Il s'agit du quatrième roman de la série "Le Survivant", qui compte 53 opus en français. Comme la mention de couverture (particulièrement hideuse par ailleurs...) "
Gérard de Villiers présente" le laissait supposer, c'est un cocktail d'aventure, d'ultra-violence et de sexe. L'originalité réside ici dans la toile de fond : des Etats-Unis d'Amérique post-apocalyptiques laminés à l'arme nucléaire puis envahis par les Soviétiques, et livrés par ailleurs à toutes sortes d'outlaws modernes (bikers, fanatiques religieux, etc.). C'est ce qui m'a donné envie d'y jeter un oeil, oeil que j'ai d'ailleurs baladé de la première à la dernière page, et bon, OK si on veut, juste le style qui a parfois des relâchements coupables, du genre, au milieu d'un récit au registre assez neutre, du surgissement de ce genre de phrases : "Il avait complètement oublié qu'il était venu là pour la sauter. A présent, il n'avait qu'une idée : lui faire éclater la tête."
Voilà, vous avez compris... Après, si ça vient de l'auteur ou de la traduction / adaptation, allez savoir...