Critiques de Peter James (1208)
Une intrigue prévisible, des personnages prévisibles, des actions prévisibles...Quand on devine la fin du livre a même pas la moitié, forcément le livre a moins d'intérêt. L'intrigue est trop longue a se mettre en place, je n'ai pas réussi a me plonger réellement dans l'univers, les personnages n'ont pas réussis a me toucher. Certains chapitres sont inutiles très honnêtement bien que la plume soit agréable. Elle est fluide et facile a comprendre, mais globalement je me suis ennuyée en lisant ce livre.
Au bas de Cold Hill, une pancarte "Manoir à vendre".
A priori un charmant manoir, à retaper tout de même, cela fait quelques années qu'il est laissé à l'abandon.
Mais cela ne semble pas faire peur à Ollie et Caro qui investissent toutes leurs économies dans ce bien. "VENDU".
Bienvenue dans la campagne anglaise. Mais ce manoir va vite devenir un gouffre financier, les tapisseries se décollent au milieu de la nuit, les murs s’effondrent et les robinets s'ouvrent tout seuls en plein sommeil, inondant la chambre à coucher. Tiens... le lit a changé de place...
Avec ce lit qui bouge à 180°, il y a ce petit coté l'exorciste, même si la fille ne balance pas de gerbe verte à l'autre bout de sa chambre. Mais il y a bien ce premier pasteur, puis ce second pasteur qui paraissent tout aussi perplexes. Le manoir cacherait-il un profond secret. Ou serait-il occupé par des indésirables, des oubliés d'un autre siècle.
Je pose ainsi sur la table le thème de ce roman, une histoire de fantômes et d'accidents inhabituels. De quoi, en tant que maître des lieux, se poser des questions. Du genre vivre avec ou chasser ces esprits. Et une fois admis le fait qu'on n'est pas dans un rêve, à quoi se raccrocher si ce n'est à la folie. Le manoir de Cold Hill en deviendrait même un cauchemar. Vous reprendrez bien une tasse de thé... ou un verre d'Ardbeg... pour sentir le fumé-tourbé des maisons hantées.
Hey Ollie, c'est quoi cette fenêtre entre la chambre bleue et la chambre jaune... mais... mais... on dirait qu'il y a des personnes qui nous regardent par la fenêtre ?
"Caro et Ollie se tenaient nus à côté du lit, grelottants.
- Est-ce qu'on devient fous ? demanda-t-elle.
Il souleva les quatre coins du matelas, l'un après l'autre et observa les écrous rouillés qui maintenaient le cadre. Il essaya de les dévisser à la main, mais aucun ne se desserra.
- Ollie, c'est juste impossible.
Il perçut la terreur dans sa voix. Il regarda la plafond, puis les murs, puis de nouveau le plafond, dans la confusion la plus totale.
- On est en train de rêver ?
- Non, ce n'est pas un rêve."
Une nouvelle pancarte en bas de Cold Hill : "A VENDRE".
A priori un charmant manoir, à retaper tout de même, cela fait quelques années qu'il est laissé à l'abandon.
Mais cela ne semble pas faire peur à Ollie et Caro qui investissent toutes leurs économies dans ce bien. "VENDU".
Bienvenue dans la campagne anglaise. Mais ce manoir va vite devenir un gouffre financier, les tapisseries se décollent au milieu de la nuit, les murs s’effondrent et les robinets s'ouvrent tout seuls en plein sommeil, inondant la chambre à coucher. Tiens... le lit a changé de place...
Avec ce lit qui bouge à 180°, il y a ce petit coté l'exorciste, même si la fille ne balance pas de gerbe verte à l'autre bout de sa chambre. Mais il y a bien ce premier pasteur, puis ce second pasteur qui paraissent tout aussi perplexes. Le manoir cacherait-il un profond secret. Ou serait-il occupé par des indésirables, des oubliés d'un autre siècle.
Je pose ainsi sur la table le thème de ce roman, une histoire de fantômes et d'accidents inhabituels. De quoi, en tant que maître des lieux, se poser des questions. Du genre vivre avec ou chasser ces esprits. Et une fois admis le fait qu'on n'est pas dans un rêve, à quoi se raccrocher si ce n'est à la folie. Le manoir de Cold Hill en deviendrait même un cauchemar. Vous reprendrez bien une tasse de thé... ou un verre d'Ardbeg... pour sentir le fumé-tourbé des maisons hantées.
Hey Ollie, c'est quoi cette fenêtre entre la chambre bleue et la chambre jaune... mais... mais... on dirait qu'il y a des personnes qui nous regardent par la fenêtre ?
"Caro et Ollie se tenaient nus à côté du lit, grelottants.
- Est-ce qu'on devient fous ? demanda-t-elle.
Il souleva les quatre coins du matelas, l'un après l'autre et observa les écrous rouillés qui maintenaient le cadre. Il essaya de les dévisser à la main, mais aucun ne se desserra.
- Ollie, c'est juste impossible.
Il perçut la terreur dans sa voix. Il regarda la plafond, puis les murs, puis de nouveau le plafond, dans la confusion la plus totale.
- On est en train de rêver ?
- Non, ce n'est pas un rêve."
Une nouvelle pancarte en bas de Cold Hill : "A VENDRE".
Pour ceux qui s'en souviennent, j'avais relu La maison des oubliés pour pouvoir enchaîner avec la suite, 47 Allée du Lac.
Ce vieux et gigantesque manoir hanté avait un charme et une "présence" presque inoubliables.
En tout cas, j'avais beaucoup aimé.
Je me suis donc jetée avec enthousiasme sur la suite, parce que c'est pas le tout, mais je me demandais où étaient passés tous ces morts... fantômes.
C'est kif-kif.
Après l'incendie qui a réduit le manoir en poussière, tout a éé rasé pour construire un lotissement de maisons modernes et classieuses.
Un couple sympathique visite la plus grande d'entre elles et tombe sous le charme dès le premier regard.
De plus, ça tombe bien, le second étage fait toute la dimension de la maison, des baies vitrées partout... idéal pour un atelier.
Et justement, Jason est artiste peintre. Il commence à se faire une certaine popularité, les clients se bousculent, les galeries lui organisent des expositions.
Au rez-de-chaussée, une cuisine professionnelle a remplacé le garage, ce qui tombe également très bien, puisque la femme de Jason, Emily, est traiteur.
Commande de tout ce qui est électrique à la voix, etc. aménagement de la maison à la pointe de la technologie.
Bon, le bidule tombe en panne dès les 5 premières minutes, mais qu'à cela ne tienne, ça marche même débranché. Sauf que ça marche comme ça veut.
Parce que les entités, qui ont évolué au même rythme que quand ils étaient vivants, font mumuse avec les gadgets.
Je ne sais pas vous, mais moi je suis certaine que j'en ferais autant.
Ils se montrent, parlent, répondent, font du boucan. La durée de leur absence ne les a pas rendus plus aimables qu'auparavant.
Hormis Jason et Emily, dans la maison d'en face, nous avons un couple un peu extravagant, pour ne pas dire cocasse, que je vous laisse découvrir.
Ils m'ont bien amusée, ces deux-là.
Et puis il y a l'homme au cigare, j'ai failli l'oublier !
*******
J'ai été déçue par ce roman. Les phénomènes se multiplient mais Jason cherche une explication rationnelle à tout ce qui se passe, et la trouve.
Il voit des choses qui ne se sont jamais produites, même si sa femme les voit aussi, puis le nie.
Rencontre des gens apparemment en chair et en os...
Je n'ai pas trouvé l'histoire crédible, je n'ai pas frissonné du tout. J'ai beaucoup ri par moments, c'est toujours ça de pris.
J'attendais quand même autre chose, d'autant que j'aime beaucoup Peter James.
Il s'est sans doute autant amusé que moi, en fait.
Sa plume est toujours aussi belle, mais aucune émotion n'en est ressortie pour ce qui me concerne. Les personnages ne m'ont pas touchée du tout.
Plus qu'à passer au suivant.
.
Ce vieux et gigantesque manoir hanté avait un charme et une "présence" presque inoubliables.
En tout cas, j'avais beaucoup aimé.
Je me suis donc jetée avec enthousiasme sur la suite, parce que c'est pas le tout, mais je me demandais où étaient passés tous ces morts... fantômes.
C'est kif-kif.
Après l'incendie qui a réduit le manoir en poussière, tout a éé rasé pour construire un lotissement de maisons modernes et classieuses.
Un couple sympathique visite la plus grande d'entre elles et tombe sous le charme dès le premier regard.
De plus, ça tombe bien, le second étage fait toute la dimension de la maison, des baies vitrées partout... idéal pour un atelier.
Et justement, Jason est artiste peintre. Il commence à se faire une certaine popularité, les clients se bousculent, les galeries lui organisent des expositions.
Au rez-de-chaussée, une cuisine professionnelle a remplacé le garage, ce qui tombe également très bien, puisque la femme de Jason, Emily, est traiteur.
Commande de tout ce qui est électrique à la voix, etc. aménagement de la maison à la pointe de la technologie.
Bon, le bidule tombe en panne dès les 5 premières minutes, mais qu'à cela ne tienne, ça marche même débranché. Sauf que ça marche comme ça veut.
Parce que les entités, qui ont évolué au même rythme que quand ils étaient vivants, font mumuse avec les gadgets.
Je ne sais pas vous, mais moi je suis certaine que j'en ferais autant.
Ils se montrent, parlent, répondent, font du boucan. La durée de leur absence ne les a pas rendus plus aimables qu'auparavant.
Hormis Jason et Emily, dans la maison d'en face, nous avons un couple un peu extravagant, pour ne pas dire cocasse, que je vous laisse découvrir.
Ils m'ont bien amusée, ces deux-là.
Et puis il y a l'homme au cigare, j'ai failli l'oublier !
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J'ai été déçue par ce roman. Les phénomènes se multiplient mais Jason cherche une explication rationnelle à tout ce qui se passe, et la trouve.
Il voit des choses qui ne se sont jamais produites, même si sa femme les voit aussi, puis le nie.
Rencontre des gens apparemment en chair et en os...
Je n'ai pas trouvé l'histoire crédible, je n'ai pas frissonné du tout. J'ai beaucoup ri par moments, c'est toujours ça de pris.
J'attendais quand même autre chose, d'autant que j'aime beaucoup Peter James.
Il s'est sans doute autant amusé que moi, en fait.
Sa plume est toujours aussi belle, mais aucune émotion n'en est ressortie pour ce qui me concerne. Les personnages ne m'ont pas touchée du tout.
Plus qu'à passer au suivant.
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Excellent !
J'ai été époustouflée du début à la fin. Moi qui croyais que ce n'était qu'une simple histoire de fantômes, je n'ai pas été déçue. J'aurais même aimé que ce soit plus long encore, surtout avec cette fin qui laisse présager de nouveaux rebondissements. Mais on ne peut pas tout avoir dans la vie.
Dans tous les cas, je le conseille grandement à tous les lecteurs de romans avec des fantômes, démons et/ou médiums. Moi qui cherchais justement un livre avec, j'ai eu de la chance de le trouver. L'auteur a su utiliser la médiumnité dans les sens positifs et négatifs du terme, nous réconfortant tout en nous angoissant un peu plus au fil des lignes.
Et la fin n'est que plus trépidante encore puisque l'on prend réellement conscience que maintenant du danger que représente le fils pour sa mère, alors qu'elle l'aime. Je ne spoilerais pas mais c'est vraiment un livre à découvrir, tout en prenant le risque d'être possédé par l'âme de ce roman.
J'ai été époustouflée du début à la fin. Moi qui croyais que ce n'était qu'une simple histoire de fantômes, je n'ai pas été déçue. J'aurais même aimé que ce soit plus long encore, surtout avec cette fin qui laisse présager de nouveaux rebondissements. Mais on ne peut pas tout avoir dans la vie.
Dans tous les cas, je le conseille grandement à tous les lecteurs de romans avec des fantômes, démons et/ou médiums. Moi qui cherchais justement un livre avec, j'ai eu de la chance de le trouver. L'auteur a su utiliser la médiumnité dans les sens positifs et négatifs du terme, nous réconfortant tout en nous angoissant un peu plus au fil des lignes.
Et la fin n'est que plus trépidante encore puisque l'on prend réellement conscience que maintenant du danger que représente le fils pour sa mère, alors qu'elle l'aime. Je ne spoilerais pas mais c'est vraiment un livre à découvrir, tout en prenant le risque d'être possédé par l'âme de ce roman.
Toucher Mortel - 12ème volet de la série Roy Grace
Jodie Bentley veut réussir sa vie, mener grand train, avoir une très belle et grande maison. Comment faire ? Demande-t-elle à son père. En épousant un millionaire, lui répond il.
Quelques années plus tard, c’est ce qu’elle va faire : épouser un millionaire. Un vieux millionaire. Sauf qu’elle va ensuite très vite le liquider (pourquoi s’encombrer du mari ?) puis passer au suivant…
Roy Grace (et son équipe habituelle) sera chargé de l’enquête car ces morts ne paraissent pas naturelles… En même temps une équipe de voleurs de voitures de luxe sévit à Brighton. On retrouve en France la trace de Crisp, un gangster que l'on a connu dans un des livres précédents et que l'on supposait noyé...
Côté personnel, Roy n’est pas gâté non plus. Son supérieur hiérarchique n’est pas très sympa avec lui. Mais le plus difficile c’est la révélation sur la mystérieuse disparition de sa première femme, il y a plus de dix ans. Ce qu’il va vivre dans cet épisode à ce sujet va bouleverser sa vie.
=====
J’ai ADORE ce 12ème volet ! L’histoire de cette « mante religieuse » est très bien racontée et passionnante ! Les personnages, notamment Norman Potting sont attachants. Les révélations sur Sandy, son ex-femme sont un tournant pour cet épineux problème d’autant que Roy s’est remarié.
Peter James figure parmi mes auteurs « très préférés ». Je note 5 étoiles pour cette 12ème aventure tant cela m’a plu. Il m’en reste 2 dans ma PAL. Par contre je me pose des questions car les cinq derniers romans n’ont pas encore été traduits en français, j’espère que la situation va se débloquer car j’ai très envie de connaître la suite de cette série !
Jodie Bentley veut réussir sa vie, mener grand train, avoir une très belle et grande maison. Comment faire ? Demande-t-elle à son père. En épousant un millionaire, lui répond il.
Quelques années plus tard, c’est ce qu’elle va faire : épouser un millionaire. Un vieux millionaire. Sauf qu’elle va ensuite très vite le liquider (pourquoi s’encombrer du mari ?) puis passer au suivant…
Roy Grace (et son équipe habituelle) sera chargé de l’enquête car ces morts ne paraissent pas naturelles… En même temps une équipe de voleurs de voitures de luxe sévit à Brighton. On retrouve en France la trace de Crisp, un gangster que l'on a connu dans un des livres précédents et que l'on supposait noyé...
Côté personnel, Roy n’est pas gâté non plus. Son supérieur hiérarchique n’est pas très sympa avec lui. Mais le plus difficile c’est la révélation sur la mystérieuse disparition de sa première femme, il y a plus de dix ans. Ce qu’il va vivre dans cet épisode à ce sujet va bouleverser sa vie.
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J’ai ADORE ce 12ème volet ! L’histoire de cette « mante religieuse » est très bien racontée et passionnante ! Les personnages, notamment Norman Potting sont attachants. Les révélations sur Sandy, son ex-femme sont un tournant pour cet épineux problème d’autant que Roy s’est remarié.
Peter James figure parmi mes auteurs « très préférés ». Je note 5 étoiles pour cette 12ème aventure tant cela m’a plu. Il m’en reste 2 dans ma PAL. Par contre je me pose des questions car les cinq derniers romans n’ont pas encore été traduits en français, j’espère que la situation va se débloquer car j’ai très envie de connaître la suite de cette série !
Charley et Tom sont un charmant petit couple londonien, qui tente désespérément de fonder une famille. A la recherche d'une maison à retaper à la campagne, ils découvrent enfin leur bonheur dans un petit coin paumé et s'installent. Mais malgré sa joie, Charley a l'impression de connaître cet endroit, et les manifestations étranges ne vont pas tarder à l'inquiéter...
Il s'agit du premier livre de Peter James que je tente, découvert lors des ressorties Bragelonne de leur collection terreur. Le pitch n'est pas follement imaginatif, mais j'aime les histoires d'horreur s'attachant à un lieu, donc ça a suffit à m'attirer.
Sur la forme, l'écriture est agréable. L'ambiance est bien posée et entretenue tout au long de l'histoire, même si celle-ci n'est pas plus horrifique que ça. A mon goût, on est plus dans le thriller avec une touche de fantastique que dans du réel fantastique/horrifique. Néanmoins, j'ai bien aimé ces longues descriptions de la campagne anglaise, ces voisins atypiques, l'ambiance au sein de la maison elle-même ou encore les jeux opérés sur les bruits.
Sur le fond, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. Si l'ambiance est très bien menée, l'histoire quant à elle prend son temps au point de s'enliser. Je n'ai rien contre les bouquins lents, mais j'ai surtout trouvé qu'il ressortait de ce livre une impression de fouillis un peu bâclé sur les bords, et l'abondance des clichés utilisés ne vient pas chasser cette sensation, loin de là. Tout est prévisible, l'auteur part dans toutes les directions, comme s'il était incapable de trancher une bonne fois pour toutes. tout y passe ! Peter James n'a pas l'air de savoir où il va, alors il pioche allègrement dans tous les clichés déjà croisés sans jamais se décider sur la voie à suivre, multipliant ainsi les incohérences.
On se retrouve ainsi avec .
Concernant la fin, elle ne m'a franchement pas convaincue non plus. J'ai trouvé qu'elle arrivait trop brusquement et qu'elle en rajoutait une couche dans le fouillis de l'intrigue. J'adore pourtant les fins ouvertes, mais celle-ci m'a juste donné une impression de bâclé qui m'est restée tout le long de ma lecture.
En bref, un bouquin sympathique, avec une belle ambiance où s'immerger, mais où l'histoire va dans tous les sens au point de se perdre elle-même dans un gros embrouillaminis.
Il s'agit du premier livre de Peter James que je tente, découvert lors des ressorties Bragelonne de leur collection terreur. Le pitch n'est pas follement imaginatif, mais j'aime les histoires d'horreur s'attachant à un lieu, donc ça a suffit à m'attirer.
Sur la forme, l'écriture est agréable. L'ambiance est bien posée et entretenue tout au long de l'histoire, même si celle-ci n'est pas plus horrifique que ça. A mon goût, on est plus dans le thriller avec une touche de fantastique que dans du réel fantastique/horrifique. Néanmoins, j'ai bien aimé ces longues descriptions de la campagne anglaise, ces voisins atypiques, l'ambiance au sein de la maison elle-même ou encore les jeux opérés sur les bruits.
Sur le fond, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. Si l'ambiance est très bien menée, l'histoire quant à elle prend son temps au point de s'enliser. Je n'ai rien contre les bouquins lents, mais j'ai surtout trouvé qu'il ressortait de ce livre une impression de fouillis un peu bâclé sur les bords, et l'abondance des clichés utilisés ne vient pas chasser cette sensation, loin de là. Tout est prévisible, l'auteur part dans toutes les directions, comme s'il était incapable de trancher une bonne fois pour toutes. tout y passe ! Peter James n'a pas l'air de savoir où il va, alors il pioche allègrement dans tous les clichés déjà croisés sans jamais se décider sur la voie à suivre, multipliant ainsi les incohérences.
On se retrouve ainsi avec .
Concernant la fin, elle ne m'a franchement pas convaincue non plus. J'ai trouvé qu'elle arrivait trop brusquement et qu'elle en rajoutait une couche dans le fouillis de l'intrigue. J'adore pourtant les fins ouvertes, mais celle-ci m'a juste donné une impression de bâclé qui m'est restée tout le long de ma lecture.
En bref, un bouquin sympathique, avec une belle ambiance où s'immerger, mais où l'histoire va dans tous les sens au point de se perdre elle-même dans un gros embrouillaminis.
J'ai adoré ce livre !
les personnages sont attachants, l'histoire est rythmée du début à la fin.
il y a beaucoup de rebondissements, c'est tout ce que j'adore.
j'aurai voulu que le livre dure plus longtemps.
certaines choses restent en suspens
Je trouve la trame très bonne et l'histoire originale, contrairement à la fin qui a été bâclée.
Le vocabulaire utilisé est abordable mais quelques mots restent à chercher dans le dictionnaire ce qui est toujours enrichissant.
les personnages sont attachants, l'histoire est rythmée du début à la fin.
il y a beaucoup de rebondissements, c'est tout ce que j'adore.
j'aurai voulu que le livre dure plus longtemps.
certaines choses restent en suspens
Je trouve la trame très bonne et l'histoire originale, contrairement à la fin qui a été bâclée.
Le vocabulaire utilisé est abordable mais quelques mots restent à chercher dans le dictionnaire ce qui est toujours enrichissant.
The haunting of (Cold) Hill house
(c'moi qui joue Carla Gugino, j'vous préviens, parce que j'aime beaucoup Snake eyes et comme son personnage, je suis super myope)
En ce moment je retourne aux polars. P'tet pour chanter en canon goguette avec mes idées noires. Et je découvre des auteurs superdejàconnus (que voulez vous, en genre de lecture j'ai mes phases, donc j'ai du retard quand je remets mes pendules à l'heure)(d'été) (la pire des pire).
Peter James, bienvenue dans ma tête!
Avec une histoire de fantômes à la Mike Flanagan.
Et un plan en début de bouquin. C'comme les cartes pour les romans fantasy, c'est classique mais j'aime bien. Surtout que là il y a une bibliothèque.
Niveau jump scare, il monte doucement en puissance. J'avoue que sur moi ça a particulièrement bien marché, je l'ai lu en deux soirées où j'étais seule : je. n'étais. pas. rassurée.
Bref. J'ai triché et lu aussi un peu pendant la journée. (Pour sourire tranquille là où dans le noir tu aurais eu les Mickeyttes). Mais heureusement les fantômes de Peter James ils envoient aussi des SMS et des mails, et là ça m'a complètement sorti du trip flippant et j'ai pu terminer le bouquin tranquille sous lampe torche dans mon lit.
Mis à part ce couac technologique, j'ai beaucoup aimé l'atmosphère que distille l'auteur. Et les décors. Très visuel. C'était bluffant, j'avais l'impression de lire des scènes d'un film et de le voir se dérouler devant mes yeux. J'ai énormément pensé à Hill house pour le côté maison irréparable et suintante, pièce secrète et fantômes méchants, même si la série s'inspire d'un autre bouquin il me semble et que dans The house on Cold Hill, on ne suit qu'une temporalité.
On est dans l'histoire de maison hantée supra classique jusqu'aux courants d'air froid quand ça craint du boudin. Mais ça fonctionne. Et la construction du récit est intéressante ce qui fait qu'on revient en arrière lire et comparer certains passages. Je viens d'ailleurs de voir que l'histoire a tellement cartonné qu'il existe une suite (The secrets of Cold Hill) . Je vais voir si elle est facile à trouver.
Bref pour une première incursion dans mes amis de papier, Monsieur James, c'était plutôt pas mal et je suis ravie de vous avoir rencontré.
(c'moi qui joue Carla Gugino, j'vous préviens, parce que j'aime beaucoup Snake eyes et comme son personnage, je suis super myope)
En ce moment je retourne aux polars. P'tet pour chanter en canon goguette avec mes idées noires. Et je découvre des auteurs superdejàconnus (que voulez vous, en genre de lecture j'ai mes phases, donc j'ai du retard quand je remets mes pendules à l'heure)(d'été) (la pire des pire).
Peter James, bienvenue dans ma tête!
Avec une histoire de fantômes à la Mike Flanagan.
Et un plan en début de bouquin. C'comme les cartes pour les romans fantasy, c'est classique mais j'aime bien. Surtout que là il y a une bibliothèque.
Niveau jump scare, il monte doucement en puissance. J'avoue que sur moi ça a particulièrement bien marché, je l'ai lu en deux soirées où j'étais seule : je. n'étais. pas. rassurée.
Bref. J'ai triché et lu aussi un peu pendant la journée. (Pour sourire tranquille là où dans le noir tu aurais eu les Mickeyttes). Mais heureusement les fantômes de Peter James ils envoient aussi des SMS et des mails, et là ça m'a complètement sorti du trip flippant et j'ai pu terminer le bouquin tranquille sous lampe torche dans mon lit.
Mis à part ce couac technologique, j'ai beaucoup aimé l'atmosphère que distille l'auteur. Et les décors. Très visuel. C'était bluffant, j'avais l'impression de lire des scènes d'un film et de le voir se dérouler devant mes yeux. J'ai énormément pensé à Hill house pour le côté maison irréparable et suintante, pièce secrète et fantômes méchants, même si la série s'inspire d'un autre bouquin il me semble et que dans The house on Cold Hill, on ne suit qu'une temporalité.
On est dans l'histoire de maison hantée supra classique jusqu'aux courants d'air froid quand ça craint du boudin. Mais ça fonctionne. Et la construction du récit est intéressante ce qui fait qu'on revient en arrière lire et comparer certains passages. Je viens d'ailleurs de voir que l'histoire a tellement cartonné qu'il existe une suite (The secrets of Cold Hill) . Je vais voir si elle est facile à trouver.
Bref pour une première incursion dans mes amis de papier, Monsieur James, c'était plutôt pas mal et je suis ravie de vous avoir rencontré.
Après cet éprouvant Oui-Oui, il me fallait une lecture relaxante et un Peter James m'a semblé un excellent choix.
La maison des oubliés m'a tendu les bras, dans lesquels je me suis empressée de me lover.
Qui dit auteur hors du commun dit récit hors du commun.
Je n'avais pas entre les mains une bête histoire de fantômes et d'esprits lambda.
C'est bien plus profond que ça.
Si vous choisissez de me suivre et de lire ce roman, attendez-vous à être ému, bousculé ; les nerfs à fleur de peau, mais perplexe aussi.
*******
Quelle magnifique demeure, à seulement 15 km de Brighton.
Se dressant entre forêts et vallons à perte de vue, la Maison de Cold Hill s'impose en grande maîtresse des lieux, au sommet de la colline.
À ses pieds, moutons et alpagas paissent tranquillement dans les pâturages de la propriété loués à un fermier.
La famille O'Hare, parents de deux jeunes enfants, viennent d'acheter le "château" comme le dit la petite Daisy quand elle aperçoit la maison que ses parents viennent d'acheter.
Johnny et Rowena savent que beaucoup de travaux les attendent dans leur nouvelle demeure, mais cela ne leur fait pas peur, anticipant leur bonheur futur dans ce coin de paradis.
Alors qu'ils rejoignent le porche de la maison, le vent se lève, la pluie s'abat Rowena distingue le visage d'une femme derrière une fenêtre de la bâtisse.
Peut-être des gens finissent-ils le ménage avant leur arrivée...
Le ciel s'assombrit soudain et un grondement menaçant se fait entendre. Le tonnerre ?
Une ardoise se détache du toit, entraînant d'autres tuiles coupantes en avalanche...
Bah oui ! Fallait pas se garer si près, il faut dire aussi...
Des années plus tard, Ollie, Caro, et leur fille de 12 ans Jade, arrivent à Cold Hill.
Nouveaux propriétaires de la maison, ils ont mis tout ce qu'ils avaient dans son acquisition.
S'attendant à quelques travaux, ils anticipent de belles et heureuses années dans La Maison de Cold Hill.
Les "quelques" travaux se transforment en chantier, la maison n'étant pas décidée à se laisser faire.
*******
J'avais déjà lu ce livre il y a des années, mais figurez-vous que je l'ai redécouvert avec autant de sensations que la première fois.
Quel auteur ! Quel génie !
Entre rêve et réalité, le récit m'a emportée, subjuguée, envahie d'émotions contraires.
Les certitudes volent en éclats, passé, présent, futur, se mélangent sans qu'on en ait conscience.
Les personnages sont très attachants. La plume... ai-je besoin d'en parler ? Peter James n'est pas l'un de mes auteurs préférés pour rien.
Les paysages sont décrits à la perfection ; le récit foisonne de détails, sans la moindre longueur.
Il vous attend !
.
.
La maison des oubliés m'a tendu les bras, dans lesquels je me suis empressée de me lover.
Qui dit auteur hors du commun dit récit hors du commun.
Je n'avais pas entre les mains une bête histoire de fantômes et d'esprits lambda.
C'est bien plus profond que ça.
Si vous choisissez de me suivre et de lire ce roman, attendez-vous à être ému, bousculé ; les nerfs à fleur de peau, mais perplexe aussi.
*******
Quelle magnifique demeure, à seulement 15 km de Brighton.
Se dressant entre forêts et vallons à perte de vue, la Maison de Cold Hill s'impose en grande maîtresse des lieux, au sommet de la colline.
À ses pieds, moutons et alpagas paissent tranquillement dans les pâturages de la propriété loués à un fermier.
La famille O'Hare, parents de deux jeunes enfants, viennent d'acheter le "château" comme le dit la petite Daisy quand elle aperçoit la maison que ses parents viennent d'acheter.
Johnny et Rowena savent que beaucoup de travaux les attendent dans leur nouvelle demeure, mais cela ne leur fait pas peur, anticipant leur bonheur futur dans ce coin de paradis.
Alors qu'ils rejoignent le porche de la maison, le vent se lève, la pluie s'abat Rowena distingue le visage d'une femme derrière une fenêtre de la bâtisse.
Peut-être des gens finissent-ils le ménage avant leur arrivée...
Le ciel s'assombrit soudain et un grondement menaçant se fait entendre. Le tonnerre ?
Une ardoise se détache du toit, entraînant d'autres tuiles coupantes en avalanche...
Bah oui ! Fallait pas se garer si près, il faut dire aussi...
Des années plus tard, Ollie, Caro, et leur fille de 12 ans Jade, arrivent à Cold Hill.
Nouveaux propriétaires de la maison, ils ont mis tout ce qu'ils avaient dans son acquisition.
S'attendant à quelques travaux, ils anticipent de belles et heureuses années dans La Maison de Cold Hill.
Les "quelques" travaux se transforment en chantier, la maison n'étant pas décidée à se laisser faire.
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J'avais déjà lu ce livre il y a des années, mais figurez-vous que je l'ai redécouvert avec autant de sensations que la première fois.
Quel auteur ! Quel génie !
Entre rêve et réalité, le récit m'a emportée, subjuguée, envahie d'émotions contraires.
Les certitudes volent en éclats, passé, présent, futur, se mélangent sans qu'on en ait conscience.
Les personnages sont très attachants. La plume... ai-je besoin d'en parler ? Peter James n'est pas l'un de mes auteurs préférés pour rien.
Les paysages sont décrits à la perfection ; le récit foisonne de détails, sans la moindre longueur.
Il vous attend !
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isbn:9782811212285
J'aime beaucoup l'écriture simple de Peter James.
Un bon thriller, des touches d'émotions, quelques questionnements des choses simples et complexes à la fois.
Mort...ou presque est le 3eme volume des enquêtes de Roy Grace, commissaire à Brighton.
Meme si j'avais rapidement vu la fin, l'intrigue est bien prenante et sympa.
Un.bon polar !
Un bon thriller, des touches d'émotions, quelques questionnements des choses simples et complexes à la fois.
Mort...ou presque est le 3eme volume des enquêtes de Roy Grace, commissaire à Brighton.
Meme si j'avais rapidement vu la fin, l'intrigue est bien prenante et sympa.
Un.bon polar !
Un bon Peter James, son style fluide, ses chapitres rapides...Et ses personnages bien connus, comme le commissaire Roy Grace...
Il y a environ 10 ans, sa femmes disparaissait...Certains policiers ont même pensé qu'il l'avait bien aidée...Mais alors que désirant (enfin) refaire sa vie, il avait demandé et obtenu qu'elle soit déclarée officiellement morte, elle réapparait à Munich.
Qu va-t-il sa passer dans ce livre ? Comment cette histoire va-t-elle avancer ?
Il ne s'agit que très rarement de deviner qui est le coupable chez cet auteur. En général, on le connait, on connait aussi ses intentions. Comment va-t-on réussir à l'empêcher de mal faire ?
D'abord une extradition : le tueur qui avait grièvement blessé le commissaire Grace et s'était évadé vient d'être retrouvé en France : il faut organiser son retour au Royaume Uni.
Ensuite une femme vraiment fatale. Jodie était une petite fille et une adolescente laide. On ne se faisait pas faute de lui dire dans sa famille et elle s'était jurée qu'adulte elle serait belle et surtout riche.
C'est facile : il suffit d'épouser un homme riche et de le tuer ! Cela sera-t-il si simple ?
Peut être a-t-elle commis une erreur ? Un individu très désagréable se mêle à l'affaire...
Et il y a aussi un petit cambrioleur qui semble perdu dans la cour des grands...
Une bonne lecture pas prise de tête....Et j'adore Brighton...
Il y a environ 10 ans, sa femmes disparaissait...Certains policiers ont même pensé qu'il l'avait bien aidée...Mais alors que désirant (enfin) refaire sa vie, il avait demandé et obtenu qu'elle soit déclarée officiellement morte, elle réapparait à Munich.
Qu va-t-il sa passer dans ce livre ? Comment cette histoire va-t-elle avancer ?
Il ne s'agit que très rarement de deviner qui est le coupable chez cet auteur. En général, on le connait, on connait aussi ses intentions. Comment va-t-on réussir à l'empêcher de mal faire ?
D'abord une extradition : le tueur qui avait grièvement blessé le commissaire Grace et s'était évadé vient d'être retrouvé en France : il faut organiser son retour au Royaume Uni.
Ensuite une femme vraiment fatale. Jodie était une petite fille et une adolescente laide. On ne se faisait pas faute de lui dire dans sa famille et elle s'était jurée qu'adulte elle serait belle et surtout riche.
C'est facile : il suffit d'épouser un homme riche et de le tuer ! Cela sera-t-il si simple ?
Peut être a-t-elle commis une erreur ? Un individu très désagréable se mêle à l'affaire...
Et il y a aussi un petit cambrioleur qui semble perdu dans la cour des grands...
Une bonne lecture pas prise de tête....Et j'adore Brighton...
J'ai adoré ce livre comme toutes les autres enquêtes de Roy Grâce. Il n'y a pas de temps morts entre l 'intrigue policière et les différentes histoires des personnages principaux.
Sur le papier ce roman avait beaucoup de choses pour me plaire malheureusement je n'ai pas su accrocher à cette lecture et j'en suis ressortie un peu mitigée. Tout d'abord j'ai trouvé le tout beaucoup trop lent (mais vraiment) il y avait pour moi bien 200-250 pages de trop... J'ai trouvé le début trop long, puis l'action est trop lente et enfin la suite traine, bref ça traine en longueur et c'est vraiment un aspect qui me bloque beaucoup dans mes lectures.
Second point qui a coincé pour moi a été l'intrigue que j'ai trouvé trop tirée par les cheveux, j'ai trouvé ça dommage car le concept d'un bébé modifié génétiquement je trouvais ça super intéressant cependant c'est vraiment parti dans tout les sens jusqu'à me perdre totalement, tout comme la fin que j'ai trouvé un peu abrupte. J'ai vraiment été frustrée car le début de l'action avait un vrai potentiel, on ressentait une certaine angoisse dans le roman lorsque l'enfant est petit malheureusement la tournure du roman a (à mon gout) gâché cette ambiance créée.
Vous l'aurez compris ça n'a pas été une très bonne lecture même si je suis quand même contente d'avoir testé car le résumé me tentait beaucoup.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Second point qui a coincé pour moi a été l'intrigue que j'ai trouvé trop tirée par les cheveux, j'ai trouvé ça dommage car le concept d'un bébé modifié génétiquement je trouvais ça super intéressant cependant c'est vraiment parti dans tout les sens jusqu'à me perdre totalement, tout comme la fin que j'ai trouvé un peu abrupte. J'ai vraiment été frustrée car le début de l'action avait un vrai potentiel, on ressentait une certaine angoisse dans le roman lorsque l'enfant est petit malheureusement la tournure du roman a (à mon gout) gâché cette ambiance créée.
Vous l'aurez compris ça n'a pas été une très bonne lecture même si je suis quand même contente d'avoir testé car le résumé me tentait beaucoup.
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Je vous fais un retour sur "Hypnose" de Peter James, ce n'est pas le premier livre de l'auteur que je lis mais c'est celui que j'ai préféré. Une très bonne découverte je dirais.
L'histoire est vraiment chouette même frissonnante par moment. Les thèmes évoqués dans ce récit sont très intéressants et passionnants. Les chapitres sont courts, bien écrits et bien rythmés, je l'ai dévoré d'une traite et c'était vraiment sympa.
J'ai beaucoup aimé Charley et sa quête de vérité mais je n'ai vraiment pas accroché avec Tom son mari par contre que j'ai trouvé très égoïste et complètement indifférent à la souffrance de sa femme. J'aurai aimé une autre fin pour eux.
J'ai passé un très bon moment avec cette lecture qui m'a aidé à combler le temps perdu d'une insomnie.
L'histoire est vraiment chouette même frissonnante par moment. Les thèmes évoqués dans ce récit sont très intéressants et passionnants. Les chapitres sont courts, bien écrits et bien rythmés, je l'ai dévoré d'une traite et c'était vraiment sympa.
J'ai beaucoup aimé Charley et sa quête de vérité mais je n'ai vraiment pas accroché avec Tom son mari par contre que j'ai trouvé très égoïste et complètement indifférent à la souffrance de sa femme. J'aurai aimé une autre fin pour eux.
J'ai passé un très bon moment avec cette lecture qui m'a aidé à combler le temps perdu d'une insomnie.
Vous ne regarderez plus jamais vos médicaments de la même manière après cette lecture !
Alchimiste est un bon thriller, entre ésotérisme et monde pharmaceutique. L'auteur s'est renseigné sur les différentes techniques de laboratoire dans les années 90 et sur la mise sur le marché d’un médicament. Le choix d’utiliser le génie génétique au cœur de l’intrigue est vraiment intéressant et mène à de nombreuses réflexions, même si l’opposition sciences et religion est sans doute un peu maladroite.
Le récit est rythmé, avec des chapitres courts et percutants, et des changements réguliers de narrateur. Il faut parfois s’accrocher pour resituer tout le monde. Les laboratoires pharmaceutiques en prennent pour leur grade et il est évident (j'espère !) que la réalité n'est pas si sombre, mais j'ai passé un bon moment de lecture.
Alchimiste est un bon thriller, entre ésotérisme et monde pharmaceutique. L'auteur s'est renseigné sur les différentes techniques de laboratoire dans les années 90 et sur la mise sur le marché d’un médicament. Le choix d’utiliser le génie génétique au cœur de l’intrigue est vraiment intéressant et mène à de nombreuses réflexions, même si l’opposition sciences et religion est sans doute un peu maladroite.
Le récit est rythmé, avec des chapitres courts et percutants, et des changements réguliers de narrateur. Il faut parfois s’accrocher pour resituer tout le monde. Les laboratoires pharmaceutiques en prennent pour leur grade et il est évident (j'espère !) que la réalité n'est pas si sombre, mais j'ai passé un bon moment de lecture.
Le commentaire de Cathy :
Peter James est un auteur que j’avais envie de lire depuis pas mal de temps, " Mort au premier regard " fait partie d’une série ayant Roy Grace commissaire à la police criminelle de Brighton.
Johnny Fordwater croyait avoir trouvé l’amour, il avait hâte d’enfin pouvoir embrasser celle avec qui il échange depuis des mois sur un site de rencontre, il n'a pas hésité à s'endetter d'un demi-million afin de l'aider à traverser une mauvaise passe.
Son monde s’effondre lorsque des policiers lui annoncent qu’il vient d’être victime d’une escroquerie, la femme avec qui il échangeait n’existe pas, les photos de son profil ont été usurpées à une femme retrouvée brutalement assassinée à son domicile.
À Brighton, les forces de l'ordre font face à un nombre inédit d'arnaques de ce genre et comprennent vite qu'elles cachent un réseau international échappant à tout contrôle.
Le commissaire Roy Grace, sera-t-il capable de le démanteler avant que les morts ne s'accumulent ?
La thématique abordée dans ce roman est dans l’air du temps, nous entendons beaucoup parler de ce genre d’arnaque à l’amour sur Internet, ses " brouteurs " sans scrupules qui dépouillent leurs victimes sans états d’âme.
J’ai trouvé le récit original, l’intrigue bien mené, bien que ce roman fasse partie d’une série, je n’ai eu aucun mal à trouver mes marques, j’ai beaucoup aimé Grace Roy, un personnage assez particulier mais attachant.
L’auteur à une plume très agréable, il nous propose un récit bien construit avec une bonne intrigue, je viens de passer un bon moment de lecture, Peter James est un auteur que je relirais avec plaisir.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
Peter James est un auteur que j’avais envie de lire depuis pas mal de temps, " Mort au premier regard " fait partie d’une série ayant Roy Grace commissaire à la police criminelle de Brighton.
Johnny Fordwater croyait avoir trouvé l’amour, il avait hâte d’enfin pouvoir embrasser celle avec qui il échange depuis des mois sur un site de rencontre, il n'a pas hésité à s'endetter d'un demi-million afin de l'aider à traverser une mauvaise passe.
Son monde s’effondre lorsque des policiers lui annoncent qu’il vient d’être victime d’une escroquerie, la femme avec qui il échangeait n’existe pas, les photos de son profil ont été usurpées à une femme retrouvée brutalement assassinée à son domicile.
À Brighton, les forces de l'ordre font face à un nombre inédit d'arnaques de ce genre et comprennent vite qu'elles cachent un réseau international échappant à tout contrôle.
Le commissaire Roy Grace, sera-t-il capable de le démanteler avant que les morts ne s'accumulent ?
La thématique abordée dans ce roman est dans l’air du temps, nous entendons beaucoup parler de ce genre d’arnaque à l’amour sur Internet, ses " brouteurs " sans scrupules qui dépouillent leurs victimes sans états d’âme.
J’ai trouvé le récit original, l’intrigue bien mené, bien que ce roman fasse partie d’une série, je n’ai eu aucun mal à trouver mes marques, j’ai beaucoup aimé Grace Roy, un personnage assez particulier mais attachant.
L’auteur à une plume très agréable, il nous propose un récit bien construit avec une bonne intrigue, je viens de passer un bon moment de lecture, Peter James est un auteur que je relirais avec plaisir.
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Le jour où Red Wetswood s’est inscrite sur un site de rencontres, elle aurait mieux fait d’aller se coucher !
Elle y a déniché l’homme parfait (du moins le pensait-elle). Drôle intelligent, riche, ressemblant à Georges Clooney en plus jeune, de quoi pouvait-elle rêver de mieux ?
Mais la réalité est tout autre : il serait plutôt… psychopathe, menteur, assassin, violent, jaloux, incontrôlable…
Heureusement Roy Grace et son équipe de brillants enquêteurs seront là pour lui porter secours. En tout cas c’est ce qu’ils tenteront de faire. Cependant, ils devront en payer un lourd tribu.
Du côté vie privée de Roy les choses évoluent assez rapidement. On apprend des informations essentielles sur la disparition de son ex femme Suzy, dix ans plus tôt. Et surtout, Roy et Cleo, sa nouvelle compagne, doivent se marier. Mais entre vie professionnelle intense et vie privée compliquée le mariage pourra-t-il avoir lieu ? Et si oui, se déroulera-t-il sereinement ?
Et sauveront-ils Red Wetswood ?
Réponse… dans le bouquin ! :o)
===
Et voici le dixième tome de la série Roy Grace. Un incroyable page-turner ! On n’a pas le temps de reprendre son souffle. 506 pages dévorées en deux jours.
Ce tome 10, « Pour l’éternité » est pour moi le meilleur. On est tenu en haleine jusqu’à la dernière page, une fin magistrale.
Je l’ai déjà dit, Peter James est l’un de mes chouchous. Je persiste et signe.
Les prochains livres sont déjà dans ma PAL !
Elle y a déniché l’homme parfait (du moins le pensait-elle). Drôle intelligent, riche, ressemblant à Georges Clooney en plus jeune, de quoi pouvait-elle rêver de mieux ?
Mais la réalité est tout autre : il serait plutôt… psychopathe, menteur, assassin, violent, jaloux, incontrôlable…
Heureusement Roy Grace et son équipe de brillants enquêteurs seront là pour lui porter secours. En tout cas c’est ce qu’ils tenteront de faire. Cependant, ils devront en payer un lourd tribu.
Du côté vie privée de Roy les choses évoluent assez rapidement. On apprend des informations essentielles sur la disparition de son ex femme Suzy, dix ans plus tôt. Et surtout, Roy et Cleo, sa nouvelle compagne, doivent se marier. Mais entre vie professionnelle intense et vie privée compliquée le mariage pourra-t-il avoir lieu ? Et si oui, se déroulera-t-il sereinement ?
Et sauveront-ils Red Wetswood ?
Réponse… dans le bouquin ! :o)
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Et voici le dixième tome de la série Roy Grace. Un incroyable page-turner ! On n’a pas le temps de reprendre son souffle. 506 pages dévorées en deux jours.
Ce tome 10, « Pour l’éternité » est pour moi le meilleur. On est tenu en haleine jusqu’à la dernière page, une fin magistrale.
Je l’ai déjà dit, Peter James est l’un de mes chouchous. Je persiste et signe.
Les prochains livres sont déjà dans ma PAL !
Ce n'est pas le premier livre de Peter James que je lis, et ne nous mentons pas, ce ne sera pas le dernier. Mais j'avoue avoir été quelque peu déstabilisée, même si j'ai beaucoup aimé ce que j'ai lu. On suit ici l'histoire de Jason et Emily qui emménagent dans leur nouvelle maison, pièce maîtresse d'un lotissement dernier cri à la pointe de la technologie. Petit détail mais qui a son importance, il est construit sur l'ancien emplacement d'une grande maison au passé tragique.
J'ai dévoré le livre, clairement. L'écriture de Peter James m'accroche toujours autant, sa façon de faire monter la tension et de rentrer rapidement dans le vif du sujet m'a accrochée de suite et j'ai eu du mal à me résoudre à poser mon bouquin. Les personnages sont bien construits, on aime les suivre dans leur quotidien, les voir interagir avec leurs excentriques voisins d'en face et surtout les voir se perdre entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Et le problème, c'est que j'avoue m'être perdue aussi. Arrivée à la fin, je me suis demandée à quel moment tout avait basculé, et même si la conclusion est claire, le chemin pour y arriver ne l'est pas, du moins pas pour moi. Quelques détails m'ont échappés, mais globalement j'ai adoré, je me suis laissée emporter par le tout. J'aurais juste apprécié une délimitation plus nette entre le quotidien et le moment où tout déraille, un déclic qui me fasse me dire "ah ben oui c'est là", même si on a quand même assez d'indices pour deviner la fin.
En tout cas ce fut une bien bonne lecture, j'avais très envie de découvrir ce livre et je ne regrette pas, il m'a juste donné envie de lire un autre livre de l'auteur qui est dans ma pile à lire !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
J'ai dévoré le livre, clairement. L'écriture de Peter James m'accroche toujours autant, sa façon de faire monter la tension et de rentrer rapidement dans le vif du sujet m'a accrochée de suite et j'ai eu du mal à me résoudre à poser mon bouquin. Les personnages sont bien construits, on aime les suivre dans leur quotidien, les voir interagir avec leurs excentriques voisins d'en face et surtout les voir se perdre entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Et le problème, c'est que j'avoue m'être perdue aussi. Arrivée à la fin, je me suis demandée à quel moment tout avait basculé, et même si la conclusion est claire, le chemin pour y arriver ne l'est pas, du moins pas pour moi. Quelques détails m'ont échappés, mais globalement j'ai adoré, je me suis laissée emporter par le tout. J'aurais juste apprécié une délimitation plus nette entre le quotidien et le moment où tout déraille, un déclic qui me fasse me dire "ah ben oui c'est là", même si on a quand même assez d'indices pour deviner la fin.
En tout cas ce fut une bien bonne lecture, j'avais très envie de découvrir ce livre et je ne regrette pas, il m'a juste donné envie de lire un autre livre de l'auteur qui est dans ma pile à lire !
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Appréciant particulièrement Peter James en tant qu'auteur de polars psychologiques, à l'intrigue machiavélique, je n'ai donc pas hésité à me plonger dans la lecture de ce titre que je ne connaissais pas.
Résultat des courses : j'en ressors avec un sentiment mitigé. L'intrigue en elle-même, teintée de satanisme, et, d'occultisme n'est guère convaincante. On comprends assez rapidement le pourquoi du comment entourant le fil conducteur du "scénario". Il n'y a pas vraiment d'embrouilles. Les personnages, quant à eux, semblent linéaires, plats ainsi que prévisibles. Tout comme le récit, d'ailleurs.
Même ne m'a guère emballé, ni déplu, je m'attendais à autre chose, au vue des polars déjà lu c'est-à-dire centré autour d'une histoire démoniaque et surtout composée d'individus perfides, fourbes et retors à souhaits.
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