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Critiques de Maurice Maeterlinck (132)
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Petite trilogie de la mort

Du même auteur, encore une pièce moyenne et qui ne m'a pas tellement intéressé. Mais un peu plus intéressant quand même que Pelléas et Mélisande. Trois petites histoires plutôt angoissantes mais il se passait pas non plus grand-chose donc ça reste ennuyeux.
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Pelléas et Mélisande

Une pièce assez moyenne dans l'ensemble. J'avoue ne pas avoir été transporté tant par l'écriture que par l'histoire. J'étais un peu en dehors. Le sort des amants m'importait peu. Mais je ne peux pas nier que les symboles et nombreuses métaphores sont très intéressantes. Cependant, j'étais extérieur à l'intrigue, aux personnages et à ce qui leur arrivait. Une lecture ennuyante.
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Pelléas et Mélisande

C'est une histoire d'amour et de jalousie entre trois personnes : Mélisande, Golaud et Pelléas. Avec le temps, Mélisande et Pelléas tombent amoureux, mais tout n'est que non-dits : ils ne s'avoueront leur amour qu'à la fin. Cet amour n'est que très virginal, à l'aune du caractère candide des deux jeunes gens. Dans cette pièce, l'amour s'avoue « à voix basse ». Golaud tente de la récupérer
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Intérieur

Dans Intérieur, le malheur va entrer dans une maison où un père, une mère et leurs deux filles vivent la tranquillité d'une soirée.

Cette famille ne sait pas que leur autre fille, partie le matin pour aller visiter son aïeule, a été retrouvée morte, dans l'eau.

Un étranger de passage l'a vue et avec un vieillard connaissant la famille ils s'approchent de la maison pour annoncer cette nouvelle.

La famille est sans mots, Maeterlinck n'en donne qu'à l'étranger ainsi qu'au vieillard.

On devine une lenteur des mouvements, on ressent la douceur du phrasé ainsi que l'union entre l'être, l'espace et le temps.

La mort et la vie s’unissent dans un même mouvement, vers un même apaisement.

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L'intelligence des fleurs

Botanique littéraire
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Pelléas et Mélisande

Le drame du silence. Gracieux et merveilleux.
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La sagesse et la destinée

Arnaud Desjardins
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Théâtre inédit : L'Abbé Setubal - Les trois justi..

L'abbé Sétubal.

L'abbesse du couvent de Fontmagne, mourante, s'accuse en confession du meurtre de l'abbé Maciel pour lequel un innocent, le pharmacien Sobral, va être exécuté. Pas de motif, aucune explication.

L'abbé Sétubal se rend à la prison et confirme au condamné que celui-ci est victime d'une erreur judiciaire, qu'il a entendu le vrai coupable en confession. L'abbé est tenu par le secret inviolable de la confession mais promet à Sobral qu'il aura la vie sauve.

Entre-temps l'abbesse est décédée et Sétubal vient informer l' évêque qu'il va se déclarer coupable pour sauver Sobral. Interdiction formelle de l'évêque : ce geste, quoique louable, serait un crime puisqu'il équivaudrait à un suicide, interdit par l'Eglise.

L'abbé Sétubal passe outre l'interdiction...

L' humour est souvent présent dans cette pièce au sujet pourtant hautement philosophique. Première représentation en 1941.
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Oeuvres II : Théâtre I

La Princesse Maleine (1890)

L'intruse (1891)

Les aveugles (1891)
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Oeuvres : Les aveugles - L'intruse - Quinze..

La situation des Aveugles diffère considérablement des deux premiers drames de Maeterlinck. Dans La Princesse Maleine, l'événement du crime intervient comme moteur d'une certaine dynamique. Le cas de L'Intruse consiste quant à lui plus en une « approche » silencieuse de la mort qui vient frapper la famille. Ici, cette mort n'est plus le résultat d'un crime ni même celui d'une angoisse pressante, dans la mesure où elle a déjà frappé. Le vieux prêtre, « enveloppé d'un large manteau noir (…) le buste et la tête légèrement renversés et mortellement immobiles » gît parmi eux comme le reliquat du dernier guide des hommes aveuglément perdus. Dès lors, la pièce se résumerait donc à une simple attente, mais à une attente d'un genre qui reste notoire : la connaissance glisse de la scène au lecteur/spectateur. La Princesse Maleine laissait le crime connu par le public ainsi que par leurs auteurs. L'Intruse faisait quant à elle, planer une certaine incertitude aussi bien du côté des personnages que du côté du public. La pièce des Aveugles place le lecteur/spectateur en position de celui qui sait, de celui qui voit dès le lever de rideau la condition des personnages. Ces mêmes personnages se retrouvent donc en position certes d'ignorance, mais d'une ignorance qui fait office, au regard du spectateur, d'une certaine attente.



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La Princesse Maleine

Je n'ai pas du tout apprécier. Même si la lecture est assez facile, l'histoire ne m'a pas vraiment plu.
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Le Réveil de l'âme - Théâtre Tomes 1 & 2 - La Vie..

Critique de Claude Schopp pour le Magazine Littéraire



Jean-Pierre Galvan, éditeur chez Honoré Champion, vient de publier le premier volume de la Correspondance générale, d'Eugène Sue qui s'étend de 1825 à 1840. Eugène Sue est le nom d'un des grands fleuves romanesques du XIXe siècle que, dans leur aveuglement, les tenanciers successifs de la boutique littéraire, tout dévoués au réalisme, ont voulu méconnaître ou traiter par le mépris, alors qu'ils ont irrigué le vaste domaine du roman d'aventure, dont la France et l'Europe se sont nourris pendant un siècle.



Toutefois, ces méprisés ont parfois le bonheur de rencontrer des champions qui combattent en leur honneur. Le premier à entrer en lice pour soutenir la cause d'Eugène Sue, jadis, a été Jean-Louis Bory qui, bien documenté, s'était livré à une étourdissante reconstitution des années 1825-1857 au centre de laquelle il faisait évoluer, avec justesse et finesse, le «dandy mais socialiste» (1973). Aujourd'hui, en 2010, c'est au tour d'un autre champion de briser des lances pour l'écrivain, Jean-Pierre Galvan, aussi modeste que le premier était flamboyant ; après avoir publié Les Mystères de Paris. Eugène Sue et ses lecteurs, deux volumes contenant l'intégralité des lettres adressées à l'écrivain par ses lecteurs lors de la publication en feuilleton du roman dans le Journal des Débats (L'Harmattan, 1992), il livre aujourd'hui le premier volume de sa Correspondance générale de l'écrivain, qui couvre une période de quinze ans (1825-1840), allant de l'entrée du fils de l'illustre docteur Sue dans l'armée puis la marine, comme chirurgien aide major, jusqu'à ses premiers grands succès comme feuilletoniste et comme dramaturge. Cette somme révèle des aspects ignorés de Bory (le goût de Sue pour la composition de vaudevilles en collaboration avec Pittaud De Forges, son activité journalistique dans les petites feuilles de la Restauration, ses rapports avec les éditeurs) et en approfondit d'autres, particulièrement son intronisation comme inventeur du roman maritime (Kernock, La Salamandre) et d'historien de la marine (Histoire de la marine française, depuis le XVe siècle jusqu'à nos jours).



Le Valmont d'occasion, dandy cynique, héritier fortuné, membre du jockey-Club, friand de comtesses et de duchesses, amateur de chevaux, de chasses et de femmes, courtisanes ou grandes dames, avec qui il couche (Olympe Pélissier ou Mme Ch. Laffitte, enfin démasquée) ou minaude (Sophie O'Donnel ou Marie d'Agoult) se caractérise, au temps de la jeunesse qui s'enfuit dans l'ennui, par une noire mélancolie.



L'établissement du texte paraît irréprochable, l'annotation admirable. Il y a de la sainteté dans cette quête infinie des autographes, dans les bibliothèques publiques ou les fonds privés, à travers le monde ; dans ce désir jamais entièrement satisfait, de donner un destinataire ou une date aux lettres qui en sont dépourvues, de résoudre les énigmes qu'elles ne cessent de poser. Chaque résolution est une petite victoire sur de l'inconnu que Galvan nous fait le plaisir de partager. Cette correspondance fait date : complétée par un précieux index des destinataires, elle s'ouvre très largement sur tout le paysage littéraire et politique du premier dix-neuvième siècle et est appelée à devenir l'un des instruments majeurs à l'usage de ceux qui étudieront cette période.
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