Citations de Paulo Coelho (4381)
L'amour en aucun cas n'empêche un homme de suivre sa Légende Personnelle. Quand cela arrive, c'est que ce n'était pas le véritable amour, celui qui parle le Language du Monde.
Un guerrier de la lumière est toujours engagé. Il est esclave de son rêve, et libre de ses pas.
Il utilise la peur comme un moteur, et non comme un frein.
Le guerrier de la lumière ne risque son cœur que pour quelque chose qui en vaut la peine.
Le guerrier sait qu'un rêve est formé d'une multitude d'éléments, de même que la lumière du soleil est la somme des millions de rayons qui la composent.
L'univers conspire toujours en faveur de ceux qui rêvent.
L'amour est toujours nouveau. Peu importe que l'on aime une fois, deux fois, dix fois, dans sa vie - on se trouve toujours devant une situation inconnue. L'amour peut nous mener en enfer ou en paradis, mais il nous mène toujours quelque part. Il faut l'accepter, parce qu'il est ce qui nourrit notre existence.
J'ai ouvert la fenêtre. Et mon coeur. Le soleil a inondé la chambre, et l'amour a inondé mon âme.
J'ai compris que parfois il n'y a pas de seconde occasion.
Puisse Dieu t’accorder
À chaque orage, un arc-en-ciel,
À chaque pleur, un sourire
À chaque souci, une promesse,
Une bénédiction pour chaque épreuve,
Un ami pour chaque instant de solitude,
Et une réponse à chaque prière
C’est cela la véritable expérience de la liberté : avoir la chose la plus importante au monde, sans la posséder.
L'amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le controler, il nous detruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.
car les pauvres gardent espoir ,en dépit des tragédies qui les accablent.
Nous avons toujours tendance à nous raconter des histoires sur des choses qui n’existent pas et à refuser l’évidence lorsqu’elle crève les yeux.
Quand on voyage vers un objectif, il est très important de prêter attention au chemin.
Le bateau est plus en sécurité quand il est au port ; mais ce n’est pas pour cela qu’ont été construits les bateaux.
Quand nous rencontrons quelqu'un et que nous
tombons amoureux, nous avons l'impression que
tout l'univers conspire en ce sens; cela m'est arrivé
aujourd'hui au coucher du soleil. Mais si quelque
chose ne tourne pas rond, tout s'effondre et disparaît !
Les hérons, la musique au loin, le goût de ses lèvres.
Comment la beauté qui se trouvait là quelques minu-
tes auparavant peut-elle disparaître si rapidement ?
La vie va très vite : elle nous transporte du ciel à
l'enfer, et c'est l'affaire de quelques secondes.
Le vrai chemin de la sagesse se reconnaît à trois éléments, a expliqué Petrus. D'abord il doit contenir Agapê, je t'en parlerai plus tard ; ensuite, il doit avoir une application pratique dans ta vie, sinon la sagesse devient inutile et pourrit comme une épée qui ne sert jamais. Enfin, ce doit être un chemin que n'importe qui puisse parcourir. Comme celui-ci même, le chemin de Saint-Jacques.
Dans l'un des nombreux parcs de la ville, trois filles méditaient torse nu, paupières closes, en posture de yoga, tournées vers un soleil qui se cacherait peut-être bientôt, et mettrait deux saisons à revenir, avec le printemps. En traversant les lieux, il prêta attention aux gens plus âgés qui se rendaient au travail ou en revenaient: ils ne se donnaient même pas la peine de regarder les trois filles. Ici la nudité n'était pas punie ou réprimée, chacun était maître de son corps et faisait ce que bon lui semble.
Et les tee-shirts: beaucoup véhiculaient tout un tas de messages, parfois agrémentés de la photo d'une idole
Jimmy Hendrix, Jim Morrison, Janis Joplin, mais la plupart prêchaient la Renaissance:
Aujourd'hui est le premier jour du reste de ta vie.
Un simple rêve est plus puissant que mille réalités.
Chaque rêve à besoin d'un rêveur.
Son attention fut particulièrement attirée par la phrase suivante: Le rêve est spontané, donc dangereux pour ceux qui non pas le courage de rêver.
Il y croyait. Il avait choisi sa folie et avait à présent l'intention de la vivre intensément...
Je n’en croyais pas mes yeux; une gigantesque tour en fer qui arrivait presque au ciel et qui ne se trouvait sur aucune des cartes postales de la ville. Sur les deux rives de la Seine, différents bâtiments rappelaient soit la Chine, soit l’Italie, ou encore un autre pays connu dans le monde. J’ai essayé de trouver la Hollande, mais je n’ai pas réussi. Qu’est-ce qui représentait mon pays ? Les vieux moulins ? Les lourds sabots de bois ? Rien de tout cela n’avait sa place au milieu de tant de modernité.