfants, chuchote-t-elle, nous avons rendez-vous… » c’est ainsi qu’un frère et sa sœur sont réveillés en pleine nuit par leur maman, afin d’entamer une longue promenade qui les mènera là où on les attend…

Coup de cœur pour ce magnifique album, tout en nuances de bleu couleur de nuit. Tels les points lumineux guidant les personnages, le lecteur est pris par la main et emmené tout en douceur vers ce fameux point de rendez-vous… qui clôt cette promenade d’une éblouissante fascination !
Commenter  J’apprécie          10
Nous avons rendez-vous

Marie Dorléans aime observer le monde et le fait savoir à travers son écriture toute en poésie et délicatesse. Les illustrations en sont le reflet réaliste.

Ici, les parents de deux jeunes enfants les réveillent en pleine nuit pour se rendre à un rendez-vous inattendu. Ensemble ils vont prendre le temps d’observer ce qui les entoure, ressentir les sensations et émotions que leur procure cette drôle d’aventure. Ils ne voient plus, ils regardent. Ils n’entendent plus, ils écoutent, même le silence. Ils ne sentent plus, ils inspirent et hument les senteurs sur leur chemins. Tous les sens sont en exergue. C’est dans une balade nocturne et sensorielle que l’auteure nous emmène.

Ce rendez-vous, chacun de nous, chaque enfant y a accès quotidiennement. Il nous suffirait juste d’y prêter toute l’attention qu’il mérite pour prendre conscience de sa beauté et de sa signification dans notre vie.

L’histoire est belle et pleine de sensibilité. Elle est empreinte d’un besoin de partage dans une nature qu’on ne doit pas négliger.
Lien : https://laparenthesedeceline..
Commenter  J’apprécie          20
Nous avons rendez-vous

L'auteure et illustratrice Marie Dorléans a reçu mardi le prix Landerneau album jeunesse pour Nous avons rendez-vous (Seuil jeunesse), un livre à la fois simple et puissant sur le thème de la nuit et de la lumière.
Lien : https://culturebox.francetvi..
Commenter  J’apprécie          00
Nous avons rendez-vous

Un très bel album au format allongé qui se passe dans la nuit. Il s'en dégage une atmosphère spéciale. L'auteur décrit précisément les bruits mais aussi le silence. Elle donne aussi des détails sur les senteurs...

Les sens semblent être décuplés.

J'aime beaucoup les textes de cette auteure, à nouveau je ne suis pas déçue, j'ai vraiment adoré suivre le périple de cette famille qui a un rendez-vous.

La fin est une belle découverte!

Commenter  J’apprécie          141
Nous avons rendez-vous

Une histoire en randonnée qui sent bon les nuits étoilées d’été ! En effet cet album est une véritablement immersion et balade imaginaire dans un univers onirique de nuit bleutée. L’atmosphère nocturne de cet album est sa principale qualité et le lecteur est invité dans une balade fluide très rythmée par le récit. Il est question de quête en famille, de découverte et d’aventures dans un monde très protégé qui ne laisse aucune place aux peurs. Une belle aventure à partager à son tour.
Commenter  J’apprécie          140
Nous avons rendez-vous

Cette histoire est bien différente des albums habituellement loufoques de Marie Dorléans.



Pas de cheval dans la pièce du salon, pas d'égouttoir sur la tête d'un personnages, l'aventure semble étonnamment normale.





" Dehors les grillons chantent



dans l'ombre du jardin.



L'air sent iris et le chèvrefeuille,



c'est une belle nuit d'été..."





Sacs sur le dos, une petite famille s'évade de la maison en pleine nuit.



La vie alentour est entre deux, à moitiée éveillée, à moitié endormie.



La petite famille profite encore les yeux embués d'un voyage à la faveur de la fraîcheur, observant un rythme différent.





L'auteure ménage son histoire, à petits pas, nous attendons la chute.



Dans le silence, nous grimpons et cela pourrait nous rappeler un peu " la chasse à l'ours" d'Oxenbury, jeux de bruits extérieurs bannis.



Allons-nous tomber sur des grosses bêtes de nuit?





Marie Dorléans dédicace cet album à son père, "marcheur infatigable", ce qui rend le nouveau projet plus intime et plus terre-à-terre.



L'aventure est emplie d'une grâce et d'une simplicité toute nouvelles.



Et le sommet de l'histoire n'en sera que plus séduisant et radieux.
Commenter  J’apprécie          50
Nous avons rendez-vous

Toute la famille se réveille et part en pleine nuit à la lumière d'une lampe de poche. Un voyage riche en surprises et rencontres nocturnes. Mais avec qui ont-ils rendez-vous ?



Un magnifique album aux tons sombres mais chauds, c'est tendre, doux, avec un beau final. Ca donne envie de vivre la même expérience !


Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
Commenter  J’apprécie          10
Nous avons rendez-vous

Un texte poétique et sensoriel habillé de grandes illustrations bleues-nuit nimbées de clarté. Par cet album de jeunesse, on replonge dans ces moments simples et intemporels durant lesquels notre regard d'enfant nous laisse percevoir la magie de l'existence. La chute est magnifique.
Commenter  J’apprécie          10
Nous avons rendez-vous

Dans la solennité magnétique d’images bleutées, ouatées, gorgées de calme et de confiance, on suit sur la pointe des pieds la randonnée nocturne d’une famille ensommeillée, guidée par sa belle étoile.
Lien : https://www.telerama.fr/enfa..
Commenter  J’apprécie          10
Nous avons rendez-vous

Alors que les enfants n’ont dormi qu’une ou deux heures, Maman les réveille. Elle chuchote, vite, nous avons rendez-vous. La petite famille traverse la ville endormie encore chaude de la journée d’été écoulée, s’éloigne à travers la campagne à la lueur des lampes de poche, grimpe sur les hauteurs vers le ciel où des milliers d’étoiles se distinguent de plus en plus à mesure qu’ils avancent. Des petits temps de repos rythment leur avancée mais Papa les rappelle à l’ordre : ils ont rendez-vous ! Un album majestueux travaillé à la plume et à l’encre qui raconte une grande aventure à hauteur d’enfant (dès 3 ans). L’adulte, lui, admire l’effet saisissant de la lumière au fil des pages et se souvient de ses propres levers de soleil enchantés. Vraiment très beau !
Commenter  J’apprécie          60
Course épique

Marie Dorléans nous invite à assister à la course hippique la plus épique du siècle !



Dès le départ, trois jockeys juchés sur de curieuses montures sont disqualifiés. Les autres concurrents sont agrippés à leurs chevaux, lancés à toute allure. Un intrus débarque soudainement sur la piste et sème la pagaille parmi les cavaliers. Un rebondissement si énorme qu'il provoque une véritable inversion des rôles !



Ce bel album à l'italienne nous offre des doubles pages pleines d'action et d'humour. Les illustrations sont limpides, on pourrait tout à fait se passer du texte pour comprendre ce qui se trame. Je me demande d'ailleurs si ce n'était pas à la base un album sans texte. Ceci dit, j'aime beaucoup ces commentaires sportifs qui viennent rythmer la course.



Bien contente d'avoir découvert ce court album désacralisant complètement les courses hippiques !
Commenter  J’apprécie          30
Course épique

Une course hippique... épique. Et j'ai d'emblée dû exlpiquer ce savoureux jeu de mots à mes loulous.



Le format est ad hoc, très allongé pour que l'on puisse bien suivre la course et les chevaux qui s'étirent sur la piste (mais pas idéal pour le tenir et tourner les pages). Il s'en passe des choses dans une course. Et quand le jockey doit porter son cheval pour passer la ligne d'arrivée, il reçoit des carottes pendant que son cheval reçoit une médaille. Normal, non?
Commenter  J’apprécie          30
Course épique

Un album qui évolue dans un monde un peu rigide à première vue (les courses hippiques, les illustrations aux traits droits). Mais en fait il est drôle, vraiment. Les décalages entre la rigidité et l'absurdité de certains détails, de faits de courses, entre le texte très "commentateur sportif" et les scènes comme extraites d'un dessin animé font mouche.

Il faut souligner aussi le choix du format, tout en longueur, parfait pour une course de chevaux !
Commenter  J’apprécie          70
Odile ?

Odile est une petite fille bien difficile à contenter. Elle promène son ennui un peu partout. Un jour, ses parents l'emmènent au musée et Odile se retrouve à l'intérieur du crocodile.

Dans le musée, c'est la panique, mais dans le crocodile, Odile se sent bien et elle décide d'y rester...



On retrouve le trait particulier de Marie Dorléans que j'avais découvert dans C'est chic avec des personnages colorés et un décor en noir et blanc. Comme dans l'album précédent, il y a un décalage amusant entre des illustrations ancrées dans la réalité et une histoire qui tourne vite à l'absurde.

Odile opère une retraite qui dure tout de même un peu dans le crocodile. Faut-il voir dans cette enfants bougon qui se met en retrait une représentation du passage à l'adolescence, une petite déprime ou autre chose ? Je ne suis pas très sûre. En tous cas, avec son séjour dans le crocodile, Odile évolue, elle en sort plus gaie, elle a retrouvé sa capacité de s'étonner.

J'ai pensé à plein d'autres albums en lisant celui-ci sans réellement savoir si les références étaient là ou si j'extrapolais mais :

Cette petite fille que rien n'étonne et qui finit par se faire croquer évoque pour moi le petit garçon de Bon et alors.

Cette visite au musée avec des enfants qui s'ennuient, rentrent en grognant, ressortent en souriant m'a rappelé Le jeu des formes d'Anthony Browne

L'idée d'être avalé par un animal et d'en ressortir entier et encore plus la chute qui fait qu'à peine la question réglée, elle se pose à nouveau avec encore plus d'ampleur m'a fait penser à Aboie, Georges ! de Jules Feiffer. (là, je suis presque sûre que la référence est là, ne serait-ce que par ce que le vétérinaire arrive et enfile me semble-t-il un long gant de latex)

Que les références soient présentes ou pas, Odile n'est pas une redite. C'est un album intrigant mais plein d'humour et la chute m'a vraiment amusée.
Lien : http://bloguiblogas.blogspot..
Commenter  J’apprécie          10
Vide-grenier

"Alors? Qu'est ce que tu as trouvé pour le vide-grenier?



- Plein de choses."



Pleins de choses à donner, s'entendait l'une, pleins de souvenirs à redécouvrir et surtout à garder, pour l'autre.







La main un peu forcée, un adulte se voit obligé de ranger leur grenier par le vide MAIS c'est sans compter avec le pouvoir du souvenir, des bons, sans compter sur le parfum puissant de l'enfance, la belle.







Et ainsi, le personnage s'offre à sa surprise un moment récréatif où chaque objet et jouet va revivre et bouder la poussière le temps d'un moment.



La canne à pêche, c'était quand? C'était la grosse prise du poisson-chat!



Mais il y a aussi le trampoline, l'arc et ses flèches, la luge, la petite voiture jaune qui fit de lui le champion de la vitesse du quartier...



Tellement de souvenirs.







Marie Dorléans fait réapparaître l'enfant que le personnage fut et le duo, dans la même posture mais pas la même mesure, pour le zeste d'humour, donne l'impression de partager un temps père et fils.



C'est drôle et touchant.



Et c'est surtout le bazar.



Tellement de passion dans ces retrouvailles individu/objets que ça chamboule tout, roule et boule sur le passage.



Que va t-on alors offrir pour le vide-grenier alors?



Oui, il est difficile de se séparer des éléments qui emprisonnent une partie de notre belle mémoire.



La chute fera sourire.



Davide Cali offre une histoire qui parlera à petits et grands.



Commenter  J’apprécie          20
On dirait que...

"On dirait que..".



Cette petite phrase d'enfant pour introduire le départ des jeux d'imagination entre copains et copines, cette aventure de création très active qui mêle le geste à la parole en s'amusant.







Marie Dorléans s'en inspire pour reprendre à son compte un jeu identique d'imagination.



Et donc, avec le concours des jeunes lecteurs, elle se lance dans une démonstration de transformations, d'éléments ordinaires du quotidien.



Mais attention, il y a double-jeu.



Un jeu en cache un autre et l'auteure nous bluffe par son fil rouge invisible et étonnant que l'observation du lecteur aura su peut-être saisir.







Certe, un collier de maman devient un rail de train. En effet, le chapeau de papa devient montagne et c'est formidable.



Mais à bien y regarder, l'auteure ne tombe pas dans la facilité du catalogue d'éléments, il y a ici des liens d'image à image et ça devient doublement sympathique.







Marie Doréans ne laisse pas la sagacité du lecteur au point mort à faire seule tout l'ouvrage de se faire plaisir en décryptant.



Le personnage du papa au noeud "papillon" est le même dont la montagne devient couvre-chef quelques pages suivants. Les images pourraient se coller l'une au-dessus de l'autre.



Cette même montagne arrive en écho et décore le fond de fenêtre de la maison, en beau tableau.



Un paysage de montagne, quelle beau tableau!, pourrait-on soupirer.







"On dirait que " le ruisseau de la montagne s'écoule comme un beau ruban bleu, ruban qui nous rappelle celui du coffre à jouets en forme de maison quelques pages suivantes.







Nous réalisons finalement que nous sommes à l'identique, dans une même maison probablement dont font partis tous ces éléments cités et transformés par le truchement de la fantaisie de son petit locataire qui passe à table et observe, rêve...



Tant d'objets de valeur ou si communs qui auront un rôle dans la superproduction qu'il nous offre en toute simplicité.



L'auteure n'en a pas fini avec son goût pour le pouvoir de l'imagination et le goût de l'enfance et on s'en réjouit.
Commenter  J’apprécie          60
La tête ailleurs

Les jeunes amateurs d'imaginaire jetant et levant fraîchement l'encre, nouveaux marins de mers de beaux textes poétiques, doivent probablement encore ignorer celui de la grande chanson de Alain Bashung que leurs parents ont probablement déja navigué, "la nuit, je mens".





"La nuit je mens



Je prends des trains à travers la plaine

La nuit je mens

Je m'en lave les mains

J'ai dans les bottes des montagnes de questions...".







L'album de Marie Dorléans trempe dans ce mensonge, si commun, à tous et si peu honteux, l'imaginaire. Nous nous faisons complice donc de ce jeune personnage rêveur, ce petit garçon qui s'évade de ses chaussures pour voler vers d'autres azurs que ceux du siège de son école.



La directrice se plaint de ses absences répétées à ses parents inquiets.



Et lui, de plaider coupable et d'avouer que bon gré malgré son forfait le porte avec des ailes d'oiseau couleur de soleil, loin au dessus des chevaux libres pourpres qui galopent sauvagement, à s'égarer dans des courses contre les poissons, à percer entre les nuages...



Le talent d'illustratrice de Marie Dorléans, tendant dans l'humour décalé mais aussi dans un charme très décoratif, nous transporte. Si il faut garder les pieds sur tête, elle ne rend pas service, c'est certain. C'est très captivant.







Les grisailles du réel du personnage, élégantes en chevrons et à carreaux, prennent alors des couleurs et de frais rouges, bleus et jaunes éclairent aussitôt les images qu'il nous fait partager.



C'est très agréable.



Toutefois, le petit garçon s'évade le jour au lieu du temps accordé durant son sommeil et pour une école, c'est un problème.







Le vent souffle et nous emporte avec le tête en l'air qui se sauve à la moindre occasion et en tous lieux, dès que le temps le permet, dès que la fenêtre s'ouvre.



Comment guérir de ce "mal" qui le rend sourd à l'appel de ses pauvres parents?



Les lectures de l'auteure dépasse l'ennui et nous pouvons aller plus loin dans le diagnostique de ces douces évasions pathologiques.



La fin nous enchante et Marie Dorléans pousse loin le "problème" de cet excédent d'imaginaire qui finalement à sa solution.



Une belle solution très contagieuse.



Ah ben bravo.



Nous comprenons le propos et le message que l'auteure-illustratrice décide d'y planter et c'est un véritable hommage aux histoires racontées, à la Lecture et l'écriture.



Très très chouette.
Commenter  J’apprécie          10
Course épique

Avec son format à l'italienne, cet album malicieux s'amuse à détourner la course hippique en proposant des situations aussi improbables que drôles.



Que cela soit à cause de destriers inadaptés (cheval à bascule, statue…) ou de mauvaises postures (sur une chaise, à l'envers…), les coureurs et leurs montures apparaissent comme des personnages loufoques au fur et à mesure que passent les pages. La chevauchée sauvage s'emballe dans une course aussi épique que le titre le laisse supposer. On n'est donc à peine surpris de cette fin franchement drôle où le cheval finit la course sur le dos de l'humain et reçoit sa médaille, une façon détournée de se moquer gentiment de ces sports animaliers...



Du côté des illustrations, les chevaux font des bonds gigantesques, presque le grand écart, avec des expressions aussi différentes que celles de leurs cavaliers. Le trait de Marie Dorléans, précis et élégant, donne vraiment toute sa saveur à l’histoire. (Et, allez savoir pourquoi, il m’a rappelé la course de chevaux dans le film Mary Poppins).



Un album singulier qui devrait plaire aux jeunes lecteurs.
Lien : http://boumabib.fr/2017/10/2..
Commenter  J’apprécie          10
Course épique

Des chevaux qui font la course. C'est drôle. Des cavaliers qui, dans la course, n'ont pas l'air de faire la course. Des chevaux sur les dents qui donnent tout! Tout-à-coup, un arrêt, un changement de situation et une fin à la douce revanche des chevaux! Adorable!



Intéressant pour les enfants pour questionner leur compréhension et leur observation des illustrations. De belles découvertes à faire!
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Marie Dorléans (295)Voir plus

Quiz Voir plus

L'Avare de Molière

Comment s'appelle l'avare ?

Cléante
Mr Jourdain
Harpagon
Mr Scapin

11 questions
214 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}