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Critiques de Maurice Tillieux (191)
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Gil Jourdan, tome 15 : Sur la piste d'un 33..

Sur la superbe couverture de « Sur la piste d’un 33 tours » Gil Jourdan bondit d’un ponton à cheval sur une grosse moto BMW, l’air décidé. Mais où va-t-il attérir ?

Et nous, nous replongeons dans les années 70 avec les 33 tours et ces droles de petites cabines où on pouvait les écouter avant de les acheter. Car tout, vous l’aurez compris, va tourner autour d’un mystérieux disque.

Et là, c’est du pur bonheur de retrouver les poursuites, les carambolages, les méchants stupides et des tas de voitures que l’on a bien connues à commencer par la nouvelle R17 TS jaune de Jourdan, la R16 bleue de Crouton. Un vrai salon de l’auto 1973 !

Un seul bémol, les horribles jeux de mots de Libellule que l'on se passerait bien, eux, de retrouver.

Pas un chef d'oeuvre mais un album bien sympathique.
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Gil Jourdan, tome 13 : Carats en vrac

L'argument de « Carats en vrac » est assez mince mais suffisant pour assurer les 46 pages de poursuites de cet album.

Il ne faut donc pas chercher beaucoup plus que quelques bonnes images de voitures des années 70 : Fiat Dino coupé de Jourdan, Renault 8 Gordini des truands…

Le passage de relais d'un Tillieux trop occupé à Gos pour le dessin s'est fait de manière insensible mais on sent du côté du scénariste que l'album n'a pas du spécialement le passionner non plus.
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Gil Jourdan - Intégrale, tome 1

J'ai été attirée par l'élégance un peu désuete de la couverture de cet album, premier tome d'une série 4 regroupant l'intégralité de la série Gil Jourdan. Je découvre donc ce personnage de détective privé, ses acolytes Libellule, Crouton et Queue de cerise, et leur créateur Maurice Tillieux. Une introduction rédigée par Jean-Louis Bocquet, agrémentée d'illustrations d'archives, permet de comprendre les sources et le contexte de la vocation de Tillieux et de son personnage.



Le tome 1 regroupe 4 albums publiés entre 1956 et 1958. C'est donc une plongée dans un monde de l'après-guerre, avec des Dauphines rutilantes, des trains à vapeur et des dialogues "à la Audiard" selon la formule consacrée.

J'ai été totalement emballée par cette série qui m'a souvent fait pouffer de rire tant les dialogues sont rythmés. Niveau action, on est plus proche de Blake et Mortimer que de Tintin, les cases sont déroulées comme sous un œil cinématographique. Tillieux excelle à rendre graphiquement les péripéties des scènes d'aventures. Ça bastonne, ça crashe, ça brûle, c'est jouissif.



Gil Jourdan est un héros auquel on s'attache, il fait parfois des erreurs et son ambition le rend humain. Quant aux gags liés à ses acolytes, ils sont addictifs. Crouton, le flic gaffeur, est quand même plus efficace que les Dupondt et Libellule, cambrioleur de talent rangé grâce à son jeune patron, apporte sa gouaille et sa rondeur. Le personnage féminin de la secrétaire Queue de cerise est un peu en retrait mais participe néanmoins à certaines intrigues, et apporte une contribution décisive. Elle a au moins le mérite d'exister et de ne pas être caricaturée.



Bref j'ai adoré cette bande dessinée et j'ai bien regretté de ne pas l'avoir connue quand j'étais enfant. Les décors, paysages dessinés par Maurice Tillieux m'ont spécialement impressionnée. Qu'il s'agisse de vieux quartiers populeux, d'un cimetière de bateaux, d'un gué sur lequel la marée arrive au galop, le lecteur est plongé dans un monde qui n'a rien d'enfantin, sans pittoresque. Jean-Louis Bocquet compare dans son introduction l'art de Tillieux à rendre un ambiance à celui de Simenon. Je partage ce ressenti.

Hâte de lire la suite des aventures de ce fringant Gilbert !
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Gil Jourdan, tome 15 : Sur la piste d'un 33..

Une très longue poursuite, émaillée de quiproquos, d'accidents  de la route, de chocs et autres échanges de baffes ; pour retrouver un faux disque de tubes de l'été.

L'intrigue avec nos 4 comparses (dont Queue de Cerise) et 3 gangsters bêtes et méchants, est assez tenue, mais ce n'est pas l'essentiel.

On est dans les années 70, avec des Renault 16, 17... des 304.... on sent le plaisir de dessiner des voitures !!

On retrouve aussi l'humour potache de cette bande dessinée, dont Libellule est le principal porteur.

Nostalgie !!

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Jess Long, tome 7 : La mort jaune

Plus de Maurice Tillieux au scénario, pour ce septième album, puisqu’il était malheureusement décédé.



Piroton assure donc les dessins et le scénario. Autant je me souvenais des autres histoires, autant ici, je n’avais aucuns souvenirs de lecture.



Dans cet album, une seule aventure et non deux ou trois, comme habituellement. Les personnages sont toujours fidèles à eux-mêmes : Jess Long reste impassible, même lorsqu’une jeune fille l’embrasse sur la bouche et Slim Sullivan ronchonne une fois de plus.



Il y a du soleil, il n’enquête pas dans le froid, mais il râle parce qu’on les a envoyé dans un ranch texan, un peu paumé, qu’il y a des vaches partout et des chevaux aussi.



Des morts suspectes ont eu lieu et nos deux enquêteurs sont chargés de faire la lumière sur tout cela.



Les histoires courtes semblent aller mieux à Jess Long que les plus longues. Non pas que cette aventure manque de piquant, de suspense ou d’action, juste qu’elle se traîne un peu, qu’ils semblent avancer dans le noir avant que la lumière ne se fasse assez rapidement et qu’on nous balance les explications vite fait, bien fait, dans le final.



Tout s’explique, cela s’explique même bien, mais le final donne l'impression d'être précipité, avec le vol du cheval au ranch même (qu’on se demande bien pourquoi ils ont pris autant de risques, les voleurs, bande de crétins, va!).



Les ingrédients nécessaires à un bon mystère sont réunis : vols de bétail, de chevaux, morts suspectes, police qui piétine, voleurs qui se volatilisent, tentatives d’assassinat sur la personne de Jess Long…



Dommage qu’ils aient été cuisinés de cette manière. Cela donne un album avec de l’action, un album qui va dans tous les sens, puis stagne un peu avant de se précipiter pour la clôture.



Pas le meilleur album de Jess Long, l’absence de Tillieux y est peut-être pour quelque chose…



Malgré tout, je n’ai pas passé un mauvais moment de lecture puisque ce fut de la détente, les doigts de pieds en éventail, sans me casser la tête.



De temps en temps, ça fait du bien aussi.

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Gil Jourdan, tome 3 : La Voiture immergée

Après avoir lu ou relu quelques épisodes de Ric Hochet (Tibet & Duchateau) ou de Sammy (Berck & Cauvin), je me replonge dans les Gil Jourdan que j’ai toujours appréciés, et le constat est sévère pour les deux autres séries précitées : Gil Jourdan, c’est d’un niveau bien au dessus.

C’est une série policière qui paraissait dans le journal Spirou dans les années 60 et 70. On retrouve le style classique de l’École de Marcinelle, Maurice Tillieux en est un des piliers aux côtés de Franquin, Roba, Peyo...

Il y a tous les ingrédients d’une bonne série policière : quelques bonnes idées originales pour rendre ce scénario haletant, comme la passe découverte à marée basse pour se rendre sur une île, digne de l’Île Noire de Tintin, et d’autres idées plus classiques : un trafic d’antiquités et un héritage sont au coeur d’ l’intrigue. On se retrouve dans de vieux bistrots “formica” des années 60 avec au passage une publicité pour Martini dans une publication jeunesse ! Beaucoup d’humour, servi par le personnage de Libellule, apporte une ambiance de polar à la Michel Audiard. Certaines répliques sont franchement bien trouvées, calembours et sarcasmes, dans toutes les pages, et assez peu de burlesque, quand à la lourdeur, l’auteur la laisse à la seule responsabilité de son personnage de Libellule et semble même parfois s'en désolidariser. C’est pour moi, un des meilleurs épisode de la série.

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Gil Jourdan, tome 12 : Pâtée explosive

C'est le premier Gil jourdan qui me déçoit vraiment, il est constitué de 4 histoires courtes, trop courtes pour être suffisamment développées, plutôt anecdotiques, le personnage de Gil Jourdan lui-même semble passer comme un courant d'air. Tillieux semble fatigué dans cet album, le coup de main d'un collaborateur se fait attendre, il surviendra dans les album suivants avec la présence de Gos sur "Carats en Vrac", "Gil Jourdan et les Fantômes"...
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Tif et Tondu, Tome 18 : Le Roc maudit

18e épisode de la série Tif et Tondu et 3ème avec Tillieux au scénario. Pour ce qui est du dessin, on est dans du très classique, dans la ligne du journal Spirou des années 70. Au niveau du scénario, la patte "Tillieux" est très marquée, c'est un épisode dans l'esprit "Gil Jourdan" avec une énigme, un mystère sur un phare, deux affaires qui se recoupent et nos deux héros qui à force de perspicacité, finiront par découvrir le pourquoi du comment. L'histoire est intéressante, bien menée, bien rythmée et la lecture est plaisante. Cependant, l'énigme prend nettement le pas sur les personnages qui du coup manquent un peu d'étoffe, de caractère, Tif (celui qui a la boule à zéro est presque secondaire, du moins dans cet épisode.

Je n'avais pas lu de leurs aventures depuis très longtemps, elles sont toujours aussi sympathiques et je me suis fait un petit trip de nostalgie.
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Tout Gil Jourdan, tome 1 : Premières Aventures

Cette première intégrale reprenait les aventures du célèbre détective Privé, mais sans ordre chronologique.

Une bonne initiative, tout de même, à l'époque de la part des éditions Dupuis.
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Gil Jourdan, tome 14 : Gil Jourdan et les f..

A vrai dire et à bien y regarder, avec le dessin de Gos, Gil Jourdan semble avoir changé, il s’est élargi, il a grandi quand à Crouton et Libellule, ils ont suivi la même tendance.

Détails qui n’enlèvent rien à la qualité de cette histoire de doubles qui à des inspirations à la Jacobs pour son côté fantastique et à la Ian Fleming pour la trame classique de ses James Bond.

Gil Jourdan y apparait particulièrement coriace n’hésitant pas à provoquer deux accidents de voiture pour se tirer des griffes des méchants et flinguant pour cela sa suberbe Fiat Dino.

Mais comme le conclue Libellule à la fin de l’album, non sans humour : « Si j’étais scénariste, je n’oserais jamais balancer aux gens une histoire pareille. » Beau pied de nez ! Tillieux a osé.
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Gil Jourdan, tome 12 : Pâtée explosive

Gil Jourdan était une des BD que j'attendais dans Spirou le jeudi ! enquête policière, méchants bien typés, savants à côté de leurs chaussures, inventions à ne pas mettre entre toutes les mains, les femmes réduites à des rôles de figuration ! on est dans les années 60.

Les dessins sont un peu raides avec une galerie de voitures vintage, la colorisation est terne ; et le mélange de sérieux de l'intrigue avec l'humour potache de libellule !

Ca reste divertissant, intéressant et la nostalgie l'emporte sur une certaine déception...
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Gil Jourdan, tome 9 : Le Gant à trois doigts

L'album démarre par une incroyable évasion, suivie d'une longue course poursuite et donc, sur les chapeaux de roues ! Ce qui n'est pas déplaisant. Cependant le scénario est très faible : la sempiternelle histoire de savant enlevé par un pays étranger pour obtenir ses travaux, sujet déjà exploité par Tillieux dans « L'Enfer de Xique-Xique ».

Sur le plan graphique, si on laisse de côté un scénario indigent et des méchants d'une telle stupidité qu'ils en deviennent invraisemblables, des cases larges, simplifiées assurent la fluidité et la rapidité de l'action de manière assez remarquable.

Ah, j'allais oublier pour ces dames, Gil Jourdan en slip kangourou !! :)
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Tif et Tondu, tome 21 : Le Scaphandrier mort

Grosse surprise avec ce vingt et unième album des aventures de Tif et Tondu.

Pour la première fois, l'histoire démarrant comme un livre de Graham Greene, se poursuivant comme un autre de Joseph Conrad va prendre une tournure à vous arracher une larme ! Larme de fond, s'entend.

Un scénario bien conçu et affiné de Tillieux, une documentation sérieuse sur navigation et plongée, des dessins très réussis de Will. Bref du travail bien fait et prenant.

Tondu a définitivement acquis son rôle de cerveau du duo mais aussi d'homme d'action, la tête et les jambes. Tif finit par en devenir une sorte de faire valoir, ainsi que la comtesse Kiki d'ailleurs.

Il ne manque que la musique d'"Aventures dans îles" avec le beau capitaine Troy !

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Tif et Tondu, tome 17 : Contre le cobra

Enfin une femme dans une aventure de Tif et Tondu, les vieux célibataires solitaires ! L'album démarre dans leur nouvelle gentilhommière ou plutôt gentille chaumière. Très "jungle" à l'intérieur avec sa moquette moutarde qui monte aux genoux !

Bien sûr, ils ne vont pas si détendre longtemps... Kiki, surnom de Mlle la comtesse Amélie d'Yeu, à la manière de l'introduction de bien des aventures de Sherlock Holmes va les conduire directement chez les fous !

A propos d'Yeu, Tif n'en a que pour l'accorte jeune femme, alors que Tondu se révèle bien plus raisonnable, il en faut au moins un si l'on veut espérer terrasser le Cobra.

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Gil Jourdan, tome 1 : Libellule s'évade

Passant de Félix à Gil Jourdan, Tillieux ne change pas vraiment d'univers. Les personnages de Gil Jourdan sont plus aboutis, plus mûrs, plus fouillés que dans Félix, mais globalement ils restent conformes à des stéréotypes bien définis, et efficaces.



Un casting bien étudié, donc. Le héros, jeune et beau, réaliste et intègre mais ne rechignant pas à prendre des libertés avec la loi "pour la bonne cause". Le rigolard simple et "gaulois"... à l'humour au ras des pâquerettes. La brune piquante à qui on ne la fait pas. Le bon flic obstiné et bourru, au grand coeur.



A partir de ce carré d'as, Tillieux peut dérouler. Et sans me livrer à une analyse sociobédélogique, à mon avis, on peut retrouver du Gil Jourdan dans beaucoup de BD des années 70, 80, 90 ou même actuelles.



Le hic, c'est que les 67 aventures de Félix tenaient chaque fois en 12-13 planches. Et qu'en passant au format album, Tillieux devait étoffer... Comment? En dessinant encore plus de voitures, dont il était fan. Ce seront des voitures françaises la plupart du temps. Et en mettant un ou deux épisodes de fou-rire de Libellule et en multipliant les dialogues lourdingues. Autant le dire tout de suite, cela ne marche pas toujours...



Notons par ailleurs, que sur les 67 aventures de Félix, 37 vont faire l'objet d'une telle adaptation, que ce soit pour... Gil Jourdan (recyclage...), Tif et Tondu, Chick Bill, Natacha, Jess Long...



Pour Libellule s'évade, on a un Gil Jourdan frais émoulu qui se met en tête de résoudre une affaire de drogue, la popaïne... il a besoin de Libellule et se met à dos Crouton, pendant qu'il trouve un soutien chez Queue-de-cerise, journaliste très convaincante. Pour un premier essai, et ce n'est peut-être pas un choix super judicieux, Tillieux opte même pour une histoire en deux volumes... autant dire que cela sent parfois le remplissage.
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Gil Jourdan, tome 1 : Libellule s'évade

La dernière fois que j’ai lu un Gil Jourdan, je devais avoir une dizaine d’années. Je gardais le souvenir d’une BD assez dynamique mais avec un humour assez lourd.

Et bien, c’est relativement dynamique et l’humour est effectivement très lourd.

En relisant cette BD, je me dis que, remis dans le contexte de l’époque où les héros de Spirou étaient plutôt de gentils garçons dont le pire défaut était d’être éventuellement maladroit, Gil Jourdan devait donner l’image du héros rebelle, évoluant en marge de la loi et je dois reconnaître que ça devait avoir quelque chose d’innovant. Aujourd’hui, évidemment, l’effet n’est plus le même mais ça valait, je pense, la peine de le souligner.

Pour le scénario, c’est tout à fait dans l’esprit des BD pour jeunes garçons de l’époque : aventure, poursuites, le triomphe du bien, amitié et humour.

Comme je le disais plus haut, cet humour est lourd, tellement lourd que l’auteur, s’en rendant sans doute compte, à fait de Libellule (la machine à blagues) le seul personnage qui rigole. La question que je me pose est : si même les personnages ne rigolent pas, pourquoi mettre ces blagues (qui occupent une bonne partie des dialogues).

Exemple : Gil Jourdan présente sa secrétaire Queue-de-Cerise (oui, oui, c’est son prénom) à son nouvel associé Libellule :

- Je te présente Queue de Cerise (…) elle parle neuf langues.

- Y compris la Langue-ouste et le langue de bœuf. Ha ha ha….



Mon papa, qui m’a gentiment prêté cette BD, se marre toujours autant aujourd’hui en le racontant…C’est peut-être générationnel.

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César

Merci à mes grands frères, passionnés de bande desinée, d'avoir acquis une partie de ces Gags de poche au milieu des années soixante... Ce qui permit aux petits frangins de goûter quelques auteurs d'anthologie!

J' ai découvert César, de Maurice Tillieux, par les deux volumes édité en Gag de Poche en 1964. Les gags sont souvent très drôles, avec des personnages pittoresques.

A l'époque, César ne paraissait pas dans Spirou, mais dans le Moustique... Et n'avait encore fait l'objet d'aucun album.
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Gil Jourdan, tome 11 : Chaud et froid - Le ..

Trois historiettes en un album.

Jourdan fourrant son nez dans la fourrure ! Un album poilant où il y a même un gorille de Sassafas, hommage hilarant à René de Olbadia et à son « Du vent dans les branches de Sassafras ».

Jourdan ne manque pas d’air pour « le Grand souffle » où Libellule invente une étonnante voiture bicéphale.

Et enfin la dernière que j’ai déjà oubliée !
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Gil Jourdan, tome 7 : Les Moines rouges

Un Gil Jourdan lu sans enthousiasme.

Scénario très faible, dessin assez rapide et sans grand intérêt.

Tillieux pouvait donc se montrer assez inégal.

Alors que les premiers tomes pouvaiznt intéresser un public plus mature, celui-ci flirte avec la petite enfance béate.

Passons !!
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Gil Jourdan, tome 6 : Surboum pour 4 roues

Une lettre qui ne lui était pas destinée, une inondation qui, comme dans chaque album, va avoir raison de la superbe Dauphine jaune de Gil Jourdan... Une affaire qui commence bien mal et va pourtant se révéler comme un excellent album de plus dans cette efficace série.

Le scénario bien huilé aurait mérité d’être adapté à l’écran. Il sait mêler action, fantastique et suspens.

Un petit point faible toutefois, selon moi, ces incroyables gueules de truands que Tillieux dessine comme l’aurait fait Tex Avery et qui casse l’unité de style de cet opus.
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