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7000, c'est le nombre d'avis que j'ai posté à ce jour et qui marque comme une sorte d'anniversaire pour franchir un nouveau cap. Je n'avais pas conscience que j'atteindrais un jour ce pallier. J'adore lire des BD depuis longtemps et ceci explique cela.

Il fallait en cette occasion une BD extraordinaire qui sort du quotidien. J'ai alors choisi cette version d'Autant en emporte le vent qui fut d'abord un roman de Margaret Mitchell paru en 1936 avant d'être adapté en film par Victor Flemming en 1939. On se souvient tous du couple mythique Clark Gable avec Vivien Leigh.

Le film tourné en technicolor est considéré comme l'un des plus gros succès de l'histoire du cinéma de tous les temps. 13 nominations aux oscars et 8 trophées remportées dont le meilleur film, le meilleur réalisateur, la meilleure actrice. C'est un véritable phénomène cinématographique.

C'est d'ailleurs l'un des films que j'ai vu en premier au cinéma lorsque j'étais adolescent. Je me souviens encore de cette projection en plein air dans un parc municipal à la Ciotat, ville connue grâce aux frères Lumières qui ont tourné l'une des premières séquences mondiales. Bref, j'ai toujours été très attaché à ce film possédant également même l'affiche dans ma chambre à l'époque.

Du coup, je me suis demandé comment allait être une adaptation pour la première fois dans une bande dessinée même si Osamu Tezuka en avait fait un pastiche dans son oeuvre de 1952 «Astro le petit robot». Il faut dire que l'on se moque souvent de la romance alors que je trouve qu'il n'y a pas plus belle chose au monde que l'amour.

J'ai adoré cette BD tiré du film car elle donne une autre vision tout aussi intéressante et réellement moderne en s'appuyant également sur les faits historiques de la Guerre de Sécession qui a déchiré les Etats-Unis en deux sur la question esclavagiste. L'arrogance du Sud va vite se heurter à la réalité économique.

Scarlett a passé une enfance heureuse et insouciante dans la plantation de Tara, dans le Sud des États-Unis. Elle est à la fois gâtée, orgueilleuse et déterminée. Elle ne mâche pas ses mots. Quand la guerre éclate et que les États du Sud sont rapidement envahit, elle devient veuve.

A noter que ce premier tome s'achève peu après l'incendie d'Atlanta où elle est obligée de fuir grâce à l'aide de Rhett Buttler, un aventurier sans scrupules attiré par sa beauté. Elle va retourner à Tara pour reprendre le domaine en main malgré les pénuries. Elle va alors avoir l'idée de se marier avec Rhett pour l'argent et retrouver l'opulence des beaux jours d'avant-guerre.

Le drame est qu'elle convoite un homme marié dont elle est tombée éperdument amoureuse à savoir Ashley qui a épousé la douce et gentille Mélanie. Il est vrai que la BD insiste un peu plus sur cette relation alors que le film faisait la part belle à Rhett.

L'alchimie entre l'histoire et le dessin fonctionne vraiment bien et donne un premier tome à la véritable tension dramatique. Les détails historiques ainsi que les costumes, les us et coutumes de l'époque ne sont pas oubliés et donnent une véritable crédibilité au récit.

Bref, on assiste à une incroyable destinée sur fond de guerre civile. C'est la fin d'un monde. Scarlett va évoluer pour devenir une femme combative qui ne baissera pas les bras en affrontant les drames successifs. C'est l'adversité qui va forger cette femme qui va comprendre que le seul amour sur lequel elle puisse compter, c'est son domaine Tara, la seule chose qui vaille la peine qu'on travaille pour elle comme disait son père. Ascension, chute et renaissance. L'amour de la terre, l'esprit chevaleresque et l'héroïsme.

Autant en emporte le vent , c'est un peu le symbole de la lutte pour la survie. Scarlett est en effet attaché à la terre de ses ancêtres, mais elle montre de la détermination à reconquérir le coeur de l'homme qu'elle aime. C'est une survivante et une lutteuse.

C'est comme une voie que l'on montre à tous les opprimés. Je crois que c'est cela qui m'avait tellement marqué durant ma jeunesse. C'est plus qu'une évasion ou une romance, c'est offrir au monde un message d'espoir que demain, le soleil luira encore. Autant alors en emporte le vent !
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Club N°53 : BD sélectionnée ❤️
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Réticent avant de lire cette remarquable adaptation (je dois l'avouer), on se laisse embarquer et séduire par ce premier tome.

Dialogues, couleurs chaudes, narration, Pierre Alardy a rendu une excellente copie.

Wild57
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Adaptation réussie d'un livre et surtout d'un film très connu.

Cette 1ère partie est très rythmée et la romance décrite qui se passe au moment de la guerre de sécession révèle très bien la cruauté de cette époque (État du sud esclavagiste, regard supérieur des confédérés vis à vis des unionistes, exploitation de la guerre à des fins mercantiles, etc…).

Superbe mise en couleur de l'auteur.

Vivement la suite !

David
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Belle adaptation du roman.

Le personnage de Scarlett est aussi agaçant et étonnant.

On attend la suite avec impatience !

Virginie
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C'est bien fait, le ton est juste.

Morgane R.
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Une belle adaptation du roman.

Je n'ai pas lu le livre mais vu le film.

Dommage qu'il n'y ai pas les scènes de guerre, les combats.

Aaricia
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Avril 1861, état de Géorgie, propriété de Tara. Sur le perron de sa demeure, Scarlett O'Hara regarde partir les jumeaux Tarleton, la colère et la rage dans les yeux. Ces derniers viennent, en effet, de lui apprendre qu'Ashley Wilkes, l'homme dont elle est amoureuse depuis des années et dont elle est certaine de son amour aussi, a prévu d'annoncer ses fiançailles avec Melanie Hamilton, sa petite cousine. Une nouvelle malheureusement confirmée par son père, George O'Hara. Celui-ci est d'ailleurs peu inquiet pour elle, ce ne sont, en effet, pas les prétendants qui manquent. Et c'est d'ailleurs Charles Hamilton qui lui fera la cour, le lendemain, aux fiançailles, la demandant même en mariage. Mais si Scarlett n'a de cesse d'épier Ashley, il est également un autre homme qui, bientôt, se fait remarquer. Un certain Rhett Butler, un homme immoral, spéculateur et peu recommandable, aux dires de certains...

Pierre Alary s'attaque à un monument de la littérature américaine. Un roman porté à l'écran par Victor Fleming qui remporta pas moins de 8 Oscars, en 1940. Plus de 80 ans plus tard, l'auteur fait le pari, fou peut-être mais hautement relevé, de l'adapter en bande dessinée (2 tomes sont prévus). Pari réussi, oui, parce que, dès les premières pages, il nous plonge avec malice dans cette ambiance des États du Sud alors que la guerre de Sécession divise les hommes. Il dépeint également les conditions aussi bien des esclaves que des femmes. Des femmes, justement, Scarlett O'Hara, pour ne citer qu'elle, est parfaitement campée : une femme forte, déterminée et qui se révélera courageuse au fil des ans. Tous ses personnages habitent avec force ce scénario profond, dense, épique et ne souffrant d'aucun temps mort. Graphiquement, les planches sont de toute beauté, Pierre Alary jouant, avec virtuosité, avec les cadres, les décors, les ombres, la lumière, les ambiances... Des planches enlevées, pétulantes, flamboyantes.
Un premier tome passionnant qui a du souffle !
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Il s'agit de l'adaptation en bande dessinée du célèbre roman de Margaret Mitchell (1936), déjà adapté au cinéma en 1939 dans le non moins célèbre film avec Vivian Leigh et Clark Gable. ● Avril 1861. Scarlett O'Hara, jeune fille issue d'une riche famille du Sud des Etats-Unis, a un fort caractère et, d'une grande beauté, est entourée de prétendants. Mais elle est amoureuse d'Ashley Wilkes ; or les Wilkes ne se marient qu'entre cousins. Elle rencontre aussi Rhett Butler, un spéculateur immoral qui joue avec elle comme le chat avec la souris. Mais c'est bientôt la Guerre de Sécession et les Sudistes doivent se battre contre les Yankees. ● J'ai trouvé l'adaptation très réussie. Les dessins sont dans l'ensemble très beaux, avec des pages très homogènes notamment au niveau des couleurs, certaines dans les orangés, d'autres dans des teintes plus sombres. L'ensemble est graphiquement magnifique. Il y a peut-être un peu trop d'effets de lumière (pourtant j'en suis friand !). ● Je ne suis pas un grand amateur du roman de Margaret Mitchell, que je trouve beaucoup trop long, ni du film, d'ailleurs, mais je dois dire que cet album en tire le meilleur, avec un récit très rythmé qui va à l'essentiel. Je le conseille et ai hâte de lire le tome 2 !
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État de Georgie, plantation de la famille O'Hara, 1861. On ne parle plus que de la Guerre de Sécession qui se profile, les hommes trépignent à l'idée de terrasser l'armée nordiste. Scarlett O'Hara, elle, a autre chose en tête : l'homme qu'elle aime vient d'annoncer ses fiançailles avec une autre femme. Sa détermination aura-t-elle raison des coutumes familiales, des idées du mariage et de la guerre ?

L'obstination un peu immorale de Scarlett est si outrancière qu'elle en devient presque drôle, voire touchante. La jeune femme ne doute pas un instant qu'Ashley l'aime, sa passion dévorante ne recule devant rien. Elle n'a ni ferveur patriotique, ni fibre maternelle, ni souci du qu'en-dira-t-on, mais elle sait ce qu'elle veut. Mais c'est peut-être précisément ce tempérament qui se révélera précieux alors que le monde s'écroule et que les repères moraux et privilèges volent en éclats…

Mon souvenir du roman de Margaret Mitchell n'est pas très précis mais l'adaptation me semble fidèle. Comme toujours, les éditions Rue de Sèvres ont mis les petits plats dans les grands : format somptueux, dos toilé, beau papier brillant, couleurs chaudes comme le climat sudiste. J'y ai retrouvé la fresque d'une société corsetée et consanguine et la description des ressorts (assez universels) d'une guerre dont le sens se dérobe. le format du roman graphique vient augmenter ce récit magnifiquement raconté de décors de plantations, de grandes maisons bourgeoises et de rues.

Et le sulfureux Rhett Butler vient pimenter l'intrigue. L'homme d'affaire détonne dans le décor, prenant un malin plaisir à se montrer sous son mauvais jour et à dire tout haut ce que beaucoup osent à peine penser… On pourrait presque se demander comment face à quelqu'un d'aussi intrigant, Scarlett peut rester aussi obnubilée par le lisse Ashley. le cliffhanger final laisse entendre que cette question n'est pas tranchée – le rendez-vous est pris pour la parution du deuxième volet.

Quel souffle : autant en emportent les pages !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Proposé par ma bibliothécaire, je m'attendais à un superbe moment de lecture.
Dommage…

Nous sommes en 1861, les querelles entre les Nordistes et les Sudistes à propos de l'esclavage sont de plus en plus fréquentes.
A Tara, riche plantation de coton sudiste, les réceptions se succèdent et les hommes trépignent et se motivent pour partir à la guerre. En arrière-plan, Scarlett O'Hara, amoureuse de Ashley Wikles, est anéantie lorsque celui-ci annonce ses fiançailles avec Mélanie sa cousine. Celle-ci rencontre Rhett Buttler, un spéculateur qui voit dans la guerre un moyen de s'enrichir.
Inévitablement, la guerre éclate. Tous les hommes partent…
L'adaptation est très réussie. Malheureusement, mon imaginaire trop imprégné des images du film, que j'ai vu plusieurs fois, m'a empêché de l'apprécier pleinement. D'autre part, je n'ai pas compris pourquoi choisir cette teinte ocrée pour dominante dans tout l'ouvrage.

Je n'ai pas boudé le plaisir de redécouvrir le texte mais le plaisir s'est arrêté là.
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Seul un bédéiste/scénariste aussi talentueux que Pierre Alary pouvait oser s'attaquer à un classique aussi mythique qu'Autant en emporte le vent » sans courir le risque de se voir fustiger par les critiques.

Le titre en anglais Gone with the wind de Margaret Mitchell a été conservé en version originale pour des questions de droit d'utilisation mais on pourrait presque y voir une volonté de perpétuer dans sa langue d'origine un « patrimoine » qui a une forte connotation dans l'histoire américaine et dans l'esprit des américains.

Une histoire aussi puissante et universelle demandait forcément un trait fort, intense et vigoureux.
L'univers graphique du bédéiste français, toujours aussi cohérent mais aussi novateur, colle parfaitement à l'atmosphère, donnant vie aux obsessions de l'héroïne principale et à la complexité des situations.

En magicien du crayon mais aussi du scénario, Pierre Alary donne des couleurs aux mots, trace des contours d'une interprétation pour en garder l'essentiel et s'aventure volontiers dans des points d'entrée afin de retenir ce qu'il souhaite exprimer à travers cette adaptation.
Il embrasse l'idée d'aborder un monde en transition qui affecte toutes les relations entre les hommes et où il est question d'adaptation, de courage et de résilience pour pouvoir survivre.

Alary parvient à donner de l'air à son histoire grâce à une mise en page qui alterne des plans larges qui évoquent les grands espaces mais qui servent également à faire ressortir les moments phares d'espoir ou de désolation

La dominance des jaunes et oranges, évoquant le sable prédominant dans la région, érode les émotions des personnages, tournant des camaïeux sombres dans les moments tragiques à des pastels lumineux lorsque l'espoir refait surface.

Un énorme coup de coeur de par sa densité, la qualité de l'écriture et son dessin implacable!
Deux ans ont été nécessaires à la préparation de ce premier tome et deux autres pour la suite, que j'ai hâte de découvrir!

Le premier tome de Gone with the wind est brillant de mille feux et frappe autant les yeux que l'esprit.

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Gone with the wind,
Autant en emporte le vent !
Les éditions Rue de sèvres et Pierre Alary, nous offrent là, une splendide et fidèle adaptation graphique de ce grand roman de Margaret Mitchell.
Une belle façon de découvrir ou redécouvrir cette histoire intemporelle de Scarlett O'Hara et Rhett Butler.
Magnifique à tout niveau.
J'ai cru à une édition de luxe, avec son dos toilé, son titre et 4ème de couverture en écriture dorée.
J'ai également apprécié le dessin : Ses couleurs chaudes, ses ombres et les visages expressifs de ses personnages.
J'y ai bien reconnu Clark Gable et Vivien Leigh, du film culte de Victor Fleming.
Vivement le second tome pour clore ce récit.
Une réussite !

Merci Babelio et Rue de Sèvres pour ce cadeau.


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Adapter le célèbre roman de Margaret Mitchell, c'est , à mon avis, très osé.
L'adaptation cinématographique de ce roman est tellement indissociable du roman qu'en faire une BD en devient impossible.
Et pourtant, Pierre Alary l'a fait.
C'est plutôt une belle réussite et je suis persuadée que ce roman graphique satisfera bon nombre de lecteurs.

Quant à moi, j'ai tellement de mal à me détacher des images du film que celles de la BD m'ont paru trop fades.
C'est tout à l'honneur de Pierre Alary d'avoir imaginé une autre Scarlett que celle incarnée par Vivien Leigh mais, malheureusement, les traits de cette dernière dans cette BD manquent de
charme et de piquant.

J'ai, par contre, apprécié que l'auteur ne s'éloigne pas trop du roman de Margaret Mitchell. On y trouve certains éléments qu'on ne trouve pas dans le film, notamment la présence de Wade, le premier fils que Scarlett a eu avec Charles Hamilton, ou encore le passé amoureux d'Ellen, la mère de Scarlett.
Le scénario inclut également des passages relatifs à la guerre de sécession ce qui enrichit le récit et lui donne plus de substance.

Je lirai sans doute le second tome, même si je reste un peu sur ma faim à la lecture du premier.
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Tout de suite, la couverture nous met dans le bain, le graphisme est classique, le trait dynamique est servi par une colorisation chaude et luxuriante, le travail sur les contrastes de lumière est richement travaillé, les lumières naturelles les contrastes du soleil nous suivent de page en page, les ombres des feuillages, des chapeaux, le sud des Etats-Unis est magnifié par le travail de la couleur, ce qu'il faut pour un récit tragique et romantique.
Évidemment, tout le monde connaît l'adaptation hollywoodienne de ce roman, avec Vivian Leigh et Clarke Gable, le plus hollywoodien de tous les films d'Hollywood, la référence absolue du romantisme américain. C'est très connoté, ancré dans notre culture, dans la patrimoine universel, alors pourquoi prendre le risque de s'attaquer à pareil monument ?

Le récit de cette bande dessinée est très fidèle, du moins au film mais je suppose au roman aussi. Mais cette histoire, écrite en 1936 et adaptée au cinéma en 1939 avec le succès que l'on connaît est chargée par les stéréotypes de l'époque.

L'adaptation de Pierre Alary s'en dédouane avec beaucoup de subtilité, il y a comme une défiance vis à vis du paternalisme blanc envers les noirs, on sent un peu de recul de sa part sur ce qui pour l'époque paraissait normal, Pierre Alary a su y mettre un regard des années 2020 sans jamais porter de jugement anachronique dans le récit.

Il parvient aussi à apporter une dimension romanesque, sans se calquer sur les émotions du films, la bande dessinée n'en est pas pour autant dénuée, au contraire, mais elles ne se situent pas toujours aux mêmes moments.
Je connais l'histoire par coeur, sans doute trop pour avoir le plaisir de découvrir, mais Pierre Alary a su avec beaucoup de talent nous proposer une lecture d'aujourd'hui, riche et émouvante, personnelle et respectueuse et toujours d'un grande force romanesque.
Vivement le tome 2.
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