C'est bien dommage, mais j'ai difficilement était entraîné dans cette lecture. Pour moi il y a un amour qui est trop fort et presque trop fantastique. L'histoire commence vraiment vers la trentaine de pages, le voyage à Oléron reste simple, sans trop de découvertes. Je souligne encore cet esprit de fantasque, de rêves et de légendes qui rend l'histoire bizarre finalement !
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Je n’ai pas encore fini ma soupe que tu t’empares de la bouteille pour remplir de vin mon assiette.
« Ici, on appelle ça la godaille ! »
Rose Cécile acquiesce. […] Un petit sourire au coin des lèvres, elle ajoute : «Manger la soupe sans faire la godaille, olé coume pisser sans péter ! »
Chapitre 9
Je ne parviens pas à détacher mon regard de cette vieille occupée à remonter l’horloge. Il y a quelque chose de tragique dans ce geste… ce soin avec lequel elle veille à entretenir le temps qui l’emportera bientôt.
Chapitre 22
Par-delà l’horizon
soudé de mes paupières
où les nuits et les sables
colleront leurs larmes
Hubert Jacobée, Transgressions marines
Les souvenirs comme les projets nous privent du présent.
Chapitre 3