Les thèmes abordés par l'économie en BD sont assez variés : mondialisation, croissance ou encore capitalisme. Découvrez les meilleurs titres que j'ai pu lire pour vous les faire découvrir de manière assez ludique.
Cette BD d’un nouveau genre explore trois siècles de pratiques économiques. Elle raconte la mondialisation, les grands penseurs, les impasses et les rebonds, l’impact des guerres, des changements climatiques ou des pénuries de ressources.
Darryl Cunningham se penche sur les relations entre la politique et l’économie, et plus précisément sur l’évolution des doctrines libérales et leur rôle dans le déclenchement de la crise de 2008, puis de la montée des extrêmes droites en Europe.
D’où viennent les inégalités et pourquoi perdurent-elles ? Pour répondre à ces questions, le livre propose une version accessible à tous du best-seller de Thomas Piketty, Capital et Idéologie.
L'économiste Christian Chavagneux (Alternatives Économiques, France Inter, etc.) et le dessinateur de presse et de bande dessinée James décryptent avec humour les mécanismes sinueux de la finance internationale.
L'histoire de l'implantation d'un hypermarché près de la commune d'Hénin Beaumont, des années 70 à nos jours. Une mise en perspective relativement neutre, mais très instructive, d'un phénomène massif dans la France d'après les Trente Glorieuses.
Garduno est la chronique d’un jeune militant d’ATTAC qui s’interroge sur l’état du monde et tente de définir son engagement. Philou invente en bande dessinée documentaire qui lie des informations précises et finement analysées aux expériences propres de l’auteur.
Fin du 19ème siècle, révolution industrielle en Europe, le monde ouvrier subit la dictature du patronat, obligé d’exploiter sa main d’oeuvre par souci de rentabilité et de compétitivité.
En suivant le procès Cahuzac, les fameux « sociologues des riches » s’associent à Étienne Lécroart pour démonter les mécanismes de l’évasion fiscale, et montrer comment, chez les classes dirigeantes, la fraude se gère en famille.
En une succession de courts chapitre et d’analyses aussi pointues sur le fond, que délirantes dans la présentation, pimentées d’un brin de souvenirs personnels et d’un zeste d’actualité, Jorion brosse au vitriol un portrait érudit et rigolo de l’idéologie politique et de l’organisation de l’humanité actuelles, qui s’acheminent vers leur extinction naturelle, et il propose quelques idées pour l’éviter. Jouant des symboles connus de tous, Maklès vulgarise les écrits de Jorion, avec la volonté de faire sourire plutôt que de se laisser abattre.