Le premier jeudi du mois de mai de chaque année, 31 hommes se réunissent sans but particulier jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'un seul survivant. Lequel choisit les 30 suivants qui, avec lui, perpétueront une tradition remontant, dit-on, à Babylone.
Problème : le taux de décès de la dernière promotion étonne l'un d'entre eux qui engage un privé pour enquêter.
L'idée de départ est excellente et constitue le gros point fort de ce polar. Mais que de digressions inutiles et sans intérêt… Au point que l'on se perd dans ces multiples apartés et que l'on se force à finir le roman par seule volonté de connaître la solution de l'énigme.
Une (grosse) déception…
Commenter  J’apprécie         00
Cercle polar : quand les héros s'incrustent. .Cercle polar : quand les héros s'incrustent. Allez savoir pourquoi ! Il arrive parfois q'un héros s'impose à un auteur, jusqu'à ne plus le quitter, jusqu'à vieillir ensemble. le phénomène n'est pas nouveau. Philip Marlowe et Raymond Chandler, Agatha Christie et Hercule Poirot, Arthur Conan Doyle et Sherlock Holmes sont des couples mythiques. Et le phénomène se poursuit, plus encore peut-être depuis le succès des séries télévisées. Fred Vargas et son commissaire Adamsberg, Michael Connelly et Harry Bosch finiront pas fêter leurs noces d'or pour le plus grand bonheur de leurs lecteurs. Car le plaisir est grand, en ouvrant chaque nouvel épisode de leurs aventures, de prendre des nouvelles de ces amis de papier comme on s'inquiète de la santé de nos proches. Matt Scudder va-t- il replonger dans l'alcool, se demandait-on à chaque épisode de la série de Lawrence Block. Ces héros que l'on dit récurrents sont plus nombreux que jamais, en voici trois que vous ne connaissez peut-être pas encore... « le Joker » de John Burdett (Presses de la Cité) « Une affaire d'hommes » de Todd Robinson (Gallmeister) « Aux vents mauvais » de Elena Piacentini (Au-delà du raisonnable)
+ Lire la suite