Silvana Gandolfi

Un récit implanté dans la réalité quotidienne de Venise avec de forts accents oniriques, réunissant une fillette de 10 ans et sa grand-mère.

Elles ont de nombreux points communs à commencer par leur prénom respectif : Elisa contient les mêmes voyelles qu’Eia le prénom de sa grand-mère. Elles aiment réciter des extraits de Shakespeare, font des promenades pleines de poésie, partage des plats savoureux qu’apporte Elisa. Pourtant un gros secret plane entre elles jusqu’au jour où Elisa pose les bonnes questions. Pourquoi sa mère ne l’accompagne-t-elle jamais ? Sont-elles fâchées ?

Et quels sont ces changements réguliers qui se produisent sur Eia ?



C’est un texte tout en douceur et profondeur des sentiments, ces derniers étant très bien analysés du reste. L’on pourrait y voir des paraboles, certes, mais je préfère simplement me laisser porter par cette histoire, rêver d’autres possibles, pourquoi pas ?

Je souligne la qualité de la traduction, bien menée.



Un texte à partager entre toutes les générations !

J'ai beaucoup aprécier ce livre. L'histoire est tout simplement magnifique, voir cette grand-mère et sa petite fille aussi proche l'une de l'autre et avoir la même passion pour Shakespeare c'est très beau. Il y a une touche poétique. J'ai tout de même trouver l'histoire étrange mais encore une fois ce livre est superbe. le personnage que j'ai préférer est sans doute la grand-mère je la trouve rigolote. L'histoire se déroule à Venise le plus souvent cher la grand-mère. Elisa la petite fille rend souvent visite à sa mamie et un jour elle se rend conte que sa mamie va de mois en moins bien... le langage y est normal un langage de tout les jours. Il y a des dialogues et les phrases sont courte. dans l'ensemble ce livre est chouette.

Lili

J'ai beaucoup aprécier ce livre. L'histoire est tout simplement magnifique, voir cette grand-mère et sa petite fille aussi proche l'une de l'autre et avoir la même passion pour Shakespeare c'est très beau. Il y a une touche poétique. J'ai tout de même trouver l'histoire étrange mais encore une fois ce livre est superbe. Le personnage que j'ai préférer est sans doute la grand-mère je la trouve rigolote. L'histoire se déroule à Venise le plus souvent cher la grand-mère. Elisa la petite fille rend souvent visite à sa mamie et un jour elle se rend conte que sa mamie va de mois en moins bien... Le langage y est normal un langage de tout les jours. Il y a des dialogues et les phrases sont courte. dans l'ensemble ce livre est chouette.

Lili

Ce livre est remplie de suspense, de surprise mais parfois de tristesse ,il y a pleins d'émotions qui ce mélange et c'est ce qui fait la magie de ce roman. C'est un roman très captivant. Le personnage principal fait preuve d'une grande autonomie, pour s'occuper de sa mamie différemment que toute les autres que s'occupe les jeunes filles de son âge. Le langage dans ce livre est facile à lire pour tous, il n'est pas soutenu ou familier au contraire il est courant. Les dialogues font vivre le livre.

Je vous le conseille si vous aimez, comme moi, les histoires imaginaire et toute sorte d'émotion à la fois .

Louhane. G

Une vieille femme handicapée rêve de rencontrer son ange gardien pour qu'il l'aide à écrire un dernier livre. Elle parvient à le faire apparaître mais il est très étrange... Et ça ne va pas se calmer, au contraire!



Le début ne m'attirait pas (je l'ai reçu dans un lot...) mais la deuxième partie explique tout (ou presque) de façon beaucoup moins magique (voire ridicule.) les coïncidences qui ont poussé la narratrice à se bercer d'illusions sont assez amusantes. Une lecture en 2 temps pour 2 sentiments différents chez moi.

En Italie, on suit la vie de deux garçons. Santino vit à Palerme, en Sicile quand, a sept ans, il est le seul témoin de la mort de son père et de son grand-père, victimes de la Mafia. Ce lourd fardeau pèse sur ses épaules et, quand la justice l'interroge, il ne sait pas s'il doit raconter tout ce qu'il a vu, ou bien se taire comme le lui demande son oncle... A Livourne, sur le continent, Lucio s'occupe seul de sa petite sœur car sa mère pauvre se persuade qu'elle ne peut marcher à cause d'un mauvais sort. Cet ado de onze ans écrit souvent des lettres à un certain Chasseur, mais ne peut les lui envoyer. Il profite de ses uniques moments de liberté à bord de son Optimist. Mais quel est le point commun entre ces deux enfants ?



J'ai vraiment adoré cette histoire avec son style si beau : le vocabulaire est simple, doux, on se sent bercé dans l'histoire (même dans les moments tragiques) et il a été pour moi très facile de m'imaginer l'histoire dans ma tête. L'intrigue commence plutôt tard mais, à partir de ce moment, on ne peut plus lâcher le livre et dès qu'un élément est résolu, un autre apparaît et nous tient en haleine. C'est tellement addictif ! De plus, la lecture est entraînante car on passe souvent d'un enfant à un autre donc on ne s'ennuie jamais. Je vous conseille vraiment ce livre car, après avoir lu la première page, on ne peut pas le lâcher !
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Je ne peux qu'inviter les non-initiés à entrer dans le monde "Gandolfi". Ce sont des images, des idées, des situations très originales ce qui est appréciable car en littérature jeunesse il arrive souvent que les "découvertes" bégaient.

Ce n'est pas le meilleur de Silvana Gandolfi mais ça reste du Gandolfi ! !

C'est un petit bijou ! Sylvana Gandolfi a vraiment un monde imaginaire très original. Ses histoires sont toujours insolites et surprenantes flirtant parfois avec l'onirisme. Cette île du temps perdu m'a emportée sur ses rivages fréquentés essentiellement par des enfants libres. Des questions à se poser sur le sens de la vie : est-ce que je perds mon temps quand je rêve ? et le temps que je perds dans les embouteillages est-ce le même ? Eh bien non ! ! Je ne dévoilerai rien .

Comme toujours chez Silvana Gandolfi, l'histoire est extrêmement originale et inventive. Relire ce livre m’a donné envie d’aller me promener du côté des pyramides mayas !!

Au cours d'un voyage au Népal, Andrew découvre un élixir de jeunesse éternelle mais il doit remettre ce baume à la déesse vivante, la kumari. Négligeant sa mission, Andrew avale le remède et constate vite ses effets prodigieux. Le miracle tourne au cauchemar car Andrew rajeunit de jour en jour. Pour sauver sa vie il doit trouver un lac magique mais compter aussi sur l'aide de l'exaspérante Kumari.

Niveau : 6e-5e

Andrew 55 ans part au Népal avec sa femme Déborah et le club des joyeux aventuriers. Mais au cours de se voyage il rencontre un vieux sadhu (sage hindou) grand-père de la Kumari (déesse vivante) qui lui demande de donner le baume du dragon à sa petite fille. Andrew va alors aller voir la Kumari dans son palais mais celle-ci va lui claquer la porte au nez. Découragé Andrew va MANGER le baume. Mais malheureusement pour lui quand, on mange le baume on rajeunit, ce qui fait que Andrew va rajeunir d'un an par jour. S'il n'agit pas vite il disparaîtra pour toujours. Il va alors demander de l'aide à la princesse. Mais le seul moyen pour que Andrew vieillisse est de se baigner dans un certain lac. Mais réussiront-ils à trouver le lac à temps ?

J'ai aimé malgré le début un peu ennuyeux.

J'ai beaucoup aimé ce livre, il est original, mais à la fois sensible et plein de suspense.

Je trouve qu'il est rapide à lire et on comprend tout. L'auteur a beaucoup d'imagination à propos du personnage d'Eia.

Le personnage que j'ai le plus aimé est Elisa car elle a beaucoup de courage, et quand il s'agit de sauver sa grand-mère, elle est prête à tout et fonce sans se poser de questions.

Camille

Aldabra la tortue qui aimait shakespeare de Silvana GANDOLFI.



1- Mon ressenti

J'ai beaucoup aimé ce livre très poétique qui parle de la fin de vie d'une façon très intéressante ...



2-Les personnages

Elisa et sa grand-mère sont très proches, toutes deux aime le théâtre !

L'évolution des personnages est un peu "bizarre" dans le sens où une grand mère qui se transforme en tortue, ce n'est pas très courant !



3-L'histoire

Il y a une chose que j'ai particulièrement aimé dans l'histoire, ce sont les histoires de famille ... Je trouve ça très passionnant d'en apprendre un peu plus sur son passé ! L'auteur nous met constamment dans une ambiance de "suspens ".



4-Le style

Le livre est extrêmement facile à lire, le vocabulaire employé est très simple.

Je le conseil à tout le monde !



Pour finir, je pense que l'histoire a un double sens (c'est mon avis).

Je ne dévoilerais pas ce "double sens" car j'aimerais que tout les gens qui lisent ce livre se fasse leur propre idée...



Camille.V

Quelle bouffée de fraîcheur cette histoire ! Dante a quelques soucis à l'école, il va chez sa grand-mère à Venise pour terminer l'année scolaire en attendant de rejoindre ses parents qui sont partis s'installer à Hong-Kong. Avec des soucis de "h" qui s'immiscent partout, sa grand-mère décide de l'envoyer prendre des cours chez l'ancien professeur de sa mère, Casimo Dolent. Il va apprendre bien plus qu'à s'améliorer à l'école chez le maître pantouflard, scientifique original à ses heures perdues. Et tous ses chats !! En bref, une connexion s'établit entre Dante et Virgile, un chaton. Le garçon va vivre une aventure par les yeux de Virgile et s'engager sur un chemin semé d'embûches en essayant de remonter la piste des visions de Virgile. Jusqu'à découvrir le pouvoir de l'imagination.

Un conte superbement écrit, facile à lire. On dévore plus qu'on lit en fait. Tellement envie de savoir où est passé Virgile et la fillette kidnappée. Une jolie fin qui fait un beau pied de nez aux lectures habituelles. Une vraie lecture détente pour bien commencer l'été.

Andrew, est un homme de cinquante ans .Il travaille dans l’entreprise de son beau-père. Il vend des baignoires et des cuvettes de WC. Il se moque de l’entreprise de son beau-père à table avec des invitées puis il se dispute avec sa femme. Il sort pour éviter de recevoir les objets que sa femme lui lance sous le coup de la colère.:

Dans la rue, la nuit, il se lamente sur son sort, quand il croise un vieux Sadhu qui lui pose des questions sur sa vie. Il lui dit qu’il est l’homme dans ses visions qui doit apporter un baume très spécial a sa petite fille qui est une Kumari pour qu’elle arrête de grandir .Il y va et il trébuche devant la Kumari qui lui tire la langue ,et, pour se venger, il avale le baume qu’il trouve délicieux mais malheureusement manger le baume le fait rajeunir d'une année par jour .Il va donc dans les appartements de la Kumari pour lui expliquer ce qui s’est passé et la Kumari pleure .Elle lui dit aussi « qui voit une Kumari pleurer meurt dans l’année »puis elle lui parle d’un lac avec ce baume dans l’Anapurna, une très grande montagne. Il prépare donc des provisions, et 10000 cerfs-volants pour distraire les habitants de Katmandou et faire partir la Kumari. Quand ils partent, Andrew a dix-huit ans.



Réussiront-ils à trouver le lac et à arrêter le rajeunissement d’Andrew ?



J'ai aimé ce livre car il y a du suspens, l'histoire est très intéressante et l'aventure sur l'anapurna est géniale.

L'île du temps perdu est une très belle découverte.

Arianna et Giulia se perdent dans une mine lors d'une visite scolaire. Loin de s'enfoncer dans les profondeurs de la mine, elles arrivent sur une île mystérieuse, où le soleil semble briller sans cesse. Elles y découvrent un monde parallèle, dans lequel se trouve tout ce qui est perdu, du poussin à la boîte de bonbons, en passant par la patience.

L'histoire est douce, elle invite à la paresse positive, au rêve. J'ai énormément apprécié les parallèles entre l'île et notre monde. Les expressions de la vie courante prennent un tout autre sens dans ce monde-ci (perdre la mémoire, perdre ses mots, perdre le fil, perdre son temps...). Le texte très riche en calembours ravira les enfants curieux du sens des mots. Petit conte philosophique, c'est un invitation à l'oisiveté à laquelle je ne peux rester insensible.

Deux enfants, Giulia et son amie Arianna, se perdent dans une mine lors d'une sortie scolaire. Dans le noir, puis sur l'île. Un volcan expulse sur ces pentes tout ce qui a été perdu sur terre. Elles comme les objets, elles comme les monuments, elles comme les musiques pas encore écrites, elles comme les émotions.

Elles rencontrent les enfants habitant l'île. Passablement gentils jusqu'à ce qu'ils poussent dans une crevasse un vieux grand-père désorienté lors d'une sortie de sa maison de retraite. Comment choisissent-ils ceux qui ont le droit de vivre et les autres? Il faudrait avoir envie de rester sur ce lieu magique, ne pas souhaiter retrouver sa vie d'avant. Mais ce n'est peut-être qu'un qui-pro-quo. Jour après jour, elles découvrent tous les habitant, les enfants, les adultes, les perdus pour tous même pour l'humanité et l'existence des atolls d'îles par zone géographique de lieux de perte.

Les repères temporels sont différents, pas de véritable nuit, pas d'heure mais les grondements irréguliers du volcan. Cela ressemble à un pays merveilleux. Sur cette île, ceux qui se sont perdus, ceux qui sont à même de paresser, de rêver, de perdre du temps, de perdre le temps. Il y a même dans les trouvailles autour du volcan des magnifiques émotions (espoir, patience, courage, mémoire) à se masser sur le corps contenus dans du plancton ou des lapilli volcaniques. Prendre soin de ses rêveries, de soi.

Le lieu est magique mais il est aussi voué à se détériorer. N'existe-t-il pas derrière le marais des cannibales? Humains perdus comme tous mais ayant respiré près de fumerolles toxiques, le temps noir. Apathiques, se mangeant les uns, les autres, même eux-même. Le gaz ne serait-il pas en train de se répandre? Le marais les séparera-t-il toujours? Mais le monde réel est le pire dans ce désastre annoncé.

Il faudra prendre ses responsabilités, choisir l'action, vivre sur l'île ou retourner à la vraie vie... pour ceux qui peuvent.



Et puis le livre est un roman, l'auteure le précise mais elle ajoute aussi qu'il s'agit d'une histoire racontée par Giulia: ce seraient ses souvenirs d'enfance. mais comment croire une telle chose? C'est trop merveilleux et angoissant? Silvana envoie des lettres à son amie, l’héroïne, pour l'informer de son avancée dans la rédaction de l'histoire. Elle doute, la questionne et rêve que l'île est vraie.

A travers ce conte, l'enfance se dévoile dans sa spontanéité, son indolence, son oisiveté (cf extrait), comme des qualités à préserver. Les adultes, qui les conservent, eux, sont encore des rêveurs, des découvreurs ou des mal adaptés. Le livre tente de faire un pont entre le merveilleux et le monde adulte, la paresse comme construction de soi, retour à soi et la vraie vie. C'est doux et chaud!
Lien : http://1pageluechaquesoir.bl..

Une très très belle découverte. C'est l'un des romans pour enfants qui m'a le plus captivée. Je n'ai pas pu le lacher une seule seconde. L'auteure a su créer des personnages très attachants, notamment le petit Dante qui m'a charmée en quelque mots, un intrigue très bien menée et une jolie histoire! Tout les enfants et les adultes devraient lire ce petit livre !
Lien : http://leblogdepoppy.com/201..

Andrew, vendeur de WC déprimé en voyage au Népal (ça commence bien !) avale un remède destiné à la Kumari, déesse vivante de Katmandou qui le fait rajeunir de plus en plus. S'ensuit un road trip des plus cocasses en compagnie d'une kumari exaspérante vers un lac mythique et symbolique qui apportera la renaissance. Le narrateur adulte s'il rajeunit garde toujours son esprit de cinquantenaire et apporte un décalage supplémentaire à l'aventure. Si comme toujours, l'amour triomphe du temps, la conclusion évoque une profondeur plus subtile.

Mention spéciale au yéti et à sa dulcinée, j'adore.