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Critiques de Yves Swolfs (378)
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Durango, tome 17 : Jessie

Lumineux, voilà le premier adjectif qui me vient à l'esprit lorsque je referme ce dernier tome de Durango.

Non pas que les albums précédents n'étaient pas réussis au niveau du dessin (loin de là...), toujours est-il que c'est une réussite de ce point de vue.

La chaleur, la lumière, le désert, les tons ocre et oranges, la nature (désert, rochers, végétations …) fort bien restitués font de cet album une grande réussite.

Un scénario impeccable avec un peu plus de « subtilité » dans la psychologie des personnages .

Bien sûr on y retrouve tout ce qu'on aime chez Durango, la « violence », les duels, l'ambiance « western spaghetti » tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce tome 17 (et n'espère pas dernier.),

un très grand western
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Durango, tome 17 : Jessie

A l’évidence, le spectre de Sergio Leone plane au-dessus de ces albums et l'on marche sur les traces des maîtres Giraud, Hermann ou Boucq.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Bon c'est vrai ça défouraille dans tous les sens "il y a de l'action". Tout y est je me suis régalé.

C'est très "classique" dans le fond et la forme . Un western comme je les aime.
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Après avoir lu l’excellent premier tome je croyais déjà avoir eu droit à tous les ingrédients du western spaghetti classique. Cependant, à la lecture de ce deuxième album je constate vite que je n’avais pas encore eu droit au braquage de banque et à l’embuscade traditionnelle dans la rue principale de la ville.



Swolfs nous sert donc d’entrée une attaque à main armée sur une banque par une famille de malfrats qui a fait du banditisme son gagne-pain. Evidemment le braquage tourne plutôt mal et les pistoleros doivent trouver refuge dans une petite ville paisible.



C’est là qu’ils vont croiser le destin de Durango. Un Durango encore convalescent, mais qui n’a rien perdu de ses instincts de tueur. C’est à nouveau le destin de tout un village va reposer sur les épaules (encore fragiles) de notre sauveur providentiel.



Les balles vont siffler à Peaceful Church !
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

c'est du western spaghetti en bande dessinée, et pour ce deuxième volet de la série, on retrouve le thème du village pacifique, brusquement confronté à l’horreur de la violence et de la cruauté. Durango va se confronter aux bandits malgré ses récentes blessures qui l’handicapent pour sauver ce village. Dessin soigné, couleurs élégantes, rythme soutenu, héros taciturne et peu bavard, on est dans le western classique et très efficace, et même si les thèmes on été vus et revus, ça fonctionne toujours, du moins pour les fans du genre.
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Peaceful Church… Petite ville perdue du Wyoming et paisible bourgade. Peaceful Church… Son église, ses pénitents, ses croyants, ses âmes fidèles, son curé, non, son révérend.



Une petite ville peuplée de bon chrétiens pacifiques et sans défense.



C’est aussi à quelques heures de marche que Durango, blessé, s’est fait recueillir par un vieux fermier qui le soigne, contre l’avis des culs bénis.



C’est dans cette ville de cul bénis que la bande de Joe Callahan va aller se réfugier après le casse spectaculaire d’une banque. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas de shérif, les grenouilles de bénitier.



Tiens, au fait, le jour où une bande d’assassins hors-la-loi en cavale débarque chez des culs bénis, ces gentilles brebis n’aimeraient-elles pas voir arriver le loup Durango pour les sauver ??



Car c’est bien joli d’être pieux, mais faut éviter de devenir con aussi ! Lorsqu’on ouvre sa porte à des bandits pour la nuit, faut pas s’étonner d’avoir des emmerdes ou des tentatives de viol. Eux, ils s’étonnent !



Le dessin entre les deux albums n’a pas trop évolué, sauf qu’ici, pas de paysages recouverts par la neige, mais des paysages dégagés, laissant place à la créativité du dessinateur, nous proposant à la page 37 un fond de ciel plombé, comme une vision de l’apocalypse qui va se déclencher.



Le scénario, lui, il est basique et même "classique" : un affrontement entre un as de la gâchette, blessé aux mains, et une bande de hors-la-loi sans foi ni loi. Des assassins, des brutes épaisses et sans pitié, le tout lâché au sein d’une communauté plus pieuse que tout le Vatican réuni.



En tout cas, pas de risque de confondre les bandits avec les bonnes gens, les méchants sont mal rasés, parlent mal, sont pouilleux à mort, portent des fripes usées par les longues chevauchées, ils n’ont aucune morale et certains sont édentés. Bref, ils possèdent la gueule de l’emploi.



C’est aussi un album à ne pas mettre dans les mains d’un enfant : fusillades, sang, tueries, massacres d’une famille entière, enfants compris, tentative de viol, pendaison, violence gratuite… Ici, tout est sans concession !



Un bandit, c’est comme ça : lui, il peut tuer tout le monde, mais si on tue un de ses fils, il éparpille les gentils façon puzzle !



Durango était tranquille, était pénard, il ne cherchait pas la bagarre, même avec les culs bénis, mais que où qu’il se trouve, il attire les confrontations comme le miel attire les mouches.



Dans le précédent tome, Swolfs s’inspirait grandement du film "Le Grand Silence".



Pour le tome 2, qui nous offre un western rugueux et très violent, c’est à "Django" que l’on pense (celui de 1966, avec Franco Nero) car tout comme Durango qui a été blessé aux mains, Django arrivait à se servir de son pistolet bien que ses mains soient cassées.



Ce tome est intéressant aussi pour savoir de quoi les gens pieux sont capables lorsqu’on les pousse à bout, lorsque leurs vies sont menacées. Tout ces bons paroissiens qui sont prêts à livrer une gamine de 18 ans pour sauver leur peau… Charité quand tu nous tiens…



Ils ne seront pas nombreux à empoigner la carabine. Allez les gars, tuez-les tous, ces bandits, le Diable reconnaîtra les siens…



La fin est logique aussi : Durango est un homme solitaire, loin de chez lui et il va continuer son errance, seul.


Lien : http://thecanniballecteur.wo..
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Sur une trame assez classique- la bande de hors la loi en cavale qui se cache dans une ville pacifique- Swolfs montre son héros solitaire tel qu'il est: déterminé, juste, n'hésitant pas à tuer si nécessaire. Certaines scènes sont dures et sans concession, plaçant ce western dans une volonté de réalisme bienvenue. Réaliste, le dessin l'est également, de facture très classique mais clairement efficace.
Lien : http://bobd.over-blog.com/ar..
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Yves Swolfs, c'est un gars sympa. Et son truc, c'est de ne pas donner des maux de têtes au lecteur. Alors c'est vrai que le tome 1 n'était déjà pas très compliqué mais Yves, il s'est dit que peut-être 4 neurones, c'était beaucoup. Alors il a repris la même histoire et il a fait plus simple, direct, manichéen... 2 neurones devraient suffire.

Des méchants très très méchants et nombreux.

Des gentils, très très gentils et puis naifs, pieux et couillons (euh... honnêtes).

Ah, il faut une jeune fille avec de très beaux yeux et un très beau.... sourire!

Et notre (super-) héros !!!

Ca s'est bien mais il faut aussi du suspense.

Alors on va mettre la gentille jeune fille entre les mains d'un méchant très intéressé.

Et puis comme notre super héros, il est trop fort, on va le mettre blessé, en béquille, avec la main armée en morceaux et puis aveugle !!!

Ah non, pas aveugle parce qu'on ne verra ses beaux yeux verts ! Avec les jolis yeux marrons de la fille, ça va être super !

Et puis on aura un peu peur !

Pour l'univers et les personnages, on va repomper dans les westerns des années 60. Impeccable.



Ah oui, et puis les dessins sont très mignons... Surtout les jolis regards...



Mais je suis inquiet pour le tome 3. Parce que je ne vois pas comment faire plus basique !!

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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

un hommage virtuose, aux

Western époque Sergio Leone.on ne se lasse pas.
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Dur, dur d'être Durango.



Résumé du dernier épisode :

Aïïeeeeeuuuh, ça pique !

Pas faux, une bastos dans la main, une autre dans la jambe, notre pistolero se requinque chez un autochtone du coin. le gauche, pour être précis.



Alors que notre grosse feignasse de cow-boy se refait la cerise devant les feux de l'amour, d'autres, bien moins portés sur les feuilletons à suspense visiblement, ont décidé, d'autorité, que c'était jour de paye.

Une banque braquée et moult pétarades sanguinolentes plus tard, c'est dare-dare qu'ils filent vers Peacefull Church. Petite bourgade paumée du Wyoming qui ne devrait pas le rester bien longtemps, paisible .



C'est tout bon.

Ambiance western maximale.

Ce tome n'est pas sans rappeler Les Sept Mercenaires qui, lui-même, ramenait immanquablement au fantastique Sept Samouraïs. Ces derniers apparaissant comme de bien pâles copies des inégalables Sept Nains, mais je ne vous apprend rien. Sinon y a Pale Rider dans le genre, pour les amoureux de personnage mutique préférant faire cracher leurs flingues que de bons gros mollards bien moins dommageables, faut être honnête.



Bref, Durango 2, auréolé d'un titre prêtant bien plus à la marrade qu'autre chose, se révèle finalement comme un fidèle représentant du genre.

De bons gros vilains qui font rien qu'embêter une bande de gentils un brin amorphe.

Un grain de sable, même diminué, qui tapera sévère du groin sur la table histoire de prouver, en faisant cracher son p'tit calibre, que c'est pas celui armé de la plus grosse...pétoire qui s'en sort forcément.

Paysages au cordeau, dialogues d'époque, de la racaille de compet' qui ferait flipper notre Sarkonator et son légendaire karcher, le tout tient parfaitement la route, fut-elle poussiéreuse, et se dévore à la vitesse d'un cheval aux pruneaux.



Bon appétit!
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Un deuxième tome qui se passe trois mois plus tard (en mai 1896) où l'on suit Durango se remettant de ses blessures dans une bourgade tranquille : Peaceful Church. Mais les complications ne sont jamais loin, symbolisées par une bande de hors-la-loi mené par "crazy" Joe Callahan. Obligé à reprendre du service, Durango se montrera coriace et forcené.



Là encore, Yves Swolf ne fait pas dans la dentelle, pas de temps mort pour cette histoire de population qui doit prendre les armes pour se défendre. On est dans la stricte continuité de l'album précédent, peu d'informations sur notre tueur au regard vert.



Pas forcément original mais rondement mené, ce deuxième tome se révèle franchement sympathique.
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Le Wyoming, en 1896. La petite bourgade de Peaceful Church abrite une communauté de "braves gens". On y va à la messe, on y pratique l'agriculture et on s'entraide entre voisins. On y accueille aussi parfois des étrangers. Avec suspicion, mais, charité oblige, on leur offre tout de même le gîte et le couvert. Jusqu'à un certain point. Ainsi, Durango, qui lèche des plaies acquises lors de précédente aventures chez Old Sean (selon les points de vue, un brave gars ou un cul terreux), est gentiment, mais fermement, invité à décamper. Car c'est bien connu, celui qui vit par le colt mourra par la winchester. De la à ce que les propriétaires desdites winchesters soient attirés par l'éclopé qui tient le colt en main, il n'y a qu'un pas que les habitants de Peaceful Church, le révérend en tête, n'ont pas du tout envie de franchir. Mais les voies du seigneur sont (im)pénétrables et Callahan et sa bande de pistoleros ont justement choisis, suite au braquage de la banque de la ville voisine, de se réfugier dans ce village qui, s'il présente l'inconvénient de ne pas posséder de saloon, a le grand avantage de ne pas compter de shérif. Voilà qui se complique. Heureusement pour les habitants, un Durango, même diminué, reste redoutable, surtout si les Forces de la Colère sont avec lui.



C'est toujours un plaisir de lire des ouvrages de Yves Swolfs. Voilà un auteur qui se trouve être un véritable artisan de la bd. Utilisant des recettes qui ont fait leurs preuves, l'homme cherche, d'avantage que l'innovation, à s'inscrire dans une tradition : le récit d'aventure moyenâgeux (Légende), le roman gothique du XIX (le Prince de la Nuit) et, avec Durango, le western, plutôt tendance Sergio Leone que John Ford. Une histoire classique donc, mâtinée d'une certaines violence, d'un certain regard réaliste, portée sur une époque dure (ici, pas d'idéalisation du western). Ça canarde dans tous les sens et le sang n'est pas du coulis de tomate. Heureusement quelques personnages, par leurs actes et leurs positionnements, préservent certaines valeurs (solidarité, refus de la violence, courage...) : Old Sean, le doc et bien sur Durango, qui, bien qu'étant un redoutable tueur, possède une certaine morale. Graphiquement, ainsi qu'au niveau de la caractérisation, on pense évidemment à Clint Eastwood. Souvent, chez Swolfs, les références sont assumées, tant il est vrai que sa volonté semble être la recherche, plus que l'originalité à tous prix, de l'inscription dans une continuité. Au niveau du dessin c'est extrêmement classique, ça fait parfois penser, à la limite, à Jean Giraud dans Blueberry, le génie et la classe en moins.



Génial, Yves Swolfs ne l'est sans doute pas mais honnête ça c'est sur. Il nous livre donc des histoires bien faites, qui ne changent pas nos vie mais qui en font partie. Et c'est déjà pas mal.

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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

C’est dans ce tome que notre Durango acquiert son fameux Mauser, dont le vendeur lui signale qu’il avait appartenu au "pistolero muet", faisant référence par-là au film avec Trintignan "Le grand silence".



Ce pistolet automatique (10 coups) est là pour compenser le handicap de sa main droite et lui permettre de tirer de la gauche.



Aujourd’hui, il se rend en Arizona, au dépôt de la "Allen Minning" car le proprio l’a contacté pour jouer les bodyguard (sexy).



Pas de fanfare ou de pom-pom girl pour le beau blond, mais plutôt des cadavres froids et raides pour l’accueillir ! Les traditions se perdent… Sans compter qu’ensuite, c’est une balle qui tente de lui raccourcir son acte de naissance !



Mon beau blond va pouvoir tester la puissance de feu de son Mauser M98. Au moins, de ce côté là, pas de soucis, devra pas le reporter au marchand !



Dans cet album, le dessin s’est amélioré, les traits de Durango sont mieux dessinés et les femmes devraient se pâmer devant sa jolie petite gueule d’amour et ses yeux vert qui crient "braguette". Entièrement vêtu de noir, l’homme donne envie d’aller voir ce que tout ces habits cachent…



Notre bellâtre est tout bonnement tombé dans un guet-apens à son arrivée dans la ville de Silverbridge ! Bon, cela lui permettra, non seulement de mener une enquête afin de savoir pourquoi on veut lui coller la mort de Allen sur le dos, mais aussi d’augmenter son score de mecs refroidis. Faudrait que je les compte, tiens…



Toujours aussi froid et sans émotion quand il cherche ou joue à la Grande Faucheuse, Durango a néanmoins de la suite dans les idées.



Cupidité, soif de pouvoir, soif d’argent, magouilles et compagnie, manipulations, double-jeu, meurtres, vols, tentative de viol, bref un menu assez copieux pour ce troisième album. Sans compter les hommes qui sont fort devant un type désarmé et à plusieurs, mais qui souillent leur calebard quand le type récupère son arme.



Un étrange personnage mène aussi une enquête sur le maire, mais on ne sait pas trop dans quel camp il se situe. Seule la fin nous le dira.



À noter aussi l’apparition d’un "Blondin-Clint Eastwood" dans la personne d’un cavalier qui passe dans la rue (page 32).


Lien : http://thecanniballecteur.wo..
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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

Toujours aussi "musclé", ce chapitre fait référence à léone (Eastwood) "l'homme sans nom" et Corbucci (le grand silence)



Le dessin évolue plus "lumineux" que dans les deux premiers.



Cette série a tout d'une grande.
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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

J’ai déjà évoqué la référence à Clint Eastwood dans les critiques d’autres tomes de la série, ça saute aux yeux, et l’auteur ne s’en cache pas, alors je vous propose un jeu, si vous lisez cet album. Ce n’est pas ‘Où est Charlie” mais plutôt “Où est Clint Eastwood”. En effet, il s’y trouve bien, de passage… le portrait est d’ailleurs plutôt réussi.

Pour revenir à l’histoire, encore beaucoup de fusillades, d’action, de grands espaces, Durango est employé par un propriétaire de mines qu’il ne rencontrera que déjà mort, et va se faire accuser du crime. Il y a peut-être un peu trop de parties dans cette histoire, ce qui la rend quelque peu alambiquée, mais pour l’ambiance western-spaghetti, c’est tout bon ! Cette série ravit l'amateur de westerns que je suis.
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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

Enfin une BD réaliste je l'ai particulièrement apprécié pour le mauser et la création d'un étui pour le tir rapide. Je suis un inconditionnel de cette arme.
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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

Deux ans plus tard, juin 1898, nous retrouvons Durango chez Hans, un armurier possédant quelques belles pièces de collection. Notre héros va faire l'acquisition de son (futur) célèbre Mauser 98 qui va faire sa réputation et va lui permettre de compenser son handicap en tirant de la main gauche. Ce pistolet ne quittera plus notre héros devenant sa "marque de fabrique", son atout providentiel.



Swolf va trouver également son "style" dans le dessin des zones extérieures, plus lumineuses, moins chargées donnant d'avantage d'aération, de fluidité à son graphisme.



Côté scénario, un guet-apen et Durango se retrouve piégé. Un peu cliché notamment sur les quelques tours de passe-passe (le derringer), vont lui permettre de s'en sortir et de quitter la ville sain et sauf mais avec un mandat sur le dos...
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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

Alors que c’est normalement derrière lui que Durango empile les cadavres, dans ce troisième tome, il est accueilli par un tas de cadavres. Voulant tirer cela au clair à Silver Bridge, il sent le piège à plein nez mais notre pistolero solitaire (et maintenant gaucher) n’est pas du genre à faire marche arrière.



Ceux qui avaient encore un doute quant à la suite de la carrière professionnelle de notre ami Durango suite à sa blessure à la main droite, seront directement rassurés en retrouvant notre aventurier solitaire un Mauser à la main. Une main gauche moins rapide, mais apparemment tout aussi redoutable.



Côté dessin, cela reste excellent avec plusieurs beaux plans de cow-boys avec le soleil face camera, dont la couverture d’ailleurs.



Une nouvelle histoire autonome d'Yves Swolfs qui nous plonge dans le bon vieux western d’époque au scénario classique !
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Durango, tome 4 : Amos

Ce tome 4 marque le début d'un cycle de 3 albums situant l'action au Mexique. On assiste à une véritable épopée, à un condensé de ce qui se fait de mieux dans Durango. Des personnages emblématiques, de l'action, du drame... un régal !



Ayant sa tête mise à prix, Durango se retrouve à fuir vers le Mexique. Sa route va croiser celle d'Amos Rodriguez, énigmatique mexicain qui va se prendre d'amitié pour le blond au Mauser.

Notre héros va trouver un semblant de tranquillité, une vie qu'il a toujours voulu mener. Malheureusement, ses nombreux ennemis ne vont pas lui rendre la tache facile...



Côté dessin, on sent Yves Swolf en pleine possession de ses moyens, son trait atteint une maturité qu'il n'avait pas encore saisi jusque là, c'est superbement réalisé.
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Durango, tome 4 : Amos

après ses démêler avec les

compagnies minières

( tome 3 )notre cowboy aux yeux verts a sa tête

mise à prix.alors qu'il

essaye de passer au Mexique,il va sauvé la vie

d,amos Rodriguez, un mexicain qui se bat pour

les péons.et voila Durango

embarqué dans une histoire saignante.qui tient en haleine.un western a

l,ancienne parfaitement

dessiner par Yves swolfes

au meilleur de son art..
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