Ce deuxième tome sauve la mise à ce court cycle en mettant en scène une intrigue plus complexe et moins caricaturale. Nao prend des risques importants en allant à la rencontre du peuple indigène afin de retrouver le vaisseau-sonde disparu dont les analyses pourraient sauver la planète. [Si tout pouvait être aussi simple en écologie!!]
Mais on est dans la science fiction utopiste et il faut reconnaitre que ça fait du bien de rêver un peu.
La micro civilisation des cynos est intéressante graphiquement parlant, leur utilisation de la nature et des insectes géants, et surtout la légende qui s'est construite autour du vaisseau.
Enfin, on voit relativement peu les chasseurs milliardaires, ça reste tolérable.
Au final, une certaine déception d'être restés deux tomes éloignés d'Aquablue, tout cet univers foisonnant pourrait être utilisé dans une vallée perdue de la dite planète...
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La surprise du matin : je me lance dans la lecture d'un BD de SF qui se passe dans l'espace, et je me retrouve face à une armée de zombies.... et pour tout dire ça ne me déplait pas.
Évidemment, pour le moment c'est encore confus, toutes les questions ont été posées... il me reste à lire le second tome pour savoir qui va vivre ou mourir.
Niveau dessin, la première planche m'a fait un effet de déjà vu... mais en regardant les noms sur la couverture, j'ai vite compris pourquoi.
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Les classiques sont parfois un peu décevants.
Ce n'est pas que ce soit mauvais, loin de là. C'est uniquement que c'est très très très classique. Même pour l'époque. Peut-être que le côté écolo ne l'était pas forcément*. Mais bon, cette histoire de petit garçon destiné à sauver une planète n'est pas de la première fraîcheur, d'autant plus que ce premier tome ne va guère plus loin que son idée de départ. Certes, il faut poser l'univers, la planète, ses habitants, ses coutumes et l'adversité, le tout en 46 pages. Il n'empêche qu'on en ressort avec un sentiment de trop peu. Trop peu de SF car centré sur une seule planète. Trop peu d'histoire car centrée sur Nao**. Trop peu de péripéties car elles sont trop classiques entre Moïse, le passage à l'âge adulte et les colons.
Le dessin est aussi moins exceptionnel à ce que à quoi je m'attendais. L'encrage est un peu trop épais et le visage de certains personnages laisse un peu à désirer sur certaines cases. Il a un côté comme pas totalement achevé, pas totalement maîtrisé auquel je n'étais pas préparé. Mais son Nao s'en tire plutôt bien et vu sa façon de s'habiller, c'est cool.
Déçu, certes, mais plus par mes attentes que par la BD.
*enfin, j'ai grandi aussi avec Wattoo Wattoo, et Ushuaïa le magazine de l’extrême venait d'être créé 1 an avant
**oui, son nom donne le nom du Tome mais c'est pas une raison !
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La prohibition, oui, mais à la campagne!
Son père assassiné par un gang italien qui ne supportait son commerce de bootlegger dans son village, Julie abandonne ses études pour prendre la suite des activités paternelles, aidé par les villageois, le meilleur ami de son père et son professeur d'université.
Aventures, coup de main, de l'action, beaucoup d'action, la couverture ne ment pas, il y a des explosions, des bagarres, c'est très coloré et assez original.
L'heroine a un sacré caractère, fort bien campée, elle en a dans la tête et dans les bras. Ses compagnons sont truculents. Un dessin dans l'énergie!
Pas mal du tout, un démarrage pétaradant.
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Je suis assez contente d'avoir choisi la lecture de ce tome 7 immédiatement après le 6. C'est vraiment une seule histoire, et c'est bien dommage qu'elle ait été publié en 2 volumes.
Toute ressemblance avec des faits réels serait purement fortuite évidemment.
Autant les premiers tomes se voulaient un peu écolos, ici c'est très clairement une critique politique.
J'ai toujours un peu de mal avec la SF, mais cette série me plait bien.
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J'ai lu le précédent tome il y a quelques semaines, et l'histoire fonctionnant en diptyque j'avoue avoir un peu perdu le fil de ce qui y était raconté.
J'ai un peu peiné à me remémorer où j'avais laissé les personnages, d'autant plus que la série change justement de dessinateur sur ce tome, et je n'avais plus les repères visuels.... certains personnages secondaires ont un peu trop changé de physique.
Mais évidemment l'histoire vaut les précédents tomes. les gentils ont gagné, place à la suite des aventures.
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Je pense que je viens de découvrir le schéma type des différents tomes de la série.... Une solution inattendue au problème de la fin du tome précédent, est trouvée. La solution s’effondre. retour au point de départ, et on attend le tome suivant... Et le tout n'étant limité qu'à l'imagination du scénariste.
Donc ça se lit bien... c'est sympa et divertissant.
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Dans la Havane de 2150, futuriste mais avec les mêmes problèmes de sociétés.
C'est gentillet, drôle, léger... pour se divertir.
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Fin des aventures sur la planète Tetlaan. Nao n'est pas à la fête dans ce 11e tome. Une intrigue rythmée et efficace de Thierry Cailleteau.
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Troisième tome de la série Aquablue avec au cœur de l'intrigue un incroyable vaisseau spatial quasiment indestructible, le Mégophias. Un scénario plaisant et un dessin efficace pour un épisode réussi.
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Malgré mes critiques mitigées sur les tomes précédents, je me suis quand même laissé aller à lire la suite. Une petite faiblesse...
Histoire en diptyque, qui laisse de côté l'histoire familiale de Nao, pour nous plonger dans la sauvegarde d'une planète habitée, menacée par une sorte de trou noir. Evidemment, elle doit aussi faire face à un organisme de tourisme spatial spécialisé dans la chasse sportive qui utilise la faune comme terrain de jeu.
Nous retrouvons donc, une fois encore, les ressorts très manichéens du scénariste. Peu de finesse et beaucoup de caricature même si je dois bien l'avouer, notre monde actuel nous met régulièrement face à des comportements des plus aberrants qui n'ont rien à envier à nos chasseurs galactiques.
Le thème de l'écologie revient en force et nous frissonnons (parfois) devant les malheurs s'abattant sur les gentils autochtones...
Un livre qui se lit mais qui n'arrive pas à franchir un seuil pour se rendre vraiment indispensable ou "adulte".
L'histoire n'étant qu'une sur ces deux tomes, ma critique vaut pour les deux....
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Malgré mes critiques mitigées sur les tomes précédents, je me suis quand même laissé aller à lire la suite. Une petite faiblesse...
Histoire en diptyque, qui laisse de côté l'histoire familiale de Nao, pour nous plonger dans la sauvegarde d'une planète habitée, menacée par une sorte de trou noir. Evidemment, elle doit aussi faire face à un organisme de tourisme spatial spécialisé dans la chasse sportive qui utilise la faune comme terrain de jeu.
Nous retrouvons donc, une fois encore, les ressorts très manichéens du scénariste. Peu de finesse et beaucoup de caricature même si je dois bien l'avouer, notre monde actuel nous met régulièrement face à des comportements des plus aberrants qui n'ont rien à envier à nos chasseurs galactiques.
Le thème de l'écologie revient en force et nous frissonnons (parfois) devant les malheurs s'abattant sur les gentils autochtones...
Un livre qui se lit mais qui n'arrive pas à franchir un seuil pour se rendre vraiment indispensable ou "adulte".
L'histoire n'étant qu'une sur ces deux tomes, ma critique vaut pour les deux....
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Pour ceux qui ont lu mes critiques des tomes précédents, vous avez compris que la relecture de ce cycle de ma jeunesse n'est pas un grand succès.
Après les cinq premiers tomes constituant une histoire unique, nous commençons une nouvelle aventure.
Le scénario de ce tome semble plus travaillé et donc plus intéressant, on s'intéresse à l'enfance de Nao et à l'événement qui a tué ses parents. Mais encore une fois c'est un demi-échec. Si on compte le nombre de coïncidences qui servent à faire le trame de l'histoire, on n'y croit pas une seule seconde. A croire qu'il n'y a qu'une dizaine de personnages dans l'univers d'Aquablue !!
Par opposition, le dessin commence à s'affiner et à mettre en valeur l'univers dans lequel se passe l'histoire... Les vaisseaux spatiaux sont d'ailleurs très bien rendus...
Continuons.
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Et ça continue dans la même veine...
Voici l'album de la surenchère. Toujours plus violent, méchant.
Les pauvres habitants d'Aquablue sont humiliés, massacrés, emprisonnés, exploités et empoisonnés !!!
Avec ça, peu de place pour la finesse, les sentiments, la psychologie des personnages ou la construction du scénario.
Ce qui sauve la série du naufrage ? L'orientation d'une partie des personnages vers l'histoire de la planète et les origines des immenses animaux marins.
D'aucuns trouveront l'explication merveilleuse, d'autres un peu tirée par les cheveux.
Pour ma part, je suis dans l'expectative et attend de la part du scénariste une réorientation et un peu plus de profondeur.
A voir dans le prochain épisode....
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L'aventure continue pour Nao et ses amis. La planète Aquablue aiguise toujours autant les appétits, notamment du méchant industriel Texec.
Cette fois-ci un nouvel arrivant vient mettre son grain de sel: un pirate de l'espace qui pourrait être un bon allié pour les gentils autochtones...
L'action va toujours aussi vite avec le ton humoristique qui va bien. C'est la principale qualité de cette série. Beaucoup d'actions et de combats jusqu'à saturation. L'aspect écologique est un peu mis de coté même si cela reste le fond de l'histoire...
A côté de cela, pas mal d'aspects moins positifs: le travail sur la psychologie des personnages est assez sommaire, caricatural. L'ensemble est très manichéens, avec des méchants très méchants et des gentils très très gentils... Pas beaucoup de nuances ou de questions à se poser.
De la détente, donc mais uniquement. Pas besoin de sortir ses neurones !
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Le dépaysement est garanti avec cette bd tant par la beauté des graphismes que par l'aventure dans laquelle elle nous plonge. Et on se laisse aisément emporté par l'histoire, qui regorge de rebondissements tenant le lecteur en haleine de la première à la dernière page. Action, suspens, aventure, sf, et même parfois un peu de gore font de cette bd une valeur sûre pour qui veut bien s'y immerger.
Cette intégrale réunit les 5 premiers tomes de la série, et qui correspondent au premier cycle. Un bon point pour celles et ceux d'entre vous qui veulent se faire un idée assez juste de l'univers proposé, car l'histoire a une fin. Inutile donc d'attendre des mois voire des énnées pour découvrir la suite, qui appellerait elle même un nombre incalculable de suites. Si on aime, on peut poursuivre sans regret, et si on aime pas, on peut s'arrêter là sans avoir le regret d'abandonner une histoire non terminée.
Pour ma part, je m'arrêterai là dans la découverte du monde d'Aquablue, non parce que je n'ai pas aimé, mais parce que cette bd, certes très bien réalisé, n'a pas répondu à mes attentes, et ne m'a en rien transcendé. Les tomes 3 et 4 sont très en dessous des tomes 1,2 et 5, et m'ont donné l'impression de se centrer uniquement sur des batailles, des manoeuvres millitaires dans l'espace, sans que l'histoire n'avance réellement. Je préfère rester sur un sentiment positif, mais mitigé, que d'être déçu par une suite moins en dessous, ce qui est souvent le cas avec les séries " à rallonge".
J'ai cependant relevé le travail d'Olivier Vatine et je lirai certainement d'autres oeuvres de cet illustrateur ( les adaptations en bd de l'univers de Stephan Wul par exemple).
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Troisième histoire intermédiaire d'Aquablue avec encore un peu de moins bien, je suis un peu déçue.
Même si l'action est toujours là il y a moins de surprises, l'esprit de la BD est toujours là mais faite de façon un peu plus gnian gnian. Nao se fait avoir comme un bleu. D'ailleurs dans ces deux tomes les personnages ne sont plus vraiment ce qu'ils sont. Déjà les dessins ont changés et si je n'en suis as fan ils n'en sont pas moches pour autant disons plutôt que Nao ressemble à un adolescent et qu'ils ne représentent pas très bien l'âme de la BD. Cet effet est renforcé par un Nao moins charismatique, un Cybot un peu moins drôle et les autres personnage sont inexistants ou presque.
On arrive quand même à passer une bonne lecture mais loin d'être à la hauteur du premier cycle. Heureusement je sais que le second cycle promet une meilleure histoire.
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*Cette critique concerne les 4 premiers tomes. Par la suite, j'ai arrêté la lecture de la série.*
À la place de donner un résumé de mon crû, je crois que le quatrième de couverture fait l’affaire :
« Seul rescapé d’un naufrage spatial, le jeune orphelin Nao atterrit sur planète inconnue :Aquablue. Il découvre là un monde paradisiaque, couvert d’océans, où de paisibles pêcheurs se chargeront de son éducation. Mais pour Noa, cette vie idéale sera de courte durée. Car d’autres Terriens arrivent bientôt sur Aquablue, pour y créer un complexe industriel qui aura pour effet de renvoyer la planète à l’ère glaciaire! Dans la lutte inégale qui s’engage, Nao jouera un rôle déterminant : détenteur d’un mystérieux héritage, il possède aussi un lien privilégié avec le plus puissant habitant d’Aquablue... »
Franchement, le scénario ne nous séduit pas par son originalité. Toutefois, il faut dire que le scénario d’une entreprise qui va piller un bout du monde pour ses ressources naturelles est plutôt crédible. Actuellement, les exemples d’entreprises privées qui accomplissent des massacres pour le profit ne sont pas chose rare. Pensons aux entreprises minières canadiennes. Alors, pourquoi en serait-il autrement dans un monde futuriste où le capitalisme continue d’être le système économique?
Mais… il y a un mais. Un scénario à gros trait qui manque de finesse. Un orphelin sur une île paradisiaque. Un peuple aborigène parfait sur un monde parfait. Aucun trait culturel négatif, aucun conflit pour les maigres terres, etc. Un peu trop idyllique. Un gentil héros blond musclé contre des méchants mercenaires privés. Sans parler des coïncidences un peu trop foireuses de la tante qui a converti l’empire industriel (de son frère?) en milice privée et qui par un pur fruit du hasard se retrouve à servir une compagnie vorace qui veut utiliser une planète à son profit. Malheureusement, son neveu est chef d’une des tribus locales. Éliminons-le pour qu’il ne reprenne pas le contrôle de l’héritage familial de ses parents morts. Donc, de la milice privée.
Il y a une multitude de détails dérangeants, y compris celui du héros qui revient sur terre et qui semble ne pas être trop dérangé par les différences technologiques titanesques entre la terre et sa civilisation sur Aquablue. Il était trop jeune pour connaître la terre. Mais bon, peu importe, passons ce détail gênant qui ralentirait la vitesse du scénario et de son action.
Au niveau du dessin, la série de bandes dessinées ne rayonne pas non plus. Les dessins et les couleurs ne resplendissent pas par leur beauté. Très loin d’être une œuvre d’art. Autrement dit, une série de bandes dessinées où il est possible de passer son chemin sans trop le regretter.
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Ce premier tome d'Aquablue, même s'il ne développe pas un thème très original (un orphelin apatride se prend de passion pour la terre qui l'a abrité), a au moins le mérite de rendre une copie impeccable.
L'univers d'Aquablue, sa planète, ses personnages, sont très cohérents et même si des zones d'ombres ne demandent qu'à être éclairés, on est certain que le lecteur n'a qu'une attente : ouvrir le tome 2 !
Quant au dessin, il a ce petit côté métissé entre bandes dessinées franco-belges et comics américains, et me rappelle certaines publications Semic ou même un p'tit côté Rahan !
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