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Vidéos de Svetlana Alexievitch (29)
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ThibaultMarconnet18 septembre 2020
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3/5 Feuilleton en direct depuis le studio 114 de la maison de la Radio. "La Fin de l'homme rouge" de Svetlana Alexievitch : 3ème épisode diffusé le 13/02/2014. Choix de textes : Jean-Pierre Thibaudat
Réalisation : Laure Egoroff
Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière

Dans "La Fin de l’homme rouge", Svetlana Alexievitch rencontre des témoins d’une époque, celle d’un empire révolu depuis décembre 1991, l’Union soviétique. Ces témoins lui sont proches car la biélorusse Svetlana Alexievitch est une enfant de l’Union soviétique.
On se souvient de ses livres bouleversants comme Les "Cercueils de zinc", sur les soldats soviétiques morts en Afghanistan, ou encore "La Supplication" sur les victimes de Tchernobyl, les liquidateurs qui furent envoyés pour ensevelir le réacteur sous un sarcophage et leurs épouses aimant éperdument des morts-vivants.
À chaque fois Svetlana Alexievitch écoute longuement les témoins. Et petit à petit, le témoignage va au-delà du témoignage, là où le lent tête à tête touche à l’art de la parole, à la densité de la confession, à la beauté du dire.
Ceux qu’elles rencontrent sont souvent des femmes. Des veuves, des mères, des fiancées. Elles ont connu plus souvent le malheur que le bonheur, elles sont pleines de vie. Pas une famille russe qui n’ait sa part de tragédie. Guerre, camps, prison, alcoolisme, suicide, meurtre.
Cinq femmes témoignent de la fin de l’homme rouge. Certaines croiront jusqu’à leur mort au communisme, d’autres n’y croient plus, d’autres encore ont toujours eu le régime en haine ou ont tourné la page. Cinq femmes, cinq destins ancrés dans l’époque soviétique qui fut aussi le temps de leur enfance ou de leur jeunesse.
Cinq voix écoutées et écrites par Svetlana Alexievitch.

"La Fin de l’homme rouge ou le temps du désenchantement" de Svetlana Alexievitch est paru aux éditions Actes Sud dans une traduction de Sophie Benech.

Avec Annie Mercier
Et les voix de Olga Kokorina, Nicolaï Iarochenko, Vladimir Ant, Julien Gaillard.

Prise de son, Montage et Mixage : Julien Doumenc et Emilie Couet
Assistante à la réalisation : Clémence Gross

Thème(s) : Création Radiophonique| Littérature Contemporaine| Littérature Etrangère| France Culture| Svetlana Alexievitch

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet18 septembre 2020
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4/5 Feuilleton en direct depuis le studio 114 de la maison de la Radio. "La Fin de l'homme rouge" de Svetlana Alexievitch : 4ème épisode diffusé le 14/02/2014. Choix de textes : Jean-Pierre Thibaudat
Réalisation : Laure Egoroff
Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière

Dans "La Fin de l’homme rouge", Svetlana Alexievitch rencontre des témoins d’une époque, celle d’un empire révolu depuis décembre 1991, l’Union soviétique. Ces témoins lui sont proches car la biélorusse Svetlana Alexievitch est une enfant de l’Union soviétique.
On se souvient de ses livres bouleversants comme Les "Cercueils de zinc", sur les soldats soviétiques morts en Afghanistan, ou encore "La Supplication" sur les victimes de Tchernobyl, les liquidateurs qui furent envoyés pour ensevelir le réacteur sous un sarcophage et leurs épouses aimant éperdument des morts-vivants.
À chaque fois Svetlana Alexievitch écoute longuement les témoins. Et petit à petit, le témoignage va au-delà du témoignage, là où le lent tête à tête touche à l’art de la parole, à la densité de la confession, à la beauté du dire.
Ceux qu’elles rencontrent sont souvent des femmes. Des veuves, des mères, des fiancées. Elles ont connu plus souvent le malheur que le bonheur, elles sont pleines de vie. Pas une famille russe qui n’ait sa part de tragédie. Guerre, camps, prison, alcoolisme, suicide, meurtre.
Cinq femmes témoignent de la fin de l’homme rouge. Certaines croiront jusqu’à leur mort au communisme, d’autres n’y croient plus, d’autres encore ont toujours eu le régime en haine ou ont tourné la page. Cinq femmes, cinq destins ancrés dans l’époque soviétique qui fut aussi le temps de leur enfance ou de leur jeunesse.
Cinq voix écoutées et écrites par Svetlana Alexievitch.

"La Fin de l’homme rouge ou le temps du désenchantement" de Svetlana Alexievitch est paru aux éditions Actes Sud dans une traduction de Sophie Benech.

Avec Annie Mercier
Et les voix de Olga Kokorina, Nicolaï Iarochenko, Vladimir Ant, Julien Gaillard.

Prise de son, Montage et Mixage : Julien Doumenc et Emilie Couet
Assistante à la réalisation : Clémence Gross

Thème(s) : Création Radiophonique| Littérature Contemporaine| Littérature Etrangère| France Culture| Svetlana Alexievitch

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet18 septembre 2020
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5/5 Feuilleton en direct depuis le studio 114 de la maison de la Radio. "La Fin de l'homme rouge" de Svetlana Alexievitch : 5ème et dernier épisode diffusé le 15/02/2014. Choix de textes : Jean-Pierre Thibaudat
Réalisation : Laure Egoroff
Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière

Dans "La Fin de l’homme rouge", Svetlana Alexievitch rencontre des témoins d’une époque, celle d’un empire révolu depuis décembre 1991, l’Union soviétique. Ces témoins lui sont proches car la biélorusse Svetlana Alexievitch est une enfant de l’Union soviétique.
On se souvient de ses livres bouleversants comme Les "Cercueils de zinc", sur les soldats soviétiques morts en Afghanistan, ou encore "La Supplication" sur les victimes de Tchernobyl, les liquidateurs qui furent envoyés pour ensevelir le réacteur sous un sarcophage et leurs épouses aimant éperdument des morts-vivants.
À chaque fois Svetlana Alexievitch écoute longuement les témoins. Et petit à petit, le témoignage va au-delà du témoignage, là où le lent tête à tête touche à l’art de la parole, à la densité de la confession, à la beauté du dire.
Ceux qu’elles rencontrent sont souvent des femmes. Des veuves, des mères, des fiancées. Elles ont connu plus souvent le malheur que le bonheur, elles sont pleines de vie. Pas une famille russe qui n’ait sa part de tragédie. Guerre, camps, prison, alcoolisme, suicide, meurtre.
Cinq femmes témoignent de la fin de l’homme rouge. Certaines croiront jusqu’à leur mort au communisme, d’autres n’y croient plus, d’autres encore ont toujours eu le régime en haine ou ont tourné la page. Cinq femmes, cinq destins ancrés dans l’époque soviétique qui fut aussi le temps de leur enfance ou de leur jeunesse.
Cinq voix écoutées et écrites par Svetlana Alexievitch.

"La Fin de l’homme rouge ou le temps du désenchantement" de Svetlana Alexievitch est paru aux éditions Actes Sud dans une traduction de Sophie Benech.

Avec Annie Mercier
Et les voix de Olga Kokorina, Nicolaï Iarochenko, Vladimir Ant, Julien Gaillard.

Prise de son, Montage et Mixage : Julien Doumenc et Emilie Couet
Assistante à la réalisation : Clémence Gross

Thème(s) : Création Radiophonique| Littérature Contemporaine| Littérature Etrangère| France Culture| Svetlana Alexievitch

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet04 septembre 2020
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Svetlana Alexievitch : La Fin de l’homme rouge (France Culture / Théâtre et compagnie). Photographie : © Nobel Media AB. Photo: A. Mahmoud. Diffusion sur France Culture le 26 janvier 2020. « Pendant quarante ans, Svetlana Alexievitch a parcouru ce pays qu’on appelait l’URSS et enregistré des centaines de témoignages. “Ce qui m’intéresse, écrit-elle, c’est le petit homme, le grand petit homme car la souffrance le grandit. Dans mes livres, il raconte lui-même sa petite histoire, et en même temps, il raconte la grande histoire.” D’une personne à l’autre, de voix en voix, elle a écrit six livres qui n’en font qu’un seul, un livre sur l’histoire d’une utopie : le socialisme. “La Fin de l’homme rouge” fait résonner les voix des témoins brisés de l’époque soviétique, voix suppliciées des Goulags, voix des survivants et des bourreaux, voix magnifiques de ceux qui ont cru qu’un jour “ceux qui ne sont rien deviendraient tout”, et sont aujourd’hui orphelins d’utopie. “J’ai cherché ceux qui ont totalement adhéré à l’idéal. Ils n’ont pas été capables de lui dire adieu, se perdre dans une existence privée, vivre, tout simplement. J’ai été choquée et horrifiée par l’être humain, j’avais envie d’oublier ce que j’avais entendu. Et plus d’une fois aussi, j’ai eu envie de pleurer de joie devant la beauté de l’être humain. Ce qui m’attirait, c’était ce petit espace, l’être humain. Juste l’être humain. En réalité, c’est là que tout se passe. Je suis entourée de ces voix, ces centaines de voix, elles sont toujours avec moi. J’aime les voix humaines solitaires, c’est ce que j’aime le plus, c’est ma passion.” »
Emmanuel Meirieu

Mise en scène et adaptation : Emmanuel Meirieu
Traduction : Sophie Benech
Une réalisation d’Alexandre Plank et Emmanuel Meirieu.

Avec Stéphane Balmino, Évelyne Didi, Xavier Gallais, Maud Wyler, Anouk Grinberg, Jérôme Kircher, André Wilms et la voix de Catherine Hiegel
Musique : Raphaël Chambouvet
Prise de son, montage, mixage : Mathieu Touren
Assistante à la réalisation : Manon Dubus

Production : La Criée - Théâtre National de Marseille / Le Bloc Opératoire
Coproduction : ExtraPôle Provence-Alpes-Côte d’Azur, Les Gémeaux/Sceaux/Scène nationale, Les Théâtres – Théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence, Le Liberté, scène nationale de Toulon, Le Théâtre National de Nice – CDN Nice Côte d’Azur, L’Arc Le Creusot, Châteauvallon Scène Nationale, DSN Dieppe Scène Nationale.

“La Fin de l’homme rouge“ est publié chez Actes Sud. Une fiction enregistrée en septembre 2019 au Théâtre des Bouffes du Nord.

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet04 septembre 2020
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Le 08 octobre 2015, le prix Nobel de littérature a été décerné à l'écrivaine biélorusse Svetlana Alexievitch, “pour son œuvre polyphonique, un monument à la souffrance et au courage de notre époque”. À cette occasion, rediffusion spéciale de l'émission “Hors-champs” du 25 mars 2014 en compagnie de la lauréate. Dans les premières années de sa vie, Svetlana Alexievitch a vécu à la campagne : « C’est une richesse. » Elle y découvre la nature, les animaux, les bois, les rivières. Mais « il y avait aussi beaucoup de souffrance. » Cette période a été « un traumatisme et un profond savoir sur la vie. » S’est développé chez elle un respect pour la vie, une vie qui « n’est pas toujours simple. » Elle admirait beaucoup sa grand-mère, qui avait une très belle voix. « Elle était aussi très drôle. Elle disait qu’elle avait enlevé mon grand-père pendant un mariage. » Mais, selon elle, il n’y a pas une famille soviétique qui n’ait des secrets. Son père étudiait dans un institut de journalisme avant de partir pour le front. Sans doute influencé par le métier paternel, elle a, dès petite, écrit des poèmes et des petits textes, « j’ai toujours voulu écrire » confie-t-elle.
Quand elle finit ses propres études à la faculté de journalisme, elle commence à travailler pour un journal. « J’ai rencontré des femmes qui avaient été victimes de la guerre et ça m’a donné envie de faire un livre. Ensuite, il a entraîné tous les autres. Je me suis mise à dire ce qui se passait. »
Elle prend des notes sur les soldats. « Pour moi il était important de regarder la guerre dans les yeux. » Après avoir vu de ses yeux un homme tué à la guerre, on se met à écrire différemment, explique l’écrivaine. « Il n’est plus question de jeu, d’invention, car la réalité est bien plus terrible. »
« Il ne faut rien inventer, il faut être sincère en allant vers les gens. » Elle ne voulait pas aller voir les gens en tant qu’écrivain mais en tant qu’être humain, « un être humain qui ne comprend pas pourquoi il faut tuer des gens parfaitement innocents. Et eux non plus n’arrivaient pas à le comprendre. » Svetlana Alexievitch le reconnaît : « Je n’ai pas de réponse aux questions sérieuses que nous pose la vie. Personne n’a ces réponses. »

Invitée :
Svetlana Alexievitch

Thèmes : Littérature Contemporaine| Littérature Etrangère| Russie| Guerre| Communisme| Tchernobyl Chute de l'URSS| Prix Nobel de littérature| Svetlana Alexievitch

Source : France Culture
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videos12 avril 2019
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Le choix des libraires vous invite à la rencontre de Stéphanie Banon, la propriétaire de la librairie « Charlemagne » à La Seyne-sur-Mer ( Var). Avec elle, partagez ses coups de c?urs et ses auteurs favoris comme James Ellroy, Robert Goolrick ou encore Svetlana Alexievitch.
videos17 février 2019
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André Wilms joue la création "La Fin de l?homme rouge", d?après une adaptation du roman de Svetlana Alexievitch. L?ouvrage fait parler des centaines d?hommes et de femmes brisés par l?époque soviétique. Il est mis en scène par Emmanuel Meirieu sur les planches du théâtre des Gémeaux à Sceaux jusqu?au 17 février 2019.

Écoutez l'entretien avec André Wilms sur France Culture : https://www.franceculture.fr/emissions/une-saison-au-theatre/andre-wilms-gueule-dacteur

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