Yvan Pommaux

Lors d’une nuit de fête, la mariée est mordue par une vipère… Une invitée raconte alors l’histoire d’Orphée et d’Eurydice.

Orphée, fils du roi de Thrace et de la muse Calliope, rendait folle toutes les femmes par la beauté de son chant. Mais il n’en aimait qu’une : son épouse Eurydice. Ainsi le jour où celle-ci, mordue par un serpent, dut partir pour le Royaume des Morts, Orphée décidé d’aller la chercher. Il ne put malheureusement pas la ramener et erra fou de chagrin. Les femmes de Thrace, autrefois jalouses d’Eurydice vivant, le sont encore plus d’Eurydice morte. Elles ne supportent pas le deuil interminable d’Orphée. Un jour, un groupe de furies le surprend sur u chemin et « elles le mettent en pièces ».

Belle découverte de la mythologie avec ce splendide album. Le grand format permet une immersion totale. J’adore !

J’apprécie beaucoup les BD Marion Duval et celle-ci qui est la première ma beaucoup comblée

L'arbre des corbeaux est marqué en bleu, va-t-il être abattu ? Faut-il déménager de ce lieu douillet ? Et pour aller où alors ? Un album introduction à la BD avec des corbeaux sympathiques, mais une histoire un peu simplette, loin des plus beaux albums de Pommaux

Un Alice au Pays des Merveilles moderne, à la sauce policière et pour les enfants : un classique !

Tout est calme dit le titre, mais la couverture dément,,car au coin de la rue, tout est vite possible, même tomber amoureux !

Un orphelin pendant la guerre qui se trouve une famille à lui dans la compagnie d'autres vagabonds... une trame déjà vue mais exploitée avec inventivité et les illustrations de Pommaux : ne pas hésiter à aller plus loin que ce premier tome.

J'ai aimé lire ce livre entre les deux tours de la présidentielle !....

Dans cet album, Yvan Pommaux mêle avec grand talent la réalité et l' imaginaire. Rêve prémonitoire et quotidien se répondent tout au long de l' histoire. Ses illustrations, somptueuses, y sont pour beaucoup. Pablo se retrouve dans une jungle luxuriante qui lui paraît complètement réelle. Totalement happé par son songe , il tente d' échapper aux animaux et fait vraiment la course avec la princesse Atalante! Le rêve envahit la page et lorsque Pablo se réveille, il ne sait plus faire la différence entre le vrai et le faux, la réalité et son imagination. Une très belle histoire qui donne envie d' aller à l' école...

celui là ou un autre tous les Marion Duval réjouissent les enfants à partir du CE2!

Une réflexion sur l'amour de la lecture , et surtout sur le danger de l'illétrisme qui conduit à la perte de la liberté de pensée.

Voici une sorte d'abécédaire où monsieur Pommaux choisi des mots qu'il aime suivant l'ordre alphabétique, et qu'il agrémente de ses jolis dessins, tantôt nus, tantôt aquarellés. Un très beau livre pour ceux qui apprécie le dessinateur.

C'est avec un réel plaisir que j'ai déniché les adaptations faites par Yvan Pommaux, chez l'Ecole des Loisirs, des légendes de Thésée, d'orphée et d'Oedipe. Ces beaux albums grand format, au dos toilé, proposent des versions complètes, à mi-chemin entre la BD et le livre illustré, de ces histoires. Les illustrations, ligne claire et couleurs pastels, sont belles et lisibles, mais surtout très bien exploitées : l'équilibre texte/illustration est parfait, et cela permet une lecture, le soir avant l'extinction des feux, fluide et appuyée par les images. Quand les illustrations sont trop peu nombreuses, on perd l'attention des plus jeunes, et quand elles le sont trop, c'est au détriment du texte qui devient du coup trop simple. Ici, c'est juste l'idéal.

La seule question qui reste, c'est par quel livre commencer ?

Certainement "Thésée" ou "Orphée", car des trois, "Oedipe" est le plus dur, ce qui ne surprendra personne. Du coup, je ne l'ai pas encore lu avec les enfants. Inceste, meurtre, abandon et mutilation d'enfant, suicide, auto-mutilation : ce matériau est encore un peu trop rude pour mes bambins. Je leur lirai, car ce livre est aussi réussi que les autres, mais je vais quand même attendre que le cadet soit un peu plus âgé.

C'est avec un réel plaisir que j'ai déniché les adaptations faites par Yvan Pommaux, chez l'Ecole des Loisirs, des légendes de Thésée, d'orphée et d'Oedipe. Ces beaux albums grand format, au dos toilé, proposent des versions complètes, à mi-chemin entre la BD et le livre illustré, de ces histoires. Les illustrations, ligne claire et couleurs pastels, sont belles et lisibles, mais surtout très bien exploitées : l'équilibre texte/illustration est parfait, et cela permet une lecture, le soir avant l'extinction des feux, fluide et appuyée par les images. Quand les illustrations sont trop peu nombreuses, on perd l'attention des plus jeunes, et quand elles le sont trop, c'est au détriment du texte qui devient du coup trop simple. Ici, c'est juste l'idéal.

La seule question qui reste, c'est par quel livre commencer ?

"Orphée et la morsure du serpent" raconte une belle et tragique histoire d'amour. Mes filles étant encore trop jeunes pour l'entendre, c'est auprès de mes nièces que j'ai du succès avec cette histoire. L'auteur le sait, puisqu'on trouve en sous-entendu la comparaison entre Orphée et les icônes pop de la chanson d'aujourd'hui. Et si dire à une petite fille que Orphée était le Justin Bieber de l'époque permet de l'ouvrir à ce type de récit, tant mieux !

Pas d'aventure lointaine pour Marion cette fois, elle reste dans son univers proche mais c'est un grand saut pour elle car elle est sur les traces de sa mère.

Le graphisme est dans la continuité des albums précédents : ligne claire sobre et efficace. Le dessinateur pousse le détail à soigner la coquetterie de Marion qui ne porte jamais deux jours de suite la même tenue. Sans dénigrer les dessins de Yvon Pommaux, je préfère ceux de Philippe Masson, moins fournis, moins chargés, plus légers. Idem pour le dessin de Marion qui cette fois apparaît bien comme une pré ado alors qu'elle apparaissait davantage sous l'aspect d'une ado d'une quizaine d'années auparavant.



Pour le scénario, j'ai aimé le jeu de mot du titre.

Cette fois pas de mise en danger, pas de prises de risques, pas de danger, tout au moins sur le plan physique. C'est l'affectif de Marion qui est le moteur de l'histoire : retrouver sa mère.

On y retrouve les rebondissements qui sont l'un des charmes de cette BD.

Quant à la chute, pour ma part, je l'ai beaucoup appréciée, apportant une solution originale au problème de la première rencontre qui préoccupait Marion.

A noter que cette fois, Marion n'est accompagnée que par une amie, on ne rencontre aucun garçon.



Un très bon opus de la série, probablement mon préféré parmi ceux que j'ai déjà lus.

Un scénario peut passionnant avec un côté fanatisme religieux où une statuette joue un rôle mais où il n'est pas très facile de bien comprendre le rôle de cette statuette.

L'introduction d'un détective privé aurait pu être un point intéressant mais son rôle se limite finalement à accompagner Marion qui reste l'héroïne capable de démêler l'affaire.

L'intervention d'Esther en tant que déesse arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. On ne comprend pas bien comment elle est arrivée sur le lieu de séquestration du père de Marion et de Phil, fils d'Esther.

On ne sait pas vraiment ce que devient la statue et encore moins le directeur de musée qui est venu confier au privé la recherche de cette statuette volée dans le musée.

Pour le graphisme ce n'est guère mieux. Marion, qui est sensée avoir dix ans apparaît comme une ado de dix-huit ans et dans le meilleur des cas au moins quinze ans. De même pour les autres personnages, il n'est pas facile de les reconnaître tant ils changent d'aspect d'un moment à l'autre.

L'ensemble est peu agréable à regarder et peu intéressant à lire.

Pour l'instant le moins bon de tous ceux que j'ai lus.

Dans la classe de Marion, un enfant ne parle à personne et est toujours accompagné lorsqu'il vient ou part de l'école.

Avec Victoria, une amie, Marion, piste le garçon. Elles découvrent que le garçon descend dans une station métro... et disparaît.



Un récit dynamique totalement adapté au caractère déterminé de Marion.

On retrouve le trait vif et précis inspiré sans détour de la ligne claire qui, de plus, permet de se projeter aisément dans ce quartier de Paris ainsi que dans des méandres du métro. Le changement de dessinateur a décidément été une bonne chose pour cette série pour laquelle un graphisme plus lisible est plus adapté.

Un bon opus.

a jeune Marion est fan de la célèbre cantatrice Elisa Bauchant qui joue « Ulysse et Pénélope » à l’opéra de Paris. Un soir, son père journaliste, chargé de couvrir l’événement, l’emmène avec lui dans les coulisses.

En plein spectacle, la cantatrice est kidnappée par un inconnu. Marion et son père quittent l’opéra pour tenter de les suivre. C’est alors qu’il retrouvent par hasard Esther et Fil (rencontrés au tome 1). Esther affirme que le kidnappeur n’est autre que son demi-frêre.

Il s’agit maintenant de savoir ou ce dernier cache sa victime...

Evidemment dans la BD de cette époque et de ce style, le feel-good est de mise. Cela suffira à faire fuir certains mais pas moi. Nous sommes bien dans une BD dont le public visé est la jeunesse pré ado. L'aventure est présente, les rebondissements nombreux.

J'ai trouvé le graphisme plus fin que dans "La vengeance du prince Melcar". En fait je crois que ce sont essentiellement les proportions entre personnages et paysages qui sont mieux établies.

Un opus plutôt bien réussi

Ayant trouvé ce livre en bibliothèque, j’ai eu envie de le lire ou relire, Marion Duval faisant partie de mes souvenirs d’enfance.

J’ai été captivée par les histoires, j’ai bien aimé les morales, même si certaines fins sont plus surprenantes que d’autres…

On se laisse happer par l’intrigue et difficile de s’arrêter avant la fin !



Il y a 3 histoires dans ce tome.



Seul point négatif (mais j’y travaille !), mes filles de 9-11 ans ne sont pas attirées par ces histoires malgré leur goût pour la bd…

J'ai choisi ce livre car il est dans la liste Eduscol du ministère de l'éducation pour les élèves de Cycle 3 (donc CM1, CM2, 6ème, soit 9 à 12 ans).



Je n'ai pas trouvé ce choix d'âge pertinent car c'est un livre très simple. Mes filles de 10 et 12 ans ont quand même apprécié que je leur lise. Les images sont simples mais efficaces, le texte aussi. L'idée que les enfants sont toujours aussi débrouillards maintenant qu'avant est plaisante mais en réalité, je ne sais quel enfant actuel tuerai un poisson puis le ferai cuire...



Enfin, ça fait voyager les enfants et c'est le principal.