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Margaret Mitchell (Autre)
EAN : 9782810202195
150 pages
Rue de Sèvres (05/04/2023)
4.06/5   180 notes
Résumé :
Scarlett O'Hara, jeune fille d'une riche famille d'Atlanta au sud des Etats-Unis, connait une vie douce et confortable, menée au rythme de son caractère déterminé et audacieux. Lorsque la Guerre de Sécession débute en 1861, ses repères s'écroulent, et de lourdes responsabilités s'imposent à elle. Au milieu de la destruction et de la mort, Scarlett rêve pourtant d'amour : celui pour Ashley Wilkes, pourtant promis à une autre, et qu'elle porte secrètement depuis toujo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (55) Voir plus Ajouter une critique
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7000, c'est le nombre d'avis que j'ai posté à ce jour et qui marque comme une sorte d'anniversaire pour franchir un nouveau cap. Je n'avais pas conscience que j'atteindrais un jour ce pallier. J'adore lire des BD depuis longtemps et ceci explique cela.

Il fallait en cette occasion une BD extraordinaire qui sort du quotidien. J'ai alors choisi cette version d'Autant en emporte le vent qui fut d'abord un roman de Margaret Mitchell paru en 1936 avant d'être adapté en film par Victor Flemming en 1939. On se souvient tous du couple mythique Clark Gable avec Vivien Leigh.

Le film tourné en technicolor est considéré comme l'un des plus gros succès de l'histoire du cinéma de tous les temps. 13 nominations aux oscars et 8 trophées remportées dont le meilleur film, le meilleur réalisateur, la meilleure actrice. C'est un véritable phénomène cinématographique.

C'est d'ailleurs l'un des films que j'ai vu en premier au cinéma lorsque j'étais adolescent. Je me souviens encore de cette projection en plein air dans un parc municipal à la Ciotat, ville connue grâce aux frères Lumières qui ont tourné l'une des premières séquences mondiales. Bref, j'ai toujours été très attaché à ce film possédant également même l'affiche dans ma chambre à l'époque.

Du coup, je me suis demandé comment allait être une adaptation pour la première fois dans une bande dessinée même si Osamu Tezuka en avait fait un pastiche dans son oeuvre de 1952 «Astro le petit robot». Il faut dire que l'on se moque souvent de la romance alors que je trouve qu'il n'y a pas plus belle chose au monde que l'amour.

J'ai adoré cette BD tiré du film car elle donne une autre vision tout aussi intéressante et réellement moderne en s'appuyant également sur les faits historiques de la Guerre de Sécession qui a déchiré les Etats-Unis en deux sur la question esclavagiste. L'arrogance du Sud va vite se heurter à la réalité économique.

Scarlett a passé une enfance heureuse et insouciante dans la plantation de Tara, dans le Sud des États-Unis. Elle est à la fois gâtée, orgueilleuse et déterminée. Elle ne mâche pas ses mots. Quand la guerre éclate et que les États du Sud sont rapidement envahit, elle devient veuve.

A noter que ce premier tome s'achève peu après l'incendie d'Atlanta où elle est obligée de fuir grâce à l'aide de Rhett Buttler, un aventurier sans scrupules attiré par sa beauté. Elle va retourner à Tara pour reprendre le domaine en main malgré les pénuries. Elle va alors avoir l'idée de se marier avec Rhett pour l'argent et retrouver l'opulence des beaux jours d'avant-guerre.

Le drame est qu'elle convoite un homme marié dont elle est tombée éperdument amoureuse à savoir Ashley qui a épousé la douce et gentille Mélanie. Il est vrai que la BD insiste un peu plus sur cette relation alors que le film faisait la part belle à Rhett.

L'alchimie entre l'histoire et le dessin fonctionne vraiment bien et donne un premier tome à la véritable tension dramatique. Les détails historiques ainsi que les costumes, les us et coutumes de l'époque ne sont pas oubliés et donnent une véritable crédibilité au récit.

Bref, on assiste à une incroyable destinée sur fond de guerre civile. C'est la fin d'un monde. Scarlett va évoluer pour devenir une femme combative qui ne baissera pas les bras en affrontant les drames successifs. C'est l'adversité qui va forger cette femme qui va comprendre que le seul amour sur lequel elle puisse compter, c'est son domaine Tara, la seule chose qui vaille la peine qu'on travaille pour elle comme disait son père. Ascension, chute et renaissance. L'amour de la terre, l'esprit chevaleresque et l'héroïsme.

Autant en emporte le vent , c'est un peu le symbole de la lutte pour la survie. Scarlett est en effet attaché à la terre de ses ancêtres, mais elle montre de la détermination à reconquérir le coeur de l'homme qu'elle aime. C'est une survivante et une lutteuse.

C'est comme une voie que l'on montre à tous les opprimés. Je crois que c'est cela qui m'avait tellement marqué durant ma jeunesse. C'est plus qu'une évasion ou une romance, c'est offrir au monde un message d'espoir que demain, le soleil luira encore. Autant alors en emporte le vent !
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Avril 1861, état de Géorgie, propriété de Tara. Sur le perron de sa demeure, Scarlett O'Hara regarde partir les jumeaux Tarleton, la colère et la rage dans les yeux. Ces derniers viennent, en effet, de lui apprendre qu'Ashley Wilkes, l'homme dont elle est amoureuse depuis des années et dont elle est certaine de son amour aussi, a prévu d'annoncer ses fiançailles avec Melanie Hamilton, sa petite cousine. Une nouvelle malheureusement confirmée par son père, George O'Hara. Celui-ci est d'ailleurs peu inquiet pour elle, ce ne sont, en effet, pas les prétendants qui manquent. Et c'est d'ailleurs Charles Hamilton qui lui fera la cour, le lendemain, aux fiançailles, la demandant même en mariage. Mais si Scarlett n'a de cesse d'épier Ashley, il est également un autre homme qui, bientôt, se fait remarquer. Un certain Rhett Butler, un homme immoral, spéculateur et peu recommandable, aux dires de certains...

Pierre Alary s'attaque à un monument de la littérature américaine. Un roman porté à l'écran par Victor Fleming qui remporta pas moins de 8 Oscars, en 1940. Plus de 80 ans plus tard, l'auteur fait le pari, fou peut-être mais hautement relevé, de l'adapter en bande dessinée (2 tomes sont prévus). Pari réussi, oui, parce que, dès les premières pages, il nous plonge avec malice dans cette ambiance des États du Sud alors que la guerre de Sécession divise les hommes. Il dépeint également les conditions aussi bien des esclaves que des femmes. Des femmes, justement, Scarlett O'Hara, pour ne citer qu'elle, est parfaitement campée : une femme forte, déterminée et qui se révélera courageuse au fil des ans. Tous ses personnages habitent avec force ce scénario profond, dense, épique et ne souffrant d'aucun temps mort. Graphiquement, les planches sont de toute beauté, Pierre Alary jouant, avec virtuosité, avec les cadres, les décors, les ombres, la lumière, les ambiances... Des planches enlevées, pétulantes, flamboyantes.
Un premier tome passionnant qui a du souffle !
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Il s'agit de l'adaptation en bande dessinée du célèbre roman de Margaret Mitchell (1936), déjà adapté au cinéma en 1939 dans le non moins célèbre film avec Vivian Leigh et Clark Gable. ● Avril 1861. Scarlett O'Hara, jeune fille issue d'une riche famille du Sud des Etats-Unis, a un fort caractère et, d'une grande beauté, est entourée de prétendants. Mais elle est amoureuse d'Ashley Wilkes ; or les Wilkes ne se marient qu'entre cousins. Elle rencontre aussi Rhett Butler, un spéculateur immoral qui joue avec elle comme le chat avec la souris. Mais c'est bientôt la Guerre de Sécession et les Sudistes doivent se battre contre les Yankees. ● J'ai trouvé l'adaptation très réussie. Les dessins sont dans l'ensemble très beaux, avec des pages très homogènes notamment au niveau des couleurs, certaines dans les orangés, d'autres dans des teintes plus sombres. L'ensemble est graphiquement magnifique. Il y a peut-être un peu trop d'effets de lumière (pourtant j'en suis friand !). ● Je ne suis pas un grand amateur du roman de Margaret Mitchell, que je trouve beaucoup trop long, ni du film, d'ailleurs, mais je dois dire que cet album en tire le meilleur, avec un récit très rythmé qui va à l'essentiel. Je le conseille et ai hâte de lire le tome 2 !
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Club N°53 : BD sélectionnée ❤️
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Réticent avant de lire cette remarquable adaptation (je dois l'avouer), on se laisse embarquer et séduire par ce premier tome.

Dialogues, couleurs chaudes, narration, Pierre Alardy a rendu une excellente copie.

Wild57
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Adaptation réussie d'un livre et surtout d'un film très connu.

Cette 1ère partie est très rythmée et la romance décrite qui se passe au moment de la guerre de sécession révèle très bien la cruauté de cette époque (État du sud esclavagiste, regard supérieur des confédérés vis à vis des unionistes, exploitation de la guerre à des fins mercantiles, etc…).

Superbe mise en couleur de l'auteur.

Vivement la suite !

David
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Belle adaptation du roman.

Le personnage de Scarlett est aussi agaçant et étonnant.

On attend la suite avec impatience !

Virginie
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C'est bien fait, le ton est juste.

Morgane R.
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Une belle adaptation du roman.

Je n'ai pas lu le livre mais vu le film.

Dommage qu'il n'y ai pas les scènes de guerre, les combats.

Aaricia
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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État de Georgie, plantation de la famille O'Hara, 1861. On ne parle plus que de la Guerre de Sécession qui se profile, les hommes trépignent à l'idée de terrasser l'armée nordiste. Scarlett O'Hara, elle, a autre chose en tête : l'homme qu'elle aime vient d'annoncer ses fiançailles avec une autre femme. Sa détermination aura-t-elle raison des coutumes familiales, des idées du mariage et de la guerre ?

L'obstination un peu immorale de Scarlett est si outrancière qu'elle en devient presque drôle, voire touchante. La jeune femme ne doute pas un instant qu'Ashley l'aime, sa passion dévorante ne recule devant rien. Elle n'a ni ferveur patriotique, ni fibre maternelle, ni souci du qu'en-dira-t-on, mais elle sait ce qu'elle veut. Mais c'est peut-être précisément ce tempérament qui se révélera précieux alors que le monde s'écroule et que les repères moraux et privilèges volent en éclats…

Mon souvenir du roman de Margaret Mitchell n'est pas très précis mais l'adaptation me semble fidèle. Comme toujours, les éditions Rue de Sèvres ont mis les petits plats dans les grands : format somptueux, dos toilé, beau papier brillant, couleurs chaudes comme le climat sudiste. J'y ai retrouvé la fresque d'une société corsetée et consanguine et la description des ressorts (assez universels) d'une guerre dont le sens se dérobe. le format du roman graphique vient augmenter ce récit magnifiquement raconté de décors de plantations, de grandes maisons bourgeoises et de rues.

Et le sulfureux Rhett Butler vient pimenter l'intrigue. L'homme d'affaire détonne dans le décor, prenant un malin plaisir à se montrer sous son mauvais jour et à dire tout haut ce que beaucoup osent à peine penser… On pourrait presque se demander comment face à quelqu'un d'aussi intrigant, Scarlett peut rester aussi obnubilée par le lisse Ashley. le cliffhanger final laisse entendre que cette question n'est pas tranchée – le rendez-vous est pris pour la parution du deuxième volet.

Quel souffle : autant en emportent les pages !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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critiques presse (10)
LaLibreBelgique
14 juin 2023
Pierre Alary a osé s’attaquer – avec talent – au best-seller de Margaret Mitchell.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
BDGest
22 mai 2023
Pour le premier volume de son adaptation de Gone with the wind, Pierre Alary s'est donné les moyens de ses ambitions. Deux ans de travail pour cent trente-sept pages d'une belle maîtrise, dont le rythme et la tension tiennent en haleine jusqu'à l'ultime case. Rendez-vous est pris aux alentours de 2025 pour découvrir si Scarlett et Rhett se retrouveront et comment l'un comme l'autre auront évolué.
Lire la critique sur le site : BDGest
LeMonde
17 mai 2023
Un choix de narration judicieux, qui donne un ton résolument moderne à un roman pourtant vieux de près d’un siècle.
Lire la critique sur le site : LeMonde
BoDoi
09 mai 2023
Dans ce premier volume, il pose les bases d’un monde en train de s’effondrer, à la fois romanesque et romantique, dans un savant dosage entre l’ennui domestique et la tentation de l’épique. Dans un style au réalisme racé, Pierre Alary peint des personnages convaincants et des décors chatoyants, mis en relief par des gammes colorées d’une belle luminosité et d’une vraie subtilité narrative.
Lire la critique sur le site : BoDoi
LaTribuneDeGeneve
24 avril 2023
Pierre Alary revisite avec bonheur «Gone with the wind», Benoît Feroumont réanime sa comédie médiévale et Alain Freudiger écrit sur le téléphone.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
ActuaBD
24 avril 2023
Le défi était de taille : adapter en bande dessinée "Autant en emporte le vent", chef d’œuvre de la littérature américaine écrit en 1936 dont l'adaptation cinématographique de Victor Fleming, trois ans plus tard, a immortalisé le couple mythique Scarlett O'Hara - Rhett Butler sous les traits respectifs de Vivien Leigh et Clark Gable. La première adaptation en bande dessinée du classique de Margaret Mitchell rend un bel hommage à l’œuvre et au film qui en a été tiré.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Ricochet
21 avril 2023
Couleurs chaudes et assourdies, piqué dynamique des mouvements, nous sommes assez loin des robes à froufrou éclatantes et des poses des personnages dans le film.
Lire la critique sur le site : Ricochet
LigneClaire
11 avril 2023
Dès la page une on sait que Pierre a réussi non pas un pari mais une création qui lui appartient en propre. Sa Scarlett ouvre le bal, le regard est perçant, déterminé, elle est la reine de Tara quoi qu’il advienne. Un album qui fera date.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BDZoom
11 avril 2023
L’histoire, avec ses impossibles amours aussi romantiques que violents et ses personnages cultes, est bien connue… mais s’appropriant l’œuvre tout en la respectant, avec sa formidable et énergique mise en cases et en images,Pierre Alary (1) réussi l’exploit de nous faire croire à une première lecture et à la découverte de ce drame du Sud : roman intemporel de Margaret Mitchell, pourtant best-seller absolu depuis sa parution en 1936 !
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
24 mars 2023
Son récit débute avec la vision de la jeune Scarlett O'Hara qui montre d'emblée son caractère et sa determination. L'auteur a su mettre en avant les moments forts et les personnages du roman, avec du rythme, tout en captivant l'attention du lecteur dès le départ.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
La vie d’Ellen n’était pas facile ni vraiment heureuse, mais c’était le lot des femmes.
C’était un monde d’hommes, et elle l’acceptait comme tel.
L’homme possédait les terres, la femme les administrait.
L’homme s’attribuait tous les mérites de la gestion, et la femme louait sa clairvoyance.
Élevée dans la tradition des grandes dames du Sud, elle avait appris à porter son fardeau tout en conservant son charme quelque peu austère.
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- Quand je pense à tout ce mal qu'ils se donnent pour aller à Boston et New York, écouter des opéras et regarder des peintures à l'huile. Au lieu de passer leur temps à chasser et à jouer au poker, comme de vrais hommes.
- Oh papa ! Si je l'épousais, je changerais tout cela !
- Vous ne connaissez rien aux hommes. Aucune femme n'a jamais changé son mari ! Ma chérie, pour une femme, l'amour vient après le mariage...
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Janvier 1866

Scarlett
― Qui dirigent tout à présent ? Mais nous avons déjà payé des taxes ! Ils ont tellement augmenté les taxes comme si la plantation donnait mille balles de coton.


Ashley
― Ce sont les Scalawags et les Carpetbaggers. Et ce bureau des affranchis… s’ils veulent vous faire payer dix fois le prix, ils le peuvent. J’ai aussi entendu dire que quelqu’un voulait acheter tara….

Scarlett
―Qui s’occupe de ce bureau des affranchis à présent ?

Ashley
―Jonas Wilkerson

Scarlett
― Jonas Wilkerson ! Oh, maudit Yankee ! et moi qui pensais que tous nos problèmes se termineraient avec la guerre ! Ils ne peuvent pas acheter Tara ! nous devons trouver l’argent quelque part ! Où, est la question que je me pose.

Ashley
― Depuis plusieurs mois que je suis rentré, la seule personne dont j’ai entendu dire qu’elle avait de l’argent… c’est Rhett Butler.

Scarlett
― C’et homme… je ne veux plus en entendre parler !
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Rhett Butler
― Le cheval doit souffler. D’ici vous arriverez à passer.

Scarlett
― Vous. Mais vous ne venez pas avec nous ?

Rhett Butler
― Je vais ma chère enfant rejoindre l’armée

Scarlett
― Vous m’avez fait peur ! quelle bête plaisanterie

Rhett Butler
― Non, ce n’est pas une plaisanterie.

Scarlett
― Enfin, Rhett ! Pourquoi faites-vous cela ? C’est de nous abandonner sans défense dont vous devriez avoir honte !

Rhett Butler
― Chère Scarlett. Quiconque d’aussi égoïste et déterminée que vous n’est jamais sans défense.

Scarlett
Rhett Butler, patriote ! Quelle blague…
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Si les gens qui décident des guerres ne les rendaient pas sacrées, qui irait se battre ? Toutes les guerres sont des querelles d’argent. Alors parfois on les cache sous des ‘sauvons le tombeau du Christ des païens », ou des « À bas le papisme », et encore « le coton, l’esclavage et les droits des États ». Allons…
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Vidéo de Pierre Alary
Interview de Pierre Alary à l'occasion de la sortie de l'album Gone with the wind, adaptation de Autant en emporte le vent.
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