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Critiques de Mary Elizabeth Braddon (115)
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Aurora Floyd

Aurora Floyd est la fille choyée d'un richissime banquier Archibald Martin Floyd . Elle est orpheline de mère dès sa naissance, sa mère était une ancienne actrice. Lucy Floyd, la cousine d'Aurora est son amie et sa confidente. Elle est tout l'opposé d'Aurora, elle est une femme docile, une bonne épouse. Aurora est une femme mystérieuse au tempérament de feu. Elle a une passion pour le cheval. Cette passion entraîne une violente dispute qui l'oppose à son père lorsqu'elle revient d'une longue promenade à cheval avec son palefrenier. Aurora est envoyée à Paris dans un pensionnat pour faire ses études. Elle a détesté ce pensionnat des demoiselle Lespard, durant son séjour à Paris elle a fait la connaissance de Constance Trevyllian, la cousine de Talbot. Quand Aurora revient en Angleterre chez son père elle a une liaison avec Talbot Bultrode. Voilà, Aurora possède un secret en elle qu'elle ne désire pas révéler. Ce dernier découvre la passion d'Aurora pour les courses de chevaux et de chiens. Cette passion n'est pas de son goût. Donc il se sépare mais il épouse sa cousine Lucy. John Mellish sera l'heureux élu d'Aurora, lui n'a rien à faire de son secret . Mais ... tout n'est pas simple un rebondissement arrive ... et là !

Aurora est une personnage énigmatique, pas très sympathique. En tant que lectrice, je ne me suis pas du tout attachée à ce personnage, je l'ai trouvé plutôt assez antipathique. J'ai apprécié comment Mary Elisabeth Braddon s'adresse à son lecteur, j'ai trouvé ce ton original. Sans grand enthousiasme j'ai retrouvé la même ambiance que pour le Secret de Lady Audley. Malgré tout ce roman reste très envoûtant, il fait penser à un parfum entêtant.
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Sur les traces du serpent

Attention, ce livre n'est ni un policier, ni un thriller. Le lecteur sait peu ou prou dés le départ qui est qui, qui fait quoi. Tout l'art de la romancière tient dans la manière dont les évènements s'envchaînent par une foule de petits détails qui, de prime abord semblent anodins ; dont les destins se lient les uns avec les autres.

En deux mots : excellente construction ! Le petit plus, un humour teinté d'ironie sous-jacente qui rend, malgré la turpitude de l'histoire, la lecture de ce roman fort agréable.


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Aurora Floyd

Mon deuxième Mary Elizabeth Braddon. Je l'ai trouvé mieux que Le secret de Lady Audley même si c'est la même thématique : les femmes victoriennes ont toute une double vie, c'est moi qui vous le dit ! À lire, la quatrième de couverture je pensais qu'Aurora Floyd avait eu un enfant caché avec le palefrenier. Mais ce n'est pas ça du tout parce qu'en y réfléchissant un enfant caché peut être élevé sans connaître sa mère. Donc nous voilà bien embarassé parce que le fameux mystère d'Aurora Floyd ne va pas l'empêcher d'avoir un premier soupirant : Talbot Bulstrode qui trouve Aurora bien trop agitée pour lui pour l'Anglais calme et placide qu'il est (elle aime les chevaux, les courses de chevaux et les chiens à la manière d'un homme, elle a le physique d'une déesse égyptienne avec des yeux noirs à tomber par terre). Alors quand elle lui dit qu'elle a un secret qu'elle ne pourra jamais lui révéler, il fait taire son amour irrépréssible pour elle et le dirige vite fait bien fait sur la cousine Lucy, blonde aux yeux bleus et qui aime les trucs de femmes victoriennes. Là arrive un deuxième soupirant pour Aurora : John Mellish, trente deux ans qui voue lui aussi un amour irrépréssible à Aurora et se fiche comme de l'an 40 du secret : il lui fait entièrement confiance et c'est tout.



Mais cela ne pouvait pas se terminer aussi bien parce que pour le coup on ne savait toujours pas quel était le secret ! Donc Aurora et John vont vivre dans la maison du dernier et seront rattrappés par le secret : il y aura même meurtre à la page 330 (et 200 pages de résolution derrière).



C'est plein de rebondissements et vous tournez les pages bêtement parce que comme il est dit Mary Elizabeth sait vous raconter une histoire mieux que personne. Derrière cette toile de fond que l'on pourrait penser légère, c'est le portrait de deux femmes : une femme victorienne de son époque, bien dans les convenances et tout et tout, et d'une deuxième trop moderne pour son temps que son entourage ne peut s'empêcher d'admirer et de réprouver à la fois. C'est aussi le portrait de deux manières d'aimer : être raisonnable et avoir une vie tranquille ou bien aimer de manière inconditionnelle et toujours (ou presque) faire confiance à l'être aimé. Pour l'époque où il a été écrit je trouve que le récit est vraiment très moderne.
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Sur les traces du serpent

A Slopperton, petite ville crasseuse, où la grisaille règne sans partage 9 mois de l'année, Jabez North est un jeune homme respecté, et l'enfant de la ville. Sauvé des eaux de la Sloshy (évidemment boueuses), élevé dans l'orphelinat municipal, il est professeur dans l'école de la ville. Cependant, Mr North est loin d'être un homme bon. Très intelligent, il ne cessera de vouloir s'élever, s'enrichir, par tous les moyens. Beaucoup d'honnêtes gens feront les frais de son ambition démesurée, au premier rang desquels Richard Marwood, alias Dick le Hardi, natif de Slopperton lui aussi, accusé à tort du meurtre de son richissime oncle, et interné dans un asile. Mais sur sa route Jabez North trouvera un policier de rien, muet, mais à l'intelligence aiguisée et qui, s'étant pris d'amitié pour Richard, n'aura de cesse de le faire arrêter.

Voilà une histoire somme toute assez banale, roman semi-policier, tableau de l'Angleterre victorienne, rien de bien original au premier abord. Et pourtant... la suite sur mon blog
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Sur les traces du serpent

Sur le thème un peu équivalent du Comte de Monte Cristo, un roman policier dans l'Angleterre victorienne avec moultes rebondissements jusqu'à la moitié du livre. Ensuite, il est facile de comprendre qui est qui dans tous ces personnages qui changent d'identités, l'intérêt du livre résidant alors dans la façon que le détective prouvera l'innocence de celui condamné à tort pour meurtre; un peu à la manière d'un inspecteur Colombo!

Un effet de style de ce roman réside aussi dans l'interpellation régulière de l'auteur à son lecteur sur le déroulé de l'histoire ou sur les moeurs de l'époque.

Un livre sympathique à lire donc!
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La bonne Lady Ducayne

Mary Elizabeth Braddon est une écrivaine anglaise du XIXe siècle très prolifique puisqu’elle a écrit plus de 80 romans et plus encore de nouvelles. Considérée comme l’Agatha Christie de l’ère victorienne (même si je ne suis pas totalement d’accord avec cette appellation), elle place au centre de ses livres un mystère qui va influer sur toute la trame, comme dans son célèbre roman, Le Secret de Lady Audley.



Elle a également écrit une poignée de nouvelles fantastiques dont La bonne Lady Ducayne. Ce très court texte exploite le thème du vampirisme et peut s’apparenter à un Dracula symbolique. En effet, c’est l’histoire d’une jeune femme dans le besoin qui se fait engager par une riche vieille dame pour devenir sa demoiselle de compagnie. Néanmoins, au fur et à mesure des jours, notre héroïne dépérit, elle semble profondément anémiée. Les marques de « moustiques » sur ses bras sont-ils la cause de ce mal être ou s’agit-il de la vieille femme qui lui pompe toute son énergie ?



Cette nouvelle, à l’écriture délicieuse, est un texte délicat, un peu trop court mais qui n’en reste pas moins savoureux.
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Le secret de Lady Audley

Ce roman du 18e siècle nous plonge dans un mystère digne d'Agatha Christie.

Georges Talboys revient d'Australie où il a fait fortune pour retrouver sa femme laissée 3 ans plus tôt en Angleterre. A son arrivée, il apprend dans le journal que sa femme est morte seulement une semaine avant... Il est inconsolable. Robert Audley, un ami retrouvé par hasard, va l'épauler dans son deuil. Seulement un jour, Georges Talboys disparait ! Lady Audley, la nouvelle femme de l'oncle de Robert, parfaite en apparence cache un lourd secret....



J'ai mis un peu de temps à le lire et à rentrer dans l'histoire. Ce n'était peut-être pas la bonne période pour le lire... J'ai toutefois aimé cette lecture même si ce n'était pas un coup de coeur. J'ai regretté quelques longueurs dans les descriptions des sentiments de Robert Audley. Cependant à chaque chapitre on ne peut s'empêcher d'entamer le prochain afin de découvrir ce secret si bien garder.
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Henry Dunbar

Une histoire de banquier très en retrait et en manque de fond



Nul doute que l’œuvre littéraire de Mary Elizabeth Braddon, pourtant riche de plus de quatre-vingt romans, n'évoquera pas grand chose au lecteur contemporain.



Elle est présentée comme l'Agatha Christie de l'époque victorienne, et on verra que nous en sommes loin. L'éditeur tente également un rapprochement avec Wilkie Collins et là encore, le fossé est conséquent.



"Henri Dunbar" est pourtant une honnête intrigue, mais malheureusement datée et enserrée dans un récit souvent pesant.



L'histoire repose sur l'assassinat par Henri Dunbar, riche banquier longtemps exilé aux Indes suite à une erreur de jeunesse et de retour à Londres, d'un de ses anciens complices.

Mais beaucoup de monde doute de l'innocence du banquier millionnaire et va enquêter sur cette affaire.

Bien entendu, époque oblige, le roman est également jonché d'amours purs et passionnés et se termine par un mariage.



Sans doute appréciable à sa sortie en 1864, l'énigme proposée est aujourd'hui rapidement éventée pour quiconque a déjà lu quelques romans policiers dans sa vie. Et comme l' "astuce" extrêmement prévisible intervient très tôt (vers la 90ème page d'un récit qui en compte près de 480 !), le livre finit par ennuyer rapidement et on se surprend à survoler des passages et tourner rapidement les pages.



Il faut dire que, outre l'absence rapide de suspense (on est loin d'Agatha Christie qui elle, ne s'amusait jamais à livrer les clefs facilement), le style est tout de même assez empesé (et là, nous sommes à des années-lumière du talent d'un Wilkie Collins) et peu avare de platitudes sermonneuses ("l'homme est faible, et la beauté va droit à l’œil des gens frivoles, tandis que le mérite ne peut être apprécié que par les sages", ou encore l'intégralité de la page 192 et son évocation shakespearienne ampoulée...).

Braddon arrive même à introduire une piste plutôt habile (l'existence d'un unique portrait d'Henri Dunbar jeune) qu'on s'attend à voir utilisée...Mais, non. Décidément, quand ça ne veut pas...



Les personnages et la description de la société victorienne rattrapent parfois l'intérêt des romans de cette époque. Mais M.E. Braddon n'est pas Dickens non plus et les descriptions se révèlent assez neutres et le regard porté, bien peu aiguisé.



Une curiosité quand même.

Page 203, il est écrit : "il faut qu'il soit moralement un Blondin...".

Un Blondin ?!

Comme je suppose que Braddon n'évoque pas de manière prémonitoire Antoine Blondin -qui plus est, en parangon de moralité l'Antoine...- je m'interroge. A qui fait-elle donc allusion ?

La sœur Marie-Anne Blondin (1809-1890) aurait pu correspondre, mais l'article "un" élimine cette hypothèse.

On peut raisonnablement écarter également l'interpellation de Clint Eastwood par Tuco ("Hé, Blondin !") dans "Le Bon, la Brute et le Truand", pour des raisons que chacun est à même de comprendre.



Ce mystère à lui seul, justifie une étoile supplémentaire pour un roman qui n'en demandait pas tant.



NB. une coquille p 232 : "mes amis de l'Inde...le monde les a maltraitéEs"
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Le secret de Lady Audley

Énorme coup de cœur pour ce roman qui m'a fait découvrir le style gothique / victorien.

L'intrigue, le dénouement, le suspens et l'écriture sont formidables.

Qu'il s'en passe des choses ! Que ce livre est captivant...

C'est une bonne brique mais qui se dévore et que l on a du mal à reposer.

Très certainement l'un de mes livres préférés.

J'ai vraiment adoré et n'hésiterai pas à l offrir pour les fêtes !
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Le baiser de glace et autres nouvelles

J'ai dévoré rapidement ce court recueil de trois nouvelles :



Dans la première, Le baiser de glace, un jeune orphelin, élevé par son oncle, tombe amoureux de sa cousine Gertrude. Les deux jeunes gens se déclarent leur amour et jurent de s'aimer jusqu'à la fin de leur vie et au-delà. Mais le jeune homme part en voyage en Italie et oublie sa fiancée, que son père cherche à marier. Son cousin ne répondant pas à ses lettres la jeune fille met fin à ses jours la veille du mariage. Pour honorer sa promesse, elle le poursuit partout où il va....



Le Mystère de Fernwood, voit une jeune fille être invitée dans le manoir de son fiancé. Il est plutôt mal entretenu et semble cacher un lourd secret. Qui est ce mystérieux membre de la famille qui ne quitte jamais sa chambre ? Et depuis quand est-il là ?



La vengeance de Samuel Lowgood nous raconte l'histoire de deux employés de bureau. L'un est pauvre et orphelin. Entré très jeune dans la société, il a grimpé tous les échelons avant de parvenir à ce poste. Le second, quant à lui, est arrivé par connaissance et passe ses journées à paresser pendant que son collègue travaille pour deux. Lorsque le "pistonné" commet un faux, l'autre s'arrange pour le récupérer et le garde précieusement en vue d'une future vengeance.



Même si l'on retrouve dans ces trois récits pas mal d'éléments récurrents dans les romans de l'époque - le malade de la famille qu'on cache au reste du monde, (Jane Eyre), les cousins élevés ensemble qui tombent amoureux (Frankenstein), l'épouse décédée qui revient hanter son mari, les parvenus qui volent allègrement le cœur ou la place de ceux qui le méritent bien plus, la vengeance qu'on garde pour le moment propice - j'ai apprécié la plume de Mary Elizabeth Braddon. Les histoires sont racontées rapidement, sans trop s'embarrasser d'intrigues superflues. A la manière de l'époque la morale est le plus souvent sauve et les personnages punis de leur déloyauté.

Le but de ces nouvelles n'est pas de dénoncer la société de l'époque et ses abus, mais davantage de raconter des histoires édifiantes et de présenter des portraits de personnages à la psychologie torturée.

J'ai beaucoup aimé cette lecture.


Lien : http://dviolante5.canalblog...
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Le secret de Lady Audley

Sans atteindre la qualité des Wilkie Collins, ce roman marche sur ses traces. Roman de moeurs, thriller gothique, fresque victorienne, portrait féminin, ce livre a de belles qualités et fait partie de ce que j'appellerai les purs romans. Très plaisant.
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Aurora Floyd

Cette une « sensation novel » - à l’origine du thriller - que nous livre la prolifique romancière victorienne. Un roman moins réussi, moins palpitant que le fameux « Secret de Lady Audley », mais qui plongera le lecteur dans l’atmosphère tendue d’un secret jamais révélé. Celui d’Aurora Floyd, une jeune et riche héritière à la beauté altière et au comportement (trop) libre. On appréciera ces personnages fragiles et attachants, dont la destinée amoureuse n’est jamais celle, stéréotypée, qu’on pourrait craindre. Ainsi que cette atmosphère à la Jane Austen. Et l’habileté de l’auteure à dépeindre les caractères (voir le portrait de la fielleuse Mme Powell), et son humour. On sera touché par la petite référence à la peintre Rosa Bonheur, dont Aurora copie un tableau, tel un révélateur de son amour des animaux (chien, chevaux). On suivra avec intérêt le destin contrarié de l’héroïne jusqu’au dénouement final, vers lequel l’auteure nous mène habilement. Mais on regrettera que ce roman soit trop long et qu’il se perde, par moments, en digressions qui plombent la lecture. Ces mêmes défauts que l’on peut reprocher à celui qui influença M.-E . Braddon : Wilkie Collins. Pour ces raisons, on peut préférer le beaucoup moins ambitieux, mais à la trame plus serrée, « Chêne de Blatchmardean ». Enfin, quelle faute de goût de la part des éditions Joëlle Losfeld (Arcanes) de nous représenter cette héroïne victorienne en portrait au sein nu ! « Aurora Floyd » est un thriller victorien, pas un roman érotique.
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Le mystère de Fernwood - La vengeance de Samu..

Par l’auteure du fameux « Secret de Lady Audley ». Isabel, accompagnée de sa tante, rejoint son amoureux en son château familial. D’étranges événements finissent par troubler la jeune femme… Une nouvelle bien calibrée, du début à la fin, de facture gothique, qui se déguste avec plaisir, celui d’avoir peur… mollement allongé entre des oreillers protecteurs ! Nous ne sommes pas loin de l’atmosphère de « Jane Eyre ».
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Le secret de la ferme-grise

Martin, jeune homme bon, jovial et vigoureux, propriétaire d’un domaine, triste demeure entourée de terres détrempées par la rivière proche, meurt après une maladie « de langueur ». Le jeune homme disparu prématurément laisse Dudley, son jeune frère, dans un état de mélancolie profond et permanent et Agnès, la jeune femme à qui il était promis, désespérée. Dudley n’a alors d’autre choix que de devenir à son tour le maître de la Ferme-Grise ; il réussit contre toute attente à améliorer la production du domaine grâce aux conseils avisés et à l’habileté de son intendant Ralph, jeune homme constamment à ses côtés et dont l’omniprésence finit par interroger… Comme dans nombre de romans de l’époque victorienne, le thème de la folie (supposée) des femmes et le discrédit qu’elle entraîne est une arme sans appel pour des hommes intéressés et sans scrupules. La plume élégante de l'auteure nous entraîne dans une histoire mystérieuse, à la lisière du gothique, sur laquelle plane une atmosphère plombée. Elle nous mène sans relâche jusqu’au dénouement final. Un « page-turner » victorien qu’on lit avec le plaisir de l’enfant qu’on fut, plongé sous les couvertures, un conte entre les mains.
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Sur les traces du serpent

Un roman absolument délicieux, extrêmement bien ficelé, drôle et délicatement parsemé d'une irrésistible ironie! Olala! "Sur les traces du serpent" représente ma première rencontre avec Mme Braddon:

Elle m'a si bien séduite que j'ai décidé de la revoir. (En route pour "Le secret de Lady Audley")
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