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Critiques de Yves Swolfs (378)
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Durango, tome 14 : Un pas vers l'enfer

Après huit années d'arrêt, durant lesquelles le pistolero justicier Durango s'est bien reposé, il est prêt à en découdre avec des dessins assurés par Thierry Girod.

Swolfs reste là pour le scénario, les cadrages des vignettes deleurent fortement influencés par Sergio Leone, mais le dessin se fait un peu moins dans l'action, moins vif, même si à sa façon Girod s'approprie totalement l'univers de Durango avec un magnifique graphisme.

La transition au niveau du dessin est donc assurée, mais côté scénario on se limite à une simple vengeance, Durango poursuivant de sa pétoire les meurtrier et ceux qui les ont actionné pendant cet épisode et les suivants.
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Durango, tome 14 : Un pas vers l'enfer

Punaise, 8 ans, c’était long ! 8 ans qu’on avait abandonné notre tireur aux beaux yeux après la traque du terrible Louie Holledigger et on se doutait qu’il était retourné à Nortonville auprès de la belle Celia, l’héritière.



Mais qu’est-ce qu’il fout, notre Durango, à envoyer un homme prendre les chevaux des 3 sales gueules, ces 3 cow-boys aux mines patibulaires qui se rinçaient le gosier au saloon ?



♫ Bang Bang ♪ He shot me down ♫

♫ Bang Bang ♪ I hit the ground ♪



Une fois de plus, le Mauser a parlé et de sa gueule est sortie les pruneaux qui ont définitivement constipés à jamais les trois sales gueules. Mais avant, il en fait parler un et il lui donne le nom du commanditaire d’un incendie dont nous n’en saurons pas plus : Lance Armstrong ! Non… Harlan Coben ! Oups, désolé, Lance Harlan.



Cet album était attendu au tournant, cela fait déjà quelques années qu’il est dans ma biblio et j’ai eu le temps de le lire moult et moult fois.



Commençons par ce qui me démange et que je vais grattouiller un petit peu : Swolfs a confié les dessins à Girod, celui qui dessine « Wanted » et même si leur style sont similaires, je suis désolée, mais on a perdu au change parce que je préférais le dessin de Swolfs, plus fin, plus précis, que celui de Girod (que je n’aime déjà pas trop dans Wanted).



La mise en page est excellente, le choix des plans aussi, mais le trait, je le trouve épais, grossier et on a perdu ses tonalités d’ocres, ces tons chauds qui donnaient une de ces ambiance à la série quand notre tueur à la gâchette facile se trouvait dans un endroit chaud (dans la neige, on passait à d’autres tons, mais je les aimais aussi).



Deuxième truc qui me dérange encore un peu, c’est le fait que Durango ne soit là que pour une vengence et avec lui, ce ne sera pas de la vengeance raffinée à la Monte-Cristo, mais plus de celle à la « viens ici que je te farcisse de plomb » et avec lui, la fin justifie les moyens, donc, les autres, il s’en branle allégrement.



Non pas que l’album ne soit pas bon, mais j’aurais préféré un scénario avec un peu plus de finesse pour son grand retour que l’habituel vengeance et que les méchants soient un peu plus travaillés et pas rien que des hommes de main juste là pour acheter les mines à tout prix, quitte à intimider, menacer, foutre le bordel et tuer.



Lance Harlan manque d’épaisseur, de travail, c’est la brute qui exécute les ordres, l’homme de main d’un autre, celui qui n’a pas peur de se salir les mains. Un peu de nuance l’aurait rendu plus intéressant.



Un tome fort attendu mais qui ne me donne pas autant de plaisir que les premiers, l’histoire semble se mordre la queue et je n’aime pas trop mon Durango dessiné par Girod.



Malgré ces bémols, j’avais tout de même été contente de retrouver mon héros solitaire, mon lonesome tueur préféré dans ce qui reste une excellente série de western spaghetti.


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Durango, tome 14 : Un pas vers l'enfer

Il aura fallu attendre huit ans et l’arrivé de Yves Swolfs chez Soleil pour que Durango fasse son retour sur les pleines du farwest.



Un Yves Swolfs, qui comme dans d’autres séries (dont l’autre western "Black Hills") décide de se consacrer uniquement au scénario en confiant le dessin à un autre auteur. Grâce à son style graphiquement assez proche de Swolfs, Thierry Girod (auteur d’un autre western "Wanted") réussi une transition graphique en douceur de cette série culte. Il reste certes encore quelques détails à peaufiner, mais le résultat est déjà très réussi.



Comme Swolfs pouvait se concentrer uniquement sur le scénario on aurait pu penser qu’il allait nous concocter quelque chose de spécial, mais à la place il nous sert un scénario de vengeance très classique.

Déjà dans le tome précédent Durango avait du quitter Nortonville et sa bien-aimée, afin de poursuivre une brute sanguinaire qui y avait fait un passage trop prononcé. Cette fois-ci il remet cela et part à la recherche des meurtriers qui ont tué sa riche ‘héritière’.



On sent d’ailleurs un Durango marqué par ces événements et à la réplique moins ironique qu’à l’habitude. Autre constatation est que c’est une des premières fois que Durango croise une jolie femme sans que celle-ci lui tombe forcément dans ses bras. Mais à part ses deux détails on retrouve un scénario est un Durango classique. Un Durango qui fait toujours parler son pistolet automatique allemand avec la même rapidité.



Bref, on prend plaisir à retrouver ce classique du genre chez un nouvel éditeur et avec une nouvelle aventure on ne peut plus classique. Et si Girod reprend admirablement bien le graphisme de ce nouveau tome, Les Humanoïdes Associés en profitent pour rééditer l’ensemble de la série et Soleil sort une édition 2B de ce quatorzième tome.

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Durango, tome 14 : Un pas vers l'enfer

Un changement de dessinateur avec Girod (toute ressemblance avec Jean Giraud...) aux manettes. On sent une différence mais cela n'est pas flagrant non plus je n'ai pas été « choqué », c'est le changement dans la continuité. Quant au scénario encore une fois classique (pas de grande surprise), Swolfs a beaucoup de talents mais je ne sais pas pourquoi il y a quelque chose qui me manque...

Allez vivement le tome 15
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Durango, tome 14 : Un pas vers l'enfer

Mais oui bien-sûr, il s'agit d'une bonne bande-dessinée, on passe un bon moment de détente et c'est déjà pas si mal.

Mais bon, quitte à revenir 8 ans après, pourquoi ne pas essayer d'y apporter quelque chose de différent, de casser un peu les codes du genre.

Certains diront justement que la position de la mère de famille est l'originalité du scénario mais c'est bien timide.

En résumé, il s'agit quand même bien d'un bon livre avec des vilains méchants et un gentil qui est le plus fort....

Çà, c'est pour le scénario de Swolfs.

Parce que pour les dessins de Girod, il n'y a vraiment rien à redire. Çà sent le sueur et la poussière. Un vrai régal pour les amateurs du genre.
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Durango, tome 15 : El Cobra

Ressuscité lors du tome précédent par Yves Swolfs et Soleil après huit ans d’absence, Durango chevauche à nouveau les pleines du farwest.



Ce quinzième tome propose la suite de la quête vengeresse de Durango, entamée lors du tome précédent. On retrouve donc à nouveau un scénario de vengeance ultra classique, linéaire et sans véritables surprises. L’arrivée d’un autre tueur, capable de se mesurer au célèbre pistolet automatique allemand de notre héros, ajoute un peu de piment à l’intrigue, même si cette présence n’est pas pleinement exploitée.



Néanmoins, retrouver Durango et son calme légendaire au sein d’une ambiance de far west parfaitement maitrisée, fait toujours plaisir. Et la présence de cet alter-égo permet également de faire ressortir ce semblant d’humanité qui différencie notre héros des autres tueurs sans pitié et cela, malgré la colère et la haine qui l’animent depuis qu’il a perdu sa bien-aimée.



Graphiquement, Girod ("Wanted") restitue parfaitement l’ambiance et les paysages du far west et propose un dessin qui s’inscrit dans la continuité de la série, mais sans parvenir à égaler le maître.



Classique mais efficace !

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Durango, tome 15 : El Cobra

Durango a identifié dans le tome précédent un des donneurs d'ordres du massacre qui le pousse à vouloir se venger. Mais en chemin il s'aperçoit qu'un autre tueur professionnel, le Cobra, poursuit lui aussi la même cible. Vont-ils s'aider ou au contraire va t-on s'acheminer vers un duel entre spécialistes des armes à feu ?

Le western à la sauce Swolfs repart pour un tour assez musclé, plutôt réussi.
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Durango, tome 15 : El Cobra

Et bien voilà, ce n’était pas si difficile que ça de nous proposer un Durango comme on les aime !



Moi qui me plaignais dans ma précédente chronique du manque d’envergure de notre blondin préféré…



Là, je suis satisfaite, c’est du Durango couillu, persévérant, sans foi ni loi, mais avec tout de même un soupçon de compassion.



De plus, face à lui, un pistolero d’envergure, un homme qui, comme lui, possède des pistolets hors norme. Et qui sait s’en servir !



Cet album clôt le diptyque commencé dans "Un pas vers l’enfer" et il le clôt en beauté puisque si le précédent tome manquait de carrure et d’épaisseur, celui est plus étoffé et on retrouve ce qui faisait la saveur des premiers tomes : le western spaghetti dans toute sa splendeur !



De plus, l’auteur nous introduit un nouveau personnage avec lequel il faudra compter puisqu’il est le commanditaire de tout ce bordel pour acquérir, à n’importe quel prix (le prix du sang), des concession minières ou des terrains appartenant à des indiens mais qui recèlent des métaux précieux.



Ben non, rien ne change jamais sur cette bonne vieille Terre !



Un Durango qui fait plaisir à revoir, une histoire avec de la profondeur, du rythme, du suspense, du mystère et des coups de feu.



Une fois de plus, Swolfs nous gâte avec du western pur jus et revient au meilleur de sa forme niveau scénario, quant aux dessins de Girod, ils me plaisent plus que dans le tome précédent.


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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Le crépuscule du vautour est l’occasion pour le virtuose du Mauser c96 de côtoyer enfin ses frères rouges. À l’opposé d’un Blueberry qui cultivait les amitiés indiennes, Durango semblait ne jamais devoir croiser leurs routes. C’est désormais chose faite et il est heureux que son retour perpétue un genre qui a récemment perdu l’un de ses pairs les plus illustres.


Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

une intrigue bien ficelé.on suit l, histoire avec intérêt.

du grand spectacle.
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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Lors de ce seizième tome, la route du célèbre héros au Mauser C96 croise celle des indiens. Aux abords d'un lac, deux géomètres sont en effet lâchement assassinés par des indiens Shoshones, qui font tout pour que les Washos soient soupçonnés du meurtre. C’est évidemment compté sans la présence d’une jeune indienne qui doit sa survie à l’intervention providentielle de Durango...



Notre cow-boy solitaire se retrouve ainsi embarqué en plein milieu d’un conflit concernant l’exploitation du lac. Dans cette petite ville de l’ouest américain, notre ami doit donc faire face à des hommes qui n’hésitent pas à soudoyer, menacer et assassiner pour arriver à leur fin. Ce seizième volet propose également la conclusion de la quête vengeresse de Durango, entamée il y a deux tomes. Après avoir affronté le Cobra, notre héros au célèbre pistolet automatique allemand est en effet sur la piste du sinistre Steiner. Au fil des pages, le face-à-face entre les deux hommes se profile, faisant progressivement monter la tension, jusqu’au final tant attendu.



Yves Swolfs profite également de ce récit qui oppose progrès, expansion et profit au respect de la nature et des autochtones, pour pointer du doigt les dérives capitalistes actuelles. Graphiquement, Trierry Girod ("Wanted") restitue parfaitement l’ambiance et les paysages du Far West et propose une galerie de personnages aux visages marqués par la dureté de leur environnement.



Un western spaghetti classique mais efficace !

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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Voilà un épisode qui ferait le bonheur de Sheldon Cooper (The Big Bang Theory) car il comporte un magnifique train. Par contre, la suite lui fera moins plaisir car elle sera extrêmement violente…



Notre blondin aux yeux verts prairie continue sa vendetta personnelle et traque le commanditaire ultime des prises violentes des concessions minières et autres biens. Steiner himself.



Cette fois-ci, le bien convoité est un lac dans un lieu sacré indien. On se doute bien que c’est parce que ces lieux contiennent un truc de plus intéressant que des poissons.



Je ne pense pas que je vais vous apprendre quelque chose en vous disant que pour certains, la fin justifie les moyens et que flinguer des gens ne pose pas de problème moraux, qu’ils soient gouverneur ou autre,… La caravane doit passer et les chiens cesser d’aboyer.



Le meurtre doit ouvrir les portes à ce qui est convoité et généralement, l’assassiné était celui qui tenait la porte fermée ou qui allait la clore à double tour. Hold the door…



Une fois de plus, nous sommes face à un récit violent, les morts tombent comme des mouches (face au fromage corse de Ocatarinetabellatchitchix) et notre commanditaire ne recule devant aucun sacrifice pour arriver à ses fins.



L’argent appelle l’argent et c’est bien connu, on n’en a jamais assez.



Durango, dans cet opus, va une fois de plus devoir ruser, tuer, tirer et viser juste et ne pas s’embarrasser des détails car lui aussi veut la fin de cet homme et il va y mettre les moyens, et si dommages collatéraux il y a, tant pis.



Les dessins et les coloris ne sont toujours pas ceux de Swolfs, mais je m’habitue aux traits de Girod et mon Blondin est redevenu lui-même, aussi bien physiquement que mentalement et nous sommes loin du Durango qui laissait faire les autres comme dans "Un pas vers l’enfer".



On dirait même qu’il a vieilli, mûri et que les monceaux de cadavres qu’il a laissé derrière son passage, lui ont terni le fond de l’oeil couleur de prairie.



Il faut dire qu’il avait cru un jour se poser et vivre un peu plus tranquillement et qu’on lui a retiré ça des mains de manière brutale. Notre as de la gâchette est désabusé et ne doit plus trop croire dans le genre humain.



Un western sombre, violent, une critique virulente de la société de l’époque qui n’est jamais que le reflet de la nôtre puisque, comme le chantaient si bien les Puppies ♫ Non, non, rien n’a changé ♪ Tout, tout à continué ♪ héhéhé ♫
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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Durango poursuit la piste des hommes ayant participé au meurtre de ses proches. La cible finale est identifiée : Steiner, un homme d'affaire cynique et dénué de tout scrupule, voyageant dans un train aménagé. L'hallali est proche. Attention le cile de l'Ouest va voir voler le plomb.

Ce tome oppose l'Ouest, la liberté quelque peu anarchique, représentée par Durango, à la modernité alliée au mercantilisme, représentée par Steiner et ses sbires.

Comme d'habitude dans cette série, la construction est quasi cinématographique. Grand angles et plans rapprochés se succèdent. Avec Durango le western spaghetti se fait éternel.
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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Les dérives capitalistes au Far West cela aurait pu être le titre de ce tome 16, qui s'inscrit dans la continuité des deux tomes précédents. Notre cavalier solitaire atteint son but « la vengeance » est consommé. Toujours dans l'esprit du western spaghetti ce western est de bonne facture, seule la fin aurait sans doute mérité un plus grand développement.
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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Je passe directement de la lecture du tome 1 au tome 16 sans me sentir perdu pour autant, on retrouve toujours l’ambiance des westerns spaghettis, Durango à quelque chose de Clint Eastwood. C’est efficace, assez violent, le graphisme est soigné, du bon western, classique, mais qui ravira les fans du genre.
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Durango, tome 17 : Jessie

Une reprise réussie qui, nous l’espérons, permettra à Durango de revenir plus souvent.
Lien : http://bdzoom.com/102724/bd-..
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Durango, tome 17 : Jessie

Lumineux, voilà le premier adjectif qui me vient à l'esprit lorsque je referme ce dernier tome de Durango.

Non pas que les albums précédents n'étaient pas réussis au niveau du dessin (loin de là...), toujours est-il que c'est une réussite de ce point de vue.

La chaleur, la lumière, le désert, les tons ocre et oranges, la nature (désert, rochers, végétations …) fort bien restitués font de cet album une grande réussite.

Un scénario impeccable avec un peu plus de « subtilité » dans la psychologie des personnages .

Bien sûr on y retrouve tout ce qu'on aime chez Durango, la « violence », les duels, l'ambiance « western spaghetti » tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce tome 17 (et n'espère pas dernier.),

un très grand western
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Durango, tome 17 : Jessie

A l’évidence, le spectre de Sergio Leone plane au-dessus de ces albums et l'on marche sur les traces des maîtres Giraud, Hermann ou Boucq.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Durango, tome 17 : Jessie

Suite aux événements du tome précédent, le lecteur retrouve un héros convalescent, qui se remet de ses blessures auprès de son vieil ami Larry Haynes, shérif dans la paisible petite ville de Hancock. Le repos est cependant de courte durée car l’attaque d’un transport de fonds et la sécurité d’une jolie demoiselle traquée par le propriétaire du saloon local, vont obliger notre cowboy solitaire à reprendre du service.



Après quatre and d’attente, les fans de Durango découvrent Iko au dessin de cette saga qui rend hommage au western spaghetti. Le dessinateur italien restitue non seulement parfaitement l’ambiance poussiéreuse et les paysages du Far West, mais il livre également des cases peaufinées jusque dans les moindres détails. Notons également la présence d’un ex-libris offert à l’achat de cet album.



Si le dessin du nouveau venu s’avère convaincant, le scénario d’Yves Swolfs s’avère d’un classicisme toujours aussi efficace. Outre un personnage au calme légendaire, toujours muni de son célèbre pistolet automatique allemand, le lecteur a droit à une bande de hors-la-loi, un shérif incorruptible, une attaque de diligence, une jolie femme en détresse, un saloon mal famé, un magot planqué et des flingues qui se battent pour parler en premier… bref, tous les ingrédients qui font le succès de cette série !



Classique mais efficace !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Durango, tome 17 : Jessie

Durango 4 ans après : le retour

Le changement de dessinateur ne se voit presque pas.

Toujours un dessin et une couleur au top

c'est ce qui plait dans cette série car le scénario semble un peu léger
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