Une belle tisseuse transformée en grue majestueuse, un samouraï à la recherche des portes du paradis, la vengeance d'un lièvre rusé sur un blaireau gourmand...Entre poésie et tradition, les contes de Claude Clément nous transportent jusqu'au Pays du Soleil Levant dans un bel album illustré avec délicatesse.
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Un grand coup de cœur pour ce concours de cabane dont les illustrations sont incroyables !
On prend naturellement le temps d’observer tous les détails fourmillants et quelle imagination!
Autre détail qui rend l’album aussi intéressant c’est ce tour du monde avec les détails historiques ou les anecdotes cités pour chaque essence d’arbre.
La surprise des dernières pages ajoute une très jolie gourmandise de lecture.
Ce livre va faire rêver petits et grands.
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" La plus belle crotte du monde". On ne serait pas forcément la question, nous les grands lecteurs. La crotte, pouah, caca!
Et pourtant, sans doute, que les jeunes lecteurs seront intéressés d'y plonger virtuellement le nez. Il y a toujours à apprendre et de tout. Nous vous renvoyons vers un lourd dossier, l'album " De la taupe qui voulait savoir qui lui avait fait sur la tête" de Werner Holzwarth et Wolf Erlbruch chez Milan. Nous sortions du sujet, comme qui dirait, déja un peu expert.
La crotte, le boudin, le colombin.
La 1ère de couverture est amusante, belle, délicate et soignée, la police d'écriture du titre en courbes et pirouettes pouvait par erreur nous suggérer un livre de princesses. Il n'en sera nullement le cas. Pourquoi choisir un tel contraste?
Sans doute que l'auteure Marie Pavlenko nous promettra du beau et de l'émouvant avrc du caca. Mais comment l'imaginer?
Et bien lisons.
Comme avec l'album cité plus haut nous seront sur la présentation d'une galerie de déjection diverse et variée. La Nature est très riche. Du bel oeuvre.
C'est à ce point fascinant que les animaux du bois de l'histoire décideront de concourir afin de déterminer quelle est la plus belle de leur crotte.
Le genre graphique de l'illustratrice Camille Laroche dépouillera l'histoire de ses relents immondes, tout est beau, coloré et la nature est merveilleuse.
Nous continuerons de rire, nous lecteurs, du drôle de concours tandis que pour les animaux, faire dans la Nature, rien de cela ne sera moins inhabituel.
Les détails de la forêt alentourattirera d'avantage notre regard, recentrant finalement notre intérêt sur l'essentiel.
On remarquera en tous cas que ce concours fédérera les animaux sans qu'ils se mordillent ou se chamaillent. Les sujets de caca réunissent donc et mettent d'accord?
Certainement, avec la fin et la chute du livre.
Et là, on ne pourra que sourire du bon symbole de paix que nous ne reconnaissions pas au caca. Vous verrez.
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Promenons-nous dans les contes, cherchons-les derrières les petites cachettes habilement dissimulées. Accompagné de Ferdinand Croquette, petite souris guide à ses heures perdues, vous découvrirez une multitude de détails. A vous de deviner quel est ce personnage ou à quel conte fait référence cet objet !
C'est un très bel album écrit et illustré par Alexandra Garibal et Princesse Camcam. Des cachettes à foison - pas toujours facile à trouver -, de nombreux contes référencés et des illustrations très colorées, et tout ça en grand format s'il vous plaît !
Ce livre a beaucoup de charme et c'est un vrai régal quand on est adepte des contes, qu'ils soient célèbres ou un peu moins.
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Allez zou !
Concours de la plus belle crotte du monde.
Tout les animaux de la forêt s'y prêtent au jeu. A chacun leurs tours nous propose son plus beau CACA..
Un album a mourir de rire, avec des illustrations très belles.
Bravo
Vos petits se tordront de rire.
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Le point fort immédiat de l'album, sa technique graphique.
C'est un enchantement, un régal pour les yeux, un jeu de découpages des formes qui sont mises en scène et offre une belle profondeur, une autre magie pour une histoire très simple.
Nous ne sommes pas très loin du thème de la "moufle", non par principe d'accumulation mais par son thème universel de la générosité en ce temps difficile.
Comme beaucoup d'histoires de l'hiver froid, les auteurs aiment à sensibiliser sur le partage, sur l'invitation au chaud, bien vital en cette période qui peut transir les os et quelques coeurs.
Un classique du genre à noter, "Juste un petit bout" d'Emile Jadoul.
Dans "Fox's Garden", une renarde se fait houspiller et chasser de partout en plein hiver.
Il lui faut trouver un abri rapidement et on le comprend, puisque la renarde est maman d'une famille nombreuse.
C'est là qu'intervient un petit garçon qui la surprend s'introduisant dans le jardin d'hiver près de sa maison.
On peut s'en douter, à cet âge, apercevoir un renard non loin de sa personne, c'est une expérience exceptionnelle, alors imaginez lorsque ce petit garçon, chers lecteurs, découvre à l'intérieur de la serre son petit secret.
La scénographie toute en papier découpé, fin, est superbe, délicate.
Que va faire l'enfant? Prendre peur, alerter ses parents?
Gage que cela n'aura rien à voir puisqu'on peut remarquer un petit panier dans les mains de l'enfant.
La suite laisse place à l'interprétation, plus qu'au début pour cet album sans texte, nous sommes tentés de revenir plusieurs fois en arrière pour bien comprendre, ce qui nous permet au mieux de profiter pleinement des illustrations.
La fin est adorable, tendre, touchante, cela devrait plaire aux jeunes lecteurs et pas que.
Une belle découverte.
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C'est rarissime, mais je n'ai rien trouvé à sauver dans ce tout petit livre, à part le thème, les cabanes, ça intéresse toujours.
Attention, plein de spoilers !!
Ah si, les trois premières pages m'ont bien amusée, quand Hugo se documente sur les arbres, pour découvrir que tous les grands arbres intéressants sont très loin d'ici et que le fraisier, c'est pas terrible pour y construire une cabane.
Ensuite :
- ils arrachent la page de l’encyclopédie qui les intéresse et l’affichent sur leur arbre. Ça parait tout normal, aucun problème !
- Ils enfoncent des planches dans le tronc de l'arbre, puis des clous. Ben voyons !!
- quand les parents découvrent ceci, pas un mot sur les dommages, ils sont ravis !
- Par contre, ils interdisent aux enfants de passer la nuit dans la cabane, sans leur donner la moindre explication. C'est non !
- Bien entendu, les deux enfants, ne voyant pas de raison valable (à part que les parents oublient ce que c'est que d'être enfant) y vont quand même.
- Quand au matin, les parents les cherchent en vain dans la maison, au lieu d'aller droit à la cabane, ils commencent par prévenir de leur disparition les parents du petit copain, donc ils ont la garde pour 2 mois.
Bien entendu les parents arrivent, et emmènent le copain, alors que les deux enfants se réjouissaient de passer toutes leurs vacances ensemble, étant séparés depuis peu par 800 km.
La punition semble assez disproportionnée !
Et pour conclure, il va graver tout un texte sur le tronc de l'arbre.
Tout ça en 38 pages !
Et j'ai passé sur le danger encouru par les enfants qui ont grimpé dans un grand chêne pour bricoler là-haut, sans aucune aide ni conseil d'adultes. Lesquels adultes sont ravis de l'apprendre ensuite, mais leur refusent une nuit à passer là-haut ??
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Avec délices, j'ai "lu" pour Apolline - 4 ans - ce merveilleux album hier soir après l'école. C'est une promenade dans les quartiers centraux de Paris d'une poésie tranquille et d'une fraîcheur pleine de sensibilité. La quête de ce gentil chat un peu enveloppé, les différentes nuances du jour, la gentillesse de ces rencontres avec des personnages de toutes les couleurs, et la chute inattendue où ma petite-fille m'a montré comment elle savait compter le nombre de chats rassemblés dans le salon de la petite Lola ... J'ai moi aussi adoré cette escapade, en appréciant particulièrement ce graphisme délicat qui m'a rappelé le style de Peynet. Merci Princesse Camcam !
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Miyako de tokyo est un livre illustré pour les enfants. Dans ce livre, il est présenté certaine des fêtes japonaise comme la fête des filles et celle des garçons, certaines spécialités culinaires, ect. A la fin du livre, il y a un petit lexique japonais-français. En plus, sur le site internet de la maison d'édition abc melody, il y a un bonus audio qui raconte l'histoire du livre et qui introduit chaque page avec une musique d'ambiance. C'est sympathique à lire même pour les plus grands car il y a quand-même plusieurs mots japonais à chaque fois expliquer. Exemple : yakisoba nouilles sautées. Le seul point que j'ai moins aimé c'est les dessins des personnages mais ce n'est que mon goût personnel. Merci à babelio et à abc melody pour m'avoir fait découvrir ce petit livre illustré.
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Je remercie Babelio et les éditions ABC Melody de m'avoir fait parvenir ce livre pour la participation à la Masse Critique jeunesse.
Ma fille de 6 ans a adoré ce livre. Il faut dire que nous revenions à peine d'un week-end à Paris lorsqu'elle a découvert le livre qui lui a rappelé les endroits qu'elle a apprécié le plus.
Cette collection "Viens voir ma ville" est superbe par les dessins et montre la ville, ses points forts et la vie qu'on y mène.
De plus, il est possible d'écouter l'histoire sur le site de l'éditeur, un réel plus.
A découvrir.
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Anouk et Sacha emménagent dans une petite ville de campagne suite au décès de leur maman. Dans les bois proche de leur maison, il y a des loups que traquent leur oncle. Un jour, alors qu'ils sortent se promener, ils trouvent des bébés loups. Ils décident alors d'en prendre soin.
C'est un graphique tout doux empreint de beaucoup d'émotions.
Anouk et Sacha m'ont beaucoup touchés car on les sent très tristes. Leur père est encore sous le choc de la mort de leur mère et complètement absent émotionnellement du quotidien. Sacha est mutique et ne peut plus parler. Alors c'est Anouk du haut de ses treize ans qui prend les choses en main. Pourtant sa vie à elle n'est pas facile. Comme cela ne suffisait pas, elle est victime de harcèlement scolaire et les élèves, cruels, lui rappelent sans cesse que sa mère est morte dans l'attentat du Bataclan.
Alors les bébés loups, sont un excellent dérivatif à la douleur d'Anouk et Sacha.
Les dessins sont très mignons, j'ai beaucoup aimé le trait de crayon, les visages des personnages transmettent leurs émotions. Les couleurs sont jolies et douces.
C'est un graphique accessible aux enfants à partir de 8ans qui traite de beaucoup de sujets tels que le harcèlement scolaire, le deuil, l'amitié, la défense des animaux.
Je recommande.
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Pour des raisons qui ne sont pas évoquées au début de l'album, Anouck et Sasha déménagent avec leur père dans la maison de leur oncle. L'absence de leur mère est inexpliquée et tout le monde semble écrasé dans une atmosphère lourde dans cette maison. Mais la vie entraîne les enfants à découvrir leur environnement et une portée de louveteau dont leur oncle, chasseur, a semble-t-il tué leur mère. Le loup apparaît comme une menace dans la région.
Cet album permet d'aborder la perte d'un être cher, la souffrance qu'elle engendre chez les enfants mais aussi les adultes. Il traite comment la violence de la mort par attentat a des répercussions sur l'ensemble des membres d'une famille, comment le chagrin difficile a exprimer génère des incompréhensions. Lorsque les adultes acceptent de vivre leur tristesse et de mettre des mots dessus, les enfants peuvent enfin comprendre ce qui leur arrive et y faire face soutenus par leurs proches.
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Ma petite louve est une BD touchante qui aborde la thématique du deuil, de l’acceptation des autres, du harcèlement. On suit deux enfants, Anouk et Sacha, qui quittent la ville avec leur père et viennent habiter à la campagne suite au décès tragique de leur mère lors de l’attentat du Bataclan. Le village où ils recommencent leur vie est touché par des attaques de loups et leur oncle est chasseur. Les deux enfants, moqués et mal accueillis dans leur école, vont trouver dans la forêt des louveteaux dont la maman louve a été tuée. Ils décident de tout faire pour leur permettre de survivre. Le parallèle entre la situation d’Anouk et Sacha et celle des louveteaux se fait et rend la situation très touchante. En même temps, on suit les interactions sociales des deux enfants qui se sentent incompris et exclus auprès d’un oncle colérique qui en veut au monde entier, d’un père dépressif qui ressasse le passé et d’élèves moqueurs. J’ai trouvé ce dernier point très dérangeant : on sait à quel point les enfants et ado peuvent être terribles et harceleurs mais ici le trait m’a paru beaucoup trop forcé et tiré par les cheveux car il advient violemment dès la première rencontre sans raison. De plus, le comportement toxique de certains personnages n’est pas dénoncé ni remis à question à aucun moment, c’est bien dommage. Heureusement, Anouk et Sacha tirent leur force de leur relation frère-sœur fusionnelle et pleine de bienveillance. À part cela, les dessins sont sympathiques avec des jolies couleurs et des visages expressifs.
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Je me suis intéressée à ce livre car j’aime beaucoup le travail de l’illustratrice Camille Garoche.
Dans cet album, on n’est pas déçu les illustrations sont très belles.
L’histoire est tout d’abord mignonne, faussement simplette mais le rebondissement final est savoureux !
Cette histoire n’est pas sans rappeler celle de « La taupe qui voulait savoir qui lui avait fait sur la tête ».
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Quelle est la plus belle
crotte du Monde?
C'est une vraie question!
Les animaux de la forêt tentent d'y répondre...
C'est un concours impitoyable !
De la souris au lion,
Tous défèquent à qui mieux mieux !
Ils se tortillent, un peu cabots...
Délicieuses prestations
Quand, oh stupeur
surgit un compétiteur
hors programme.!.
Si vous n'avez pas deviné,
vous savez ce qui vous reste à faire!
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Si vous voulez des grands sourires d'enfants à la lecture du titre "La plus belle crotte du monde" et des "ihihihi" "wow" à chaque page, c'est un bel album à offrir aux petits, parfait pour le #mercredicestlejourdulivredesenfants ❤️ On pourrait demander à Lou, ma petite cousine de 4 ans, de nous donner son avis mais la première lecture l'a fait beaucoup rire, suivi d'un "encore une foiiiiis" 😍
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Direction la clairière du bois des fées, où les animaux toujours plus somptueux les uns que les autres se bataillent à qui fait les plus belles crottes du monde ? Un comique de répétition qui fait bien sourire, avec des crottes toutes différentes et... La plus belle crotte n'est pas celle qu'on croit ! Le vainqueur est finalement le chasseur, qui glisse et chute sur les jolies crottes, jusqu'à repartir bredouille... Un joli album aux illustrations très colorées de @camille_garoche_illustratrice (je découvre et wow), aux animaux vraiment mis en valeur dans une forêt qui donne envie de s'y balader, avec une fin surprenante mais amusante et bien sympa sur son message : bonheur des animaux en liberté ❤️
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