Fille, petite-fille et arrière petite-fille de guérisseuse, je n'ai jamais eu à me poser la question. Les formules, les secrets, les rites, les gestes m'ont été transmis selon la coutume de notre famille. A peine avais-je sept ans, que déjà ma grand-mère m'enseignait «comment panser les coups»... «et il aurait fait beau voir que cela ne réussisse pas». Question d'honneur! A tel point que lorsque mes poupées tombaient, je les «pansais» tout naturellement. J'ai vu bie...
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