Alcools

Ce livre de Guillaume Apollinaire paru en 1913 à Paris est un recueil de poèmes contenant 51 poésies.
J'ai aimé ce poème car il est bien écrit sur des sujets divers et variés comme l'amour, un au revoir ou encore la mort. Il peut être touchant comme émouvant ou blessant. On retrouve Apollinaire dans tous les thèmes ce qui me plaît fortement. J'aime aussi beaucoup sa façon d'écrire et la façon dont il crée ses rimes. Par exemple dans un extrait de « le Pont Mirabeau » où il écrit :
« Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine »
Il fait rimer 3 de ses vers et un qu'il va faire rimer 2 vers après ce qui est une façon originale ou en tous cas qui m'a surpris lors de ma lecture. Je vais maintenant vous parler de 2 autres poèmes qui m'ont marqué dans ce recueil. « La chanson du Mal Aimé » en fait partie car il fait beaucoup de références à l'histoire : Ulysse ou les pharaons. Les cinq premiers quintiles parlent d'un voyage a Londres puis tout s'enchaîne avec des échanges entre y les cosaques et le sultan de Constantinople par exemple pendant 60 quintiles. Et enfin L'Adieu qui est tout simplement un adieu qui m'a beaucoup touché malgré qu'il ne fasse que 5 vers j'ai trouvé cet adieu le plus rapide et le plus efficace. Il dit dans ce poème qu'il ne le ou la verra plus dans notre monde mais qu'il l'attend en haut et donc au paradis.

Comme son nom l'indique alcool fait bien référence au boissons alcoolisées et sans doute même d'eau de vie mais Guillaume Apollinaire fait d'avantage référence au vin.
Nous pouvons le voir grâce au dernier poème du recueil « vendémiaire qui signifie vendange.
Apollinaire emploie aussi beaucoup le thème de l'automne tel que « Automne malade », ou l'adieu. Si on en fait référence à son titre nous pouvons voir que à cette période est faite la cueillette des raisins pour le vin.

Nous retrouvons aussi beaucoup le thème de la mort lié au sentiment de l'écoulement de la vie. Il faut aussi savoir que « Alcool » est un recueille pluriel c'est à dire qu'il explore de nombreux aspect ou de différents thème de la poésie . Comme le poème « le Pont Mirabeau » qui est un poème « surréaliste » (therme inventé par Apollinaire qui désigne la modernité en poésie » . Ici il traite la disparition de l'amour avec le passage du temps en employant par une métaphore l'écoulement de la scène sous le Pont Mirabeau à Paris.

Ce recueil est une oeuvre incontournable pour explorer apollinaire, elle nous permet de comprendre l'ensemble d'une partie de sa vie, qu'il rassemble a travers différent poème, et différents thèmes, tel que le cubisme et le surréalisme. Il a été imprégnés par un de ses grand maître Baudelaire. Personnellement je n'est pas trop aimé ce recueil. Je ne suis pas particulièrement fan de poésie, et pour commencer celui ci est un peu complexe. il contient beaucoup de métaphore, même si il comporte des poèmes assez court pour beaucoup d'entre eux il reste un peu compliqué à lire. Malgré ça Étudier dessus a été intéressant.

Comme beaucoup de personnes scolarisées dans le système scolaire français, j'ai eu à lire cet ouvrage. le coup de coeur absolu.
J'ai (re) découvert la poésie grâce à Apollinaire, une poésie sensible, multiple et touchante.
Pendant la lecture Rosemonde fut mon poème préféré.

Après avoir entendu de nombreuses fois parler d'Apollinaire, je voulais essayer de lire ses poèmes afin de savoir s'ils pouvaient me plaire. Moi qui ai fait un bac littéraire et qui écris de la poésie depuis mes dix ans, je me suis rendue compte que je n'avais presque jamais lu de la poésie à part sur Wattpad. Il fallait changer ça ! 😱

Globalement, j'ai bien aimé ce recueil de poésie. Certains vers sont vraiment empreints d'une beauté, d'un écho qui a raisonné en moi. Malheureusement, le langage d'une autre époque un peu trop soutenu m'a empêché d'en apprécier toute la singularité. Heureusement que le lexique était là à la fin pour m'aider ! Je ne pense pas que je lirai un autre recueil de cet auteur. 🫤

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recueil, qu'Apollinaire mit 15 ans à élaborer, annonce la quête de modernité, de jeu avec la tradition, de renouvellement formel de la poésie de l'auteur. Alcools est un recueil pluriel, polyphonique, qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l'élégie au vers libre, mélangeant le quotidien aux paysages rhénans dans une poésie qui se veut expérimentale, alliant un travail sur la forme et sur l'esthétique à un hermétisme et un art du choc

Sobrement intitulé « Alcools », ce recueil d'Apollinaire est publié en 1913. Cette lecture marque mon entrée dans la poésie du 20ème siècle avec tout ce que cela comporte de ruptures, d'évolutions vis-à-vis dès la poésie antérieure.

Lecteur lambda, étranger à toutes formes de poésies, si ce n'est quelques connaissances floues et académiques, ce recueil n'a pas été à la hauteur de mes préjugés.

En dehors de quelques échos à des vers ou poèmes absorbés dans la culture collective, d'autres titillant farouchement mon ressenti, le reste s'est présenter comme une navigation plate et monotone entre les mots.

Très certainement qu'il me faudrait entamer une lecture insistante, répétitive et immersive pour m'imprégner un petit peu plus de ce que l'auteur a voulu transmettre dans son oeuvre. Mais la tâche me paraît hors de ma compétence actuelle et bien trop démotivante…

Terrible constat : malgré toute la bonne volonté possible, je n'arrive définitivement pas a accrocher avec la poésie… Je me suis lancé plein d'enthousiasme dans la lecture de ce recueil de poèmes que j'abandonne au bout d'une demi heure… Je retiendrai la leçon !