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Critiques de Robert Bryndza (308)
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Jolies filles

À mesure que j’avance au sein de cette saga, et plus je prends plaisir à lire la plume de cet auteur. Et dire que le premier tome ne m’avait pas totalement séduite. Je ne regrette vraiment pas d’avoir persévéré.



Depuis le début de cette saga, Robert Bryndza sait comment rendre son héroïne attachante en lui donnant une personnalité unique. Encore une fois, son impulsivité lui joue des tours. Erika a tendance à dire tout haut ce qu’elle devrait taire. J’aime également qu’elle soit une policière intègre, au contraire de certains policiers qui l’entourent et qui ferment trop souvent les yeux! Et puis, sa relation avec Peterson la rend plus vulnérable. Du coup, notre héroïne semble plus humaine.





Il est également intéressant de suivre le meurtrier. L’auteur nous donne accès aux pensées de ce dernier et laissez-moi vous dire que ce n’est pas joli du tout. Nous découvrons avant les policiers comment il arrive à kidnapper ces jolies filles. Cela m’a donné des frissons de frayeur!



J’ai bien aimé le lien que l’auteur a su créer entre l’enquête et les réseaux sociaux. Il peut être plaisant de communiquer derrière son écran, mais à quel prix? La prudence est de mise en tout temps...



En ce qui concerne l’intrigue, l’auteur a su tisser une jolie toile dès le début pour captiver le lecteur et les quelques rebondissements qui surviennent en cours d'enquête rendent le tout encore plus addictif. D'ailleurs, j'ai vraiment apprécié qu'il ait scindé le récit entre les policiers et le meurtrier. J’étais curieuse de voir comment Erika et ses collègues allaient réussir à coincer le meurtrier.



Quatrième tome de cette saga et c’est vraiment le meilleur jusqu’à maintenant. La fin nous laisse supposer qu’il y aura une suite et je peux vous garantir que je ferai partie des premières lectrices à lire la prochaine enquête d’Erika Foster.
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Jolies filles

Quelque part dans une banlieue de Londres, au fond d’une benne à ordures, on retrouve le cadavre d’une jeune femme, atrocement mutilé. Sous les sévices et le sang, on peut encore reconnaître le halo d’une jolie fille. L’inspectrice Erika Foster aimerait bien prendre l’enquête à sa charge, mais elle n’est pas saisie du dossier. Qu’importe ! Elle commence une enquête en sous-main jusqu’à découvrir un lien avec le cadavre d’une autre jeune et jolie fille retrouvé là aussi dans une benne à ordures et dont le dossier est resté classé. Un tueur en série sévirait-il dans les banlieues londoniennes ? Erika va se mettre en chasse, au train d’un tueur invisible, jamais saisi par les caméras de surveillance qui sont pourtant légion à Londres…



« Jolies filles » est le quatrième opus de la série Erika Foster, écrit par l’auteur anglais à succès Robert Bryndza. J’ai pu lire ce thriller grâce à une opération spéciale Masse Critique. Et j’ai été d’emblée conquise !



Cet opus offre tous les ingrédients classiques d’une enquête policière : un premier meurtre sordide et révoltant, en guise d’accroche ; une inspectrice au tempérament pugnace et au flair infaillible malgré les nombreux pièges et impasses dans lesquels elle ne manquera pas de se fourvoyer ; un suspens aussi dense et pesant que le fog londonien ; beaucoup d’actions, de dialogues, d’atermoiement ; et puis l’attente angoissante qui saisit le lecteur omniscient, lequel découvre assez vite l’identité du tueur, après une jolie pirouette narrative de l’auteur ; attente qui se transforme en question : quand est-ce que la route d’Erika croisera celle du tueur, qui mettra fin aux supplices, passés et à venir ?



Des ingrédients classiques, certes, mais la plume de l’auteur sait les transformer en un redoutable page-turner. Et l’on est vite pris dans la toile de cette chasse vertigineuse au tueur, d’autant plus monstrueux qu’il sait contourner les caméras de vidéosurveillance grâce à un self-control et une maîtrise qui n’a d’égal que sa capacité à se fondre dans la masse des gens dits ordinaires ; une chasse pilotée par la redoutable inspectrice Erika Foster, dont la personnalité complexe et attachante se dévoile d’opus en opus.



Alors, oui définitivement, « Jolies filles » est une lecture addictive qui nous entraîne dans les bas-fonds d’une humanité dévoyée. A lire, de toute urgence !

Je remercie vivement Babelio et les éditions Belfond pour ce très bon moment de lecture et de dépaysement.
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Jolies filles

Le premier atout de cette série ? Le personnage d'Erika Foster, une enquêtrice tout sauf simple, une enquêtrice dotée de mémoire, ce qui n'est pas forcément le cas de tous les personnages de policier. Oui, Erika n'oublie pas, elle n'oublie pas la mort de son mari et de trois de ses hommes alors qu'ils étaient sous son commandement, elle n'oublie pas les promotions qu'elle n'a pas obtenu. Se remettre en cause ? Oui, parfois. Erika n'est pas parfaite, elle connait sa valeur d'enquêtrice et entend bien la mettre en avant pour obtenir ce qu'elle veut, et ce qu'elle veut, ce n'est certainement pas rester dans un placard pour rédiger des rapports et autres enquêtes statistiques, ce qu'elle veut, c'est enquêter sur des meurtres, et plus particulièrement sur ce qu'elle pressent être une nouvelle affaire de tueur en série. Que fera-t-elle pour parvenir à ses fins ? Ravaler son orgueil, et demander l'accord de celui qui est tout de même son ennemi juré au sein de la police - ou peu s'en faut qu'il n'emporte ce titre. Ce qu'Erika oublie ? A force de se comporter un peu comme un bulldozer, elle qui a dû se construire seule, en Angleterre, loin de son pays et de sa famille, c'est que ses interlocuteurs, ses collègues ont des sensibilités, des susceptibilités, et une vie personnelle. Ou comment se rendre compte que, mis à part son cercle de très proches, Erika ne connaît quasiment personne et peine à s'ouvrir à d'autres. Il ne s'agit pas de faire son deuil, il s'agit de s'ouvrir à la vie.

Il s'agit aussi de mener une enquête, de sauver celles qui peuvent encore l'être : arrêter un tueur en série, c'est aussi l'empêcher de faire de futures victimes. C'est aussi faire avec le peu d'indices que l'on a, avec les témoignages, pas très nombreux non plus. C'est constater que certaines victimes ne laissent rien derrière elles, parce qu'elles ont été seules toute leur vie. C'est faire, aussi, avec les clichés sexistes, qui continuent à avoir la belle vie. Une jeune femme veut forcément séduire, elle ne pense qu'à faire la fête. Une femme ne peut pas aimer une autre femme. Une femme doit accepter de sortir avec un homme s'il est "bien", s'il est "gentil" - ou, vous l'aurez compris, s'il se juge tel. Un homme doit avoir un vrai travail, c'est à dire un travail de force, physique. Il peut se permettre d'être un peu violent avec les femmes, ou avec les hommes qui ne sont pas aussi virils que lui.

La police doit aussi faire avec cette nouvelle composante, les réseaux sociaux. Peu importe ce que dira la police, une vidéo postée et commentée un millier de fois aura plus de poids. De même, les gens partagent indéfiniment sur les réseaux sociaux, sans se soucier de ce que partager signifie réellement, et des dangers qui peuvent survenir. Internet devient alors un outil de recherches comme les autres pour les enquêteurs et les criminels.

Si j'ai un peu moins aimé ce livre que le précédent, je dois dire cependant dire que certains chapitres sont particulièrement prenants. Il en est qui sont drôles aussi (mention spéciale pour une charmante chatonne blanche).
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Jolies filles

Avant de commencer à parler du livre je remercie les éditions Belfond et l'équipe Babelio pour m'avoir permis de découvrir le quatrième opus d'un auteur que je suis depuis son premier roman.



Dans le prologue qui se situe en août 2016 on voit le tueur déposer le corps d'une jeune femme dans une benne à ordures.

Puis le récit principal fait un bond en avant de quelques mois, une jeune femme est découverte dans une benne à ordures par des étudiants.

L'inspectrice-chef Erika Foster accompagne son amant l'inspecteur Petterson sur le lieux de la découverte du corps où elle s'accroche avec le superintendant Sparks. Comme à son habitude elle va tout faire pour que l'enquête lui soit confiée.



Le récit alterne entre l'enquête menée par la police et le tueur qui continue ses meurtres, ce qui donne un très bon rythme à l'histoire.



Bien que la police dispose de peu d'éléments, l'enquête est bien maîtrisée, on suit point par point le travail des enquêteurs qui repose en grande partie sur l'exploitation des caméras de surveillance. Les enlèvements et les nouveaux meurtres relancent à chaque l'enquête.



Le personnage central comme dans les précédents opus est bien mis en avant, peut être un peu trop. En effet au fil des lectures ses heurts avec la hiérarchie et son passé récent qui resurgit finissent tout de même par agacer quelque peu le lecteur. On aurait aimé aussi que ses adjoints soient un peu plus mis en valeur, ce qui devrait être le cas dans le prochain roman de l'auteur avec sa promotion.



L'écriture fluide alliée à l'alternance des chapitres permettent une lecture très dynamique.



Comme pour les ouvrages précédents on a un très bon policier classique tant sur le fond que sur la forme.
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Jolies filles

Une construction originale, que je n'avais jamais croisée encore dans mes lectures. Peu à peu, on commence à rentrer dans le livre. Au début, les événements qui se succèdent sont assez lents, avec le revirement de point de vu lorsque nous découvrons le meurtrier, on s'accroche à son siège et on ne décolle plus de sa lecture. C'est beaucoup plus angoissant et prenant.



J'étais sur le fil du rasoir, car dans ce roman seul le lecteur connait le meurtrier et il le voit évoluer en parallèle de l'enquête. J'ai ressenti une énorme tension : je voulais rentrer dans le livre pour les aiguiller, leur dire qu'ils cherchaient dans la mauvaise direction.



Tension extrême sur cette seconde partie, je l'ai vécu comme une histoire vraie, spectatrice impuissante, dans une voie sans issue que celle de la mort.



Dans cet opus, on y retrouve notre héroïne plus perturbée. Erika est une enquêtrice qui a du flair, qui ne veut pas s’embarrasser des protocoles, mais entre son histoire d'amour avec Petterson et les frictions avec certains supérieurs, elle ne parvient pas à se concentrer aussi brillamment que d'ordinaire. La découverte de deux corps de très jolies jeunes filles va réveiller ses instincts. Il semblerait que le même mode opératoire ait été utilisé. Avec la disparition puis le décès d'une troisième jeune fille les doutes ne sont plus permis. Le tueur évite les caméras de surveillance, change de nom, de profil, de voiture, les enquêteurs sont perdus. Un nouvel enlèvement enclenche un compte à rebours macabre vers la vérité. Parviendront-ils à l'identifier, l'arrêter avant qu'il ne l'exécute comme les précédentes ?



Une seconde moitié plus addictive qui a largement rattrapé le départ un peu chaotique. Il m'a manqué des réponses à la toute fin sur l'intrigue même. Peut être apportera t-il quelques solutions dans son prochain. C'est un avis un peu mitigé, mais une lecture que j'ai tout de même appréciée. L'auteur a un talent narratif et une imagination fertile.
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Jolies filles

Quatrième enquête et nous retrouvons à nouveau Erika Foster après « Une fille sous la glace », « Oiseau de nuit » et « Liquide inflammable » publiés chez Belfond. J’appréhende parfois une baisse de régime lorsqu’il s’agit de série mais rassurez-vous, ce n’est pas le cas ici et Robert Bryndza a su garder mon intérêt de bout en bout. Bien que chaque livre puisse se lire individuellement, je ne saurais trop vous recommander de prendre le temps de les lire dans l’ordre et de faire connaissance avec Erika et son équipe sans rien omettre. Erika fait partie des premières personnes arrivées sur les lieux du crime, ici, une benne à ordures. Bien que cela ne soit plus de son ressort, elle va tout faire pour rester sur l’enquête quitte à prendre des risques. Un tueur en série utilise les réseaux sociaux pour choisir de belles jeunes femmes comme victimes… La narration si elle manque d’originalité reste très efficace pour nous garder en haleine. L’auteur alterne les chapitres courts et rythmés, tantôt du point de vue de la police et tantôt de celui du tueur, un vrai régal. On apprend précocement l’identité du tueur, cela aurait pu être frustrant mais ça n’a pas été le cas pour moi, au contraire j’ai trouvé que cela utile pour mieux apprécier la personnalité du tueur, les indices sont réservés à la police puisque nous lecteur nous savons déjà. Cela n’empêche pas une montée du suspense alors qu’on s’inquiète de qui sera la prochaine. Au-delà de l’intrigue, j’ai apprécié le travail sur le personnage d’Erika. Certes elle ne s’est en rien émousser, fidèle à elle-même, elle reste impulsive, défiant les règles mais c’est quelqu’un qui a vraiment à cœur le sort des victimes et la résolution l’enquête. Bonne lecture.
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La fille sous la glace

Un bon polar très classique: une "pauvre" petite fille riche assassinée de façon atroce et dont on découvre la noirceur de la face cachée; une famille influente qui interfère dans l'enquête en faisant pression sur la hiérarchie de la policière qui en est chargée; des rivalités et des complicités entre collègues; ... mais l'ensemble est toutefois bien rythmé avec un personnage central qui suscite vite l'empathie, un dénouement inattendu. Un bon moment de lecture.
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Liquide inflammable

Attention, gros coup de coeur pour cette enquête très bien construite et so british !

Le suspense est parfaitement tenu tout au long de l'histoire. Les personnages sont complexes, juste dans le ton, et très attachants.

L'écriture de Bryndza donne ce qu'il faut de rythme et d'alternance de pause et de tonus au récit.

Tout simplement parfait.



#LiquideInflammable #RobertBryndza #Belfond #Netgalley #NetGalleyFrance #lecture #livres #chroniques



Le quatrième de couverture :



L'auteur de thrillers aux plus de deux millions de livres vendus en Grande-Bretagne vous réserve une plongée en plein cauchemar... Retenez votre souffle !

Alors qu'elle sonde les profondeurs d'une vieille carrière inondée à la recherche d'une cargaison de drogue, l'inspectrice Erika Foster fait une macabre découverte : un sac-poubelle renfermant des ossements d'enfant.

Le légiste est formel : le squelette est celui de la petite Jessica Collins, sept ans, dont la disparition en 1990 avait profondément ému l'Angleterre. Un dossier classé sans suite depuis.



Obsédée par ce drame, Erika se jure de faire toute la lumière.

Mais entre la pression de sa hiérarchie, l'effervescence des médias alléchés par ce sordide rebondissement et le silence de la famille Collins, la flic entêtée sent rapidement qu'elle a mis les pieds dans une affaire complexe, aux ramifications aussi noires qu'étonnantes... et dangereuses.



L'eau est un parfait tombeau. Et l'on ne devrait jamais déranger ceux qui y sont engloutis.
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La fille sous la glace

Le lecteur découvre une nouvelle enquêtrice, Erika Foster, qui n'a pas froid aux yeux ni face à l'adversaire ni face à sa hiérarchie. La série d'enquête risque d'être mouvementée.



La première enquête avance crescendo bloquée parfois par quelques embûches qui se trouvent sur le passage de l'équipe mais il s'agit d'un saut d'obstacles couronné de succès même s'il y a des dommages collatéraux au passage.

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Oiseau de nuit

C’est des pistes enneigées que je vous propose aujourd’hui la chronique d’un thriller paru aux éditions Belfond : Oiseau de nuit, de Robert Bryndza. J’avais beaucoup aimé La fille sous la glace, la première aventure de la DCI Erika Foster. Premier polar d’un auteur de comédies romantiques, il avait remporté un vif succès en France comme à l’étranger. C’est donc avec curiosité que j’ai postulé à la masse critique de Babelio en janvier pour lire ce second volet, et avec grand plaisir que je me suis plongée dans cette nouvelle enquête.



On retrouve Erika, notre enquêtrice meurtrie par la vie et surtout la mort de son mari, en pleine canicule à Londres. Elle est appelée sur une sordide scène de crime : le corps d’un médecin a été retrouvé nu, attaché dans son lit, asphyxié par un sac en plastique sur sa tête. De toute évidence, le pauvre homme ne s’est pas lui-même donné la mort. Quand un second cadavre est retrouvé dans des circonstances similaires, cela ne fait plus aucun doute, il s’agit d’un serial killer. Dès lors la jeune femme se lance sur sa piste mais quand elle annonce qu’il s’agit d’une tueuse et non d’un tueur, rares sont ceux qui la suivent.



Car Erika n’est pas particulièrement douée avec les gens, il faut bien le dire. Elle manque souvent de diplomatie et se refuse à pratiquer la langue de bois. Elle a également tendance à n’en faire qu’à sa tête ce qui, dans le cadre de son métier, lui attire souvent des ennuis, en particulier avec sa hiérarchie. Son instinct est pourtant sûr, mais elle va se rendre compte que cela ne suffit pas. Surtout sur cette enquête, que ses supérieurs ont l’air de vouloir régler aussi vite que possible, quitte à lui imposer leurs propres conclusions, aussi abracadabrantes soient-elles.



Seulement quand son meilleur ami se retrouve soudain impliqué, il n’est plus question de laisser faire. Erika se lance dans l’enquête corps et âme, au mépris d’un danger pourtant bien réel. En tant que lecteur, on connaît l’identité de la tueuse assez rapidement, tout l’intérêt consiste à comprendre ses motivations. L’auteur alterne les points de vue et on flirte avec elle jusqu’à la fin du livre. On découvre les atrocités qu’elle a subies tout au long de sa vie, les névroses qu’elle a développées et pourquoi. Par moments, on se surprend à la plaindre, à avoir envie de comprendre. Erika elle-même est curieusement déstabilisée par cette femme.



Au final, tout cela nous donne un roman très addictif, qu’on lit presque d’une traite sans voir le temps passer. J’ai beaucoup aimé cette histoire qui, même si elle ne révolutionne pas le genre, se révèle efficace et prenante. Erika est un personnage attachant. A un instant clé de son existence, elle ne passe pas une journée sans penser à la disparition de son époux et malgré tout, le temps commence à faire son œuvre, ce qui ne va pas sans culpabilité de sa part. Une histoire percutante, avec une héroïne tout en nuances, fragile mais déterminée. J’attends le prochain tome, annoncé à l’automne, avec grande impatience.
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La fille sous la glace

Classique mais plutôt bien fait.

On navigue de fausses pistes en fausses pistes comme d'habitude dans ce genre de roman, et je dois avouer que le criminel m'a étonné...

Ca se lit vite.
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La fille sous la glace

Erika Foster reprend du service après avoir vécu un drame : La mort de son mari en service au cours d’une opération qu’elle-même dirigeait. J’ai d’ailleurs été très frustrée de ne pas avoir plus de détails sur cette opération.

La reprise n’est pas de tout repos puisqu’elle se retrouve à enquêter sur la mort violente d’Andrea, fille d’un homme d’affaire aristocrate faisant partie de la chambre des Lords. Autant dire que les pressions exercées sont puissante et Erika se retrouve a devoir plus ménager les susceptibilités de la famille qu’à réellement enquêter sur le meurtre d’Andrea. D’autant plus que le détective a qui l’affaire a été retirée pour être confiée à Erika l’a assez mal pris et fait tout pour lui mettre des bâtons dans les roues.

Au travers de l’exaspération d’Erika ont découvre une justice à deux vitesses où le rang social de la victime et du ou des suspects entrent plus en ligne de compte pour déterminer le comportement de la police que la simple équation : meurtre + meurtrier = chercher le coupable et l’arrêter.

Aux pressions de ces gens aisés qui veulent bien qu’Erika enquête du moment qu’elle ne fouille pas trop dans leur vie privée, s’ajoute la pression des média qui ne perdent pas une occasion d’augmenter leurs tirages en attaquant tour à tour la famille, la police, les éventuels suspects et le gouvernement.

Tout ce mic mac ne fait qu’entraver l’enquête qui n’était déjà pas facile à l’origine et quand le père de la victime s’imagine qu’il peut diriger la police à sa guise en s’appuyant sur son rang et ses amis haut placés, ça fait des étincelles. Même si Erika semble s’être lancée dans une lutte évoquant le pot de terre contre le pot de fer, elle ne baisse pas les bras et fais tout son possible pour rendre justice à la victime qui reste sa préoccupation première.

L’auteur rend ses personnages plus réels en leur donnant une vie en dehors de l’affaire. Même si on n’insiste pas sur cet aspect des choses, les quelques scènes où l’on constate que le chef, la collègue et d’autres, ont une vie, parfois de famille, a suffit à les rendre plus consistant, sans que ces informations ne prennent jamais le pas sur l’enquête et sur l’intrigue.

J’ai apprécié qu’aucune question ne reste en suspend à la fin du roman et j’ai également aimé que tout ne tombe pas tout cuit dans le bec d’Erika sous prétexte qu’elle prend le contrepied de sa hiérarchie. Elle rame sacrément pour étayer ses théories et, à plus d’une reprise elle se demande si elle ne fait pas fausse route. Le coupable ne lui est pas livré avec un gros nœud rouge posé sur le sommet du crâne.

L’écriture est sacrément addictive et j’ai eu du mal à fermer le livre pour dormir. Si j’avais pu, j’aurais enchaîné les pages jusqu’à la fin sans la moindre coupure.

Ce premier roman est une réussite et j’espère lire bientôt une nouvelle enquête d’Erika Foster !
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La fille sous la glace

Quand Lee Kinney a pris le chemin du boulot ce jour-là, il était loin d’imaginer ce qui l’attendait. « En raison des intempéries, vous êtes autorisé à ne pas vous rendre sur votre lieu de travail. » Le SMS du Jobcenter est arrivé un peu tard, alors il a continué jusqu’au musée de Forest Hill. Où gisait le corps d’Andrea Douglas-Brown, fille d’un riche homme d’affaires et fiancée à une figure du gratin local, l’œil mort, sous la glace des bords du lac.



Quand les riches trinquent, ça fait couler de l’encre. Sans attendre, les journalistes s’emparent de l’affaire, ce qui n’arrange pas Erika Foster, qui voudrait pouvoir faire son boulot à l’abri des ragots. L’enquête s’annonce difficile, d’autant que la DCI Foster se heurte à Sparks, son homologue masculin, éhontément misogyne et déterminé à la tenir à l’écart des investigations. La famille d’Andrea ne l’aide pas beaucoup à avancer, les fantaisies de la jeune femme étant plutôt mal vues de Lors Douglas-Brown, qui tient à éviter les chasseurs de scoops. Et que dire de la sœur à tendance vieille fille névrotique ? Le frère discret, la mère dédaigneuse? Pas très coopératifs.



Fragilisée par une descente qui a mal tourné au cours de laquelle elle a perdu son mari, Erika décide de se fier à son instinct (vous devrez faire de même et attendre qu’on vous explique le pourquoi du comment), envers et contre tous, et arpente le terrain plus que de raison pour tenter de gagner la confiance des moins gâtés par la vie, pour qui l’injustice demeure un crime. Mais quelqu’un semble bien décidé à faire taire tous ceux qui pourraient parler…



Robert Bryndza a su doser ses très bons ingrédients et signe là un thriller bien mené. Les dialogues sont vifs – les échanges de piques Foster/Starks sont réjouissants -, les personnages secondaires à la hauteur, cherchant leur place dans un Londres que se disputent les mondains et les laissés-pour-compte. Erika Foster se démarque des fliquettes qu’on croise souvent. Ce n’est pas une bleue, elle a déjà quelques kilomètres au compteur et ni plus femme, ni plus flic, elle fait de son mieux pour tirer son épingle d’un jeu qui l’a mise sur la touche. Une belle représentation du paramètre humain de ce genre d’intrigue.



Un premier roman accrocheur, dont j’attends la suite avec impatience.



Merci aux éditions Belfond pour leur confiance renouvelée.
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La fille sous la glace

C'est la jolie couverture de ce livre qui a d'abord retenu mon attention, puis j'ai apprécié le titre et la lecture du résumé m'a complétement convaincue. J'aime bien les ambiances froides depuis que j'ai découvert les auteurs nordiques et là, j’espérais bien pouvoir plonger dans un hiver bien froid. Je remercie la plateforme Netgalley et surtout les Editions Belfond pour m'avoir fourni un exemplaire de ce bouquin.



La glace a immortalisé sa jeunesse, sa beauté… et son mystère : qui était vraiment Andrea ? Victime ou manipulatrice ?

Encore marquée par la mort en service de son mari, l’inspectrice en chef Erika Foster découvre son nouveau poste dans un commissariat de Londres. Premier jour, première affaire et non des moindres : le corps d’Andrea Douglas-Brown, fille d’un riche industriel, a été retrouvé dans le lac gelé du Horniman Museum de Forest Hill. Que faisait la jeune femme mondaine dans ce quartier mal famé ?

Effondrée par la disparition d’Andrea, sa famille semble pourtant redouter ce que l’enquête pourrait dévoiler d’eux. Hasard ? Vengeance ? Crime passionnel ? Pour faire éclater la vérité, Erika Foster devra faire la lumière entre règne des apparences et sombres secrets.



Je ne vais pas tourner autour du pot, ce thriller n'aura pas répondu à toutes mes espérances. Globalement, j'ai bien aimé ma lecture et j'ai passé un bon moment en compagnie d'Erika et ses copains flics mais je n'ai pas trouvé le suspens que j'aurai souhaité.



En fait, j'ai trouvé que le livre était parfois un peu mou. L'enquête est sympathique et plutôt bien menée mais l'auteur nous ménage quelques temps morts qui m'ont un peu lassée. Pour moi, un thriller doit être rythmé, le lecteur doit être malmené. Ici, c'est assez tranquille et à part la révélation du nom du tueur (que je n'avais pas découvert, c'est un bon point), je n'ai pas eu de grande surprise. Pas de retournement de situation, rien qui ne m'aura fait lever le nez en disant "ah quand même !" et c'est un peu dommage.



Par contre, j'ai beaucoup aimé le personnage d'Erika et je suis contente de savoir que d'autres histoires la mettant en scène sont prévues. Elle est efficace dans sa vie professionnelle, elle a un super flair ! Mais c'est aussi une femme brisée qui m'a beaucoup touchée. J'ai hâte d'en apprendre plus sur elle et de la voir enfin heureuse.



Les autres personnages m'ont moins plu, même si j'ai tout de même apprécié Moss et Linda, la soeur de la victime. L'auteur fait tout pour que le lecteur déteste cette soeur qui semble sortie de nulle part si on la compare au reste de la famille et pourtant, elle a été ma préférée des Douglas-Brown.



Une découverte sympa mais qui souffre d'un petit manque de rythme ...
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La fille sous la glace

Une jeune femme disparait, la police est sur les dents car son père est très influent. Lorsque son corps est découvert prisonnier des glaces, On fait appel à Erika Foster. Parachutée au beau milieu de l'enquête dans une équipe qui n'est pas la sienne, elle va avoir du mal à trouver ses marques. Elle est encore traumatisée par la mort récente de son mari dont elle se sent responsable.



Mue par son instinct, elle se doute très vite que l'image de la victime n'est que de la poudre aux yeux et qu'en réalité, elle cache de nombreuses zones d'ombres.



J'ai beaucoup aimé le personnage d'Erika, pas vraiment sympatique, elle finit par devenir très attachante. Elle est pour cela épaulée par toute une galerie de personnages secondaires qui vont lui faire montrer sa vraie personnalité au grand jour.



Elle est déterminée et n'hésite pas à se mettre à dos sa hiérarchiepour suivre la piste qui lui semble la plus juste.



Le lecteur suspecte tout le monde (j'ai même suspecté des personnages que les enquêteurs eux mêmes n'ont pas inquiété, je dois être tordue je pense) sauf le coupable (oups).



Pour son premier roman, Robert Brundza nous offre une intrigue parfaitement ciselée pleine de rebondissements et des personnages que l'on aimerait retrouver.



si ce n'est pas le début d'une grande histoire ça....

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La fille sous la glace

Une déception de plus. L'impression d'avoir déjà lu le roman, tellement il ressemble à d'autres romans du même type, la certitude que je l'aurai oublié très rapidement.
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La fille sous la glace

Andrea, belle jeune femme de la haute société anglaise, est retrouvée assassinée, figée sous une couche de glace pour l'éternité. Erika Foster est la commissaire chargée de l'enquête, elle revient après une terrible épreuve personnelle et semble fragilisée. Mais dans cette enquête, elle ne devra rien lâcher, vu la personnalité de la jeune décédée, la pression sera immense sur les épaules d'Erika...



Merci à Babelio et Belfond grâce à qui j'ai pu lire ce thriller !



Un polar glacial d'un nouvel auteur britannico-slovaque, Robert Bryndza dont c'est le premier livre et dont il faudra retenir le nom, car La fille sous la glace est une réussite ! Ambiance frigorifique, Londres sous la neige, rebondissements inattendus, une héroïne charismatique mais fragilisée, et des crimes sordides... tout y est pour faire de La fille sous la glace un thriller vraiment efficace que j'ai dévoré en quelques jours !

On découvre une héroïne très intéressante et dont le personnage est vraiment bien travaillé, Erika, qui reprend le boulot après une longue interruption à cause d'un drame personnel et professionnel. Son personnage est attachant et agréable à suivre, elle est bornée, elle ne se laisse pas dicter sa conduite et a bien l'intention de mener cette enquête comme il le faut, sans tenir compte de la famille haut placée de la jeune victime...

La victime, elle, est une jeune femme parfaite, éducation à l'anglaise, gros moyens financiers, une gentille fille à papa, bref une fille très bien sous tout rapport, du moins en apparence, car Andrea cache de nombreux secrets...

Autour de ces deux personnages féminins gravitent plusieurs protagonistes intéressants comme Crane, Moss et Peterson et même Marsch ou Sparks, et également Linda, la sœur d'Andrea.

L'écriture de Robert Bryndza est claire et fluide, on suit l'enquête avidement, le rythme est soutenu grâce à des chapitres courts, et le dénouement arrive comme un boomerang avec une grosse dose d'adrénaline !!!

La fille sous la glace serait le premier volume d'une série consacrée à Erika Foster et c'est une nouvelle qui fait plaisir car je serais ravie de la retrouver, elle est bien plus intéressante qu'une autre Erika, celle de Camilla Lackberg. Certains pourront soulever que l'intrigue n'est peut-être pas hyper originale, ce n'est pas tout à fait faux, mais le talent de Bryndza est de réussir à maintenir un suspense constant et de nous pousser à suivre Erika, sans lâcher le livre !
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La fille sous la glace

Je remercie Netgalley et les éditions Belfond pour m'avoir permis de lire ce très bon polar.



La fille sous la glace est mon deuxième polar de l'année et je dois dire que je n'ai pas été déçu par ce roman.

Bien que ce soit une enquête classique, sans être gore et sans être glauque, Robert Brindza a su mettre en scène tous les codes des meilleurs polars pour qu'il n'en reste plus qu'un le sien. Je dois dire qu'au début j'étais un peu perplexe par rapport à cette enquête ordinaire mais plus je tournais les pages plus j'étais happée et captivée par cette histoire bien rythmée.

J'aurai aimé que l'auteur consacre un chapitre au passé de la DCI Erika Foster plutôt que de glaner des infos par ci par là . Je n'ai pas pu m'attacher de suite à Erika même si ce personnage est un personnage pugnace qui a soif de justice car je ne la connaissais pas suffisamment.



Erika Foster , tout juste mutée à Londres après une enquête qui a capoté et qui a fait cinq mort dont son mari se voit confiée l'enquête du meurtre d'Andrea Douglas-Brown, fille du richissime et influent homme d'affaire Sir Simon Douglas-Brown. Pour résoudre cette affaire il va falloir qu'Erika et sa toute nouvelle équipe marche sur des œufs , fouiller dans la vie de cette famille huppée ne sera pas aisé et apprécié par son chef. En effet le surintendant Marsh est "menacé" par son supérieur d'être mis sur la touche si elle n'arrête pas de mettre son nez dans les affaires des Douglas-Brown. Mais pour Erika qui a soif de justice il n'y a pas de justice à deux vitesses. Erika est une fonceuse qui n'a pas peur de défier sa hiérarchie même si celle-ci lui met des bâtons dans les roues et la met sur la touche car elle ne croit pas en ses théories. Que va-t-elle découvrir? Ses théories sont elle si farfelues? Comment reprendre l'enquête quand on a plus de badge? Autant de questions et rebondissements qui font de ce livre un pur ravissement pour les lecteurs de polars.



Cet ouvrage est un polar addictif que je conseille vivement, j'ai adoré la plume efficace de Robert Brindza, chapitres courts, suspense à profusion , une héroïne anéantie par la perte de ses hommes dont son mari qui ne lâche rien ( les meilleurs flics sont toujours les plus malmenés par la vie ), un dénouement auquel on ne s'attend pas tellement que cette enquête est prenante.




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La fille sous la glace

Quand une fille de la haute société se fait assassiner, l'enquête promet d'être difficile et la Detective Chief Inspector Erika Foster va devoir marcher sur des œufs...D'autant plus qu'elle a la fâcheuse tendance à se comporter comme un éléphant dans un magasin de porcelaine !

Fluide, le style est très bon et je reconnais m'être retrouvée happée par cette histoire dès la première page. En apparence "simple", je pensais franchement que c'était cousu de fil blanc jusqu'au final où je me suis rendu compte que je m'étais tout bonnement mis le doigt dans l'oeil !

La fin se révèle percutante et le rebondissement redoutable.

"la fille sous la glace" est tout public et glisse tout seul. Rien d'innovant, certes, mais l'enquête est bien gérée, tout tient largement la route et c'est efficace !

Les personnages sont attachants. Surtout Erika, immigrée slovaque qui a perdu son mari et traîne derrière elle son chagrin comme on traine un boulet.

"la fille sous la glace", c'est un retour complet sur la vie d'Andrea qui semble avoir bon nombre de choses à cacher. La haute société n'est peut-être pas si rutilante qu'elle en a l'air.

C'est aussi une histoire de pouvoir. Ce pouvoir qui donne tout. Cet argent qui achète tout. Une remise en question, un regard sur la haute société, l'establishment, l'éducation des enfants au fric plutôt qu'aux sentiments. Avec tout ce qu'ils veulent et surtout couvert au moindre pépin !

La good news ? C'est qu'il y aura une suite aux aventures d'Erika Foster. C'est même déjà en Angleterre...alors hop hop hop !

Moi j'y serai et vous ?
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La fille sous la glace

De quoi ça parle ?

Londres. Une jeune femme de bonne famille est retrouvée morte, le corps figé dans la glace d'un lac gelé. Son nom : Andrea Douglas-Brown. L'inspectrice Erika Foster, qui fait ses premiers pas dans son nouveau commissariat suite à la mort en service de son mari, est chargée de l'enquête. Très vite, elle découvre qu'Andrea n'était pas la femme bien sous tous rapports que sa riche famille décrit, et va faire le lien avec d'autres meurtres de prostituées. Que cache cette famille influente ? Erika va tout faire, quitte à s'attirer les foudres de ses supérieurs, pour faire la lumière sur cette affaire.



Mon avis :

Je tiens tout d'abord à mettre en avant la couverture très belle de ce livre aux coloris qui attirent l’œil et donnent envie de s'y intéresser.

On a ici affaire à un policier : une enquête sur un meurtre sordide, une inspectrice au sens de l'honneur et au goût du travail bien fait exacerbés, un mystérieux meurtrier psychopathe et quelques rebondissements. Je dois avouer que ce roman ne sort pas vraiment du lot, j'ai déjà lu de nombreuses histoires similaires. Ce ne sera donc pas par l'originalité qu'il se démarquera.

L'intrigue est bien là, le suspense aussi bien qu'il soit loin d'être insoutenable. L'écriture de Robert Bryndza est assez simple mais son histoire tient la route. Il a réussi à garder la surprise sur l'identité du tueur jusqu'au dénouement, je ne l'avais pas vu venir.

Les personnages sont typiques d'un roman policier et malheureusement trop stéréotypés. On a d'un côté les gentils et de l'autre les méchants. Une pointe de nuance aurait été la bienvenue. Pour ma part, je ne me suis attachée à aucun d'eux.

En conclusion, c'est un roman qui respecte les codes du genre, mais peut-être un peu trop, il manque cette touche d'originalité qui aurait fait la différence. Il se lit assez facilement mais ne me laissera pas un souvenir indélébile. Une lecture pas désagréable mais pas indispensable.
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