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Citations de Marion Zimmer Bradley (525)


Je croyais que le mal c'était simplement la faiblesse de prendre la voie de moindre résistance...
Grand dieux non ! Suivre la voie de moindre résistance, c'est être simplement faible, craintif, égoïste... en un mot, humain, imparfait. Si être faible était un crime, nous serions toutes devant nos juges.
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Si la stupidité était un crime, la moitié de la population serait pendue à tous les carrefours.
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Ni ses parents ni les ordinateurs avec lesquels elle travaillait n'avaient jamais considéré « je ne sais pas » comme une réponse acceptable.
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Y a-t-il une loi stipulant qu'une planète inexplorée est nécessairement dangereuse ? Peut-être est-ce seulement parce que nous sommes si tributaires de la vie dénuée de tous risques que nous menons sur Terre que nous redoutons de faire le moindre pas hors du confort et de la sécurité de notre technologie.
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-Et que faites-vous du surpeuplement ? De la diminution des ressources alimentaires naturelles ?
Le rire de Frobisher résonna avec force dans l'obscurité :
-Même les barbares n'espéraient sûrement pas trouver des denrées comestibles sur Mars ou sur Venus ! Les voyages interstellaires auraient peut-être résolu ce problème, mais à un coût prohibitif. Non, du jour où l'être humain a décidé de ne plus gaspiller les ressources naturelles dans de vaste projets abstraits, ou de ne plus les disperser aux quatre coins de l'espace, tout ça s'est résolu aisément .
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(…) un règlement par la violence ne fait que provoquer d'autres violences pour la contrer. Et rien n'est jamais réglé définitivement jusqu'à ce que ce soit bien réglé.
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La vraie philosophie, c'est de faire aux autres ce qu'on voudrait qu'on nous fasse à nous-mêmes.
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Des chats. Traquant des souris. Et les souris, c'est nous. Il faut changer de route. Éviter ce piège. Mais non. Les hommes-chats ne manqueraient pas de les poursuivre, et si une autre embuscade les attendait, ils seraient faits comme des rats.
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Où irait-on si les scientifiques ne posaient pas les questions que personne n'ose formuler ?
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Personne ne peut avoir l'esprit plus mal tourné qu'un homme vertueux, si ce n'est une femme vertueuse.
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La réalité ne cessait de rogner les ailes de ses rêves.
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Montez attentivement la garde autour du camp, dit-elle. Certains des habitants de cette ville ont peut-être une petite idée à eux sur la façon dont des Amazones Libres aimeraient passer leur nuit. Et je doute que nous partagions leur point de vue.
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Oui, je le dis, le monde a changé. Il n'y a pas si longtemps encore, un voyageur, s'il en avait le désir et connaissait quelque peu les secrets, pouvait guider sa barge dans la Mer d'Été et accoster non pas sur le rivage de Glastonbury, l'île chrétienne des Moines, mais sur celui plus lointain de l'Ile Sacrée d'Avalon. En ce temps-là, en effet, les routes conduisant d'un monde à l'autre se croisaient dans les brumes et pouvaient s'entrouvrir au gré des pensées et des désirs de chacun. Oui, en ce temps-là, existait un grand secret, accessible à tous les hommes doués de connaissance, qui savaient que le monde, chaque jour renouvelé, ne peut se bâtir et survivre que spirituellement.
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Etant donné votre expérience, Bard mac Fianna, je crois que c'est une chose que vous aurez à apprendre très vite – à faire le mieux que vous pouvez, quand vous pouvez, en vivant avec les fautes que vous ne pouvez manquer de commettre. Sinon, vous serez comme l'âne qui est mort de faim entre deux balles de foin, essayant de décider laquelle il mangerait la première.
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La science s'est toujours tellement préoccupée des ensembles - la Nation, la Race, l'Humanité-Dans-Son-Ensemble - qu'elle a imposé des fardeaux terrifiants aux individus. Au bénéfice du monstre Humanité-Dans-Son-Ensemble, on a même livré des guerres qui ont fait disparaitre a une vitesse effrayante les individus qui constituaient justement cette humanité.
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En voulant conjurer le sort, les hommes ont bien souvent tendance à le favoriser. Les Dieux lancent un avertissement, mais n'indiquent nullement la manière d'éviter la malédiction.
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La guerre ne s'arrêtait-elle donc pas quand la paix revenait sur le pays ? Il pouvait tuer un ennemis ordinaire, ou conduire contre lui des soldats, mais contre les plus grands ennemis - la faim, la maladie, le climat, les infirmités - il était impuissant.
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Plus la rumeur était forte, plus elle était répandue avec délectation, moins sa véracité était probable. Mais quand une histoire était répétée avec répugnance, et qu'on jetait un regard par-dessus son épaule pour s'assurer qu'aucune oreille indiscrète n'écoutait...
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Chaque fois que j'entends quelqu'un dire qu'il est des choses plus importantes que la vie ou la mort, je me demande quelle est la vie qu'il est prêt à risquer. Et j'ai découvert que c'est rarement la sienne !
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A partir de ce jour je renonce à toute allégeance à une famille, un clan, une maison, un tuteur ou un suzerain. Je ne prête serment d'allégeance qu'aux lois du pays, comme tout citoyen libre se doit de le faire ; au royaume, à la couronne et aux Dieux.

Je ne ferai appel à aucun homme, comme j'en ai le droit, afin d'obtenir sa protection, son appui ou son aide ; mais je ne devrai fidélité et obéissance qu'à ma marraine du serment, à mes sœurs de la Guilde et à mon employeur, pendant la durée de ma mission.
Je jure, en outre, que les membres de la Guilde des Amazones Libres seront pour moi, chacune, comme ma mère, ma sœur et ma fille, nées du même sang que moi, et qu'aucune femme liée à la Guilde par le Serment, ne fera en vain appel à moi.
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Fille de Ygerne et de Gorlois, Duc de Cornouailles, je suis l'enseignement des prêtresses de l'Ile Sacrée d'Avalon pour succéder à ma tante Viviane, la Dame du Lac, je suis (la Fée):

Morgause
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