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The Grocery tome 1 sur 4
EAN : 9782359101515
126 pages
Ankama Editions (27/10/2011)
3.97/5   71 notes
Résumé :
Lorsqu’il arrive dans ce quartier de Baltimore où son père vient de reprendre une épicerie, Elliott se demande s’il saura s’y faire de nouveaux amis… Mais il s’adapte à son nouvel environnement bien plus vite qu’il ne s’y attendait et se noue avec Sixteen et son gang de gamins dealers de dope ; Washington, un marine désespéré par son retour d’Irak ; ou encore Ellisone, l’ancien caïd du quartier qui cherche à reprendre ses droits sur son territoire…
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The Grocery, tome 1 par Ducoudray

The Grocery

Aurélien Ducoudray

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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Quand on y pense, un personnage de bande dessinée a la vie moins facile qu'un personnage de roman. Il peut faire l'objet de délit de sale gueule de la part de son lecteur, et c'est assez injuste.
Pour moi, le problème a été ici vite réglé : tout le monde, sans exception, est repoussant. En effet, Aurélien Ducoudray a doté tous les personnages d'une gueule de poiscaille pouvant tirer parfois sur le batracien. Pile le genre de bestioles dont rien que l'idée d'avoir à entrer en contact physique avec elles me déclenche un frisson de dégoût.
Sur ces bonnes bases qui ont remis mes pendules de la discrimination à l'heure, j'ai pu me focaliser sur ce Baltimore post crise des subprimes. Un coup de crayon qui ne manque pas de nous faire visualiser cruement la violence dans laquelle elle baigne. Il y a beau y avoir trois angles de vue - menés chacun par un personnage, par lesquels on aborde l'histoire - c'est la violence qui m'a le plus marquée. Il faut dire que le scénario n'est pas en reste. Dans cette ambiance typique yankees (vue d'ici), gangs, milieu carcéral, activisme, journalisme, communautés, trafics et politique se chevauchent de façon explosive. Ça saigne sévère et c'est pas les nombreux bonbons avalés par les gosses qui arrivent à édulcorer tout ça.
La série est en quatre tomes et si ma note sur le premier tome est moyenne, mon intérêt est monté crescendo, appréciant d'aller au bout du bout de cette histoire.
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Acte 1 : Elliott est un ado qui vient de s'installer dans le quartier avec son père. Ce dernier est le gérant de la « Grocery », un des rares commerces du coin. L'album s'ouvre sur une scène de vie banale où le père d'Elliott tente de convaincre son fils qu'il a tout intérêt à sortir plutôt que de passer ses journées devant la télé. En musique de fond, le générique d'Arnold et Willy accompagne leur discussion. « Y a des jeunes qui font du vélo et de la planche à roulettes dans la rue d'à côté, ils seront ravis d'avoir un nouvel ami !! » finit par déclarer ce père qui joint le geste à la parole et chasse son fils à coups de balai dans le derrière.

Ces jeunes, ce sont ceux du Corner 16, une bande de petites frappes et de jeunes dealers parmi lesquels on peut trouver Sixteen, Bug & Tiny, Ice, Slim…

Acte 2 : Samuel Washington dit « Wash », ancien Marine qui rentre de la guerre d'Irak. A son retour au pays, la situation est raide. Il découvre rapidement qu'il a été exproprié de sa maison et que sa grand-mère, qui vivait là, a été placée en Maison de retraite. Il verse l'intégralité de sa solde à la Banque mais malgré tout, la somme est insuffisante pour couvrir les frais de remboursement. Wash s'installe alors dans une communauté de sans-abris… des gens qui, comme lui, ont été touchés de plein fouet par la crise des subprimes.

Acte 3 : Ellis One, un caïd local, est amnistié après son passage dans le couloir de la mort. Malgré plusieurs décharges, la chaise électrique n'a pas eu raison de ce violent énergumène. Libéré, il compte bien reprendre la main sur son territoire et faire comprendre aux autres gangs – comme aux services de police – qu'il est de nouveau dans la place.

-

Le terrain de jeu des auteurs est la ville de Baltimore du moins ses quartiers malfamés où les gangs imposent leur diktat. L'univers de cette série est survitaminé, dopé aux effluves des drogues de synthèse que l'on côtoie tout au long de l'intrigue et au goût acidulé des bonbecs que ces graines de malfrats aiment tant bouloter.

En optant pour un scénario presque dépourvu de temps-mort, Aurélien Ducoudray nous propulse sans ménagement au coeur d'un quartier où les gangs et les lobbies immobiliers font la pluie et le beau temps. Au passage, le scénariste (Championzé, Clichés de Bosnie, La faute aux Chinois, Gueule d'amour…) aborde la violence (sous toutes ses formes : guerre des gangs, violence policière…), la drogue (deal, filière…), la crise des subprimes, les partis extrémistes et les oeuvres caritatives. Certes, on se contentera d'aborder les grandes lignes de ces sujets d'actualité mais imaginez tout de même la richesse du scénario qui dépeint parfaitement le tableau d'une société américaine en pleine crise. Cerise sur le gâteau : Aurélien Ducoudray n'a pas oublié de saupoudrer son intrigue d'une généreuse pincée d'humour noir et cynique… on en redemande ! Et finalement, si nos jeunes loubards du Corner 16 imposent leur loi à l'échelle des junkies, ils se battent en permanence pour ne pas se faire broyer par des poissons bien plus gros qu'eux… des pointures qui s'imposent à coup de M16 voire de tanks, effrayant la population et la réduisant au silence. Une violence qui monte crescendo au fil des pages et qui donne lieu à des scènes assez trash.

Pourtant, les premières pages ne laissaient pas présager un récit aussi sombre qui brosse le portrait sans concession de banlieues américaines rongées par le capitalisme et la haine. La recherche du profit est le maître mot et le troupeau des banlieusards n'a qu'à bien se tenir ! La fuite est le meilleur recourt mais elle est rarement choisie par ces gens modestes. Les deux seules portes de sortie : l'expulsion (et son lot de maux : chômage, misère…) ou la mort. Mais comme je le disais plus haut, lorsqu'on déboule dans cette lecture, on est d'abord accueilli par un ado en mal de vivre et un marine un brin pathétique… Pourtant, le lecteur va vite se raviser et ajuster le tir : il va falloir que lui aussi se mette en marche car cette lecture est loin de se vivre passivement. Tout d'abord, on est assailli par des contrastes permanents, le plus marquants fut, pour moi, la présentation de ces corner boys (si vous avez vu la série The Wire, vous voyez à quoi je fais référence) qui négocient leur ration de bubble gum tout en donnant le change à des hommes de mains de la pègre. Ces derniers ne se cachent pas non plus pour afficher leur côté geek à l'égard de certaines productions hollywoodiennes (Ghostbuster en tête). Il y a aussi de jolies trouvailles narratives comme cette battle à coup de théories économiques à laquelle se livre Elliott… ou des clins d'oeil non dissimulé à d'autres références BD (Kick-Ass).

Côté dessins, le travail de Guillaume Singelin (DoggyBags, Pills…) est tout aussi atypique. On côtoie des tronches que l'on croirait directement sorties du Muppet show et cette ambiance graphique faussement enfantine désamorce réellement le côté trash du scénario. Ces individus, aux faciès humoristiques, apportent un contraste supplémentaire avec la violence décrite dans le scénario. le lecteur a ainsi l'impression d'être assis sur une poudrière sans savoir réellement quand celle-ci va exploser. Mais une chose est sûre : elle va exploser. On profite de certains passages où la violence est tout sauf suggérée… âmes sensibles, accrochez vos ceintures. Toutefois, je précise que cette violence n'est pas gratuite. Elle est utile et nécessaire, elle sert parfaitement les propos sans les exagérer. le dessinateur crée un univers où les personnages, mi-homme mi- animaux, évoluent sur un décor urbain assez réaliste dans lequel on profitera de nombreux détails graphiques (enseignes, accessoires, affiches…).
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Bienvenue à Baltimore, où le taux de criminalité sur les personnes est 2,9 fois supérieur à celui de la moyenne des États-Unis. Qualifiée "12ème ville la plus dangereuse du pays" avec 1 754 crimes pour 100 000 habitants (source), la cité a inspiré de nombreux écrivains, scénaristes, cinéastes et journalistes, à l'image de David Simon (journaliste au Baltimore Sun City Desk), qui a vécu une année en immersion au sein de la brigade criminelle de la police de Baltimore.

C'est dans un des quartiers chauds de la ville que M. Friedman ouvre sa petite épicerie. Son fils Elliott, est un élève intelligent, studieux mais timide. Il finit pourtant par se lier d'amitié avec Sixteen, jeune leader d'une bande de gamins chargés de dealer à chaque coin de rue. le quotidien de ces corner boys est bouleversé le jour où Ellis One, l'ancien patron, tout juste sorti de prison après avoir survécu à 6 décharges consécutives sur la chaise électrique, remet les pieds dans le quartier - bien décidé à reprendre son territoire. de son côté, Washington, tout juste rentré de Bagdad, s'aperçoit que la crise des subprimes lui a fait perdre sa maison. Déboussolé, désorienté, il finit par intégrer "Reclaim our homes", une communauté qui partage son histoire.

Aurélien Ducoudray frappe un grand coup avec ce récit terriblement actuel, portrait d'une Amérique en crise et d'une jeunesse qui a perdu ses repères. Criminalité, drogues, guerre des gangs, engagement politique sont autant de sujets qui constituent la riche toile de fond de cette histoire. La violence (peut importe sa forme) est omniprésente, et se cache parfois dans les scènes les plus anodines, comme lorsque Wash rend visite à sa grand-mère placée en maison de repos après la saisie de sa maison. La scène qui se déroule alors m'a serré le coeur par sa justesse ; le désarroi du soldat est palpable lorsque la vieille dame, qui n'a plus toute sa tête, insiste pour rentrer chez elle pour finalement se désintéresser totalement de la conversation au profit d'un jeu télévisé.

Ni totalement comics, ni manga, ni franco-belge, The Grocery est en outre bâti sur des contrastes qui le rendent particulièrement original et intéressant. On pourra songer à ces scènes de violence insoutenable entrecoupées d'interludes comiques qui frôlent parfois l'absurde. le contraste le plus évident est bien entendu celui qui existe entre la dureté du scénario et la naïveté des dessins de Guillaume Singelin, qui s'éloigne de son travail habituel sans pour autant renier son style si particulier. A l'ouverture de ce premier tome, on est saisis par la rondeur du trait, les couleurs acidulées, et ces petits personnages que l'on croirait être des chaussettes marionnettes. A la façon du Muppet Show, la caricature n'enlève rien à la critique sociale, et la met même davantage en lumière.

Oscillant entre bubble gum et méthamphétamine, jeux d'enfants et lutte pour le pouvoir, The Grocery s'impose donc comme un album hybride d'une grande qualité, à posséder absolument !
Lien : http://livr0ns-n0us.blogspot..
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Je ne sais pas pourquoi j'ai mis si longtemps à m'attaquer à cette série. Peut-être est-ce ce dessin faussement enfantin combiné à ce titre qui collerait probablement mieux à une saga de Will Eisner ? Aucune idée, surtout que je suis plutôt fan de ce Label 619 d'Ankama (Mutafukaz, Freaks' Squeele, Doggybags), que j'ai bien aimé les dessins de Guillaume Singelin sur "King David", Pills et Doggybags et que j'ai récemment apprécié le travail d'Aurélien Ducoudray sur Young. Mais de toute façon, peu importe l'excuse, car aucune n'est justifiée tellement cette saga vaut le détour !

Le récit invite à suivre les pas d'Elliot Friedman, le fils particulièrement cultivé d'un épicier qui vient de s'installer dans un quartier peu reluisant de Baltimore et qui se lie progressivement d'amitié avec les jeunes dealers du coin. Au fil des pages, Ducoudray intègre d'autres personnages charismatiques à ce décor riche en graffitis et en impacts de balles. Il y a tout d'abord cet ex-militaire qui revient d'Irak dans un avion rempli de cercueils de soldats morts au combat, mais également Ellis One, un ancien caïd de retour de prison après avoir survécu à la chaise électrique.

Mais, en filigrane du parcours initiatique de ce gamin sur fond de guerre des gangs, ce premier tome propose également une chronique sociale plus profonde qu'escomptée. Entre les gunfights, l'auteur pointe en effet du doigt les lacunes de ce pays qui abandonne ses anciens combattants une fois revenus du front et qui n'hésite pas à expulser les citoyens victimes de la crise des subprimes de leurs maisons.

Visuellement, le trait nerveux de Guillaume Singelin accompagne avec brio ce scénario percutant. Proposant des planches fourmillantes de détails et des personnages particulièrement expressifs, il insuffle énormément de dynamisme aux scènes d'action et installe une ambiance aux petits oignons tout au long de cette saga à la fois délirante et intelligente.

Une excellente surprise, disponible dans toutes les bonnes épiceries !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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Un Muppet Show urbain très original. Les graphismes sont bien réalisés, et les personnages attachants, que ce soit Eliott ou Wash.
Singelin tente ici de nous peindre l'organisation du trafic de drogue à Baltimore, et en parallèle de nombreux autres thèmes, comme le retour des soldats envoyés en Irak, la crise des subprimes, les brutalités policières, et bien d'autres encore.
Les références à The Wire (géniale série traitant du trafic de drogue et d'autres milieux, également à Baltimore) sont nombreuses et plaisantes à retrouver.
En résumé, une bande dessinée vraiment réussie, et j'attends avec impatience le deuxième tome.
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critiques presse (8)
Bedeo
08 janvier 2018
The Grocery de Aurélien Ducoudray et Guillaume Singelin est sortie en intégrale. L’histoire de cette bande de jeunes et de moins jeunes autour d’un petit quartier d’une ville et principalement autour de l’épicerie de quartier est un pur délice.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Bedeo
16 avril 2013
À la croisée des chemins entre la chronique sociale, le drame et l’action, The grocery est une de ces bombes de chez Ankama qui nous surprennent toujours autant grâce à leur déferlante de jeunes auteurs pleins d’audace et d’imagination.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BulledEncre
12 décembre 2011
Le graphisme est d’une originalité folle, mais il s’agit de ne pas se laisser tromper par son côté faussement naïf. Quand ce comic déjanté laisse parler la poudre, les terribles explosions de violence visuelle risquent de faire grincer les dents tant cela va très loin dans l’expression de la méchanceté.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BDGest
25 novembre 2011
Un peu fouillis dans un premier temps, et notamment encombré par l’enivrante envie d’en faire trop [...], le récit peine à démarrer. Une fois ce cap passé, les éléments trouvent plus naturellement leur place, et le caractère aussi excessif que provocateur des événements et des dialogues passe mieux, parce qu’ils se mettent alors au service de ce qui est raconté.
Lire la critique sur le site : BDGest
BullesEtOnomatopees
16 novembre 2011
Ce premier volume de Grocery est une vraie claque dans la gueule. Des dessins étonnants et un scénario dur, un constant dialogue entre les deux derrière une apparente opposition.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
BoDoi
15 novembre 2011
C’est surtout le travail du dessinateur Guillaume Singelin [...] qui laisse pantois d’admiration : ses personnages ni humains, ni animaux, ni aliens – croisement d’hallucinations champignonesques et de street-art punchy -, ainsi que son aisance dans les séquences d’action et la beauté de ses textures et effets de couleurs font de The Grocery une des plus chouettes réussites graphiques de ces derniers mois.
Lire la critique sur le site : BoDoi
ActuaBD
14 novembre 2011
Le dessin décalé de Guillaume Singelin [...], et ses personnages à tête de mascottes cartoons et animaux rigolos, désamorce le côté glauque de l’histoire mais parvient à viser juste par un graphisme résolument moderne fait de jeux de textures sur une imagerie urbaine underground.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
14 novembre 2011
Au vu de ce qu’il a déjà réalisé dans ses ouvrages précédents, on n’est nullement surpris de la prestation décalée de Guillaume Singelin qui nous livre encore une fois un dessin original, plein de vivacité. Dans une épure acérée maîtrisée qui s’affranchit de tout conventionnalisme, ce dernier donne vie à un univers disproportionné mi-animalier mi-humanisé, versant dans des ambiances délétères qu’il restitue grâce des scènes parfois dures et à une colorisation ternie volontairement. Le message est clair, évocateur et là-aussi, devant cet étalage détonnant et grinçant, donne l’envie de voir plus loin.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Regardez là-haut dans le ciel !! Est-ce un oiseau ? Est-ce un avion ? Mais non c’est…
Ben c’est l’aut’con là, avec son déguisement de super-héros ! On l’voit tous les jours traîner dans l’coin ! J’me d’mande bien c’qu’y fait ? En tout cas, y doit pas souvent s’laver pasqu’y pue le cochon ! On la qu’est-c’qu’y pue ! Ça doit être ça son super pouvoir ! Super ! Schlingos ! Refoule man ! Fouette boy ! Ah ! C’quy cogne, ce salaud-là !!
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— Euh… excusez-moi ? Vous avez « Massacre au marteau piqueur » ?
— Ouais entre « Massacre au pied de biche » et « Massacre à la débroussailleuse »…
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Eliott, je t'ai dit cent fois d'arrêter de jouer avec cette télécommande! Remets le canal de surveillance.
_ Mais Papa, y'a jamais personne à cette heure là!!
_ Y'a pas de mais, cette télé est un outil de travail, pas de distraction!
_ J'vois pas l'utilité d'un truc qui nous montre ce qu'on voit déjà!
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J'ai toujours détesté les immolés. Des mecs qui se tuent et à qui on peut pas faire les poches, c'est déprimant !!
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Selon l'économiste Shmitt-Bombers, agir sur la motivation substantielle est une variable qui connait ses limites, notamment en fonction d'un libre arbitre économique et personnel, et je ne crois pas que cette valeur doit être prise en compte dans la présente organisation.
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Vidéo de Guillaume Singelin
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