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Critiques de Yves Swolfs (378)
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Durango - Intégrale, tome 4

Cette quatrième intégrale rassemble les albums 13 à 16 de la série de BD "Durango".

Elle est donc particulière puisqu'elle contient les deuxième et troisième "fins" de la série. En effet, en 1998, quatre ans après le tome 12, Yves Swolfs sort "Sans pitié", une nouvelle aventure de Durango alors que tout le monde le croyait enfin installé auprès de sa chère et tendre Célia à Nortonville à la fin de l'album précédent. Le temps de débarrasser la Terre de la présence d'un psychopathe dégénéré pédophile et cette fois c'est sûr Durango va prendre sa retraite de justicier solitaire et se faire shérif à Nortonville, sifflant pour la deuxième fois l'arrêt de la série.

Surprise, en 2006, 2008 et 2012 sortent trois nouveaux albums qui se suivent avec toujours Yves Swolfs aux commandes mais avec Thierry Girod aux dessins et Jocelyne Charrance aux couleurs. La maison d'édition a également changé puisque la série quitte Alpen Publishers pour Soleil Productions qui en profite pour rééditer tous les précédents tomes et d'en faire quatre intégrales.



Au cours de ces trois albums ("Un pas vers l'enfer", "El Cobra" et "Le crépuscule des vautours"), nous allons suivre la quête vengeresse d'un Durango encore plus sombre et impitoyable (si, si, c'est possible !) que d'habitude. Hanté par un incendie, il va traquer un par un les responsables, chacun lui indiquant avant de mourir le nom de son donneur d'ordres... jusqu'au big boss ultra-capitaliste et sans scrupules retranché dans son train en Californie.



De série de BD western spaghetti où Durango, cow-boy solitaire clinteastwoodien, sauve la veuve et l'orphelin (surtout la veuve) dans les premiers albums, le dernier cycle la transforme en western crépusculaire avec un héros taciturne cherchant par tous les moyens à se venger.



Et la série renaît une nouvelle fois puisqu'avec une nouvelle équipe dessinateur-coloriste, Yves Swolfs a sorti un dix-septième album en 2016, mais ça c'est une autre histoire...
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Wyoming, février 1896, un homme solitaire chevauche, loin de chez lui. Dans ce paysage enneigé, il découvre quatre homme devant un autre, pendu par les pieds à un arbre.



L’un des truands fait monter une balle dans sa carabine et ce sera son dernier geste. "BLAM, BLAM" fait le révolver du cavalier solitaire, loin de son foyer, et les quatre bandits s’en vont comparaître devant l’Éternel ou plutôt, le Diable.



Nous venons de faire connaissance avec Durango… La vitesse et la précision de tir d’un Luky Luke, le visage impassible d’un Clint "Blondin" Eastwood et la violence d’un Charles Bronson dans sa version du "Justicier".



Justement, la ville où habitait son frère a bien besoin d’un homme comme lui pour remettre un peu d’ordre.



Qué passa ? Un homme a la folie des grandeurs. Il veut mettre la main sur tout le comté afin de monter un empire du bétail et "civiliser" la région. Mais pour cela, il élimine tout ceux qui se mettent en travers de son chemin.



Drôle de logique, je ne vous le fait pas dire. D’ailleurs, son tueur attitré, Reno, ne se privera pas pour le lui faire comprendre qu’il ne vaut pas grand-chose à ses yeux.



Si l’intrigue du scénario ne brille pas par son originalité, on ne peut rien reprocher au graphisme de Swolfs, le faisant plus approcher un Giraud ou un Hermann qu’un Morris.



Son trait est minutieux et détaillé, conférant à la série un grand réalisme, même si j’ai trouvé qu’un de ses personnages féminin ressemblait étrangement à celui d’une autre série "Le prince de la nuit" (Élise, qui ressemblait un peu à Vanessis Sparadra).



Scénario basique, certes, mais on se retrouve en terrain connu niveau "Western" (Swolfs s’inspire du film "Le Grand Silence") et on prend plaisir à assister à ces bons vieux règlements de compte d’antan où on ne compte plus les cadavres éparpillés.



On remarquera aussi que c’est toujours la même chose qui se passe face à l’envahisseur. Il y en a qui prennent le maquis, d’autres qui se cachent, n’osant pas péter de travers, mais n’hésitant pas à faire la grande gueule une fois que tous les méchants sont ad patres ou à vous proposer de l’aide, alors qu’avant, il avaient la tête dans le trou…



Niveau méchants, ils sont tous pareil, une fois que le dominant (celui qui paie les salaires) est blessé, c’est la curée ! Je l’ai toujours dit, faut pas faire confiance à des truands.


Lien : http://thecanniballecteur.wo..
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Classique et efficace !



Prenez un héros rappelant furieusement Clint Eastwood , période western spaghetti al dente .

Mutique et mystérieux à souhait , ce loup solitaire qu'est Durango privilégie systématiquement le flot impétueux et précis de son colt au sien . Blam ! Blam ! Le Pacificateur , Meurtres sur commande...autant de surnoms qu'il assume pleinement , ne vivant que pour et par les armes !



Mais un héros sans véritable antithèse perdrait alors tout crédit . C'est pourquoi , dans sa très grande bonté , Swolfs décida de lui opposer le Sénateur véreux Howlett spécialisé dans l'élevage intensif et bien décidé à faire main basse sur toute la contrée , dût-il employer les moyens les plus retors , voire définitifs afin d'asseoir sa suprématie...

Son bras armé , un gars à la gueule de Klaus Kinski que l'on pressent déjà peu enclin à composer d'admirables bouquets champêtres en fredonnant l'hymne à la joie , Reno , grand amateur de tir sur cible vivante , humaine de préférence ! Le climat est plus qu'hostile et rares sont ceux à oser s'élever contre cette main mise au risque d'aller brouter les pissenlits par la racine , et sans vinaigrette encore...



Le décor est planté . Le scénario basique datant de 1981 et légitimement perçu comme véritable ode au western spaghetti fait dans l'évidence même mais le fait parfaitement . La tension monte crescendo , l'issue ne fait aucun doute , le moment de lecture est plaisant .

Si l'encrage et les traits sont agréables et consistants , il est à noter , parfois , un léger manque de profondeur dans les dialogues . Mention spéciale aux décors hivernaux du Wyoming qui accroissent , si besoin était , une sourde et sanglante dramaturgie , la partition du six-coup étant déclinée à l'envi .

Un premier opus intéressant et prometteur qui ne vient pourtant pas supplanter dans mon petit cœur de midinette les Comanche , Blueberry et autre Bouncer de renom...



Durango , Les Chiens Meurent en Hiver : et la caravane passe...

http://www.youtube.com/watch?v=1-rHdSWZLpQ
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Vous aimez le western?

Durango est pour vous! En effet, vous y trouverez l'essence même du Western Spaghetti. Un héros justicier au visage de marbre et aux yeux de braises, savant mélange de Clint Eastwood, Charles Bronson, Terence Hill et Lucky Luke.

Voilà pour le héros.

Comme décor, une obscure bourgade vivant sous le joug d'un vilain sans coeur ayant à sa solde une horde d'assassins cruels dont le chef espère trouver un adversaire à sa mesure.

Puis nous avons l'inévitable belle compagne, à la fois victime, forte et insoumise.

Voilà, comme je disais, c'est de l'extrait d'essence de Western, rien de plus, rien de moins et c'est tout ce qu'on lui demande. Ca n'a absolument rien d'original mais ça se lit avec plaisir.

Côté dessin, c'est très typé années 80 (y compris dans la mise en couleurs) mais c'est plutôt bon dans le genre et ça se regarde sans déplaisir.

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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Très curieusement j'étais passé à coté de cette bd.

L'histoire est classique et bien menée (j'avais la bande-son dans la tête, celle de Morricone bien sur!). Le seul bémol c'est d'avoir l'impression de déjà-vu. Cela doit être dû à mon grand âge, en effet la découverte n'en est pas une lorsque l'on a vu les films de Leone, Eastwood et autre western spaghettis.



Cela reste une belle émotion qui m'a rappelé beaucoup de souvenirs. Je vais me plonger dans le tome 2 en espérant y trouver de nouvelles émotions.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Je ne suis pas un grand connaisseur du monde la bande dessinée et j'ai donc du mal à étalonner. Je pioche des séries au hasard dans ma bibliothèque municipale. Ce Durango est efficace, ambiance western spaghetti sans humour et plutôt sombre. Il a répondu à mes attente du moment, c'est à dire un moment de plaisir rapide.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Je suis toujours aussi impressionné par la qualité du dessin de Swolfs. C'est une pure merveille de précision au niveau des traits des personnages. On entre de plein pied dans des décors somptueux rappelant effectivement les grands films de western de la grande époque hollywoodienne avec John Wayne ou encore Clint Eastwood. Deux mots peuvent caractériser cette ambiance ultraviolente : dure et âpre.



Je regrette juste que nous ayons encore droit à un de ces sempiternels héros qui défend la veuve et l'orphelin au nom de la Justice contre des ordures impitoyables. L'action est privilégiée au détriment de la psychologie propre des personnages. Toutefois, on passe un très agréable moment de lecture. Dans le genre, j'avoue quand même avoir ma préférence pour Bouncer.



De manière générale, j'approuve les auteurs qui misent encore sur le western à une époque où celui-ci a presque totalement disparu des écrans. C'est vrai que cela manque. Alors, pouvoir replonger dans une bd d'une telle qualité ne peut que nous ravir !
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Durango est une bd sympa. Dessins chouettes, bon scénario, rapide a lire.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Une couverture faisant penser aux plus vieux (film de 1966) à Clint Eastwood dans son rôle légendaire de l'homme sans nom, Blondin...

Le reste est à l'avenant, et c'est forcément ce qu'on cherche lorsqu'on s'attaque à cette BD.

On n'est pas déçu, les graphismes sont beaux, crépusculairement enneigés. Le découpage est fluide et l'histoire est simple, froide, nette.

Manque juste la bande son d'Ennio Morricone...
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Western Italien cliché.



Le frère de Durango l'appelle à la rescousse, car le juge du patelin perdu où il réside fait main basse sur toutes les fermes de la région.

Á l'aide d'une bande de tueurs, bien sûr...



Vous connaissez "il grande Silenzio" ? Eh bien vous allez en avoir un aperçu, et pas qu'un peu.

Les traits de Trintignant en gentil (surpris, car c'était pas si flagrant sur la couverture), de Kinski en méchant, habillés pour un décor hivernal comme ici… Tout pareil que le film !

Je crois même que le coup de la main estropiée, çà y était...

Vérification ? Eh oui...



Á noter que l'arme spécifique du film apparaitra un peu plus tard dans les albums et sur un max de couvertures. Pour les fanas du genre, vous aurez droit à tout un tas de tronches ou d'accessoires récupérés dans les films (admirez ce Tomas Milian dans "le dernier face à face" en couverture du 4e album... ou la mitrailleuse de "Django" dans le 6e... - main minuscule sous l'engin ! -).

Si au moins c'était pas si flagrant...



Second Swolfs, et même sentiment.

Aucune profondeur, aucune recherche d'histoire un tant soit peu originale ou travaillée, çà tire et c'est tout.



Les gentils sont gentils, les lâches sont des lâches, les méchants sont méchants. Et çà flingue.



Point. Trop cliché, je vous dis...
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Durango c'est le plaisir de la BD et du western spaghetti dans sa plus pure tradition. un régal!
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Yves Swolfs est un amoureux des westerns spaghetti, c'est une évidence. Aussi, lorsqu'il débute la série des Durango, ce n'est ni plus ni moins que pour leur rendre hommage. C'est d'ailleurs un des fil rouge de son oeuvre que de s'appuyer sur des genres différents pour égrainer un classicisme qui, loin d'être une absence de style, est bel et bien sa marque de fabrique.



Ce tome 1 pourrait laisser penser à une relecture de "Pale Rider" (le film de Clint Eastwood), sauf qu'il est paru bien avant (en 1981). C'est plutôt du côté du "Grand Silence" de Sergio Corbucci, sorti en 1968, qu'il faudra chercher une filiation.



Pas de surprises, donc ; le scénario, tout comme les dessins, sont très classiques. Swolfs, comme j'ai déjà pu le dire, est avant tout un artisan de la bd, mais un artisan aux doigts d'or.

Durango, appelé par son frère (qui réprouve son style de vie, lui qui est du genre plutôt pieux ; tiens ça me fait penser à un célèbre film de Sergio Leone), arrive à White Valley, une ville sous la coupe d'un sénateur ambitieux, éleveur de bétail, qui fait éliminer tous ses concurrents par Reno et ses hommes. Lorsqu'il apprend que son frère est mort, abattu sur l'ordre du sénateur, Durango décide de le venger...



Maintenant, les choses sont simples : soit vous aimez le western spaghetti et vous apprécierez, soit vous y êtes allergique et vous pouvez passer votre chemin. Si vous vous situez entre les deux, il n'est pas impossible que Swolfs arrive à vous convaincre...
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

EXTRAIT "Attention, hommage manifeste à Sergio Leone et Clint Eastwood. Rien que sur la couverture, comme vous pouvez vous en apercevoir, on retrouve le chapeau, la petite barbe, le cigarillo, bref, tous les codes visuels du "blondin". Et quand vous le verrez à l'œuvre, vous vous rendrez compte à quel point il lui ressemble. Stupéfiant. L'histoire est somme toute classique, mais représente bien le western, à mon sens. "
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Un premier tome qui pose les jalons de ce que sera la série : un univers âpre et dur, où le revolver fait loi. Nous plongeons dans le plus pur style du western spaghetti,



Dans ce premier volume, Durango revient dans sa contrée natale aider son frère à débarrasser la ville d'affreux loulous qui en ont pris possession. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il sera malmené, perdant même l'usage de sa main droite, sa main de tireur... Durango évoluera par la suite devenant plus froid, plus distant, davantage solitaire. Mais il reste toujours fidèle à ses convictions, sa droiture et son idéalisme.



Le dessin fait un peu gras, fouillé mais il évoluera progressivement jusqu'à atteindre un degré de haute volée dans les volumes suivants. On accroche ou pas, moi j'aime beaucoup ce style qui colle à ce western violent et sanguinaire.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Je n’avais jamais ouvert un album de Durango jusqu’à ce jour, et bien la surprise est plutôt agréable. On retrouve les clichés du bon vieux western hollywoodien, “L’homme des haute plaines” de Clint Eastwood n’est pas très loin, “Pale Rider” non plus, héros vengeur, taciturne, qui tire très vite et qui se bat comme un diable, dont le passé est très flou, il n’est pas “Le Bon” à 100%, mais les brutes et les truands le sont, eux. Durango sauve la veuve et l’orphelin, un peu plus “mauvais genre que les bande dessinées de western de cette époque, on est plus proche de l’univers du cinéma. C’est plutôt classique, mais le graphisme est fin, soigné, les couleurs nuancées avec justesse et raffinement créent une ambiance efficace. Un éleveur de bétail plus gourmand que les autres veut se débarrasser de tous le petits éleveurs de la région, c’est l’hiver, la neige, et Durango débarque, régler quelques comptes avec du plomb. Le rythme est soutenu, haletant, intense, comme dans les films que je viens de citer, du western pur et dur, et pour un fan du genre comme moi, il y a tout ce qu’il faut pour me combler, je ne vais pas m’arrêter là avec cette série.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

un héros charismatique,

de beau paysage,beaucoup de rebondissements,sensualité et tension s,entremêlent

aisément et on a un western digne d, une poignée de dollars ou d'une fois dans l, ouest.

l, histoire et classique mais ne manque pas d, action.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Durango et Yves Swolfs ont marqué mon adolescence. Après la lecture de "Vlad", je reviens sur cette autre série de Swolfs.



Au scénario et au dessin, il livre une vraie tribune aux westerns spaghetti italiens. Durango n'est d'ailleurs pas sans rappeler le beau Clint...

Etant désormais bien calé dans l'âge adulte, les facilités scénaristiques sautent forcément aux yeux. Un gentil qui tombe au milieu de plein de vilains méchants qui exploitent et asservissent tout un village de gentils fermiers et de couards bourgeois. Sergio Leone s'était déjà largement servi de cette situation et Swolfs ne fait que la reprendre à son compte.

Par contre, l'auteur contrebalance ce scénario par un dessin soigné, réaliste qui illustre parfaitement cet univers neigeux, glacé et sauvage.



L'ensemble se laisse lire mais on attend ce charismatique héros dans un contexte moins classique.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Un western on ne peut plus classique avec un ville du Wyoming terrorisée par une bande de hors-la-loi sans pitié. Une ville qui va croiser le destin de Durango, expert de la gâchette, que sa réputation précède et qui empile les cadavres derrière chacun de ses passages.



Durango, un pistolero qui parle avec ses six-coups, qui balance entre le salopard sans merci et le justicier providentiel. Un Durango qui est à cette série ce qu’est Clint Eastwood au Far-West cinématographique : redoutable, nonchalant et surtout incontournable.



Une histoire certes, assez traditionnelle, basée sur une histoire de vengeance avec des villageois terrorisés d’un côté, des ordures impitoyables de l’autre et des règlements de compte au milieu. Un graphisme soigné, un héros qui colle idéalement à son rôle et une ambiance western comme on l’aime.



Bref, un Swolfs qui avec "Durango" et "Black Hills" n’a plus à prouver son amour pour le western et qui sert ici à merveille les amateurs du genre.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Je découvre (un peu tardivement) Durango dans ce premier tome et l'ambiance du cow boy solitaire dans le froid de l'hiver américain. On le surnomme " le pacificateur", il travaille seul. Il croise la route des tueurs du sénateur, un homme politique qui fait éliminer les petits éleveurs pour agrandir son territoire et son influence.

On imagine bien un film avec une musique à la Sergio Leone.

J'ai moins aimé l'aspect invincible du héro.
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Durango, tome 10 : La proie des chacals

On retrouve une histoire classique, totalement dans les cordes de la série "Durango", avec un scénario simple, mais efficace. Cette fois il s’agit de traite d’êtres humains et en particulier de jeunes indiennes qui sont exportées vers le Mexique. Evidemment une des indiennes va croiser le chemin de Durango, aux dépens des crapules qui la maltraitaient.



Si Durango commence cet histoire comme il avait quitté la précédente, c'est-à-dire, en solitaire, il va vite se trouver un partenaire indien très efficace en cours de tome. Ce duo avec cet indien mystérieux dont on n’apprendra même jamais le nom fonctionne à la perfection : l’indien est parfait dans son rôle, les dialogues sont très bons et la complémentarité excellente.



On prend en plus plaisir à retourner au Mexique, endroit bien connu de Swolfs et de Durango depuis les trois tomes dédiés aux aventures de Durango en compagnie d’Amos. Poussière, soleil et tequila au programme et deux compères qui vont devoir affronter Jaime Alonzo qui dirige la ville de Santa Rosa et ses hommes, dont le terrible Diego Chanas.



Bref, une histoire indépendante dans la lignée de cette excellente série, qui est une des majeures références au niveau des westerns spaghettis.
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