Objet poétique, mystérieux et contradictoire, le haïku dit sans parler, écrit sans décrire, montre sans démontrer. Et pourtant… « Éclat de lumière sur l'éphémère », il donne à ressentir le passage du temps, la ronde des saisons et la beauté de l'instant.
La pratique du judo incite
Georges Bogey à s'intéresser aux cultures d'Extrême-Orient. de ses voyages, il rapporte sa propre vision du Japon à la fois vivante, colorée et sereine.
Très belle découverte que ce court recueil, illustré par Pascal Ortolland et calligraphié par Taeko Nagaï, précédé d'une introduction dont tout l'art réside dans l'acceptation initiale de ne pas être lue afin de ne pas faire obstacle à la révélation poétique.
Merci à Scholarvox et à la bibliothèque universitaire de Saint-Denis pour la mise à disposition de ce titre qui mérite incontestablement d'être mieux connu.
Un auteur que je continuerai à lire !