2.
Picasso et ses amis
Fernande Olivier
3.50★
(15)
Lorsque Fernande Olivier rencontre Picasso pour la première fois, en 1904, le peintre espagnol vient d'arriver à Paris et parle à peine le français.
La jeune femme, qui sera sa, compagne de 1905 à 1912, est alors le témoin essentiel de sa vie, au c?ur de la bohème à Montmartre. Epoque heureuse mais difficile, où les rentrées d'argent sont rares, où l'on ne se chauffe pas tous les jours et où même, parfois, l'on ne mange pas à sa faim. Mais qu'importe, on est jeune ! Et la solidarité et l'enthousiasme créatif suppléent à bien des privations, surtout lorsqu'on partage sa dure existence avec des amis qui s'appellent Apollinaire, Matisse, Max Jacob, Marie Laurencin, Braque, le Douanier Rousseau, Vlaminck, Derain, Van Dongen et tant d'autres encore.
Sur cette période où le génie de Picasso s'épanouit pleinement, Fernande Olivier a laissé ces merveilleux souvenirs, pleins de verve et de tendresse. L'époque est étourdissante : place Ravignan, sur la Butte, dans l'inconfortable maison de bois qui abritait des ateliers, qu'on appelait le Bateau-Lavoir, un groupe d'artistes - peintres, sculpteurs, littérateurs, humoristes, comédiens, entièrement voués à leur entreprise travaille dur pour créer de nouvelles perspectives.
Ils fondent ensemble les grands principes qui régiront les arts au XXe siècle. C'est donc un véritable âge d'or que ce livre ressuscite, avec une authenticité et une acuité qui en font désormais un classique.
Lorsque Fernande Olivier rencontre Picasso pour la première fois, en 1904, le peintre espagnol vient d'arriver à Paris et parle à peine le français.
La jeune femme, qui sera sa, compagne de 1905 à 1912, est alors le témoin essentiel de sa vie, au c?ur de la bohème à Montmartre. Epoque heureuse mais difficile, où les rentrées d'argent sont rares, où l'on ne se chauffe pas tous les jours et où même, parfois, l'on ne mange pas à sa faim. Mais qu'importe, on est jeune ! Et la solidarité et l'enthousiasme créatif suppléent à bien des privations, surtout lorsqu'on partage sa dure existence avec des amis qui s'appellent Apollinaire, Matisse, Max Jacob, Marie Laurencin, Braque, le Douanier Rousseau, Vlaminck, Derain, Van Dongen et tant d'autres encore.
Sur cette période où le génie de Picasso s'épanouit pleinement, Fernande Olivier a laissé ces merveilleux souvenirs, pleins de verve et de tendresse. L'époque est étourdissante : place Ravignan, sur la Butte, dans l'inconfortable maison de bois qui abritait des ateliers, qu'on appelait le Bateau-Lavoir, un groupe d'artistes - peintres, sculpteurs, littérateurs, humoristes, comédiens, entièrement voués à leur entreprise travaille dur pour créer de nouvelles perspectives.
Ils fondent ensemble les grands principes qui régiront les arts au XXe siècle. C'est donc un véritable âge d'or que ce livre ressuscite, avec une authenticité et une acuité qui en font désormais un classique.