AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Miranda Jane Green (21)


La Bodb est une déesse noire, semblable à une corneille, et le noir est la couleur de la mort.
Commenter  J’apprécie          310
L'eau était perçue comme force de vie, et les cultes rendus à cet élément constituaient un des traits marquant de la religion celtique.
Commenter  J’apprécie          290
Le pouvoir surnaturel du soleil pénétrait les régions ténébreuses ,infernales
Commenter  J’apprécie          290
Les cérémonies du feu definissaient une sorte de célébration magique par "sympathie",destinées à convaincre le soleil de revenir après sa disparition hivernale.
Commenter  J’apprécie          280
A l'ouest enfin, l'île bienheureuse du roman arthurien, Avalon, est un paradis peuplé de pommiers.
Commenter  J’apprécie          240
Ils apportaient avec eux en irlande quatre talismans puissants ;la Pierre de Fàl ,qui criait lorsque celui qui devait être roi la touchait,la lance de Lug,qui garantisait la victoire,l'épée de Nuàda ,à laquelle nul n'échappait,le chaudron du Dagda qu'aucune compagnie ne quittait sans être rassasiée.
(Au sujet des Tuatha Dé Danam,les premiers habitants de l'Irlande)
Commenter  J’apprécie          240
Les arbres appartenaient aux cultes de la fécondité et de la nature en raison, notamment, de leur imagerie de régénération.
Commenter  J’apprécie          230
L'hypothèse d'une continuité de la tradition religieuse et des rites de l'Irlande païenne dans la période chrétienne est parfaitement admissible.
Commenter  J’apprécie          230
-Guerrier farouche droit dans ses parole, plein de nobles actions
(Au sujet de Fergus selon Cuchulainn)
Commenter  J’apprécie          220
Il n'existe pas de démarcation nette entre la fin du paganisme et le début du christianisme dans l'Europe celtique.
Commenter  J’apprécie          200
Comme le soleil, le feu donne la vie et la détruit.
Commenter  J’apprécie          160
Nous trouvons ici l'idée de métamorphose imposées à ceux qui commettent le mal, exactement comme dans "Math ".
(Le conte Kullhwch et Olwen)
Commenter  J’apprécie          130
Dans ces cultes,le couple en soi semble doté d'une importance symbolique et engendrer l'harmonie et la prospérité.
(Les couples de divinités ou de divinités associées à des personnes divinisées)
Commenter  J’apprécie          100
Beaucoup de mythes celtiques s'organisent autour de l'amour entre deux êtres surnaturels ou entre un dieu et une mortelle,aux conséquences souvent destructrices.
Commenter  J’apprécie          100
Le serpent apparaît dans plusieurs mythes irlandais. Cet élément est d'autant plus intéressant qu'il n'y a pas de serpents en Irlande, ce qui indiquerait que ces mythes remontent à l'Antiquité lointaine.
Commenter  J’apprécie          70
Mis au monde par une femme apparemment vierge, le personnage de Llew (ndr : de "Lumière") s'inscrit dans l'énigme et le paradoxe dès l'instant de sa naissance.
Commenter  J’apprécie          50
Les couples de dieux et de déesses forment un trait dominant du panthéon celtique, comme le montrent l'iconographie et l'épigraphie de l'Europe romano-celtique. On voit se dessiner un modèle récurrent : lorsqu'ils furent introduits dans le monde celtique, les dieux d'origine gréco-romaine acquirent souvent des épouses ou des compagnes qui appartenaient au territoire conquis. Les inscriptions réunissent fréquemment un dieu au nom classique et une déesse au nom celtique, le couple Mercure-Rosmerta en offrant une illustration marquante.
Commenter  J’apprécie          40
Les soldats munis de haches arrivèrent à un bois ancien et sacré. Ses branches entrelacées enfermaient un espace central frais que les rayons de soleil n’atteignaient jamais, mais où l’eau jaillissait en abondance de sources obscures… sur les auteurs des dieux barbares qu’on adorait là s’amoncelaient des offrandes hideuses, et tous les arbres étaient aspergés de sang humain… Personne n’osait pénétrer dans ce bois à l’exception du prêtre ; et même lui s’en tenait à l’écart à midi, et entre l’aube et le crépuscule – de peur que les dieux puissent être au loin à ces heures-là.

- Lucain, La Pharsale (p. 130)
Commenter  J’apprécie          30
La mort de Llew présente les mêmes caractères contradictoires : invulnérable, il ne peut être tué ni dans ni à l’extérieur d’une maison, ni sur la terre ni dans l’eau, ni dévêtu ni habillé, et seule une lance confectionnée à un moment où il est interdit de travailler peut lui ôter la vie. Une mort si « difficile » sous-entend habituellement qu’elle surviendra par la trahison d’une femme, ce qui ne manque pas de se produire.
Commenter  J’apprécie          30
Samain marquait aussi le deuil rituel de l'été et un moment dangereux du cycle annuel, un intervalle entre deux périodes où le temps et l'espace étaient momentanément figés et les lois ordinaires en suspens. Les barrières s'ouvraient : les esprits de l'Autre Monde pouvaient déambuler sur la terre et les humains visiter l'Autre Monde.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Miranda Jane Green (100)Voir plus


{* *}