Citations de Nelson Mandela (351)
Dans la vie, on a toujours le choix: aimer ou détester, assumer ou fuir, avouer ou mentir, être soi-même ou faire semblant.
Je ne sais pas si vous le savez. Que j’étais le premier sud-africain qui a reçu un entraînement militaire en Algérie.
Je suis retourné dans ma maison avec le sentiment que j’étais un homme.
Il y a des moments où un responsable doit marcher en avant du troupeau, partir dans une nouvelle direction, en se fiant à lui-même pour s’assurer qu’il mène son peuple sur le bon chemin.
Sous certains aspects, je voyais mon jardin comme une métaphore de ma vie. Un dirigeant doit aussi cultiver son jardin : lui aussi sème des graines, les surveille, les soigne et en récolte le produit. Comme un jardinier, un dirigeant politique est responsable de ce qu’il cultive ; il doit faire attention à son travail, il doit essayer de repousser les mauvaises herbes, garder ce qui peut l’être et éliminer ce qui ne peut réussir.
J’ai découvert qu’on pouvait supporter l’insupportable si l’on gardait le moral, même quand le corps souffrait. De fortes convictions sont le secret de la survie ; on peut avoir l’esprit plein même si l’on a le ventre vide.
La résistance passive non-violente est efficace tant que votre adversaire adhère aux mêmes règles que vous. Mais si la manifestation pacifique ne rencontre que la violence, son efficacité prend fin. Pour moi, la non-violence n’était pas un principe moral mais une stratégie. Il n’y a aucune bonté morale à utiliser une arme inefficace.
Il ne sert à rien de décider d’une action à laquelle les masses sont opposées car il sera impossible de la mettre en œuvre.
L’homme blanc avait faim de terre et l’homme noir avait partagé la terre avec lui comme il partageait l’air et l’eau ; la terre n’était pas faite pour que l’homme la possède. Mais l’homme blanc prenait la terre comme on prendrait le cheval d’un autre homme.
Par ses choix, il nous a clairement montré que nous ne sommes pas obligés d'accepter le monde tel qu'il est - mais que nous pouvons tous jouer un rôle pour le rendre tel qu'il devrait être.
B. Obama (Préface)
Rappelons-nous que ce sont des gens ordinaires – les hommes et les femmes, les garçons et les filles- qui font du monde un endroit spécial.
Ce qui compte dans la vie ce n’est pas seulement d’avoir vécu. C’est la différence faite dans la vie des autres qui définit le sens de la vie que nous avons menée.
La réconciliation signifie qu’il faut travailler ensemble pour rectifier les injustices héritées du passé.
Le racisme est une maladie de la conscience. L’idée qu’un peuple est inférieur à un autre – au point que ceux qui se considèrent supérieurs en viennent à définir et à traiter les autres comme des sous-hommes – nie l’humanité même de ceux qui s’élèvent au rang de dieux.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.
C’est ce que nous faisons avec ce que nous avons et non ce qu’on nous donne qui fait la différence entre les gens.
Seule l'éducation de masse, disait-il souvent, libérerait mon peuple, et il soutenait qu'un homme éduqué ne pouvait être opprimé parce qu'il pouvait penser seule.
[...]j'ai dit qu'un cordon ombilical impossible à couper reliait les Noirs d'Afrique du Sud et les Noirs d'Amérique, car nous étions tous des enfants d'Afrique.
J'ai dit qu'ils appartenaient à la famille à laquelle de grands Américains comme W.E.B Du Bois, Marcus Garvey et Martin Luther Kingavaient redonné espoir. [...] Pour nous, Harlem symbolisait la force de la résistance, la beauté et la fierté noires. Je me le suis rappelé en voyant un jeune homme qui portait un T-shirt où l'on pouvait lire " Noir par nature, fier par choix ". J'ai dit que nous étions liés par la nature et fiers les uns des autres par choix.
Que la justice soit pour tous.
Que la paix soit pour tous.
Que le travail, le pain, l'eau et le sel soient pour tous.
Jamais le soleil ne se couchera sur une réussite humaine aussi glorieuse !
Dieu bénisse l'Afrique !
Merci.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai trouvé que l'isolement était l'aspect le plus désagréable de la vie en prison. il n'y a ni début ni fin ; on est seul avec son esprit, qui peut vous jouer des tours. est-ce un rêve ou cela a t-il vraiment lieu ? on commence à s'interroger sur tout. ai-je pris la bonne décision mon sacrifice en valait il la peine ? dans la solitude, rien ne vous détourne de ces questions obsédantes.
mais le corps humain a une faculté extraordinaire d'adaptation. j'ai découvert qu'on pouvait supporter l'insupportable si l'on gardait le moral, même quand le corps souffrait. de fortes convictions sur le secret de la survie ; on peut avoir l'esprit plein même si on a le ventre vide.