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Citations de William Makepeace Thackeray (333)


Chapitre XIII
Je continue mon métier d'homme à la mode.
Je me trouve avoir déjà rempli bien des vingtaines de pages, et cependant il me reste encore à raconter une bonne partie de ce qu'il y a de plus intéressant dans mon histoire, à savoir mon séjour dans les royaumes d'Angleterre et d'Irlande, et le grand rôle que j'y jouais, frayant avec les plus illustres du pays, et moi-même n'étant pas le moins distingué de ce brillant cercle.
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Chapitre XIII
Je continue mon métier d'homme à la mode.
Je me trouve avoir déjà rempli bien des vingtaines de pages, et cependant il me reste encore à raconter une bonne partie de ce qu'il y a de plus intéressant dans mon histoire, à savoir mon séjour dans les royaumes d'Angleterre et d'Irlande, et le grand rôle que j'y jouais, frayant avec les plus illustres du pays, et moi-même n'étant pas le moins distingué de ce brillant cercle.
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Chapitre XIII
Je continue mon métier d'homme à la mode.
Je me trouve avoir déjà rempli bien des vingtaines de pages, et cependant il me reste encore à raconter une bonne partie de ce qu'il y a de plus intéressant dans mon histoire, à savoir mon séjour dans les royaumes d'Angleterre et d'Irlande, et le grand rôle que j'y jouais, frayant avec les plus illustres du pays, et moi-même n'étant pas le moins distingué de ce brillant cercle.
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La société a ses lois et son code à elle, ni plus ni moins que les gouvernements, et l'on doit s'y conformer, quand, d'autre part, on prétend faire son profit des règles établies pour le bien-être général.
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Moi, qui ai plus vu de la vie que la plupart des hommes, si j'avais un fils, je le supplierais à genoux d'éviter la femme, qui est pire que le poison. Ayez une intrigue, et toute votre vie est en danger : vous ne savez pas quand le mal peu tomber sur vous, et ce qu'un moment de folie peut causer de malheurs à des familles entières, et amener de ruine sur d'innocentes têtes qui vous sont parfaitement chères.
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Je reconnus que j'avais eu tort de les mépriser : car le public, toujours prêt à vous aider à manger vos écus, ne s'inquiètera pas de savoir si vous les avez ramassés dans une fabrique d'eau de rose ou dans un égoût.
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Permettez-moi de vous dire en passant qu'on trouve souvent plus de cœur chez une seule de ces pauvres filles que chez une douzaine de lords.
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J'allais ce soir-là, jusqu'à Carlow, où je descendis à la meilleure auberge, et lorsque mon nom me fut demandé par le maître de la maison, je donnai celui de Redmond, suivant les instructions de mon coussin, et dis que j'étais de la famille des Redmond du comté de Waterford, et en route pour le collège de la Trinité, à Dublin, où j'allais faire mon éducation.
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Je ne sais si Sa gracieuse Majesté fut très-affectée de cette mort subite de mon père, quoique ma mère dise qu’il versa quelques larmes royales à cette occasion. Mais elles ne nous servirent à rien ; et tout ce qui fut trouvé dans la maison pour la femme et les créanciers fut une bourse de quatre-vingt-dix guinées, que ma chère mère prit naturellement avec l’argenterie de sa famille, et la garde-robe de mon père et la sienne ; et les mettant dans notre grand carrosse, elle partit pour Holyhead, d’où elle s’embarqua pour l’Irlande.
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Rowena, debout sur les marches du château, entonna une série de prières et de bénédictions particulièrement édifiantes, pendant que son seigneur enfourchait sa jument et que ses écuyers le menaient au pont-levis. – Car c'est le devoir de la femme britannique, lança-t-elle, d'être prête à tout supporter – tout – pour le service de son souverain. Et tant que dure la campagne, elle doit ignorer la solitude et même se préparer au veuvage, à l'abandon et à un avenir incertain.
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Vous, chères jeunes dames, qui puisez votre savoir dans les rayons du bibliobus, vous seriez portées à croire que, sitôt que le but est atteint, qu'Emilia a rejoint le Comte ravi dans son cabriolet tout neuf ou que Belinda, s'étant dégagée des étreintes larmoyantes de son excellente mère, peut sécher ses adorables yeux sur le gilet palpitant de son jeune époux, vous seriez portées à croire, dis-je, que tout est terminé, qu'Emilia et le Comte couleront des jours heureux jusqu'à leur dernier soupir dans le romantique château que Sa Seigneurie possède dans les Highlands, et que Belinda et son jeune clergyman jouiront d'un bonheur sans nuages dans leur presbytère treillagé de roses, sur la côte occidentale de l'Angleterre. Mais il se trouvera parmi les lecteurs, des individus âgés, certes, mais expérimentés, qui ne se contenteront pas de si peu. Car certains, qui sont mariés, estiment qu'ils ont encore deux ou trois choses à voir et à faire en ce bas monde, et peut-être même à endurer, et que les aventures, les souffrances, les plaisirs, les impôts, les levers et les couchers de soleil, et les diverses péripéties ne s'arrêtent pas avec la cérémonie nuptiale.
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