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Dark Museum tome 2 sur 2
EAN : 9782756062099
56 pages
Delcourt (27/09/2017)
3.12/5   16 notes
Résumé :
1890, Copenhague. Edvard Munch, déjà fragile mentalement, est interné en secret suite à la mort de son père. Face à la détresse d'une amie du peintre, le directeur demande l'assistance d'un jeune médecin ouvert aux nouvelles théories psychanalytiques. Ensemble, ils pensent avoir découvert l'origine du traumatisme de Munch et décident de l'emmener au bout du monde se confronter à son propre cauchemar.
Que lire après Dark Museum, tome 2 : Le criVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Merci de lire vidéo "The scream : short animation" sur le lien ci-dessous :
https://www.lesinrocks.com/musique/le-cri-dedvard-munch-prend-vie-sur-une-musique-de-pink-floyd-335348-26-07-2015/

♫Je serais plutôt le contraire de ce qu'on trouve en librairie
Je ne suis pas livre ou bréviaire, ni baratin ni théorie
Qu'on range entre deux dictionnaires ou sur une table de nuit
Je ne suis qu'un cri♫
-Jean Ferrat- 1985 -
---♪----♫----🦀---😱---🦀----♫----♪---

♪Pardonnez si je vous dérange, je voudrais être un autre bruit
Être le cri de la mésange, n'être qu'un simple gazouillis
Tomber comme un flocon de neige, être le doux bruit de la pluie
Moi je suis un cri qu'on abrège, je suis la détresse infinie♪
La meilleure façon de lutter contre une phobie consiste à affronter la source de celle-ci. Tant que vous ne faites pas face à votre peur, celle-ci ne cesse de croître...
Ce qui intéresse surtout Munch (1863-1944)
Ce sont les impressions de l'âme
et non celles des Yeux
Masque magique dans le Magma en feu
Cendres du Krakatoa sorties de l'enfer
Entrailles jaillissant du ventre qu'on éviscère
Poussière rougeatre en suspension dans l'air
Crise d'angoisse , crabe en Phobie
Krakatoa veut dire "Crabe" en sanscrit
Simple interprétation ésotériste
ou provocation anarchiste
♫je ne suis qu'un cri ♫
D'un simple qu'en dira Ton
ou du j'en ferra ce que nous en voudrons
Décès au nom du père , pour un simple d'esprit
il fallut que j'aie(s) eu Cri.....de joie
Pour cette découverte ALCANTE, Gihef, Rieu et Brahy
Un grand Merci mais à Pink Floyd aussi
pas si facile qu'on croix, quelque foi, ça va de soi ...



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Dans ce deuxième tome de Dark Museum nous allons nous pencher sur une autre oeuvre bien connue : le Cri de Munch.
J'avais trouvé le premier tome particulièrement glauque, si celui-ci n'atteint pas le même niveau d'horreur nous restons tout de même dans un domaine franchement sombre. Nous allons aborder la folie dans son côté le plus sanglant. Je m'y attendais un peu, échaudée par American Gothic et trouvant déjà que le célèbre tableau de Munch reflétait à lui seul suffisamment d'angoisse et d'horreur. Donc je n'ai pas été surprise, voire même un peu déçue car je trouve que l'on n'est pas vraiment plongé dans l'histoire.
Elle commence dans un asile de Copenhague où une jeune femme rend visite à un patient atteint de folie : il s'agit de Munch qui est comme possédé depuis qu'il a peint ce tableau. Pour tenter de l'aider, ils vont entreprendre un très grand voyage et affronter leurs peurs.
J'ai trouvé que l'on restait très superficiel au niveau des personnages. Munch et la jeune femme sont les personnages centraux pourtant l'on ne sait rien d'eux, de ce qu'ils ressentent, de leurs liens, de leurs passé... C'est bien dommage car du coup on ne s'attache pas à eux.

Le dessin a un trait fin qui aurait pu être agréable mais je le trouve trop changeant d'une case à l'autre. On a bien souvent du mal à reconnaitre les personnages.
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Après mon énorme coup de coeur pour le premier tome de cette série (Dark Museum – American Gothic), je ne pouvais que me procurer le deuxième à sa sortie, surtout qu'il a pour thème un tableau que j'adore : « le Cri » d'Edvard Munch. Cette série reprend des peintures connues et invente une histoire de fiction, d'horreur, autour de l'oeuvre. La couverture est parfaite : elle a toujours le cadre autour de l'illustration comme un tableau, et elle reprend les tons de la peinture originale, en proposant cependant une illustration effrayante, pleine de folie et de rage qui n'annoncent que du bon !

Dans ce tome, on suit l'artiste Edvard Munch. Il est enfermé dans un asile, car il a totalement perdu la tête et semble habité par plusieurs personnalités, dont certaines ont soif de sang et de violence. Une de ses proches amies va alors tenter le tout pour le tout pour le guérir : elle monte une expédition pour l'emmener à l'autre bout du monde près d'un volcan qui l'obsède. Cela le libérera-t-il de sa frénésie ou le poussera-t-il encore plus loin dans les méandres de sa folie?

Cette fiction comporte une part de vérité, puisque le coucher de soleil rougeoyant ayant inspiré la peinture aurait bien été provoqué par les cendres émises lors de l'éruption du volcan Krakatoa en 1883. Je ne connais pas assez bien la vie de Munch pour savoir si d'autres éléments sont vrais ou non, mais je suis déjà bluffée de voir la trame narrative construite autour de ce détail ! Des recherches plus approfondies ont été nécessaires aussi concernant les us et coutumes et les croyances des peuplades qu'on croise pendant le périple.

La jeune femme qui accompagne Munch doit vraiment beaucoup tenir à lui, car elle fait un voyage incroyable et vit des choses horribles pour lui. On ne rencontre pas vraiment l'artiste ici, puisqu'il n'est pas lui-même, plongé dans la folie jusqu'au cou. Des phénomènes étranges se produisent : magie? science? croyance? Tout se mélange, mais qui a raison?

J'ai moins aimé les illustrations de ce tome. J'ai trouvé que l'illustrateur et la coloriste restaient assez classiques dans la mise en page, le trait de crayon et les couleurs alors que l'album précédent par Stéphane Perger était un petit bijou à ce niveau-là. C'est un peu dommage, car le coup de pinceau de Munch est lui aussi très particulier et un traitement plus libre, plus « primitif » aurait vraiment rendu service à cet ouvrage, surtout que la couverture nous montre un travail dans ce sens.

Une magnifique couverture aux couleurs d'Halloween qui vous ouvrira les portes de la folie et de l'horreur. Un mélange inspiré entre faits réels et fiction sur la vie de l'artiste Edvard Munch. Une histoire originale qui mêle psychiatrie, religion et magie. Un traitement un peu trop classique du dessin et des couleurs. Un deuxième tome dans la veine du premier.
Lien : https://livraisonslitteraire..
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Ce 2e tome peut être lu indépendamment du 1er, chaque opus se concentrant sur un tableau en particulier et ne reprenant pas les mêmes personnages ou intrigues.
Copenhague, 1890. le peintre Edvard Munch a été interné en secret pour de graves crises de démence. Son amie Marie et un jeune psychiatre vont tenter de l'aider, alors qu'un mystérieux et effrayant visage semble le hanter.

C'était une lecture plutôt sympa, mais le récit ne m'a pas semblé très équilibré. On prend le temps de bien développer le début et de présenter le contexte et les personnages, mais à la fin tout va très vite et la conclusion est très abrupte. Narrativement, c'était bien moins bon que le 1er tome (qui par contre était beaucoup plus glauque et dérangeant).

Les dessins m'ont plu, surtout les paysages. Les visages par contre étaient un peu grossiers pour mon goût. le style est plutôt classique, il n'y a pas de planches qui m'ont fait m'extasier ou de traits particulièrement marquants. Les couleurs sont dans des camaïeux différents suivants les lieux où les personnages évoluent. Elles ont un côté un peu terne (je ne le dis pas de manière péjorative) qui correspond bien à l'histoire.

Bref, une lecture sympathique, mais avec pas mal de défauts. Je me souviendrais surtout de ce qui a trait au tableau, sans doute pas beaucoup de l'histoire en elle-même.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Comme j'avais beaucoup apprécié le premier tome de la série Dark Museum (« American Gothic »), je me réjouissais de lire ce deuxième volet, mais... quelle déception !
Les auteurs avaient (d'après un interview lu) voulu, ici aussi, raconter une histoire d'horreur s'inspirant d'un célèbre tableau à l'aspect glauque... présentement « le Cri » d'Edvard Munch.
Si le début était plutôt prometteur avec un Munch pris de folie et interné dans un asile psychiatrique à Copenhague (il l'était effectivement de son vivant), le scénario devient par la suite d'une théâtralité frisant le ridicule (le démon de l'histoire en rit encore !)
Et le graphisme, classique, manque de précision, de finesse et est sans attrait.
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critiques presse (2)
BDGest
13 octobre 2017
Ne vous bouchez pas les oreilles, ouvrez grand les yeux et découvrez la version convaincante de l'origine de cet illustre «Cri».
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
25 septembre 2017
Ce second tome de la mystérieuse série est tout aussi réussi que le American Gothic.
Une oeuvre que je vous invite à découvrir sans hésiter.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
La meilleure façon de lutter contre une phobie consiste à affronter celle-ci! Car tant que vous ne faites pas face à votre peur, celle-ci ne cesse de croitre!
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il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir de la ville. Je tremblais d'anxiété. Je sentais un cri infini qui passait à travers l'univers et qui déchirait la nature...
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