Critiques de Régis Chaperon (99)
Je remercie l’auteur de m’avoir fait découvrir cette pépite.
J’ai tout de suite été emballée par cette histoire entre science-fiction, dystopie et intelligence artificielle.
Deux planètes éloignées l’une de l’autre dans l’univers mais tellement proches en réalité. En effet, sur Eredet où sévit une guerre sans fin entre deux camps, les humains ont fui loin sur Proxima.
Sur Eredet, où la guerre dure depuis plus d’un siècle nous faisons la connaissance de Dyclan robot guerrier qui à longueur de journée part au combat, en revient, puis repart inlassablement jusqu’au jour où il va faire une étrange rencontre : Hugo, dernier humain survivant de cette apocalypse, caché au fin fond des ruines d’une bibliothèque où son seul salut vient de la lecture. Dyclan qui malgré sa condition de robot va sentir un changement surprenant de sa nature, il va découvrir les livres, va apprendre à les déchiffrer. J’ai vu cela comme une métaphore de l’éveil d’un être non prédestiné à avoir une conscience et un raisonnement. Le bienfait de la lecture, l’élévation de l’esprit, le développement de l’imagination et le ressenti des émotions, tout ce qui fait que nous sommes sensibles et curieux. Hugo va partager tout cela avec Dyclan et un lien tout particulier va se nouer entre eux deux.
Sur Proxima, les survivants y ont construit une nouvelle société où paix et douceur de vivre règnent. Des évènements vont bouleverser cet équilibre et pointer du doigt les écueils de la nature humaine. Le lecteur va cheminer avec Viiktor, Elias, Célia, Heelena et bien d’autres. Beaucoup de questions vont se poser, beaucoup de rebondissements font la richesse de cette histoire. Rien n’est vraiment lisse, il y a toujours des aspérités et les habitants de Proxima vont en faire l’amère découverte.
Cette histoire est très bien construite, les personnages parfaitement bien dépeints, je me suis très facilement attachée à Hugo, Dyclan tout particulièrement mais aussi à Viiktor, Heelena et d’autres plus secondaires. J’ai détesté Dacel, esprit diabolique dans le corps d’un robot défectueux mais qui va réussir à manipuler son monde et arriver à ses fins.
Ce roman est plein d’émotions et j’ai ressenti de la tendresse pour Dyclan et Hugo, leur relation est étrange certes mais si belle. L’auteur a su montrer l’évolution lente du robot-guerrier tout en gardant en ligne de mire sa nature originelle. Même si c’est de la science-fiction on reste dans le plausible.
L’écriture de Régis Chaperon est ciselée, fluide, le vocabulaire riche, les descriptions précises ce qui permet une très bonne visualisation du monde dans lequel nos héros évoluent. Le livre en tant qu’objet, en tant que savoir, enrichissement personnel et ouverture d’esprit, est un des piliers de ce roman.
Franchement je vous conseille cette lecture, je n’y ai trouvé aucun défaut. Et j’espère vraiment que l’auteur a prévu une suite.
J’ai tout de suite été emballée par cette histoire entre science-fiction, dystopie et intelligence artificielle.
Deux planètes éloignées l’une de l’autre dans l’univers mais tellement proches en réalité. En effet, sur Eredet où sévit une guerre sans fin entre deux camps, les humains ont fui loin sur Proxima.
Sur Eredet, où la guerre dure depuis plus d’un siècle nous faisons la connaissance de Dyclan robot guerrier qui à longueur de journée part au combat, en revient, puis repart inlassablement jusqu’au jour où il va faire une étrange rencontre : Hugo, dernier humain survivant de cette apocalypse, caché au fin fond des ruines d’une bibliothèque où son seul salut vient de la lecture. Dyclan qui malgré sa condition de robot va sentir un changement surprenant de sa nature, il va découvrir les livres, va apprendre à les déchiffrer. J’ai vu cela comme une métaphore de l’éveil d’un être non prédestiné à avoir une conscience et un raisonnement. Le bienfait de la lecture, l’élévation de l’esprit, le développement de l’imagination et le ressenti des émotions, tout ce qui fait que nous sommes sensibles et curieux. Hugo va partager tout cela avec Dyclan et un lien tout particulier va se nouer entre eux deux.
Sur Proxima, les survivants y ont construit une nouvelle société où paix et douceur de vivre règnent. Des évènements vont bouleverser cet équilibre et pointer du doigt les écueils de la nature humaine. Le lecteur va cheminer avec Viiktor, Elias, Célia, Heelena et bien d’autres. Beaucoup de questions vont se poser, beaucoup de rebondissements font la richesse de cette histoire. Rien n’est vraiment lisse, il y a toujours des aspérités et les habitants de Proxima vont en faire l’amère découverte.
Cette histoire est très bien construite, les personnages parfaitement bien dépeints, je me suis très facilement attachée à Hugo, Dyclan tout particulièrement mais aussi à Viiktor, Heelena et d’autres plus secondaires. J’ai détesté Dacel, esprit diabolique dans le corps d’un robot défectueux mais qui va réussir à manipuler son monde et arriver à ses fins.
Ce roman est plein d’émotions et j’ai ressenti de la tendresse pour Dyclan et Hugo, leur relation est étrange certes mais si belle. L’auteur a su montrer l’évolution lente du robot-guerrier tout en gardant en ligne de mire sa nature originelle. Même si c’est de la science-fiction on reste dans le plausible.
L’écriture de Régis Chaperon est ciselée, fluide, le vocabulaire riche, les descriptions précises ce qui permet une très bonne visualisation du monde dans lequel nos héros évoluent. Le livre en tant qu’objet, en tant que savoir, enrichissement personnel et ouverture d’esprit, est un des piliers de ce roman.
Franchement je vous conseille cette lecture, je n’y ai trouvé aucun défaut. Et j’espère vraiment que l’auteur a prévu une suite.
Bonjour à tous et bienvenue en ce nouveau lundi littéraire. Au mois de novembre, je vous présentais un roman de Régis Chaperon : IKAR. Dans le deuxième opus du roman IKAR, intitulé IKAR GÉNÉRATIONS, l’auteur Régis Chaperon nous plonge une fois de plus dans un monde post-apocalyptique où l’espoir et la renaissance tiennent une place primordiale. Retrouvez Constance, François, Mathilda, Léa et Maxime pour une aventure captivante et remplie de rebondissements.
AVERTISSEMENT : Pour ceux qui n’ont pas lu IKAR, ce qui va suivre donne quelques informations sur ce premier Opus.
**Après le désastre
Après le désastre provoqué par l’emballement de la centrale à fusion IKAR, l’humanité est confrontée à sa plus grande catastrophe nucléaire. Seuls quelques survivants ont réussi à trouver refuge, que ce soit dans les profondeurs des tunnels des grandes villes ou sur la base lunaire high tech Moon-City réservée aux plus riches, dirigée par Constance De Gaulle, présidente de la République française. Pendant ce temps, Mathilda, Léa, Maxime et Thomas tentent de reconstruire une vie paisible à Hawaï, tout en étant confrontés à de nouveaux défis.
Cinquante ans plus tard, le monde est méconnaissable. La civilisation moderne a disparu, laissant place au chaos et à la violence. Mais au milieu de ce désespoir, une lueur d’espoir brille : la génération d’après, prête à découvrir le monde d’avant et à tout recommencer d’une manière différente. Les destins s’entremêlent, les légendes naissent.
**L’importance des personnages
Dans le deuxième opus du roman IKAR, intitulé IKAR GÉNÉRATIONS, l'auteur Régis Chaperon nous plonge une fois de plus dans un monde post-apocalyptique où l'espoir et la renaissance tiennent une place primordiale.
Lorsqu’il s’agit de créer une histoire captivante et immersive, les motivations des personnages jouent un rôle essentiel dans le développement de l’intrigue. Ces implications individuelles façonnent les actions, les décisions et les interactions des personnages, ajoutant une profondeur et une complexité à l’histoire qui captivent les lecteurs et les plongent au cœur de l’univers narratif.
Les motivations des personnages sont les moteurs de l’intrigue, les forces qui les poussent à agir et à réagir aux événements qui se déroulent autour d’eux. Que ce soit par amour, par ambition, par vengeance ou par peur, les motivations des personnages dictent leurs choix et déterminent le cours de l’histoire. Elles créent des conflits internes et externes, des dilemmes moraux et des enjeux émotionnels qui maintiennent l’intérêt du lecteur tout au long du récit.
Dans un roman tel que « KAR GÉNÉRATIONS, les motivations des personnages principaux, tels que Constance, Mathilda, François, Maxime et Thomas, sont profondément ancrées dans leurs expériences passées, leurs relations familiales et leurs désirs de construire un avenir meilleur malgré les obstacles qui se dressent sur leur chemin. Leurs ambitions les guident à travers les épreuves, les défis et les sacrifices auxquels ils sont confrontés, et définissent leur évolution et leur développement tout au long de l’histoire.
L’importance des personnages réside dans leur capacité à rendre l’histoire crédible, émotionnellement engageante et pleine de suspense. Les lecteurs s’identifient aux protagonistes dont les actes résonnent avec leurs propres valeurs, leurs aspirations et leurs craintes, créant ainsi un lien émotionnel fort qui les incite à tourner les pages et à découvrir le dénouement de l’intrigue.
En résumé, les différents protagonistes sont un élément essentiel du développement de l’intrigue. Leurs engagements et leur libre arbitre, les rendent plus humains et complexes, et les inscrivent dans un récit cohérent et significatif. En explorant et en comprenant les motivations des diverses générations, les lecteurs sont entraînés dans un voyage émotionnel et intellectuel qui les captive et les marque durablement.
**La résilience humaine
IKAR GÉNÉRATIONS nous offre un regard poignant sur la résilience humaine, sur la possibilité de reconstruire un monde meilleur malgré les épreuves. Régis Chaperon nous transporte avec brio dans un univers où l’amour, la tolérance, le retour à la nature et aux éléments sont au cœur de l’intrigue. Ce roman nous rappelle que, même dans les pires moments, l’humanité peut révéler sa grandeur et sa force.
Plongez sans plus tarder dans cette aventure épique où chaque page est une invitation à croire en un avenir meilleur, où chaque mot résonne comme une promesse de renouveau. IKAR GÉNÉRATIONS est une ode à la vie, à la résilience et à l’espoir, à ne manquer sous aucun prétexte.
Je remercie sincèrement Régis Chaperon pour cette lecture rafraichissante.
Lien : https://lescrinsdubarde.net/..
AVERTISSEMENT : Pour ceux qui n’ont pas lu IKAR, ce qui va suivre donne quelques informations sur ce premier Opus.
**Après le désastre
Après le désastre provoqué par l’emballement de la centrale à fusion IKAR, l’humanité est confrontée à sa plus grande catastrophe nucléaire. Seuls quelques survivants ont réussi à trouver refuge, que ce soit dans les profondeurs des tunnels des grandes villes ou sur la base lunaire high tech Moon-City réservée aux plus riches, dirigée par Constance De Gaulle, présidente de la République française. Pendant ce temps, Mathilda, Léa, Maxime et Thomas tentent de reconstruire une vie paisible à Hawaï, tout en étant confrontés à de nouveaux défis.
Cinquante ans plus tard, le monde est méconnaissable. La civilisation moderne a disparu, laissant place au chaos et à la violence. Mais au milieu de ce désespoir, une lueur d’espoir brille : la génération d’après, prête à découvrir le monde d’avant et à tout recommencer d’une manière différente. Les destins s’entremêlent, les légendes naissent.
**L’importance des personnages
Dans le deuxième opus du roman IKAR, intitulé IKAR GÉNÉRATIONS, l'auteur Régis Chaperon nous plonge une fois de plus dans un monde post-apocalyptique où l'espoir et la renaissance tiennent une place primordiale.
Lorsqu’il s’agit de créer une histoire captivante et immersive, les motivations des personnages jouent un rôle essentiel dans le développement de l’intrigue. Ces implications individuelles façonnent les actions, les décisions et les interactions des personnages, ajoutant une profondeur et une complexité à l’histoire qui captivent les lecteurs et les plongent au cœur de l’univers narratif.
Les motivations des personnages sont les moteurs de l’intrigue, les forces qui les poussent à agir et à réagir aux événements qui se déroulent autour d’eux. Que ce soit par amour, par ambition, par vengeance ou par peur, les motivations des personnages dictent leurs choix et déterminent le cours de l’histoire. Elles créent des conflits internes et externes, des dilemmes moraux et des enjeux émotionnels qui maintiennent l’intérêt du lecteur tout au long du récit.
Dans un roman tel que « KAR GÉNÉRATIONS, les motivations des personnages principaux, tels que Constance, Mathilda, François, Maxime et Thomas, sont profondément ancrées dans leurs expériences passées, leurs relations familiales et leurs désirs de construire un avenir meilleur malgré les obstacles qui se dressent sur leur chemin. Leurs ambitions les guident à travers les épreuves, les défis et les sacrifices auxquels ils sont confrontés, et définissent leur évolution et leur développement tout au long de l’histoire.
L’importance des personnages réside dans leur capacité à rendre l’histoire crédible, émotionnellement engageante et pleine de suspense. Les lecteurs s’identifient aux protagonistes dont les actes résonnent avec leurs propres valeurs, leurs aspirations et leurs craintes, créant ainsi un lien émotionnel fort qui les incite à tourner les pages et à découvrir le dénouement de l’intrigue.
En résumé, les différents protagonistes sont un élément essentiel du développement de l’intrigue. Leurs engagements et leur libre arbitre, les rendent plus humains et complexes, et les inscrivent dans un récit cohérent et significatif. En explorant et en comprenant les motivations des diverses générations, les lecteurs sont entraînés dans un voyage émotionnel et intellectuel qui les captive et les marque durablement.
**La résilience humaine
IKAR GÉNÉRATIONS nous offre un regard poignant sur la résilience humaine, sur la possibilité de reconstruire un monde meilleur malgré les épreuves. Régis Chaperon nous transporte avec brio dans un univers où l’amour, la tolérance, le retour à la nature et aux éléments sont au cœur de l’intrigue. Ce roman nous rappelle que, même dans les pires moments, l’humanité peut révéler sa grandeur et sa force.
Plongez sans plus tarder dans cette aventure épique où chaque page est une invitation à croire en un avenir meilleur, où chaque mot résonne comme une promesse de renouveau. IKAR GÉNÉRATIONS est une ode à la vie, à la résilience et à l’espoir, à ne manquer sous aucun prétexte.
Je remercie sincèrement Régis Chaperon pour cette lecture rafraichissante.
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Je partage aujourd'hui ma dernière lecture, le onzième roman de Régis CHAPERON : IKAR. Un excellent bouquin qui m'a posé de nombreuses questions sur la fusion nucléaire. Accrochez-vous, ce page-turner vous embarque dans une catastrophe sans précédent.
**IKAR vs ITER**
1er Juillet 2037, le projet international ITER a été une formidable aventure : il va produire plus d'énergie qu'il n'en consomme grâce à la fusion nucléaire dont la réaction est stabilisée. Bien qu'expérimental, sa mise en place attire les journalistes et la jeune Matilda Lopez est au rendez-vous.
ITER est un projet existant en 2023, dont l'auteur a probablement tiré son inspiration :
Les résultats du programme scientifique d'ITER seront décisifs pour ouvrir la voie aux centrales de fusion électrogènes de demain. L'objectif principal d'ITER est de générer des «plasmas en combustion», et d'en comprendre le comportement.
Lorsqu'un gaz est porté à très haute température, les atomes se dissocient : les électrons et les noyaux sont séparés les uns des autres et le gaz se transforme en plasma (quatrième état de la matière). C'est dans ce milieu que les noyaux légers peuvent fusionner et générer de l'énergie.
Dans un tokamak, des champs magnétiques très puissants sont mis en œuvre pour confiner et contrôler le plasma.
La construction des bâtiments de l'installation scientifique a débuté au cours de l'été 2010 sur une plateforme de 42 hectares dans les départements des Bouches-du-Rhône.
**Matilda**
Elle a fait de l'énergie sont sujet de prédilection et elle est présente quand la France pose la première pierre de cette centrale, qui rend au pays sa puissance industrielle et nucléaire. L'inauguration de la centrale IKAR est prévue pour 2051. Le site de Cruas-Meysse (en Ardèche) a été sélectionné.
Matilda est un personnage que nous suivons au fil du temps, elle nous fait découvrir l'évolution du paysage français, au cours des années. Jeune journaliste en 2037, elle accumule les publications et les connaissances que le lecteur envisage à travers ce personnage. Elle est notre guide historique en quelque sorte.
**Psychologie des personnages**
Arthur est un homme difficile à cerner, peu attachant et souvent agaçant. Il a son importance dans la catastrophe qui s'annonce.
Les personnages sont tous fabuleux, qu'ils soient attachants ou détestables, vous vivrez avec eux. Tous ont leur caractère, leur personnalité et certains d'entres eux vont se croiser, se rencontrer. Leurs destins sont-ils liés ? A vous de le découvrir.
Quand s'engage une course poursuite pour la survie, je me suis abandonnée à la plume immersive de Régis CHAPERON. Ses personnages dévoilent leur rage de vivre, les sentiments cachés de ceux qui n'ont plus rien à perdre.
Au delà de la catastrophe, IKAR est une aventure humaine.
**20 ans plus tard…**
Les années passent, Matilda a déjà 43 ans et le monde a bien changé.
Le 8 février 2057, la Présidente de la république Française inaugure IKAR : c'est le grand jour de sa mise en service et tous les détails de ma lecture vont prendre une incroyable dimension.
L'auteur a mis en place tous les ingrédients de la catastrophe annoncée.
J'ai dévoré ce roman en quelques jours, impossible de me sortir de cette lecture addictive. La première partie m'a passionnée et la symbolique historique vous surprendra, tout autant que la course à l'énergie dans notre monde connecté. J'ai beaucoup appris sur les enjeux énergétiques et sur la la fusion nucléaire : il reste un long chemin à parcourir avant de reproduire les processus qui se déroulent au cœur du Soleil ;)
La catastrophe qui s'en suit se situe dans ma région, à quelques kilomètres de chez moi. Aussi, les lieux sont très évocateurs et je serais dans les premières victimes si un tel désastre devait se produire dans l'avenir. Alors assez étrangement, je suis restée détachée des possibilités de survie (la mienne) tout en admirant la détermination de ceux qui ont fait le choix de fuir, selon leur localisation et les moyens à leur disposition.
Je continue cependant à me poser pas mal de questions sur la nature humaine…
Je remercie très sincèrement Régis CHAPERON pour m'avoir permis de découvrir ce roman.
Lien : https://lescrinsdubarde.net/..
**IKAR vs ITER**
1er Juillet 2037, le projet international ITER a été une formidable aventure : il va produire plus d'énergie qu'il n'en consomme grâce à la fusion nucléaire dont la réaction est stabilisée. Bien qu'expérimental, sa mise en place attire les journalistes et la jeune Matilda Lopez est au rendez-vous.
ITER est un projet existant en 2023, dont l'auteur a probablement tiré son inspiration :
Les résultats du programme scientifique d'ITER seront décisifs pour ouvrir la voie aux centrales de fusion électrogènes de demain. L'objectif principal d'ITER est de générer des «plasmas en combustion», et d'en comprendre le comportement.
Lorsqu'un gaz est porté à très haute température, les atomes se dissocient : les électrons et les noyaux sont séparés les uns des autres et le gaz se transforme en plasma (quatrième état de la matière). C'est dans ce milieu que les noyaux légers peuvent fusionner et générer de l'énergie.
Dans un tokamak, des champs magnétiques très puissants sont mis en œuvre pour confiner et contrôler le plasma.
La construction des bâtiments de l'installation scientifique a débuté au cours de l'été 2010 sur une plateforme de 42 hectares dans les départements des Bouches-du-Rhône.
**Matilda**
Elle a fait de l'énergie sont sujet de prédilection et elle est présente quand la France pose la première pierre de cette centrale, qui rend au pays sa puissance industrielle et nucléaire. L'inauguration de la centrale IKAR est prévue pour 2051. Le site de Cruas-Meysse (en Ardèche) a été sélectionné.
Matilda est un personnage que nous suivons au fil du temps, elle nous fait découvrir l'évolution du paysage français, au cours des années. Jeune journaliste en 2037, elle accumule les publications et les connaissances que le lecteur envisage à travers ce personnage. Elle est notre guide historique en quelque sorte.
**Psychologie des personnages**
Arthur est un homme difficile à cerner, peu attachant et souvent agaçant. Il a son importance dans la catastrophe qui s'annonce.
Les personnages sont tous fabuleux, qu'ils soient attachants ou détestables, vous vivrez avec eux. Tous ont leur caractère, leur personnalité et certains d'entres eux vont se croiser, se rencontrer. Leurs destins sont-ils liés ? A vous de le découvrir.
Quand s'engage une course poursuite pour la survie, je me suis abandonnée à la plume immersive de Régis CHAPERON. Ses personnages dévoilent leur rage de vivre, les sentiments cachés de ceux qui n'ont plus rien à perdre.
Au delà de la catastrophe, IKAR est une aventure humaine.
**20 ans plus tard…**
Les années passent, Matilda a déjà 43 ans et le monde a bien changé.
Le 8 février 2057, la Présidente de la république Française inaugure IKAR : c'est le grand jour de sa mise en service et tous les détails de ma lecture vont prendre une incroyable dimension.
L'auteur a mis en place tous les ingrédients de la catastrophe annoncée.
J'ai dévoré ce roman en quelques jours, impossible de me sortir de cette lecture addictive. La première partie m'a passionnée et la symbolique historique vous surprendra, tout autant que la course à l'énergie dans notre monde connecté. J'ai beaucoup appris sur les enjeux énergétiques et sur la la fusion nucléaire : il reste un long chemin à parcourir avant de reproduire les processus qui se déroulent au cœur du Soleil ;)
La catastrophe qui s'en suit se situe dans ma région, à quelques kilomètres de chez moi. Aussi, les lieux sont très évocateurs et je serais dans les premières victimes si un tel désastre devait se produire dans l'avenir. Alors assez étrangement, je suis restée détachée des possibilités de survie (la mienne) tout en admirant la détermination de ceux qui ont fait le choix de fuir, selon leur localisation et les moyens à leur disposition.
Je continue cependant à me poser pas mal de questions sur la nature humaine…
Je remercie très sincèrement Régis CHAPERON pour m'avoir permis de découvrir ce roman.
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Cette quatrième de couverture a tout pour attirer une fan d’enquêtes comme moi. Comment ne pas avoir envie de savoir ce qui se cache derrière ce mystère : un auteur mort alors que des livres sont publiés constamment sous son nom ? Mais qui peut bien se cacher derrière tout cela et pourquoi ? C’est donc avec une grande curiosité que j’ai entamé ma lecture et autant dire que l’auteur nous met dans le bain dès le début !
Nous commençons donc par la découverte du cadavre de Franck. Jusque-là rien ne semble bien particulier, un suicide au premier abord. Pourtant, cet auteur à succès est décédé depuis 2 ans et a continué depuis tout ce temps à publier des romans ! Comment est-ce possible ? Dès lors, nous allons faire un retour en arrière pour comprendre qui est Franck et ce qui s’est passé.
C’est là que l’histoire prend un tournant totalement inattendu ! Rien n’est ce qu’il paraît au premier abord et l’auteur nous propose un récit qui nous surprend et qui est tout bonnement palpitant. Comment ne pas avoir envie d’en apprendre toujours plus quand on voit l’évolution des choses ? C’est passionnant et super inquiétant en même temps… Comme tous les ouvrages sur ce thème je trouve.
L’idée que nous puissions en arriver là fait frémir et fait réfléchir quand on voit ce qui existe déjà dans le monde actuel… Vous vous demandez de quoi je parle n’est-ce pas ? Pour le savoir, vous n’aurez d’autres choix que de découvrir ce roman et de plonger dans l’histoire de Franck, une histoire qui aurait pu être incroyable et qui s’est avérée une vraie descente aux enfers.
Je ne vous en dirai pas plus, car dévoiler ne serait-ce qu’un détail serait totalement gâcher votre plaisir et surtout détruire le super effet de surprise mis en place par l’auteur. Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai dévoré ce roman ! J’ai suivi les aventures des personnages avec grand intérêt, car le fil rouge est impeccablement construit et nous conduit vers un final qui fait froid dans le dos.
En bref, ce roman nous offre un retournement de situation inattendu et un récit qui nous tient en haleine du début à la fin. Il est à lire de toute urgence !
Nous commençons donc par la découverte du cadavre de Franck. Jusque-là rien ne semble bien particulier, un suicide au premier abord. Pourtant, cet auteur à succès est décédé depuis 2 ans et a continué depuis tout ce temps à publier des romans ! Comment est-ce possible ? Dès lors, nous allons faire un retour en arrière pour comprendre qui est Franck et ce qui s’est passé.
C’est là que l’histoire prend un tournant totalement inattendu ! Rien n’est ce qu’il paraît au premier abord et l’auteur nous propose un récit qui nous surprend et qui est tout bonnement palpitant. Comment ne pas avoir envie d’en apprendre toujours plus quand on voit l’évolution des choses ? C’est passionnant et super inquiétant en même temps… Comme tous les ouvrages sur ce thème je trouve.
L’idée que nous puissions en arriver là fait frémir et fait réfléchir quand on voit ce qui existe déjà dans le monde actuel… Vous vous demandez de quoi je parle n’est-ce pas ? Pour le savoir, vous n’aurez d’autres choix que de découvrir ce roman et de plonger dans l’histoire de Franck, une histoire qui aurait pu être incroyable et qui s’est avérée une vraie descente aux enfers.
Je ne vous en dirai pas plus, car dévoiler ne serait-ce qu’un détail serait totalement gâcher votre plaisir et surtout détruire le super effet de surprise mis en place par l’auteur. Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai dévoré ce roman ! J’ai suivi les aventures des personnages avec grand intérêt, car le fil rouge est impeccablement construit et nous conduit vers un final qui fait froid dans le dos.
En bref, ce roman nous offre un retournement de situation inattendu et un récit qui nous tient en haleine du début à la fin. Il est à lire de toute urgence !
Il s’agit d’un roman d’anticipation/dystopie sur le thème de l’énergie nucléaire.
A nouveau j’ai été subjuguée par la plume de l’auteur qui est fluide, facile à lire, addictive, recherchée. Je ne suis pas fan d’anticipation et là j’ai lu ce roman en 24h, tellement c’est bien écrit et j’ai hâte que le tome 2 sorte.
Les chapitres sont courts et bien rythmés. Le suspense est présent.
La psychologie des personnages est parfaite, on s’attache facilement à eux (et on souffre avec 😅). J’ai été embarquée dans ce récit comme si je me retrouvais face à cette catastrophe mondiale.
Je me suis retrouvée quelques fois en apnée face à divers éléments de l’histoire.
Vous l’aurez compris, c’est un coup de cœur pour moi face à cette plume splendide.
Je vous recommande chaudement les livres de Régis Chaperon. La suite est prévue pour quand ? 😁😁
Lien : https://www.instagram.com/p/..
A nouveau j’ai été subjuguée par la plume de l’auteur qui est fluide, facile à lire, addictive, recherchée. Je ne suis pas fan d’anticipation et là j’ai lu ce roman en 24h, tellement c’est bien écrit et j’ai hâte que le tome 2 sorte.
Les chapitres sont courts et bien rythmés. Le suspense est présent.
La psychologie des personnages est parfaite, on s’attache facilement à eux (et on souffre avec 😅). J’ai été embarquée dans ce récit comme si je me retrouvais face à cette catastrophe mondiale.
Je me suis retrouvée quelques fois en apnée face à divers éléments de l’histoire.
Vous l’aurez compris, c’est un coup de cœur pour moi face à cette plume splendide.
Je vous recommande chaudement les livres de Régis Chaperon. La suite est prévue pour quand ? 😁😁
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Être auteur ne doit pas être simple tous les jours. Là on se demande si le cerveau de @regis.chaperon n a pas subit de gros dommages. Nous voilà face à une histoire complètement improbable qui va à la fois vous rendre dingue mais aussi vous faire beaucoup réfléchir. En effet, celle ci va mettre à zéro toutes vos convictions. Véritable lanceur d alerte il dénonce enfin le plus grand mensonge de l humanité. Un roman captivant associant actions, rebondissements et révélations que vous allez avoir beaucoup de mal à laisser de côté. Tout repose sur une curieuse rencontre qui va inexorablement glisser en une haletante chasse à courre ne connaissant pas le mot répit. Le rythme effréné est intelligemment construit que ce soit au niveau des réunions dans lesquelles le maximum d informations doit passer en un minimum de temps ou que ce soit au niveau de la traque qui nous mène à la limite de l apoplexie. L intégralité de ce roman repose sur deux notions distinctes mais qui interagissent : la falsification et le silence. Il fait de nous les témoins muets du pire complot existant depuis la nuit des temps. Qu il illustre intelligemment par une étrange conversation mettant en avant à travers le temps une série d événements marquants, de croyances ancestrales et de ségrégations raciales. Tout simplement expliqué, sans prise de tête et qui permet de réviser nos bases historiques et pieuses. On reste admiratif face à son audace car en ces temps troubles il s attaque à un sujet qui peut être source de nombreux désagréments. En tout cas il réussit parfaitement son pari de nous rendre complètement addict face à cette révélation. Tout en implantant dans notre conscience la graine du doute : ce n est peut être pas que des conneries ? On voit qu il maîtrise très bien son sujet. Il parsème cet échange de nombreux éléments lui permettant d ouvrir de nouveaux questionnements, de comprendre certains agissements et le pourquoi de ce silence. Mais comme tout le monde le sait l homme ne fait jamais la part des choses. Il fait prendre à son récit un véritable virage dans une infernale opération de dissimulation. Qu il accentue avec un listing de techniques susceptibles d être usitées pour ne pas qu un secret voit le jour tel que le flicage, la manipulation, la trahison ou encore la terreur. Tout cela est mis en avant par une plume qui rend cette histoire encore plus intense, qui instaure un suspense pesant, nous confronte à d obscures personnalités, nous confronte à une violence brutale et nous dévoile une dénonciation parfaitement calculée. Ce roman met en parallèle deux problématiques : le machiavélisme dont l être humain fait preuve pour obtenir un pouvoir incommensurable versus l intransigeance dont celui ci est capable afin de maintenir un secret.
Un page turner hallucinant
Un page turner hallucinant
Voici une histoire dérangeante, parce qu’elle est plausible, comme beaucoup de romans de Régis Chaperon. Cette fois, il nous pose la question de savoir si nous pouvons maintenir notre civilisation si nous nous retrouvions, du jour au lendemain, sans aucune électricité.
Nous serions sûrement totalement perdus, sans savoir comment avancer. Nous dépendons totalement de l’électricité et nous en sommes devenus les esclaves. Seuls ceux qui sont restés en contact avec la nature arrivent encore à s’en sortir sans trop de casse. Mais, dans les villes, c’est autre chose.
C’est dans ce futur heureusement hypothétique que nous emmène l’auteur avec cette histoire déstabilisante car elle nous oblige à lever la tête de nos écrans pour regarder autour de nous.
Cependant, il y a beaucoup de termes techniques et informatiques dans cette histoire. Certes, l’auteur nous en donne certaines explications, mais n’étant pas très compétente dans ce domaine, j’avais parfois du mal à comprendre toutes les implications de certains problèmes.
Mais, comme toujours, avec cet auteur, il n’est pas seulement question d’une histoire, mais aussi de personnages. Il arrive à nous les rendre totalement vivants, crédibles et attachants. Tous ses personnages ont une grande profondeur, ils sont souvent courageux et volontaires, mais ils possèdent aussi une faille, un vécu qui transparaît dans leurs paroles et dans leurs actes.
C’est donc une lecture prenante et immersive.
Lien : https://labibliothequedallys..
Nous serions sûrement totalement perdus, sans savoir comment avancer. Nous dépendons totalement de l’électricité et nous en sommes devenus les esclaves. Seuls ceux qui sont restés en contact avec la nature arrivent encore à s’en sortir sans trop de casse. Mais, dans les villes, c’est autre chose.
C’est dans ce futur heureusement hypothétique que nous emmène l’auteur avec cette histoire déstabilisante car elle nous oblige à lever la tête de nos écrans pour regarder autour de nous.
Cependant, il y a beaucoup de termes techniques et informatiques dans cette histoire. Certes, l’auteur nous en donne certaines explications, mais n’étant pas très compétente dans ce domaine, j’avais parfois du mal à comprendre toutes les implications de certains problèmes.
Mais, comme toujours, avec cet auteur, il n’est pas seulement question d’une histoire, mais aussi de personnages. Il arrive à nous les rendre totalement vivants, crédibles et attachants. Tous ses personnages ont une grande profondeur, ils sont souvent courageux et volontaires, mais ils possèdent aussi une faille, un vécu qui transparaît dans leurs paroles et dans leurs actes.
C’est donc une lecture prenante et immersive.
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J'ai bien aimé le thème. Une nouvelle technologie, la fusion, qu'on arrive enfin à exploiter, mais dont on n'a pas envisagé les conséquences en cas d'emballement de la réaction !
Bien sur j'ai trouvé le côté hard-science un peu léger, mais l'histoire se lit avec plaisir. Elle fait aussi réfléchir, bien sûr.
Concernant la structure du roman, l'auteur organise ses chapitres autour d'un des personnages clé dans l'aboutissement du projet IKAR.
La suite de la vie de ces personnages dans cette phase post-apo de la planète terre sera l'objet du second volume de l'histoire.
Bien sur j'ai trouvé le côté hard-science un peu léger, mais l'histoire se lit avec plaisir. Elle fait aussi réfléchir, bien sûr.
Concernant la structure du roman, l'auteur organise ses chapitres autour d'un des personnages clé dans l'aboutissement du projet IKAR.
La suite de la vie de ces personnages dans cette phase post-apo de la planète terre sera l'objet du second volume de l'histoire.
Vous voulez voir ce que donne un roman écrit par un esprit schizophrénique ? Il ne vous reste plus qu à lire cette histoire incroyablement bizarre construite autour d une série de situations toutes plus stranges les unes que les autres. Plus on avance dans l intrigue plus on a l impression de subir les effets psychédéliques que tout individu ressent sous influence de champignons hallucinogènes. Résultant d une puissance descriptive telle que l on se retrouve dans un questionnement perpétuel concernant la limite entre réalité et fantasmagorie. Ce qui fait tout le charme de ce roman : alors que l on pense que tout n est que dinguerie l auteur nous amène insidieusement vers une finalité que vous êtes à mille lieux d imaginer. Un véritable feu d artifice qui va vous laisser sur le cul. Ce qui ressort de cette affaire est un suspense insoutenable induit par un élément particulier véritable fil rouge qui vous alpague dès le départ et vous tient en haleine jusqu à la révélation finale. Mais également grâce à son panel d événements délirants faisant de nous de véritables gosses qui attendent avec impatience la surprise suivante. En effet, l ensemble du roman repose sur la diversité et l originalité de ces situations abracadabrantesques que l on ne peut qu apprécier tellement elles sont extraordinaires. Alors installez vous confortablement, munissez vous de tout ce qu il faut pour assurer votre survie car une fois que vous allez débuter votre lecture vous allez être engagé dans une chasse à l homme intense suivant un rythme infernal qui ne s essouffle à aucun moment. Et là il nous confronte à tout ce qu il faut pour nous alpaguer : actions, rebondissements et revirements. Qu il va épicer en y intégrant certains passages dégageant des relents de désirs passionnels. Ce qui est génial c est que derrière toute cette dinguerie se cache un sujet terrible. On retrouve tout le machiavélisme de l auteur qui joue avec notre capacité de déduction en parsemant son récit de nombreux indices qui nous permette après réflexion de pouvoir découvrir la finalité de cette histoire. Serez-vous assez fort pour déjouer son plan ?
Dans ce nouveau livre de Régis Chaperon, nous allons suivre les destins croisés de 3 personnages et de leur entourage : Mathilda, journaliste spécialisée dans le nucléaire, Arthur, qui a aidé, à son niveau, à la construction d’Ikar, et Constance, présidente de la République française.
Ils vont tous être confrontés à la catastrophe Ikar et chacun devra prendre des décisions radicales qui changeront le cours de leur vie ainsi que celle de leurs proches.
Encore une fois, Régis Chaperon nous montre qu’il maîtrise son sujet à la perfection.
L’écriture immersive nous permet de nous mettre à la place de chaque protagoniste. Chaque chapitre est consacré à un protagoniste différent ce qui nous permet d’avoir des points de vue variés sur leur vision de la catastrophe et ce que cela entraîne.
De plus, ce thriller d’anticipation, à l’ambiance angoissante et oppressante, est bien ancré dans la réalité et, en tant que lectrice j’espère vraiment que cela n’arrivera jamais…
J’ai beaucoup aimé les personnages de Constance et Mathilda, deux femmes fortes que la fatalité pousse à faire des choix radicaux et décisifs pour leurs familles. Par contre, Arthur m’a légèrement agacé de par ses actes et sa personnalité et ça c’est un bon point car cela veut dire que le roman m’a totalement happée dans son univers.
En résumé, j’ai adoré ce roman d’anticipation et il me tarde de découvrir la suite.
Ils vont tous être confrontés à la catastrophe Ikar et chacun devra prendre des décisions radicales qui changeront le cours de leur vie ainsi que celle de leurs proches.
Encore une fois, Régis Chaperon nous montre qu’il maîtrise son sujet à la perfection.
L’écriture immersive nous permet de nous mettre à la place de chaque protagoniste. Chaque chapitre est consacré à un protagoniste différent ce qui nous permet d’avoir des points de vue variés sur leur vision de la catastrophe et ce que cela entraîne.
De plus, ce thriller d’anticipation, à l’ambiance angoissante et oppressante, est bien ancré dans la réalité et, en tant que lectrice j’espère vraiment que cela n’arrivera jamais…
J’ai beaucoup aimé les personnages de Constance et Mathilda, deux femmes fortes que la fatalité pousse à faire des choix radicaux et décisifs pour leurs familles. Par contre, Arthur m’a légèrement agacé de par ses actes et sa personnalité et ça c’est un bon point car cela veut dire que le roman m’a totalement happée dans son univers.
En résumé, j’ai adoré ce roman d’anticipation et il me tarde de découvrir la suite.
Je tenais d’abord à tirer mon chapeau à Régis Chaperon pour son implication et tous les termes propres à l’informatique et au hacking qui ont rendu l’histoire encore plus réelle si cela est possible.
Dès le premier chapitre, je me suis retrouvée happée par l’histoire qui n’est pourtant que fictionnelle mais qui somme toute n’aurait besoin que d’un déclic pour devenir réelle.
Comment ferions-nous, nous les accrocs à la modernité, si du jour au lendemain tout cela nous était enlevé : plus de téléphone, de télévision, d’électricité…
C’est cette possibilité et les actes et conséquences de cette situation qui sont abordés dans « welcome reset ».
Pour moi, tout était réuni, personnages construits, écriture prenante, vocabulaire technique maîtrisé, intrigue captivante, pour que je passe un excellent moment de lecture et que je ne lâche pas ma liseuse avant la dernière page et le mot fin… Mais est-ce vraiment fini ?
Dès le premier chapitre, je me suis retrouvée happée par l’histoire qui n’est pourtant que fictionnelle mais qui somme toute n’aurait besoin que d’un déclic pour devenir réelle.
Comment ferions-nous, nous les accrocs à la modernité, si du jour au lendemain tout cela nous était enlevé : plus de téléphone, de télévision, d’électricité…
C’est cette possibilité et les actes et conséquences de cette situation qui sont abordés dans « welcome reset ».
Pour moi, tout était réuni, personnages construits, écriture prenante, vocabulaire technique maîtrisé, intrigue captivante, pour que je passe un excellent moment de lecture et que je ne lâche pas ma liseuse avant la dernière page et le mot fin… Mais est-ce vraiment fini ?
Merci à Régis Chaperon pour avoir renouvelé sa confiance avec ce nouvel opus.
« Hexaèdre », je me suis dit mais quel drôle de titre, du coup je voulais savoir ce que c’était et j’ai compris. C’est subtil. Un mot sur la couverture que j’ai trouvée jolie, angoissante et très parlante.
Fin 2019, une pandémie est annoncée, un nouveau virus dont on ne sait pas grand-chose apparait. C’est la toile de fond du roman ça n’est pas le sujet principal. L’auteur relate comment les médias, les réseaux sociaux et les politiciens ont dépeint cette situation, un vent de fin du monde annoncée. En fil rouge le réseau Proudhon, sorte de réseau secret distillant des informations sur l’avancée du covid-19. Certains sont alarmistes et se préparent au combat comme si c’était la fin du monde, d’autres font tout pour mettre leurs familles à l’abri et enfin il y a ceux qui vivent ça avec détachement sans vraiment être concernés directement. Nous découvrons comment chacun a perçu et vécu l’épidémie et le confinement. L’auteur nous présente un panel de personnages tous différents les uns des autres, venant de divers milieux, avec des réactions, des émotions et réflexions variées. Face à un danger quel qu’il soit la gestion du risque n’est pas abordée de la même façon par tout un chacun, résilience, solidarité, espoir.
Les personnages sont très bien travaillés, sont diversifiés, on s’attache facilement à eux, notamment à Lydie, Jacques, Bernard dont les idées philosophiques m’ont beaucoup plu, Louise et Joseph qui m’ont attendrie, Noémie m’a à la fois agacée et fait de la peine. Bref un kaléidoscope de destins qui se croisent, des tranches de vie où l’âme humaine est décortiquée par l’auteur. Chacun va se retrouver face à lui-même, va devoir puiser au plus profond pour prendre des décisions, gérer les peurs. Leurs vies vont s’en trouver bouleversées.
Les chapitres sont courts, le rythme soutenu, il n’y pas de temps mort et tous les personnages sont intéressants, on les suit avec curiosité. J’ai apprécié les transitions d’un chapitre à l’autre, le mot final qui est également celui du début du volet suivant, c’est très bien pensé, au commencement ça m’a surprise mais au fil des pages c’est super plaisant.
La plume de l’auteur est fluide, ciselée, addictive et très agréable à lire. Je ne connais pas trop le protocole de soins pour les malades du covid mais il apparait que l’auteur s’est bien renseigné car le tout est cohérent.
Un faible pour la romance entre Lydie et Jacques, l’amitié entre Jacques et Joseph, la solidarité entre Bernard et Noémie, le rabibochage de Thierry et sa femme. Malgré le contexte c’est un beau roman avec une happy end. A lire !
« Hexaèdre », je me suis dit mais quel drôle de titre, du coup je voulais savoir ce que c’était et j’ai compris. C’est subtil. Un mot sur la couverture que j’ai trouvée jolie, angoissante et très parlante.
Fin 2019, une pandémie est annoncée, un nouveau virus dont on ne sait pas grand-chose apparait. C’est la toile de fond du roman ça n’est pas le sujet principal. L’auteur relate comment les médias, les réseaux sociaux et les politiciens ont dépeint cette situation, un vent de fin du monde annoncée. En fil rouge le réseau Proudhon, sorte de réseau secret distillant des informations sur l’avancée du covid-19. Certains sont alarmistes et se préparent au combat comme si c’était la fin du monde, d’autres font tout pour mettre leurs familles à l’abri et enfin il y a ceux qui vivent ça avec détachement sans vraiment être concernés directement. Nous découvrons comment chacun a perçu et vécu l’épidémie et le confinement. L’auteur nous présente un panel de personnages tous différents les uns des autres, venant de divers milieux, avec des réactions, des émotions et réflexions variées. Face à un danger quel qu’il soit la gestion du risque n’est pas abordée de la même façon par tout un chacun, résilience, solidarité, espoir.
Les personnages sont très bien travaillés, sont diversifiés, on s’attache facilement à eux, notamment à Lydie, Jacques, Bernard dont les idées philosophiques m’ont beaucoup plu, Louise et Joseph qui m’ont attendrie, Noémie m’a à la fois agacée et fait de la peine. Bref un kaléidoscope de destins qui se croisent, des tranches de vie où l’âme humaine est décortiquée par l’auteur. Chacun va se retrouver face à lui-même, va devoir puiser au plus profond pour prendre des décisions, gérer les peurs. Leurs vies vont s’en trouver bouleversées.
Les chapitres sont courts, le rythme soutenu, il n’y pas de temps mort et tous les personnages sont intéressants, on les suit avec curiosité. J’ai apprécié les transitions d’un chapitre à l’autre, le mot final qui est également celui du début du volet suivant, c’est très bien pensé, au commencement ça m’a surprise mais au fil des pages c’est super plaisant.
La plume de l’auteur est fluide, ciselée, addictive et très agréable à lire. Je ne connais pas trop le protocole de soins pour les malades du covid mais il apparait que l’auteur s’est bien renseigné car le tout est cohérent.
Un faible pour la romance entre Lydie et Jacques, l’amitié entre Jacques et Joseph, la solidarité entre Bernard et Noémie, le rabibochage de Thierry et sa femme. Malgré le contexte c’est un beau roman avec une happy end. A lire !
Je remercie l’auteur pour la découverte de son roman « IKAR ».
Nous voici plongés dans un livre à la fois de science-fiction et d’anticipation. Sur Terre, année 2057 en pleine révolution énergétique, IKAR réacteur à fusion nucléaire est mis en service. Le projet existe réellement nommé ITER, je suis allée voir ce qu’il en retournait et je dois avouer que l’auteur a fait de sacrées recherches et a su le retranscrire dans son récit de façon très réaliste. Ce réacteur, ce fameux IKAR démarre donc et à cause d’un tout petit défaut dû à la main humaine c’est la catastrophe.
Je ne vais pas rentrer trop dans les détails car je spoilerais l’histoire et ce serait vraiment dommage, sachez juste que c’est terrifiant car l’énergie nucléaire est un sujet sensible qui en effraie plus d’un, qu’une grande partie du monde va disparaitre et qu’il y a beaucoup de morts. C’est apocalyptique.
Les explications sur ce réacteur à fusion sont très claires, les réactions en chaine très explicites. C’est vraiment très travaillé et du coup très visuel. On voit s’écouler devant nos yeux les événements de façon très précise, le lecteur a la sensation d’y être.
Nous faisons la connaissance de plusieurs personnages que je qualifierais de principaux, et c’est d’ailleurs de leurs points de vue différents que l’on suit les faits car chacun réagit de manière distincte. D’un côté Mathilda, journaliste spécialiste du nucléaire, Constance de Gaulle présidente de la République française, et Arthur monteur-câbleur. Autour d’eux gravitent d’autres protagonistes Léa la fille de Mathilda et son amoureux Maxime, la famille d’Arthur, celle de Constance et quelques têtes pensantes. Les personnages sont bien élaborés, leurs psychés riches et bien décrites, on voit assurément le caractère et les pensées de chacun. Petit clin d’œil d’humour pour Robert Doors, je félicite l’auteur car j’ai beaucoup ri.
Le sujet est dur, l’atmosphère oppressante et c’est d’autant plus inquiétant que cela pourrait arriver, on est à la frontière entre fiction et réalité. La tragédie qui touche une grande partie du monde se déroule lentement, j’oserais dire comme au ralenti même si ce n’est pas tout à fait vrai, car contrairement aux romans post apocalyptique où tout est rayé de la carte en un coup de cuillère à pot, ici on a le temps de se rendre compte du danger et d’y réfléchir. Ikar, lui, prend de l’ampleur très vite et donne le tempo au récit. Pour résumer je dirais que c’est suffisamment rapide pour tout détruire et suffisamment lent pour prendre conscience de millions de morts imminentes. Qu’est-ce que sont quelques mois quand on est en 2057 ? Une poignée de secondes tout au plus.
La plume de Régis Chaperon est toujours aussi agréable, fluide, dynamique. Le rythme est haletant, une course contre la montre pour la survie de l’humanité. J’ai également aimé les romances qui naissent au milieu de ce chaos même si celle d’Arthur et Isabelle finit mal, ça donne de l’espoir, ça met de la couleur au milieu de toutes ces cendres.
Il y a quelques répétitions de ci de là mais ça n’entache pas le plaisir de la lecture.
J’attends avec impatience le tome suivant, savoir ce que vont devenir les rescapés qu’ils soient sous terre, en l’air ou au milieu de l’océan pacifique.
Nous voici plongés dans un livre à la fois de science-fiction et d’anticipation. Sur Terre, année 2057 en pleine révolution énergétique, IKAR réacteur à fusion nucléaire est mis en service. Le projet existe réellement nommé ITER, je suis allée voir ce qu’il en retournait et je dois avouer que l’auteur a fait de sacrées recherches et a su le retranscrire dans son récit de façon très réaliste. Ce réacteur, ce fameux IKAR démarre donc et à cause d’un tout petit défaut dû à la main humaine c’est la catastrophe.
Je ne vais pas rentrer trop dans les détails car je spoilerais l’histoire et ce serait vraiment dommage, sachez juste que c’est terrifiant car l’énergie nucléaire est un sujet sensible qui en effraie plus d’un, qu’une grande partie du monde va disparaitre et qu’il y a beaucoup de morts. C’est apocalyptique.
Les explications sur ce réacteur à fusion sont très claires, les réactions en chaine très explicites. C’est vraiment très travaillé et du coup très visuel. On voit s’écouler devant nos yeux les événements de façon très précise, le lecteur a la sensation d’y être.
Nous faisons la connaissance de plusieurs personnages que je qualifierais de principaux, et c’est d’ailleurs de leurs points de vue différents que l’on suit les faits car chacun réagit de manière distincte. D’un côté Mathilda, journaliste spécialiste du nucléaire, Constance de Gaulle présidente de la République française, et Arthur monteur-câbleur. Autour d’eux gravitent d’autres protagonistes Léa la fille de Mathilda et son amoureux Maxime, la famille d’Arthur, celle de Constance et quelques têtes pensantes. Les personnages sont bien élaborés, leurs psychés riches et bien décrites, on voit assurément le caractère et les pensées de chacun. Petit clin d’œil d’humour pour Robert Doors, je félicite l’auteur car j’ai beaucoup ri.
Le sujet est dur, l’atmosphère oppressante et c’est d’autant plus inquiétant que cela pourrait arriver, on est à la frontière entre fiction et réalité. La tragédie qui touche une grande partie du monde se déroule lentement, j’oserais dire comme au ralenti même si ce n’est pas tout à fait vrai, car contrairement aux romans post apocalyptique où tout est rayé de la carte en un coup de cuillère à pot, ici on a le temps de se rendre compte du danger et d’y réfléchir. Ikar, lui, prend de l’ampleur très vite et donne le tempo au récit. Pour résumer je dirais que c’est suffisamment rapide pour tout détruire et suffisamment lent pour prendre conscience de millions de morts imminentes. Qu’est-ce que sont quelques mois quand on est en 2057 ? Une poignée de secondes tout au plus.
La plume de Régis Chaperon est toujours aussi agréable, fluide, dynamique. Le rythme est haletant, une course contre la montre pour la survie de l’humanité. J’ai également aimé les romances qui naissent au milieu de ce chaos même si celle d’Arthur et Isabelle finit mal, ça donne de l’espoir, ça met de la couleur au milieu de toutes ces cendres.
Il y a quelques répétitions de ci de là mais ça n’entache pas le plaisir de la lecture.
J’attends avec impatience le tome suivant, savoir ce que vont devenir les rescapés qu’ils soient sous terre, en l’air ou au milieu de l’océan pacifique.
… Sur la planète Eredet, une guerre sans merci oppose les Kapis et les Komis, des robots de force égale qui alternent les victoires et les défaites...
Dès les premières pages, Régis Chaperon nous immerge au cœur d'un univers post-apocalyptique dans lequel l'humanité a disparu. Les deux camps s'affrontent depuis plus d'un siècle et demi. Quelle est l'origine de ce conflit incessant qui se déroule avec les mêmes machines tantôt amies, tantôt ennemies ? Comment est régi ce système d'intelligence artificielle qui a fait table rase des êtres humains ?
Dans cette atmosphère de chaos, les robots échappent au contrôle de leurs créateurs, mais l'un d'entre eux semble s'humaniser. À travers une intrigue inventive, l'auteur en fait un personnage attachant, curieux, candide et plein de poésie qui tranche avec ses comparses programmés, sans âme et sans esprit.
Si dans son livre, Régis Chaperon nous interpelle sur le risque que des robots tueurs se retournent contre les humains lorsque l'IA n'est pas totalement maîtrisée, il démontre aussi les limites de ces machines conçues avec des données et des algorithmes complexes, mais incapables de posséder du bon sens.
Le récit chargé de mystères et de rebondissements défile sans temps mort et nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Je remercie Simplement Pro et Régis Chaperon pour la lecture de « À l'ombre des ruines ».
Lien : https://irisyne.wordpress.com
Dès les premières pages, Régis Chaperon nous immerge au cœur d'un univers post-apocalyptique dans lequel l'humanité a disparu. Les deux camps s'affrontent depuis plus d'un siècle et demi. Quelle est l'origine de ce conflit incessant qui se déroule avec les mêmes machines tantôt amies, tantôt ennemies ? Comment est régi ce système d'intelligence artificielle qui a fait table rase des êtres humains ?
Dans cette atmosphère de chaos, les robots échappent au contrôle de leurs créateurs, mais l'un d'entre eux semble s'humaniser. À travers une intrigue inventive, l'auteur en fait un personnage attachant, curieux, candide et plein de poésie qui tranche avec ses comparses programmés, sans âme et sans esprit.
Si dans son livre, Régis Chaperon nous interpelle sur le risque que des robots tueurs se retournent contre les humains lorsque l'IA n'est pas totalement maîtrisée, il démontre aussi les limites de ces machines conçues avec des données et des algorithmes complexes, mais incapables de posséder du bon sens.
Le récit chargé de mystères et de rebondissements défile sans temps mort et nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Je remercie Simplement Pro et Régis Chaperon pour la lecture de « À l'ombre des ruines ».
Lien : https://irisyne.wordpress.com
Je remercie Régis Chaperon pour l’envoi de son roman en service presse.
C’est mon deuxième roman de l’auteur. Quelques mots sur la couverture, j’aime les couleurs, elle est harmonieuse et résume très bien l’histoire. Je la trouve très esthétique et moderne.
Nous faisons la connaissance de deux protagonistes : Elya développeuse pour la société Olivaw Robotics qui conçoit des programmes pour des robots humanoïdes ultra perfectionnés et Jonas riche trader. En apparence rien ne semble les rapprocher, chacun va vivre un événement qui va les faire se rencontrer. En effet, le permafrost a fondu et libéré un virus dans l’air qui efface les mémoires. Elya va être contaminée lors d’une intervention extérieure et Jonas lors d’un attentat commis par des membres « anti-memo ». Tous deux vont être amenés à l’hôpital. Memoric entreprise privée a conçu un moyen de stocker les souvenirs et de les réattribuer aux personnes concernées. Sauf que cela coûte très cher et que bon nombre de gens n’ont pas les moyens de s’offrir ce luxe, certains errent dans les rues ne se souvenant ni de leur nom ni de leur adresse.
Elya va récupérer une partie de ses souvenirs et Jonas lui, plus riche, a un enregistrement en temps réel de ses souvenirs. Sauf qu’il va y avoir un léger problème, une erreur de chargement et le voilà avec les souvenirs d’un autre, un ouvrier dans une fabrique de jus d’orange synthétique. Mais on ne peut pas être deux sur la même identité, Jonas va donc devenir un errant.
Un inspecteur de police va être chargé de l’enquête. Elya est la dernière personne à l’avoir vu vivant avant que Jonas ne disparaisse, elle va donc tout naturellement prêter main forte à Daneel. L’intrigue va nous mener dans les quartiers les plus pauvres, rencontrer des enfants d’errants, survivants non contaminés, faire la connaissance de personnes peu scrupuleuses. Je ne vais pas tout dévoiler ce serait dommage, juste dire qu’une romance va éclore et que c’est un happy end.
J’ai beaucoup aimé le personnage d’Elya, celui de Jonas m’a laissée de marbre, peut-être était-ce une volonté de l’auteur, il n’a pas vraiment d’épaisseur. Daneel est intéressant et bien plus mystérieux qu’on peut le penser. L’auteur nous donne une vision bien détaillée du décor, nous met au courant du contexte rapidement.
C’est une histoire d’anticipation rondement menée, accessible à un large public. L’auteur y traite de sujets comme l’intelligence artificielle, les technologies futuristes mais aussi des thèmes plus communs comme l’appât du gain, le pouvoir, les manigances pour arriver à ses fins mais aussi l’entraide et la tolérance.
La plume est simple, addictive, ça se lit vite. Ce n’est pas mon roman préféré de l’auteur mais j’ai passé un bon moment.
C’est mon deuxième roman de l’auteur. Quelques mots sur la couverture, j’aime les couleurs, elle est harmonieuse et résume très bien l’histoire. Je la trouve très esthétique et moderne.
Nous faisons la connaissance de deux protagonistes : Elya développeuse pour la société Olivaw Robotics qui conçoit des programmes pour des robots humanoïdes ultra perfectionnés et Jonas riche trader. En apparence rien ne semble les rapprocher, chacun va vivre un événement qui va les faire se rencontrer. En effet, le permafrost a fondu et libéré un virus dans l’air qui efface les mémoires. Elya va être contaminée lors d’une intervention extérieure et Jonas lors d’un attentat commis par des membres « anti-memo ». Tous deux vont être amenés à l’hôpital. Memoric entreprise privée a conçu un moyen de stocker les souvenirs et de les réattribuer aux personnes concernées. Sauf que cela coûte très cher et que bon nombre de gens n’ont pas les moyens de s’offrir ce luxe, certains errent dans les rues ne se souvenant ni de leur nom ni de leur adresse.
Elya va récupérer une partie de ses souvenirs et Jonas lui, plus riche, a un enregistrement en temps réel de ses souvenirs. Sauf qu’il va y avoir un léger problème, une erreur de chargement et le voilà avec les souvenirs d’un autre, un ouvrier dans une fabrique de jus d’orange synthétique. Mais on ne peut pas être deux sur la même identité, Jonas va donc devenir un errant.
Un inspecteur de police va être chargé de l’enquête. Elya est la dernière personne à l’avoir vu vivant avant que Jonas ne disparaisse, elle va donc tout naturellement prêter main forte à Daneel. L’intrigue va nous mener dans les quartiers les plus pauvres, rencontrer des enfants d’errants, survivants non contaminés, faire la connaissance de personnes peu scrupuleuses. Je ne vais pas tout dévoiler ce serait dommage, juste dire qu’une romance va éclore et que c’est un happy end.
J’ai beaucoup aimé le personnage d’Elya, celui de Jonas m’a laissée de marbre, peut-être était-ce une volonté de l’auteur, il n’a pas vraiment d’épaisseur. Daneel est intéressant et bien plus mystérieux qu’on peut le penser. L’auteur nous donne une vision bien détaillée du décor, nous met au courant du contexte rapidement.
C’est une histoire d’anticipation rondement menée, accessible à un large public. L’auteur y traite de sujets comme l’intelligence artificielle, les technologies futuristes mais aussi des thèmes plus communs comme l’appât du gain, le pouvoir, les manigances pour arriver à ses fins mais aussi l’entraide et la tolérance.
La plume est simple, addictive, ça se lit vite. Ce n’est pas mon roman préféré de l’auteur mais j’ai passé un bon moment.
Nous retrouvons dans ce roman de science-fiction, 6 personnages sur le thème de la crise Covid.
Comme à son habitude la plume de l’auteur est fluide, facile à lire, addictive et recherchée.
On retrouve la vie de chaque personnage consécutivement, de chapitre en chapitre afin de voir l’évolution. J’ai beaucoup aimé le fait que la partie d’un personnage termine par un mot et ce même mot est retrouvé dès le début du personnage suivant (je ne suis pas certaine d’être hyper clair ici 😅)
Par contre, j’ai eu un peu de mal avec le contexte Covid, je n’étais pas prête à revivre certains passages qui m’ont particulièrement angoissée, je me suis sentie étouffer par moment.
Hormis cela, ce roman est rempli d’émotions, quelques petites larmes se sont formées par moment. On y retrouve de l’amour, des retrouvailles, de l’espoir, de la force, de l’entraide, …
En résumé, hormis mes angoisses remontées 😅 j’ai passé un excellent moment de lecture avec tous ces personnages et je continue de vous conseiller les livres de Régis dont sa plume est un véritable coup de coeur !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Comme à son habitude la plume de l’auteur est fluide, facile à lire, addictive et recherchée.
On retrouve la vie de chaque personnage consécutivement, de chapitre en chapitre afin de voir l’évolution. J’ai beaucoup aimé le fait que la partie d’un personnage termine par un mot et ce même mot est retrouvé dès le début du personnage suivant (je ne suis pas certaine d’être hyper clair ici 😅)
Par contre, j’ai eu un peu de mal avec le contexte Covid, je n’étais pas prête à revivre certains passages qui m’ont particulièrement angoissée, je me suis sentie étouffer par moment.
Hormis cela, ce roman est rempli d’émotions, quelques petites larmes se sont formées par moment. On y retrouve de l’amour, des retrouvailles, de l’espoir, de la force, de l’entraide, …
En résumé, hormis mes angoisses remontées 😅 j’ai passé un excellent moment de lecture avec tous ces personnages et je continue de vous conseiller les livres de Régis dont sa plume est un véritable coup de coeur !
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Avec ce roman, l’auteur nous replonge dans un passé très proche, l’arrivée du covid et le confinement. A travers la vie de quelques personnages, nous voyons la peur et l’incompréhension des gens devant ce virus qui nous a tous déstabilisés.
Pourtant, cette crise n’est pas vraiment, à mon sens, le sujet principal de ce livre. Mais, c’est plutôt la manière dont certaines personnes l’ont vécue. Nous nous sommes tous, plus ou moins, retrouvés face à nous-mêmes et forcés de relativiser certaines priorités.
Avec un style fluide et immersif, l’auteur décortique l’âme humaine pour nous proposer des personnages vivants et réalistes auxquels nous ne pouvons que nous attacher. C’est leur évolution à laquelle nous assistons. Certains survivalistes, persuadés que la fin du monde arrive, se préparent au combat. D’autres, se rapprochent de leur famille ou s’en éloignent.
C’est un livre qui se lit bien, avec parfois des tensions, mais aussi de la douceur. Nous assistons à des tranches de vie, à des destins qui se croisent, à des réactions différentes face à cette menace incompréhensible.
Lien : https://labibliothequedallys..
Pourtant, cette crise n’est pas vraiment, à mon sens, le sujet principal de ce livre. Mais, c’est plutôt la manière dont certaines personnes l’ont vécue. Nous nous sommes tous, plus ou moins, retrouvés face à nous-mêmes et forcés de relativiser certaines priorités.
Avec un style fluide et immersif, l’auteur décortique l’âme humaine pour nous proposer des personnages vivants et réalistes auxquels nous ne pouvons que nous attacher. C’est leur évolution à laquelle nous assistons. Certains survivalistes, persuadés que la fin du monde arrive, se préparent au combat. D’autres, se rapprochent de leur famille ou s’en éloignent.
C’est un livre qui se lit bien, avec parfois des tensions, mais aussi de la douceur. Nous assistons à des tranches de vie, à des destins qui se croisent, à des réactions différentes face à cette menace incompréhensible.
Lien : https://labibliothequedallys..
Une réussite malgré un début chaotique pour ma part.
En 1er lieu, la découverte d'un corps sans vie.
Vous me direz, oui, bin, c'est normal dans un policier, faut bien un début.
Ensuite, le démarrage de l'enquête.
Pareil, c'est la simple logique.
Mais à un moment, je me suis dis : Oh la la, y'a un truc qui cloche. Ça va vite, les inspecteurs sont pas hyper investis, et la personne interrogée se fou de leur gueule.
Mais (oui il y a un "mais"),
Dès que Régis, nous livre ce qui a bien pu se passer avec cette découverte macabre, je me suis laissée embarquée dans l'histoire.
Quelle originalité, quel style.
Un récit prenant, étonnant qui ne ressemble à aucun autre, tellement addictif, qu'il est très dure de s'arrêter.
La plume est fluide, facile et agréable à lire.
Les chapitres sont courts, ce qui rythment parfaitement la lecture.
Les personnages sont bien décrits et bien encrés dans l'histoire.
Enfin, vous aurez compris que j'ai passé un excellent moment de lecture et je vous invite à venir découvrir cet auteur et son roman.
En 1er lieu, la découverte d'un corps sans vie.
Vous me direz, oui, bin, c'est normal dans un policier, faut bien un début.
Ensuite, le démarrage de l'enquête.
Pareil, c'est la simple logique.
Mais à un moment, je me suis dis : Oh la la, y'a un truc qui cloche. Ça va vite, les inspecteurs sont pas hyper investis, et la personne interrogée se fou de leur gueule.
Mais (oui il y a un "mais"),
Dès que Régis, nous livre ce qui a bien pu se passer avec cette découverte macabre, je me suis laissée embarquée dans l'histoire.
Quelle originalité, quel style.
Un récit prenant, étonnant qui ne ressemble à aucun autre, tellement addictif, qu'il est très dure de s'arrêter.
La plume est fluide, facile et agréable à lire.
Les chapitres sont courts, ce qui rythment parfaitement la lecture.
Les personnages sont bien décrits et bien encrés dans l'histoire.
Enfin, vous aurez compris que j'ai passé un excellent moment de lecture et je vous invite à venir découvrir cet auteur et son roman.
Alerte coup de cœur !🤩 je ne suis habituellement pas hyper fan de science-fiction mais ce roman fait exception à la règle. Je l’ai d’ailleurs lu en une seule journée.
J’ai directement été embarquée dans l’histoire, j’ai adoré suivre l’histoire des différents personnages.
Les chapitres sont courts, ce que j’affectionne particulièrement. Le rythme est parfait.
La plume est fluide, facile à lire, addictive.
Une fois le roman terminé, l’auteur nous signale qu’il reste une énigme à résoudre ! Je n’ai pas encore trouvé, peut-être vais-je rêver de la solution 😁
Une très belle découverte que je vous recommande bien évidemment.
Lien : https://www.instagram.com/ju..
J’ai directement été embarquée dans l’histoire, j’ai adoré suivre l’histoire des différents personnages.
Les chapitres sont courts, ce que j’affectionne particulièrement. Le rythme est parfait.
La plume est fluide, facile à lire, addictive.
Une fois le roman terminé, l’auteur nous signale qu’il reste une énigme à résoudre ! Je n’ai pas encore trouvé, peut-être vais-je rêver de la solution 😁
Une très belle découverte que je vous recommande bien évidemment.
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’est déjà le 10e roman de cet auteur indépendant, le deuxième, mais certainement pas le second que je lis, le précédent étant « une assiette en enfer ».
Une fois de plus Régis Chaperon fait dans l’originalité, un écrivain prolifique qui nous raconte l’histoire d’un écrivain prolifique qui semble écrire depuis l’au-delà, c’est pour le moins surprenant, non ?
On rentre de suite dans le vif du sujet la découverte du cadavre de Franck Raven, roi du best-seller qui sort un livre tous les deux mois, mais refuse de se montrer. Le hic, c’est qu’il s’est suicidé il y a deux ans, par contre la semaine dernière son éditeur lui a encore parlé au téléphone.
À partir de ce moment la matière grise de la lectrice que je suis fonctionne à 100 à l’heure, ça commence à fumer… Est ce bien lui ? Est ce un canular comme le dit son éditeur ? L’éditeur serait-il l’auteur et aurait il supprimé son prête-nom ? Est-ce une histoire paranormale ? Si vous voulez le savoir, il faudra le lire…:)
Ce livre ne se lit pas comme une enquête policière, en fait une fois l’énigme posée l’auteur revient deux ans en arrière et nous fait découvrir le quotidien d’un auteur solitaire et misanthrope aux prises avec le syndrome de la page blanche. Ses questionnements et angoisses et l’arrivée accidentelle, et magique d’une tierce personne un peu paumée et elle aussi solitaire.
C’est la rencontre de ces deux êtres que nous suivons et qui peu à peu vont nous expliquer pourquoi et comment on en est arrivé là.
Un roman qui se lit très vite, car il nous plonge très facilement dans l’esprit des héros et que l’auteur nous délivre les pièces du puzzle au compte goutte.
Petit à petit, avec le temps, on comprend à quoi ce puzzle va ressembler, mais tant qu’on a pas la dernière pièce, le tableau final ne se dévoile pas.
Un mystère que j’ai pris plaisir à élucider, des personnages qui ne m’ont pas laissé indifférente.
Un livre qui m’a fait passer un très bon moment en plus le roman cache une énigme supplémentaire que je vous laisse le soin de résoudre, je dois avouer que sur le coup je n’avais pas trouvé, et en dînant alors que je ne cherchais plus une lumière s’est allumée : bon sang, mais c’est bien sûr !
Je vous recommande la lecture de ce roman. Je vous reparlerai de cet auteur qui décidément ne cesse de me surprendre.
Lien : https://sandetcesttout.com/
Une fois de plus Régis Chaperon fait dans l’originalité, un écrivain prolifique qui nous raconte l’histoire d’un écrivain prolifique qui semble écrire depuis l’au-delà, c’est pour le moins surprenant, non ?
On rentre de suite dans le vif du sujet la découverte du cadavre de Franck Raven, roi du best-seller qui sort un livre tous les deux mois, mais refuse de se montrer. Le hic, c’est qu’il s’est suicidé il y a deux ans, par contre la semaine dernière son éditeur lui a encore parlé au téléphone.
À partir de ce moment la matière grise de la lectrice que je suis fonctionne à 100 à l’heure, ça commence à fumer… Est ce bien lui ? Est ce un canular comme le dit son éditeur ? L’éditeur serait-il l’auteur et aurait il supprimé son prête-nom ? Est-ce une histoire paranormale ? Si vous voulez le savoir, il faudra le lire…:)
Ce livre ne se lit pas comme une enquête policière, en fait une fois l’énigme posée l’auteur revient deux ans en arrière et nous fait découvrir le quotidien d’un auteur solitaire et misanthrope aux prises avec le syndrome de la page blanche. Ses questionnements et angoisses et l’arrivée accidentelle, et magique d’une tierce personne un peu paumée et elle aussi solitaire.
C’est la rencontre de ces deux êtres que nous suivons et qui peu à peu vont nous expliquer pourquoi et comment on en est arrivé là.
Un roman qui se lit très vite, car il nous plonge très facilement dans l’esprit des héros et que l’auteur nous délivre les pièces du puzzle au compte goutte.
Petit à petit, avec le temps, on comprend à quoi ce puzzle va ressembler, mais tant qu’on a pas la dernière pièce, le tableau final ne se dévoile pas.
Un mystère que j’ai pris plaisir à élucider, des personnages qui ne m’ont pas laissé indifférente.
Un livre qui m’a fait passer un très bon moment en plus le roman cache une énigme supplémentaire que je vous laisse le soin de résoudre, je dois avouer que sur le coup je n’avais pas trouvé, et en dînant alors que je ne cherchais plus une lumière s’est allumée : bon sang, mais c’est bien sûr !
Je vous recommande la lecture de ce roman. Je vous reparlerai de cet auteur qui décidément ne cesse de me surprendre.
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