J'ai beaucoup aimé la première moitié de ce, pourtant court, roman.
Le style, la construction, le parti pris de brouiller les pistes, de jouer avec le lecteur: Grégory s'est-il vengé ou s'est-il construit une réalité alternative pour survivre ?
C'est bien, c'est beau.
Et puis finalement, à mi-chemin, je trouve que tout est devenu confus, et a fini par me lasser.
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Il en résulte un curieux roman où tout est ambivalence, les souvenirs comme les relations humaines. L’auteur nous tient constamment sur le fil, oscillant entre fantasmes et réalité, invention et sincérité. On est déstabilisés. N’empêche que le coup au cœur de l’entrée en matière n’arrive jamais à s’effacer.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Avec La vengeance du petit Grégory, Grégory Lemay critique de manière oblique un monde littéraire obsédé par le vécu. Mais l’écrivain, qui publie depuis 25 ans, ajoute surtout un autre roman un peu dingo à son œuvre patiente et sans pareille, qui aime toujours mieux suggérer et doucement dérouter que tout dire.
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