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Loïc Schvartz (Illustrateur)
EAN : 9782700226041
116 pages
Rageot Editeur (25/08/1999)
3.85/5   17 notes
Résumé :
Mon vrai nom c'est Hilaire, mais personne ne m'appelle jamais comme ça. Papa et maman m'ont surnommé Pupuce et ils me font mener une vie de chien. Je n'ai pas le droit de regarder la télé tranquillement installé dans un fauteuil, ou de sortir sans être accompagné ! Alors je m'ennuie et je fais des bêtises, de grosses bêtises...
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Hilaire du Harcouët se souvient encore bien du jour où un homme est venu l'enlever, lui (!) parmi ses frères et soeurs...pour intégrer une famille de quatre personnes...où on l'a affabulé d'un nouveau prénom : Pupuce... admettez que pour un dogue allemand...!
Hilaire raconte sa vie-de-chien ; les ne-fais-pas-ci, ne-fais-pas-ça, les injustices et le racisme canin dont il est victime. Il n'a pas le droit de vomir n'importe où, n'a pas le droit de sauter sur mamie pour l'embrasser, ni de se rouler dans les bouses de vache, ni de jouer avec les poulets... "Il ne fallait pas non plus faire caca dans le salon ni sauter dans la baignoire pleine d'eau avec les enfants."
Pour se faire une "petite" place sur le canapé, afin de regarder la télé, il doit ruser et user d'un stratagème pour une balade en toute liberté...non, la vie d'Hilaire est humainement pas possible...
Alors à force de brimer son instinct et sa nature affable, Hilaire fait des bêtises... qui ne sont pas de sa faute (!)... et qui nous font bien rire !

En lisant ce roman pour enfants (suite à une critique de Ptitgateau !), je me suis demandée si l'auteur n'a pas transcrit des anecdotes vécues, tant les sottises de Pupuce m'en rappellent d'autres...
Voir courir mon copain après notre chien (utilisant les mêmes stratagèmes que Hilaire)... qui coursait les vaches dans le pré du voisin, n'avait fait rire que moi...
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Pas facile de de faire comprendre quand on est un chien ! pauvre toutou malheureux, pas le droit de se prélasser sur les lits, même pas le droit de déguster le couvre-lit, d'aller voir ses potes dans la rue, de se baigner dans la vase sous peine de se voir appliquer cet horrible invention qu'ils appellent shampoing… et il vaut mieux ne pas se trouver sur le lieu d'un crime si on ne veut pas être accusé à tort sans pouvoir se défendre !
Ce roman aurait pu être intitulé le journal d'un chien assassin, en effet c'est avec beaucoup d'humour qu'Hélène Brisou -Pellen nous raconte les aventures de Pupuce qui déclare s'appeler Hilaire-du -Harcouët parce que c'est écrit dans son carnet de santé… ce pauvre Pupuce voit le monde avec son oeil de toutou, ses innocentes bêtises m'ont bien fait rire, (tant que ce n'est pas chez moi qu'il officie) , car elles sont monumentales d'un point de vue humain, mais c'est Pupuce le narrateur, alors…. !!!!
Un roman jeunesse qui m'a fait sourire car la vie y est envisagée côté « toutou » avec sa vision du monde, ses habitudes, ses interrogations canines.A mettre entre toutes les mains, sauf entre les pattes du chien s'il ressemble à Pupuce, il pourrait en faire des confettis !
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un excellent livre, plein d'humour et en même temps très éducatif qui permet de rappeler aux enfants et aux adultes ,sans avoir l'air d'insister , qu'avoir un chien est une lourde responsabilité, en particulier quand ce chien pèse 60 kg et mesure 80cm au garrot ...
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je lis à des enfants comme lectrice "Lire et Faire Lire" et ce livre déclenche beaucoup d'éclats de rire.
c'est le chien qui parle, très bon livre à partir de 8 ans
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Ce livre fait irrésistiblement penser au Chat assassin.
Ici c'est Hilaire du Harcouët, surnommé Pupuce, qui accumule les grosses bêtises et qui les raconte lui-même, pour notre plus grand plaisir.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
j'adorais mâchonner. Et puis j'y étais obligé, surtout au moment où j'ai perdu mes dents de lait et où les autres commençaient à pousser, car j'avais mal et que je voulais calmer la douleur. Je me suis ainsi offert le couvre-lit de papa et maman. ça apaisait les gencives et ça faisait un scrouich très agréable en se déchirant.
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Le berger allemand Rintintin a été l'acteur-chien le plus célèbre d'Hollywood. Il a tourné vingt-deux films en quatorze ans et signait ses contrats avec sa patte droite.
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