Monica McCarty

Une fois n’est pas coutume la magie Monica McCarty a opéré de la meilleure façon qui soit ! Il faut dire que même à partir d’un scénario prévisible, cette fine plume arrive avec une grande aisance à tirer son épingle du jeu tout en faisant passer ses lecteurs par une palette d’émotions vives ! Sixième opus et je ne m’en lasse toujours pas ! Une fois plongée dans cet univers fascinant des Highlanders, il m’est impossible d’en ressortir ! Plus je tourne les pages et plus j’en veux encore plus. Entre des personnages parfaitement imparfaits et fort attachants, une bonne dose d’action, de danger, de trahison, de complot, d’humour, de rebondissements, de tension palpable, de passion et de sensualité, je me suis littéralement régalée ! Et je n’ai qu’une hâte c’est de découvrir l’histoire du Chasseur. Et je sens que cela va être intense à souhait…
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Dans ce cinquième volet de la saga "les chevaliers des Highlands" nous retrouvons Magnus MacKay, alias "Le Saint", un des guerriers de Robert de Bruce et Hélen, son amour de jeunesse, toujours épris l'un de l'autre mais que les différents entre les deux familles ont séparés. Mais le temps a passé, Magnus n'est plus le jeune homme réservé qu'il était et Hélen est bien décidée, cette fois, à ne pas laisser qui que ce soit briser leur amour.

Une nouvelle fois j'ai été emporté par les aventures des deux héros, par les rebondissements et par la romance.

Cette série des chevaliers des Highlands est vraiment formidable et j'ai hâte de lire le sixième tome.

Ecosse 1306.

Avec ce quatrième tome de la saga "les chevaliers des Highlands" nous retrouvons Lachlan MacRuairi, alias "La vipère", un des chevaliers de la garde de Robert de Bruce, déjà présents sur les précédents romans.

Réputé pour être avide d'argent et sans foi ni loi, ce highlander va se voir confier la mission d'escorter la comtesse Isabella MacDuff auprès de Robert de Bruce afin de le couronner.

Mais, les choses ne vont pas se dérouler aussi simplement qu'on pourrait le penser.

Un quatrième tome absolument génial ! Le personnage de La Vipère, tout comme celui de Bella sont très riches, leurs aventures sont pleines de rebondissements en tout genre, et la romance entre ces deux caractères forts ne manque pas de piquant.

J'adore ! Et j'ai hâte de lire le cinquième volet de cette merveilleuse saga.

Ecosse, 1307, Arthur Campbell, alias La Vigie, est un membre de la garde secrète de Robert de Bruce. Sa mission, infiltrer le clan des MacDougall afin de préparer au mieux la future attaque. Cette mission serait facile pour cet homme toujours aux aguets, doté d'une intuition hors du commun, s'il ne trouvait pas sur son chemin la belle Lady Anna MacDougall, fille du seigneur du château. Pour Arthur, qui s'était juré de venger la mort de son père tué par cet homme, la tâche devient de plus en plus difficile au fur et à mesure que ses sentiments envers Anna grandissent.

Un troisième opus à la hauteur des deux premiers, une très belle fresque historique et romanesque, pleine de rebondissements et de sentiments contrariés. Les personnages d'Arthur et Anna, complexes et très fournis, sont vraiment très attachants et j'ai adoré cette lecture, j'ai d'ailleurs hâte de lire le quatrième volet de cette grande saga des "Chevaliers des Highlands"

Ecosse, 14ème siècle. Alors qu'elle faisait le "plongeon de la demoiselle", Lady Elyne, fille du comte d'Ulster, est témoin d'une scène qu'elle n'aurait pas dû voir entre les partisans de Robert Bruce, elle est donc kidnappée par Erik MacSorley, alias "Le Faucon", un des chevaliers de la garde du roi déchu.

Pour éviter qu'il soit attenté à sa vie, elle se fait passer pour une gouvernante, et va passer plusieurs jours avec "Le Faucon" et ses accolytes. Au fil du temps, les liens se tissent entre la jeune femme et le pirate.

Un excellent roman, un second tome qui est à la hauteur du premier, le style est fluide et très agréable à lire et l'intrigue est palpitante et pleine de rebondissements.

Une lecture que je recommande

Ecosse 14ème siècle. Tor MacLeod est contraint d'épouser la jeune Christina Fraser, après que le père de la jeune fille l'ai obligé à se faufiler dans le lit de Tor afin qu'il se retrouve ainsi dans l'obligation d'épouser la jeune femme déshonoré. Il espère ainsi contraindre le chef du Clan MacLeod à s'impliquer dans la guerre pour le trône d'Ecosse.

Homme d'honneur Tor épouse Christina mais est bien décidé à ne pas se préoccuper de cette épouse qu'on lui a imposé.

Mais c'est sans compter sur la spontanéité et le romantisme de Christina, qui, dès le premier regard, est subjugué par le chef des MacLeod.

J'ai adoré ce roman, j'y ai plongé et me suis laissé emporter, de la première à la dernière ligne.

Le style de l'auteur est très agréable et l'histoire pleine de surprise et de rebondissements. J'ai hâte de commencer le second tome de cette saga des chevaliers des Highlands.

Une lecture que je recommande vivement

Quand il s’agit de romance historique/highlander, Monica McCarty est une valeur sûre ! Cette plume hors-pair manie les mots comme personne pour prendre ses lecteurs dans ses filets dès les premières pages, les immerger complètement dans son fascinant univers, les rendre complètement accro, les tenir en haleine, les prendre au dépourvu au moment où ils s’y attendent le moins, faire grimper leur tension jusqu’à leur paroxysme et enfin les faire passer par une myriade d’émotions vives. Le plus épatant ? Même si elle revisite l’histoire de L’Écosse au XIVème siècle, elle arrive toujours à rester proche de la réalité. C’est tout simplement incroyable. Et Le Saint en est le parfait exemple. Une palpitante aventure où action, trahison, complot, rebondissements, révélations, passion et sensations fortes sont au rendez-vous…
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Un coup de cœur net et affirmé !

Ce roman est exactement ce que j'aime lire : de l'histoire, de la romance, de belles escarmouches, un contexte fort, une culture riche !

Je suis de la génération "Braveheart", autant vous dire que ce roman pourrait être la suite de ce film, on se retrouve directement plongé dans la guerre des clans en Écosse et face à la rébellion contre le roi Édouard.

J'ai apprécié l'écriture et le parti pris de faire passer la romance parfois en second plan.

Les héros sont de plus charismatiques, et psychologiquement intéressant !

J'ai hâte de me lancer dans le Tome 2, qui traite d'un second highlander, le Faucon.

Une chouette romance historique mais pas que ! En effet, il ne faut pas s’attendre à une romance qui prends une telle ampleur dans l’histoire que plus rien existe à côté. Non, ici, l’autrice a fait le choix de faire passer la romance entre nos deux protagonistes principaux au second plan. L’intrigue est axée en grande partie autour des conséquences de la décapitation de William Wallace par le roi Edward.



Tor MacLeod est le plus redoutable des guerriers highlander et de se faite, il se voit « obligé » d’entraîner en secret d’autre redoutables guerriers au profit de Robert Bruce, un fier Highlander qui compte bien faire tomber les anglais. Mais il va se retrouver également contraint d’épouser Cristina Fraser, la fille d’un chef de clan ennemi, alors qu’il ne souhaitait plus reprendre de femme. Il va donc devoir se retrouver à jongler entre une épouse qu’il ne veut pas, des guerriers à entraîner et un clan à protéger, coûte que coûte. Mais sa nouvelle femme ne compte pas en rester là, et n’être que la gardienne de la « maison ». Cristina va tout faire pour que son mari change, qu’il s’ouvre enfin à elle et l’aime comme elle le mérite.



Bien que j’ai levé quelques fois les yeux au ciel devant la piètre considération de la place de la femme à cette époque (un des nombreux clichés du genre), j’avoue que j’ai été agréablement séduite par cette histoire. Le côté politique du roman ne m’a pas ennuyé, bien au contraire. Je trouve que ça a apporté un plus à l’histoire en générale, la faisant se démarquer des romances historiques que j’ai pu lire.

J’avais apprécié, dans le premier tome, le mélange savamment réussi entre la romance et le côté historique (basé sur des faits réels) mais ici le côté historique prend trop le pas sur le reste de l’histoire. Il y a trop de jeu du chat et de la souris entre les soldats Écossais et Anglais, trop de clandestinité, de mensonges et d’organisation de batailles. Je me suis ennuyée, c’était trop long.

Je ne me suis pas attachée aux personnages, je ne leur ai rien trouvé d’extraordinaire. Et puis comme les passages ne sont pas trop focalisés sur eux, on apprend pas totalement à les connaître, c’est certainement pour cela aussi que je ne me suis pas attachée. C’est devenu davantage un roman historique qu’autre chose. Dommage…

J’ai beaucoup aimé cette romance historique. L’auteur s’appuie sur des faits et des personnages réels pour construire son récit et elle a très bien réussi. C’est parfaitement cohérent. J’apprécie qu’elle explique, via une note à la fin, comment elle s’y ait pris. C’est très bien écrit et la lecture est fluide.



La romance est sympathique. Ils essaient de s’adapter l’un à l’autre et en même temps de faire face courageusement à l’imminence de la guerre.



J’ai apprécié que l’auteur nous présente un peu les personnages secondaires qui seront les personnages principaux des autres livres. Cela permet une bonne transition et donne envie de lire la suite.

Je n’ai pas mis cinq étoiles (ou classé en Diamant)uniquement parce que je n’ai pas eu de coup de cœur pour le couple principal mais je n’ai rien à reprocher au livre.

Je lis le tome 02 avec plaisir.

Livre lu dans le cadre du Défi lectures 2022 des éditions du Seuil, item "Un livre dont le titre contient un mot anglais". C'est donc le hasard qui m'a mise sur le chemin de ce livre et m'a permis de découvrir Monica McCarty.



La formule en trois tomes (1,2,3) est dense (au total 1.119 pages) mais je l'ai lu en très peu de jours tant j'ai été transportée dans le temps et dans l'espace ! Certes, il faut aimer l'histoire, et c'est mon cas. Plonger au cœur du XIVe siècle, en pleine guerre entre Edouard 1er d'Angleterre et Robert de Bruce pour reconquérir l'indépendance de l'Ecosse n'est pas chose forcément aisée, de même que celle de suivre les guerres intestines et autres trahisons qui couvaient entre les différents clans familiaux écossais (pas trop facile de s'y retrouver dans les noms et la généalogie des uns et des autres). Mais, en se concentrant un peu, la lecture est malgré tout fluide.



Dans cette fiction romanesque inspirée de faits historiques réels, on suit avec intérêt les actions clandestines menées par les Highlanders (troupe de mercenaires d'élite à la solde de Robert de Bruce) et en particulier celles de Tor MacLeod dit "Le Chef", d'Erik MacSorley dit "Le Faucon" et de Arthur Campbell dit "La Vigie". A travers leur histoire, on découvre diverses thématiques liées à leur présence au sein de cette garde : la formation de ses membres et son commandement, l'art du combat maritime et ses ruses, ou encore la reconnaissance et l'espionnage dans les lignes ennemies (et avec lui, notamment la difficulté de rester en accord avec ses valeurs quand on endosse une identité qui n'est pas la sienne).

On suivra donc avec intérêt , de 1305 à 1308, les nombreuses péripéties de ces mercenaires agissant dans l'ombre (prémices des services secrets ou des groupes commandos officieux ?) pour permettre à Robert de Bruce de reprendre les rênes de son pays et pour pacifier les familles écossaises vendues à l'ennemi.



Indépendamment de l'aspect guerrier et historique, on suit sans déplaisir ces héros masculins dans la découverte de leur âme sœur féminine. Bien que souvent entamées dans l'opposition et le conflit, les relations entre ces hommes d'exception et ces femmes (non moins exceptionnelles par leur capacité à écouter leur instinct, à ne pas se soumettre, à dépasser les conventions et à agir avec force et détermination) connaîtront, à l'instar de ce qui se passe sur le terrain, de multiples revirements avant de connaître leur aboutissement.



Là encore, le lecteur est invité à suivre en live les rapports humains souvent pas faciles (surtout lorsque ladite âme sœur n'est pas dans le bon camp), les émotions, les contradictions, les déchirements, les transports amoureux (et quels transports, on se croirait dans 50 nuances de gris !)... au cours de multiples péripéties si vivantes, si réelles qu'on a le sentiment de suivre un film. Ce livre nous donne à voir et à partager de l'Histoire, de l'action, du sentiment, du sexe... à un rythme époustouflant !



Chaque tome compte environ 400 pages et est suivi par quelques pages de "Notes de l'auteur" qui permettent de clarifier ce qui relève de la fiction et ce qui relève de la réalité historique (et/ou de ses différences ou doutes).



Même si on a un peu du mal à s'y retrouver avec les noms de familles et de clans, les noms de lieux... même si la trame romanesque de la rencontre et de la montée de la passion entre l'homme et la femme est toujours plus ou moins identique... même si l'homme est toujours en position dominante (le mâle bien bâti et physiquement indestructible) et est l'initiateur de jeunes vierges effarouchées... même si on sait que ces noirs héros ne peuvent pas mourir... même s'il m'a semblé que les personnages féminins étaient pensés et décrits avec des caractères et des personnalités de femmes du XXIe siècle (les femmes du Moyen-Age n'avaient, me semble-t-il, pas autant d'indépendance d'esprit ni cette capacité à défier l'autorité et à agir... surtout en Angleterre et ou Ecosse... mais peut-être le fier caractère écossais faisait-il toute la différence ?)... la lectrice que je suis a été enchantée de ce voyage dans le temps et dans l'espace. Il est un signe qui ne trompe pas, quand vous relevez la tête de votre livre et que vous vous apercevez qu'il est trois heures du matin sans vous être rendu compte que le temps avait passé... c'est que le livre est bon et qu'il a atteint son objectif : vous faire voyager !



Certes, c'est très romantique, très érotique. Et alors ?

Mesdames et Messieurs, ne boudez pas votre plaisir.

Pour ma part, je vais vite aller à la quête des tomes suivants... puisque j'ai pu voir que la série continuait.

Voilà encore une fois un récit plein d’aventures, où les rebondissements sont de mises et rythment une histoire compliquée. Les personnages n’auront de cesse d’être en danger tout du long, et c’est dans la fuite ou en se cachant qu’ils tenteront de fuir ceux qui leur veulent du mal. L’un est cet homme qui appartient à cette armée secrète dont on suit les péripéties de chaque membre depuis le tome 1, un mercenaire surnommée la Vipère. Elle, c’est la comtesse Isabella MacDuff, une jeune femme qui a la possibilité et le droit de couronner un roi, ce qu’elle fera dans ce tome au mépris du danger qu’elle encoure.



L’histoire de ce couple que nous allons découvrir ici, s’inscrit une nouvelle fois dans l’histoire de l’Ecosse et Monica McCarty s’emploie à bien nous décrire les événements liés à cette histoire. Chaque personnage revêt alors une importance quand à l’évolution de cette histoire et la place de l’héroïne ici sera décisive dans son déroulement. En découvrant les membres de l’armée secrète de Robert Bruce, on évolue en parallèle avec la situation qui change selon les événements, et que dire si ce n’est que c’est de plus en plus tendu et que la vie que mène tous ces personnages est loin d’être de tout repos. L’histoire de la femme de ce roman est déjà évoquée dans le tome précédent, et les actions menées ici sont la suite de ce qu’il s’est passé alors précédemment, suite au couronnement de Robert Bruce.



Evoquons d’abord ce personnage masculin, la Vipère. Un surnom qui en dit beaucoup sur la personnalité et les capacités de cet homme, Lachlan est un homme qui est très sombre et qui dégage une obscurité qui lui confère comme une aura de mystère. Tout du long de ce roman, il ne va pas perdre cet aspect de lui très dur, on le croirait bien insensible à tout ce qu’il vit et d’autant plus à ce que ressentent ceux qui l’entourent. Par moments, cela peut-être même un peu dérangeant, car on se demande comment un homme tel que lui pourrait aimer et plus encore rendre quelqu’un heureux. Il aura fallu du temps pour que je m’adapte à sa personnalité, je dois l’avouer que cela a occasionné un long moment d’adaptation et d’acceptation de sa personnalité. Ce qui appuie encore plus cette personnalité très distante, c’est ce lien qu’il entretient avec les autres, quasiment inexistant, il répond à l’offre et la demande, et c’est au plus offrant qu’il s’alliera, ce qui peut encore plus déranger, surtout si cela va à l’encontre de la bienveillance.



Face à lui, on a une femme qui porte sur ses épaules un poids énorme, qui lui est conféré par cette autorité qu’elle a de pouvoir couronner un roi. On s’imagine bien alors que beaucoup tenteront d’en profiter, c’est ainsi qu’elle se retrouver enrôler dans cette aventure. Elle jouera son rôle avec dignité et sans jamais cesser de croire en sa fonction et à la portée de son geste quand elle décide de s’allier à Robert Bruce. Mais sa participation engendrera la colère des adversaires et elle en subira les conséquences. On se rend compte alors que les punitions sont parfois bien sévères et les femmes ne sont pas épargnées, Isabelle MacDuff sera emprisonnée et enfermée dans une cage, suspendue, subissant la faim, la soif et étant exposée en haut d’une tour. Un calvaire et une souffrance sans pareil qu’elle combattra durant de longs mois. Monica McCarty nous dévoile ainsi ce qu’ont subi certaines personnages importants pour montrer l’exemple.



Lachlan et Bella vont être amenés à passer pas mal de temps ensemble, dans la fuite constante, bravant les dangers, constamment poursuivis. Lui a sa mission, et elle tente de survivre comme elle peut, et l’entente entre eux sera difficile, car ils n’ont pas la même façon de penser. On enchaine les situations délicates, les embuscades, la fuite, les contre-temps et plus le récit se déroule, plus ils seront amenés à côtoyer l’autre car ils n’ont pas le choix mais il se passera quelque chose entre eux. Il leur sera difficile de l’identifier, voir même de l’accepter. On découvrira plus encore sur Lachlan, les raisons pour lesquelles il agit ainsi, ce qui pourrait ressembler à de la cupidité, est aussi synonyme d’un objectif pour parer à un passé douloureux. Historiquement parlant, c’est très prenant ! Il se passe tant de choses, et on retrouve tous les personnages de la série, vis à vis de leur rôle ainsi que de leur implication. Mais tout reste bien lié, et c’est un contexte historique très lourd qui pèse sur la vie de chaque personnage.



Un tome que j’ai trouvé un peu plus difficile à lire que les précédents, en cela j’entends que j’ai trouvé qu’il était plus long sur certains passages. La romance est plus tardive donc elle se fait attendre mais je dirai que c’est aussi car j’ai eu plus de mal avec le personnage masculin, et pourtant il colle bien à ce que l’on attend de lui par rapport à sa description. L’auteure a su garder une certaine droiture en gardant un cap sur la personnalité de son personnage. Mais du coup, il m’aura fallu du temps pour l’apprécier à sa juste valeur, car j’ai finit par l’apprécier mais assez tardivement, ce qui est un peu dommage. La romance se déclare vraiment quand lui justement commence à plus se dévoiler et laisse aussi tomber quelques barrières qu’il avait érigé autour de lui.



Un avis un peu mitigé, vous l’aurez constaté mais la série reste toujours aussi passionnante à lire. Je lirai donc avec plaisir les autres tomes pour suivre de nouveau tous ces personnages et pour continuer de découvrir leur histoire commune.
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Une fois n’est pas coutume, la magie Monica McCarty a opéré de la meilleure façon qui soit ! Ce qu’il me plait le plus dans cette sublime saga c’est qu’une fois que l’on est plongé dans ce monde cruel et impitoyable des Highlanders, on est tellement captivé par ce qu’il se passe que l’on n’a pas le temps de s’ennuyer un seul instant. Les personnages sont brillamment étoffés. L’intrigue est menée avec une grande adresse. Le décor est incroyable. Et enfin nous avons une bonne dose d’action, de tension, de danger, de complot, d’humour, de passion, de sensualité et d’émotions vives. Et La Vipère ne fait pas exception à la règle. Un palpitant et déchirant récit qui vous happera dès les premières jusqu’à la dernière et qui vous mettra dans un grand état de fébrilité pour votre plus grand bonheur ! Une lecture qui est à découvrir et redécouvrir pour les amateurs de ce genre…
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Les personnages sont intéressants et auraient pu être bien plus développés.

Je m'attendais à une intrigue plus exigeante (j'ai un peu oublié en cours de route qu'il s'agissait d'une romance 😅) et il y avait matière à la pousser plus loin cette intrigue (surtout qu'apparemment il s'agit de l'ultime tome).

Le personnage d'Alex Seton avait un potentiel énorme qui n'est pas exploité, pareil pour l'héroïne qui semblait très prometteuse mais s'est un peu terminée en "pchitt".



Malgré tout, c'était une lecture sympa. J'étais bien avec mes personnages et c'est le principal 👍
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Une superbe saga! J'ai aimé retrouvé le bel Alex, le chevalier anglais qui depuis plusieurs années est écartelé entre sa morale et les méthodes de la garde pour gagner la guerre. Et quelle belle surprise de retrouver également Joan, la fille de Bella MacDuff du tome de la Vipère. Bien que nous ayons un bel épilogue dans ce tome, il m'a quand même manqué les retrouvailles entre la mère et ma fille dans celui-ci. Mais ce fut une belle lecture.

Une série magnifique ! J'ai découvert l'histoire d'Ecosse à travers le récit de l'auteur. Ce tome avec pour héros Thor MacLeod est mon favori. Une saga que je recommande chaudement, même si je doute que certaines expressions comme "va te faire foutre" étaient déjà employées à cette époque ^^

Une nouvelle fois, je ne suis pas déçu par l'auteur. Elle nous permet de découvrir un nouveau personnage et nous amène dans une nouvelle romance historique d'amour où les décisions pour le chevalier Campbell sont dures à prendre. Par amour comme par devoir, on découvre jusqu'à quel point il est capable de se sacrifier.

À chaque fois, l'auteur nous amène dans de nouveaux univers tout en restant fidèle à l'esprit des Highlanders. Cette fois, notre highlander n'a vraiment pas un rôle facile à jouer et ce qui m'a tenu jusqu'à la fin de cette histoire, c'est : Va-t-elle au moins bien se terminer ?

Dans cette série, nous découvrons à chaque tome un personnage des membres des chevaliers des Highlands. Nous avions fait leur connaissance dans le premier tome, et c’est plaisant de pouvoir les découvrir plus encore dans chaque tome qui leur est consacré. Ici, c’est au tour de celui que l’on appelle la Vigie, Arthur Campbell de nous livrer son histoire. Une histoire de famille intimement liée à l’histoire des clans et qui a subit les affres de ces affrontements entre familles.



Arthur joue depuis le début un rôle important en infiltrant les ennemis pour mieux en informer ceux à qui il s’est allié, s’il espère rejoindre ses camarades Highlanders dans leur guerre, il continue pourtant de suivre les ordres de missions qu’on lui donne. Il espère bien pourtant que celle-ci sera la dernière, d’autant plus qu’elle le mène tout droit au plus près de celui qui a tué son père et pris les terres de son clan, John MacDougall, seigneur de Lorn. Il va pouvoir enfin assouvir sa vengeance ! L’histoire de ce personnage, la Vigie est assez fascinante à découvrir, issu d’une famille de plusieurs frères, la mort de leur père a entrainé bien des changements dans l’engagement de chacun, certains sont restés du côté des écossais, tandis que d’autres ont préféré rejoindre les anglais. Une situation de famille qui permet alors à Arthur de prétendre appartenir à un clan ou à un autre sans trop se faire remarquer. Nous aurons l’occasion de découvrir comment son père est décédé et l’impact que cela a eu sur la vie de ce clan, et tout particulièrement sur celle d’Arthur.



Cette mission consiste donc à s’infiltrer dans le clan de MacDougall et ce afin de recueillir le maximum d’informations sur leurs intentions dans cette guerre que mènent les clans pour défendre leurs territoires. Certains clans ont rejoint la cause de cet homme, Robert de Bruce qui revendique l’Ecosse, tandis que les anglais tentent de se l’approprier. Chacun choisissant ce qui lui parait le mieux pour son propre clan, voir pour sa propre personne mais cela occasionne bien des conflits entre clans. Ici, nous sommes en plein de ces conflits, et leur histoire à tous a débuté avec la génération des pères, et ce sont les enfants qui ont ainsi le poids des actes de leurs ainés sur les épaules, même s’ils ne sont pas forcément d’accord avec ces derniers. Arthur sera donc confronté à son ennemi, mais aussi à sa famille, ses enfants qu’il aura l’occasion de côtoyer de près. Faire la connaissance de l’un d’entre eux, Anna MacDougall va toutefois changer bien les choses dans les perspectives d’Arthur. Elle représente l’ennemi, et pourtant il est fasciné par elle, et il aura bien du mal à faire la part des choses entre ses désirs de vengeance et cette attirance et d’autant plus l’intérêt qu’elle provoque en lui. Il va donc se retrouver en fâcheuse posture, et s’il tente de l’éviter, la jeune femme, elle, semble être sans cesse sur son chemin et lui vouer un intérêt non dissimulé.



Le rôle des femmes dans ce que vit l’Ecosse n’est pas sans conséquence, et la jeune Anna est une femme pleine d’entrain, d’envies et qui n’a pas froid aux yeux. Ses initiatives, sa façon d’être font d’elle une personnalité forte et tout de suite attachante, elle est pleine d’esprit et d’une vivacité qui ne font pas d’elle une jeune femme effacée. Non, elle aime la liberté que lui procure son statut, même si elle sait qu’elle doit se soumettre au bon vouloir de son père, mais jusque là elle n’a jamais eu à en souffrir. Toutefois l’arrivée d’Arthur va semer le doute dans son esprit, et dans tout ce qu’il se passe. Elle va le côtoyer de près, par intérêt personnel mais plus encore, et elle trouvera cet homme énigmatique bien intéressant. C’est aussi ce qu’il lui procure comme sensations et les sentiments qui vont naitre qui la pousseront à vouloir tout connaitre de lui. Entrainée par sa curiosité, elle voudra savoir ce que cache cet homme mystérieux qui tente de la maintenir à distance.



Nous avons donc deux personnages, tous deux jeunes et de la même génération qui sont « ennemis » par la force des choses, et surtout par les actes de leurs ainés. Et pourtant, malgré le fait qu’ils ne doivent pas s’attacher à l’autre, de passer du temps ensemble va créer quelque chose de fort entre eux. Ce n’est pas parce qu’il leur a été dicté de se détester que cela sera le cas, et pourtant Arthur fera tout pour cela, il jouera le chaud et le froid, essayant de maintenir la jeune femme à distance, avec parfois beaucoup de véhémence, qu’elle ne comprendra pas d’ailleurs. Mais ils finiront par s’écouter, et ne plus se laisser dicter par leur « devoir » et trouverons dans l’autre ce petit quelque chose qui fait la différence. Nous sommes alors pris dans l’engrenage de ce que leurs sentiments vont engendrer comme conséquences, pour eux, leurs familles, leurs clans et tout ce qui est mis en jeu ici.



Il y aurait tant à dire sur ce roman, il s’y passe tant de choses. C’est très rythmé, dynamique, plein de rebondissements et j’ai trouvé que les personnages étaient très approfondis, on en apprend tant d’eux, c’est passionnant de les découvrir. J’ai vraiment adoré la dynamique de ce récit, si les personnages sont comme je le disais fort intéressants, la situation dans laquelle ils sont, l’est tout autant. On évolue dans un contexte historique lourd où l’avenir de chaque clan est mis dans la balance, les guerres éclatent, les conflits se multiplient et personne ne sera épargné. Construire une relation d’amour dans une telle situation est déjà bien difficile, elle l’est d’autant plus quand les deux concernés ne sont pas dans le même « clan ». On a parfaitement conscience de tout ce qu’il se passe autour d’eux, et de l’infini chance que leur histoire puisse bien finir. On continue de suivre tous les personnages liés à tout ce qu’il se joue ici, on en découvre de nouveau, ceux qui appartiennent au monde des MacDougall, nous permettant de bien nous ancrer dans un nouveau lieu et une nouvelle situation.



Le passé se lie au présent, si l’on vit ce qu’il se passe avec entrain et cette attente de la finalité, on découvre aussi le passé. Ce passé qui a forgé les personnages à être ce qu’ils sont, qui les a formaté à penser de telle ou telle façon. Ce passé a engendré ce besoin de vengeance pour certains, ce besoin de conquérir envers et contre tout pour d’autres, parfois au détriment des siens. Les souvenirs viennent se mêler au présent, et ils sont révélateurs de tant de choses sur ce qu’il s’est passé. Ils nous sont délivrés aux moments opportuns pour que nous puissions prendre en compte la portée de chaque acte et les pensées de chacun. C’est passionnant et entrainant et on ne s’ennuie pas une seule seconde tout au long du récit. Le présent est tout autant pesant par la pression qui pèse sur eux, et la passion qui les anime nous porte à les suivre dans cette relation qui née entre eux.



Un tome que j’ai adoré lire, je l’ai dévoré, j’y ai tout aimé. Du début à la fin, j’ai aimé découvrir ses personnages et suivre leur histoire passionnante semée d’embuches ! le récit est palpitant, entrainant et s’inscrit dans l’histoire de l’Ecosse en nous fournissant tant d’informations sur ce qu’il passe historiquement parlant. Monica McCarty prend très à coeur de coller au plus près de la réalité, même si elle prend quelques libertés et elle aime à nous conter de quelles façons son récit s’inscrit dans l’histoire. A la fin de notre lecture, nous pouvons ainsi en découvrir encore plus que ce qui nous a été livré. C’est une série plein de promesses que j’adore découvrir, je suis pressée de retrouver tous les autres personnages et leurs histoires.
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Je ne connaissais pas du tout ce livre jusqu'à ce que je tombe dessus dans un magasin d'occasion. Etant donné que j'aime beaucoup les romances historiques et l'Ecosse, je n'ai pas pu résister à ce livre alliant les deux. Les clans Campbell et MacGregor se font la guerre depuis des décennies. Les Campbell ont gagné et les MacGregor ont dû céder leurs terres. Afin de reconquérir ses terres, Patrick MacGregor monte un plan pour séduire Elizabeth Campbell. Pour cela, il va essayer de la séduire en se faisant passer pour Murray, l'homme qui la sauve d'un guet-apens.



Dans ce livre, il y a du bon comme du moins bon. Je vais commencer cette chronique par ce qui m'a dérangé dans ce livre. Tout d'abord, le gros problème que j'ai rencontré, c'est que j'ai trouvé que le style d'écriture de Monica McCarty ne collait pas avec l'époque. En effet, cette histoire se déroule en 1608 donc je m'attendais à un langage plus soutenu et guindé mais, il n'en fut rien. Les personnages utilisent un langage d'une familiarité déconcertante qui n'est pas raccord avec le contexte. Quand une servante dit "oui mon petit" à sa maîtresse, je trouve ça limite pour le contexte historique. Il y avait trop de familiarités à mon goût. Autre chose qui m'a gêné pendant ma lecture, c'est le côté très répétitif de l'intrigue. Durant tout le bouquin, nous avons le droit à des réflexions du style "je suis un hors-la-loi prêt à tout, mais je l'aime", "je suis une châtelaine qui n'a pas confiance en elle et qui doit se marier par devoir mais je l'aime" et d'autres "je ne la mérite pas". Tout ça tournait en boucle et à un moment donné, j'ai trouvé que c'était trop. Sinon, ce livre n'a rien de surprenant mais, je l'ai trouvé sympa. Il se lit bien mais, petit bémol pour la romance que j'ai trouvé un peu trop rapide.



Ce livre n'a pas que du négatif, il y a aussi du positif dans cette lecture. Ce que j'ai particulièrement aimé à travers ce livre, c'est l'ambiance écossaise. L'Ecosse est un pays que j'adore alors j'ai beaucoup aimé me retrouver dans les Highlands et leurs paysages grandioses. Encore une fois, j'ai beaucoup voyagé à travers ce livre. Ce qui est bien, c'est que j'ai pu découvrir les clans Campbell et MacGregor que je ne connaissais pas et découvrir une partie de la vraie histoire de ces deux clans. Les Campbell et les MacGregor s'opposent dans le livre mais, il faut savoir que leur opposition fut bien réelle. Monica McCarty nous livre donc de façon romancée, une partie de la vraie histoire de ces clans à travers beaucoup de péripéties.



En ce qui concerne les personnages, Elizabeth, notre héroïne passe un peu pour une cruche au début. Certains personnages la font passer pour une jeune femme faible mais, elle est plus forte qu'il n'y paraît si bien qu'elle dégage plus d'assurance que Patrick, le gars qui se veut ultra sur de lui. Ce qui est dommage, c'est qu'au début du livre, nous apprenons qu'Elizabeth est bègue. Elle en fait un gros complexe ce qui fait qu'elle manque de confiance en elle et qu'elle a peur de parler en public. Cela est censé être le plus gros problème de sa vie, mais elle reste bègue deux pages puis ensuite plus rien. J'ai trouvé dommage que ce problème soit effacé si vite. Patrick quant à lui n'est pas trop mal. Il a beaucoup souffert dans la vie, du coup, il cherche à se protéger, ce qui le rend touchant. Malgré ses allures de brute, il est fort et bienveillant. En lisant ce livre, je pensais que la saga serait centrée sur les MacGregor mais au final, elle est centrée sur les Campbell puisque les autres tomes sont centrés sur les frères d'Elizabeth. C'est dommage parce qu'il y avait du potentiel avec les MacGregor. L'histoire se déroule en 1608, j'ai trouvé que les personnages étaient évolués pour leur époque, avec des pensées avant-gardistes. En effet, Elizabeth est une femme libre qui fait ce qu'elle veut et fait fit des pressions sociales. J'ai trouvé cela super ! Monica McCarty nous livre aussi une belle nuance du bien et du mal car tout n'est pas tout blanc ou tout noir. Il faut nuancer sa vision des personnages afin de comprendre leurs agissements et ainsi se demander si leurs agissements ne sont pas légitimes même s'ils semblent mal de prime abord.



Pour conclure, Le proscrit n'est pas un livre sans défauts. J'ai été gênée par les familiarités de langage et le côté répétitif des réflexions des personnages. En revanche, j'ai adoré me balader dans les Highlands. Le décor est vraiment superbe et en plus, l'autrice nous fait découvrir une partie de l'histoire des clans dans les Highlands. Les personnages sont sympathiques et plus complexes qu'il n'y paraît. Sachez que les livres de cette saga peuvent se lire indépendamment les uns des autres. Ce deuxième tome est le premier que je lisais et j'ai tout compris.
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