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Citations de T. J. Klune (604)


Puis, d’au-dessus de moi, un murmure.

— Tu es… tu es réel ?

J’ouvris les yeux.

Un homme se tenait là.

Ses cheveux noirs pendaient autour de son visage, ses yeux noirs plissés. Il était nu, la peau pâle. Il me regardait d’un air renfrogné, les épaules voûtées, les poils du loup du Canada se rétractant alors qu’il se retransformait en humain. Il avait l’air plus jeune que dans mon souvenir, durant les brefs instants que je l’avais vu à Caswell. Il aurait pu avoir mon âge.

— Espèce d’idiot, grogna-t-il, sa voix grave et rauque. Je te l’ai dit. De te tenir éloigné. De rentrer chez toi. Et je soufflai :

— Gavin.

Quelque chose traversa son visage, et c’était si foutrement bleu que mon cœur se brisa en deux. C’était de la peur et de l’envie, de la colère et de l’inquiétude se mélangeant toutes ensemble dans une tempête compliquée.
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– Asexuel. L’acte sexuel ne m’attire pas. Je préfère avoir des connexions émotionnelles comme celles que j’ai déjà, plutôt que des relations intimes dont je peux me passer.
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- Les Tout à un dollar mexicain ne sont pas comme les Tout à un dollar américain, poursuivit Bernice. Parce que le Mexique n'utilise pas les dollars.
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— Je n’arrivais pas à deviner ce que c’était. Pourquoi il semblait être avec nous, tout en ne l’étant pas. Il y a un signal. C’est chimique. C’est le parfum de ce qu’on ressent. C’est comme si on… transpirait nos émotions. Et il était heureux, et il riait. Il pouvait être en colère. Il était silencieux et bourru. Mais il y avait toujours du bleu en lui. Juste… du bleu. C’était comme quand ma mère traversait ses phases. Parfois elle était pleine de vie. Parfois elle rageait. Elle était féroce et fière et épuisée. Mais ensuite tout était bleu, et je ne comprenais pas. C’était azur et indigo et saphir. C’était prussien et royal et ciel. Et puis c’était minuit, et j’ai compris. Mark était minuit. Mark était triste. Mark était bleu. Et cela faisait partie de lui depuis aussi loin que remontaient mes souvenirs. Peut-être que ça avait toujours été là et que je ne l’avais simplement pas vu. Mais puisque je ne parlais plus par peur de crier, j’ai regardé. Et je l’ai vu. C’est avec nous maintenant. Dans notre peau. Je le vois en toi, mais c’est enfoui sous toute la colère. Toute la rage.

— Tu ne sais pas de quoi tu parles, dis-je, les dents serrées.

— Je sais, répondit-il. Après tout, je ne suis qu’un gamin à qui on a tout pris. Qu’est-ce que je peux bien comprendre à la notion de perte ?
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Un homme grand et puissant avait dit autrefois qu’un jour viendrait où quelqu’un se lèverait, se lèverait et lutterait contre le mal.

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Les journées étaient chaudes et humides. Les infos disaient que cela allait être l’été le plus caniculaire depuis des années. Une vague de chaleur, disaient-ils. Qui pourrait durer des semaines et des semaines.
C’était presque mon vingt-troisième anniversaire. Je me disais qu’il était peut-être temps de déménager de chez ma mère, mais l’idée de ne pas vivre près de la meute me causait des sueurs froides, alors je n’y mettais pas tellement d’entrain. Ma mère ne s’en plaignait pas. Elle aimait m’avoir avec elle. Et cela signifiait que je pouvais assurer sa sécurité au cas où les monstres attaqueraient de nouveau.
Donc, peu de temps avant d’avoir été sur terre depuis vingt-trois ans, je me rendis chez les Bennett pour le dîner dominical. Elizabeth me demanda d’aller cueillir quelques tomates dans le jardin. Elle me sourit et m’embrassa sur la joue.
Joe, Carter et Kelly sortaient des bois, terminant leur course tandis que je revenais du jardin.
Ils riaient et se bousculaient comme le font des frères. Je les aimais tous les trois.
Sauf.
Sauf.
Joe portait un short taille basse. La plus minuscule des choses.
Et rien d’autre.
Il était presque aussi costaud que moi à présent. Nous étions de la même taille, ou si près que ça ne comptait pas, ce qui faisait qu’il mesurait presque un mètre quatre-vingt-dix.
Une couche de sueur faisait luire son buste. Quelques poils blonds humides frisaient sur son torse qui paraissait taillé dans le granit. Ses muscles abdominaux étaient joliment dessinés. Une goutte de transpiration atteignit la ligne de poils sous son nombril et mouilla la ceinture de son short.
Il se retourna pour dire quelque chose à Carter et je vis les fossettes au-dessus de ses fesses. La façon dont ses jambes se pliaient et se détendaient pendant qu’il sautait d’un pied sur l’autre.
Il pointa vivement du doigt quelque chose dans les bois ; une veine bleue ressortit sur son biceps et j’eus envie de la retracer de mes doigts, parce que quand un tel truc était-il arrivé ?
Et ces mains. Ces putains de grandes mains et je…
Joe avait grandi.
Et d’une certaine façon, je ne l’avais pas vraiment remarqué jusqu’à ce que ce soit pleinement exposé. Juste devant mes yeux.
Il avait dû me voir du coin de l’œil. Il se retourna et me sourit, et c’était Joe, mais c’était Joe.
Alors, naturellement, ce fut là que je m’encastrai dans le mur de la maison. Les tomates dans mes mains s’écrasèrent contre moi. Ma tête tapa contre le revêtement de bois et je me dis : Oh, merde !
Je m’écartai de la maison. Des bouts de tomates tombèrent au sol.
Mince.
Je sentis mon visage s’échauffer lorsque je regardai à nouveau les frères Bennett. Ils étaient tous plantés là, à m’observer d’un air inquiet.
— Qu’est-ce qui se passe ? demanda Carter. Tu sais qu’il y a une maison juste ici, hein ? Elle est là depuis… quasiment toujours.
— Heu… dis-je d’une voix faiblissante.
Je ne pouvais même pas l’empêcher.
— Hé. Les gars ! Ça roule ? Je cueillais juste… des tomates.
Je croisai les bras sur mon torse et les tachai de tomate. Je voulus m’appuyer contre la maison, mais j’étais allé plus loin que je ne le pensais et trébuchai à l’intérieur.
— Qu’est-ce qui se passe là ? demanda Kelly.
Joe fit un pas dans ma direction, et les muscles de son ventre se contractèrent et une vague de désir fit rage en moi. Je me souvins alors que les loups-garous pouvaient le sentir, et je me reculai, pris d’une terreur absolue.
— Hé, dis-je d’une voix cassée.
Je me raclai la gorge et réessayai.
— Hé. Heu… Je dois. Vérifier un truc. Chez moi. Avant le dîner.
Ils me regardaient tous bizarrement maintenant. Ils ne pouvaient pas encore sentir ma bouffée immorale de désir. Ou peu importe ce que c’était. Mes sentiments. Que je ne pouvais pas avoir.
Joe s’avança encore vers moi, et il avait des pectoraux. Il avait un torse tout simplement… tout simplement très chouette qui me donnait des idées et je dis :
— Ola, cow-boy !
Je m’enguirlandai intérieurement d’une telle connerie.
— Qu’est-ce qu’il y a chez toi ? demanda Joe.
Et ce salaud commença à renifler autour de lui.
— Ox, dit Carter. Ton cœur bat à un rythme de dingue.
Saletés de loups-garous ! Et Joe était pile devant moi. Avec des muscles.
— Me changer ! m’écriai-je.
Ils reculèrent tous les trois. Je baissai la voix.
— Je dois… me changer. Enfin, le tee-shirt, dis-je en le montrant du doigt. Les tomates et les maisons ne font pas bon ménage. Ha ha ha !
— Je ne sais toujours pas ce qui se passe, intervint Kelly.
— Je reviens tout de suite, lançai-je avant de me tourner dans la direction opposée, me retenant vainement de courir.
— Euh, Ox ?
Je m’arrêtai.
— Oui, Joe ?
— Ta maison est de l’autre côté.
— Tout à fait.
Mais au lieu de les dépasser et risquer qu’ils sentent mon odeur, je fis un long détour en contournant toute la maison. Quand je réapparus sous leurs yeux, ils se tenaient au même endroit, me regardant.
Je rentrai chez moi et verrouillai la porte.
— Qu’est-il arrivé à ton tee-shirt ? demanda ma mère.
— Tomates, dis-je.
— Tu es tout rouge. Ton visage est écarlate.
— Il fait chaud dehors.
— Ox. Il s’est passé quelque chose ?
— Nan. Rien. Nada. Que dalle.
— Ta respiration est vraiment très bruyante.
— C’est un truc qui arrive. Aux mecs balèzes, tu vois ? Il leur faut de grandes inspirations.
— Oui, dit ma mère. Je ne pense pas que ce soit un truc.
— Je dois changer de tee-shirt.
Je refusai de la regarder dans les yeux.
— Tu veux que je t’attende ?
Je secouai la tête.
— Non. Non. C’est… bon.
Je voulais qu’elle parte afin de pouvoir cogner dans quelque chose.
Elle attendit que je m’éloigne de la porte avant de me dépasser. Elle fronça les sourcils lorsqu’elle tenta de tourner la poignée.
— Tu l’as verrouillée ?
Je souris. Je ressemblais probablement à un dingue.
— L’habitude.
— Hmm.
Elle sortit et ferma la porte derrière elle.
Je donnai un coup de poing dans le mur. Ça fit un mal de chien.
Il n’avait que dix-sept ans. C’était mal.
Sauf qu’il en avait presque dix-huit.
Ce qui était… convenable.
Mais.
C’était Joe.
Les arguments tournaient en boucle dans mon esprit.
Mon téléphone bipa. Un SMS.
Joe.
T où ???
Je regardai la pendule. J’étais déjà assis devant la porte depuis vingt minutes.
— Merde, marmonnai-je.
Je ne pouvais pas ne pas aller dîner. C’était une tradition. Et si je prétendais être malade, quelqu’un (JoeJoeJoe) viendrait veiller sur moi.
Alors je devais y aller.
Je ne pouvais rien faire pour mon rythme cardiaque. Ils l’avaient entendu de toute façon. Je trouverais bien un truc.
Mais l’odeur.
Je remontai l’escalier en courant et retirai mon tee-shirt, en attrapant un autre dans le tiroir. Je l’enfilai tout en entrant dans la salle de bain. Je trouvai un vieux flacon d’eau de Cologne que je ne portais plus puisque les loups n’aimaient pas ça. Ça te masque, m’avait dit une fois Joe. En grande partie, en tout cas.
Je m’en aspergeai au moins six fois.
J’envoyai un SMS en retour.
en route
Il me fallut vingt autres minutes pour me convaincre de retourner à la maison au bout du chemin.
En fin de compte, je me dis de grandir parce que j’avais presque vingt-trois ans, putain, et j’avais combattu des monstres (une fois) et je m’entraînais avec des loups (souvent). Et c’était seulement Joe.
À qui je voulais de toute évidence faire des choses.
Ça ne calma en rien les battements de mon cœur.
J’avais l’impression d’aller vers ma mort à chaque pas que je faisais pour me rapprocher de la maison des Bennett.
Je pouvais tous les entendre. Probablement prêts à manger. Des rires. Des discussions. Des cris.
Et puis la conversation mourut. Simplement.
Avant même que j’atteigne le côté de la maison.
— C’est Ox ? entendis-je demander Mark.
Il avait l’air inquiet.
Il y eut du fracas et plusieurs bruits de course.
Ils tournèrent à l’angle de la maison et s’immobilisèrent.
— Où est-ce que c’est ? exigea Mark.
— Nous sommes attaqués ? demanda Thomas, prêt à muter.
Ses yeux devinrent rouges.
— Ox ? demanda Carter. Sérieux. Ton cœur, vieux. Tu as l’air terrifié.
— Salut, les gars !
J’avais appris très tôt qu’on ne devait pas fuir un loup sur le point de se transformer. Ça aiguisait ses instincts. J’avais tellement envie de m’enfuir.
Parce que Joe se tenait en première ligne. Il s’était changé. Un short blanc. Un tee-shirt vert qui ne cachait rien. Il était pieds nus. Et ses pieds étaient foutrement sexy.
— Euh. Salut, les gars, répétai-je.
— Pourquoi est-ce que j’ai le sentiment qu’il se passe un truc que je devrais capter ? dit Kelly.
Joe fronça le nez.
— C’est quoi, cette odeur ?
Alors, bien sûr, tous les hommes Bennett se mirent à renifler autour d’eux. Ce n’était pas drôle. Du tout.
Carter fit un pas vers moi.
— Bon sang, Ox ! Mais dans quoi tu t’es baigné ?
— Rien, dis-je, un peu sur la défensive alors même que je reculais. Je ne vois pas de quoi tu parles.
— Ox, dit Joe en fronçant les sourcils. Ça va ?
Je ne parvins pas à le regarder quand je dis :
— Je vais bien. Tout va bien.
— Tu… mens, dit Kelly.
Joe s’approcha d’un pas. Je reculai d’autant.
— Est-ce qu’il s’est passé quelque chose aujourd’hui ? demanda Thomas.
J’eus envie de dire : « j’ai peut-être commencé à imaginer ton fils mineur nu », mais j’ignorais si c’était quelque chose qu’on pouvait dire à un loup-garou Alpha.
Alors je répondis :
— Non, rien. Je voulais juste… avoir une odeur. Différente ?
Les mâles Bennett me dévisagèrent. Mon regard se fixa derrière leurs épaules.
— Ox, di
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Donc, oui. C’est ma vie. Désolé pour toutes les infos que j’ai larguées sur vous. Si vous ne voulez pas continuer, je comprends totalement, même si cela me donne toujours le droit de vous appeler connasse derrière votre dos.
Et bien sûr, vous manqueriez le reste de l’histoire et n’entendriez pas parler de Helena Handbasket, l’extraordinaire drag queen. Vous ne rencontriez pas mes parents – même si cela n’est peut-être pas la meilleure façon de vous séduire –, ils sont sacrément bizarres). Et vous passeriez totalement à côté de la façon dont je pensais m’être fait Freddie Prince Junior, pour découvrir ensuite qu’un homme sexy du nom de Vince était la meilleure chose qui ne me soit jamais arrivée et que peut-être, peut-être, j’aurais enfin mon happy end après tout.
Mais bien sûr, tout un tas de merde arrivera avant ça. Ce n’est pas ma faute si je suis un véritable aimant à catastrophes. Ça m’arrive, c’est tout. Donc, c’est votre dernière chance de dégager.
Vous êtes toujours là ? Cool. Est-ce que cette personne qui vient de partir n’était pas vraiment une connasse ? Sérieusement. On pouvait le deviner rien qu’à la façon dont elle marchait comme si elle avait un balai dans le cul.
Bon. Vous êtes prêts ? Super.
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Je tends la main pour prendre ses clefs et les place avec révérence dans ma poche, trop heureux pour répondre quoi que ce soit.
J'ai à nouveau une maison.
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Gay pride, nous voilà! It's raining men à la YMCA! Alléluia!
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Je trouve que lorsqu’on s’inquiète trop, on passe moins de temps à faire d’autres choses.
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— Ox ? me demanda-t-elle. Que se passe-t-il ?
Elle semblait très fatiguée.
— Salut, maman.
— Pourquoi pleures-tu ?
— Je ne pleure pas.
Et c’était le cas, parce que j’étais un homme maintenant.
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Il n’y a sans doute pas de meilleure sensation au monde que de savoir que rien n’est éternel.
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Je suis du papier. Fin et fragile. Si l'on me brandit vers le soleil, il brille à travers moi. Si l'on écrit sur moi, je deviens inutilisable. Ces marques ont une histoire. Elles forment une histoire, racontent des choses que les autres lisent, mais ils ne voient que les mots et pas ce sur quoi ils sont écrits. Je suis du papier et même si j'ai de nombreux semblables, aucun n'est exactement comme moi. Je suis un parchemin parcheminé. J'ai des lignes. Des trous. Si tu me mouilles, je fonds. Si tu m'enflammes, je brûle. Si tu me tiens dans des mains trop dures, je tombe en morceaux. Je me déchire. Je suis du papier. Fin et fragile.
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Peu importe d'où il vient, ou ce qu'il est. C'est un enfant. Votre travail, tout comme celui d'Arthur et le mien, est de le protéger. Ainsi que tous les autres.
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Les plus grands changements débutent parfois par le plus petit des murmures.
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«  Ce n’est pas juste, poursuivit Linus, le regard perdu dans le vide, la façon dont certaines personnes se comportent. Mais du moment que toi, tu te comportes bien et avec gentillesse, comme tu le fais déjà, ce que les gens pensent importera peu. La haine fait beaucoup de bruit, mais tu apprendras que ceux qui crient veulent juste se faire remarquer. Tu n’arriveras peut-être jamais à leur faire changer d’avis, mais tant que tu te rappelleras que tu n’es pas seul, tout ira bien.  »
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« La musique est partout, monsieur Baker. Vous devez simplement apprendre à l’écouter.  »
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Dans la mort, Wallace ne s’était jamais senti aussi plein de vie. 
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𝑱'𝒚 𝒗𝒐𝒊𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒄𝒍𝒂𝒊𝒓 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕. 𝑪𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕, 𝒄𝒆 𝒏𝒆 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒏𝒊 𝒏𝒐𝒔 𝒂𝒄𝒕𝒆𝒔 𝒏𝒊 𝒏𝒐𝒔 𝒆𝒓𝒓𝒆𝒖𝒓𝒔, 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒈𝒆𝒏𝒔. 𝑪𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒕𝒆 𝒗𝒓𝒂𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕, 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆̂𝒕𝒔 𝒂̀ 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒖𝒏𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆𝒔.
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- Le monde est un endroit étrange et merveilleux. Pourquoi devons nous trouvez une explication à tout ? Pour notre satisfaction personnelle?
- Parce que la connaissance c'est le pouvoir.
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