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C'est sans sa jolie édition en Présence du Futur, que je découvre Isaac Asimov avec dix jolies nouvelles commentées par l'auteur lui-même!
Asimov fait preuve de maestria littéraire, dans cette dizaine de perles dont pas une n'est capable de dépareiller l'autre. Époustouflant d'ingéniosité, d'humour et de réflexion!
Bien sûr, tout le monde n'aime pas les nouvelles... À fortiori quand les commentaires de l'auteur sur le contexte et les moments de sa vie qui accompagnent ces histoires.
J'ai trouvé, au contraire de certains lecteurs, que les commentaires amènent une respiration à ces dix nouvelles de provenances diverses. Elles font partager la vie d'un auteur dont j'ignorais absolument tout encore très récemment. C'est, sinon passionnant, du moins très intéressant.
Encore un auteur, Isaac Asimov, que Horusfonck ne manquera pas de recommander chaudement comme bonne pitance en lecture!
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Bzzz… grzzp… bioouup ?... booting… formatting… loading new vocable… rôse ! fandespieds!… glop!

Bonjour, c'est moi Mootii le petit robot de Wiitoo. Mon propriétaire m'a prêté à un individu bizarre pour vous parler de sa dernière lecture.

« Flûte, flûte et flûtes ! » est la première partie du recueil original « Bye Jupiter and other stories » de mon papa Asimov. Il contient des nouvelles écrites entre 1950 et 1956 – une période très créative pour mon papa – agrémentées de nombreuses anecdotes biographiques rigolotes. Tenez, par exemple, celle où il voulut impressionner une très belle éditrice en lui disant que si elle lui donnait une machine à écrire il lui écrirait une nouvelle à l'instant. La jeune femme le prit au mot et papa Asimov réussit à pondre « Everest »… et elle l'acheta. Dîner et promenade s'ensuivirent mais… la jeune femme ne le laissa pas monter chez elle, peuchère !

Alors mon bizarre nouveau maître, qui a lu la deuxième partie du recueil « Cher jupiter » avant la première - ce qui dénote un manque de logique incompréhensible pour moi - dit que ce recueil n'est pas tout à fait au niveau du précédent (ou du suivant ?). Les nouvelles sont rafraîchissantes et parfois même comiques mais la fin manque souvent de percutant. C'est triste car c'est en général l'un des points fort de papa Asimov. de plus certains lecteurs, comme mon vrai maître Wiitoo, pourront trouver ces oeuvrettes un brin désuètes vu leur âge, mais cela n'a pas gêné mon nouveau maître (qui est lui-même d'une génération antérieure, grzz… positronical memory conflict !).

Les nouvelles préférées de mon merveilleux et gentil nouveau maître sont :
* « le jour des chasseurs » un voyageur du temps apprend la vraie raison de la disparition des dinosaures.
* « Shah Guido G. » : un ancêtre de « Hunger Games » ?
* « Flûte, flûte et flûtes ! » la plus rigolote. Un savant qui parle comme Yoda et son neveu avocat essaient de faire de l'argent avec une machine qui peut ramener des objets du passé.
* « Tous des explorateurs » la meilleure nouvelle du lot, absolument excellente. Des explorateurs visitent deux planètes où des êtres intelligents cultivent la même espèce de fleurs. Mais en réalité, ce sont les fleurs les vraies exploratrices…

Une critique de ma part, moi Mootii, pas une seule nouvelle sur mes confrères robots, sniff ! « warning oil leak detected ! »

Mon merveilleux nouveau maître… grrz… ethical syntax conflict !... dit que le virus Asimov l'a rattrapé maintenant. Il va continuer à se replonger dans ses oeuvres dans les années à venir. Il espère que je pourrai l'aider à en parler et… moi je n'ai pas envie (warning conflict with second law of robotic, crrr…).
Je veux retourner chez mon vrai maître (warning, heat exchangers overloaded, temperature rising exponentially !)

Laissez-moi partiiir !... crzzz, rôse, fandespieds, peuchère ! … grzz glop !
« Stark processor overload ! Switching off all systems… !”
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Dans ce recueil de 10 courtes nouvelles écrites entre 1950 et 1957 (classées dans l'ordre de parution) , Asimov nous livre l'étendue de sa créativité en partageant pour ses lecteurs des récits datant du début de sa carrière, chacune introduite par une anecdote sur son contexte d'écriture, permettant de découvrir Asimov au quotidien, en même temps que la lecture de ses histoires.

Celui-ci a choisit de regrouper des nouvelles très différentes, majoritairement écrites suite aux commandes des différents magazines de science-fiction de l'époque, avec pourtant parfois peu de science fiction, mais dans presque toutes un questionnement, une réflexion faite sur le devenir de l'humanité qui a, à l'époque où Asimov a écrit les nouvelles, entre les mains une arme destructrice: la bombe atomique. le risque d'une guerre nucléaire qui menace alors la Terre a le don de rendre ce pauvre Isaac amer mais sait aussi l'inspirer comme en témoignent différentes nouvelles qui trahissent son violent dégout pour la stupidité des hommes capables de tout et du pire: on retrouve ce thème dans « Le jour des chasseurs , « La pause » ou encore « Le billard Darwanien ».

Asimov s'essaye aussi à l'humour avec « Flûte, flûte et flûtes » et « Le doigt du singe », dont il est très fier et salue la réussite comique, à juste titre. On retrouve ainsi pour notre plus grand plaisir le style du bon docteur, toujours avec autant d'inventivité et de créativité et surtout sa capacité à entraîner le lecteur dans chacune de ses histoires, avec si peu de mots.

Pour retenir l'attention, un des moyens d'Asimov est de s'appuyer sur le début de ses récits, qui en est quasiment la clé de voûte. Il tente différentes approches, et témoigne du grand travail qu'il fournit et de la grande difficulté du métier de nouvelliste. Il peut choisir de laisser planer le mystère au début pour ensuite faire grandir la tension dramatique et amener le lecteur jusqu'à la chute qui viendra finalement faire écho au début. Il peut aussi dévoiler totalement l'histoire dès le début. Asimov a l'art de cultiver le mystère autour de ses scénarios, n'en dévoilant que le nécessaire, assez pour donner naissance dans l'esprit du lecteur à des intrigues dépassant le cadre de sa nouvelle. Certaines fins sont très énigmatiques.

Mention spéciale à « Shah Guido G. » ou encore au « Doigt du singe » qui témoignent de la profondeur des sujets qu'Asimov aborde dans ses nouvelles même si le but initial est toujours de divertir: il ne tombe jamais dans la fainéantise d'une histoire facile.

On prend autant de plaisir à la lecture de ces nouvelles qu'a pris Asimov à les écrire. À l'origine les récits de ce recueil n'ont jamais été intégrées à ses anthologies. Certaines ont même eu du mal à être édité et à trouver preneur. En effet on y retrouve pas les nouvelles les plus connues d'Asimov mais on y retrouve bien le talent du bon docteur, sa plume délicate et son génie.
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Comme bien souvent, le titre du recueil reprend le nom qu'est allouée à une nouvelle. Ici, le Docteur Isaac Asimov nous propose 10 nouvelles relativement courtes. J'avoue que j'aime bien l'idée de présenter des textes réduits et concis. Elles ont toutes été publiées dans des magazines américains de science-fiction des années ‘50. À la fin de chaque nouvelle, Isaac Asimov nous narre une succulente anecdote, comme quand il a passé son permis, l'arrivée de son fils, son déménagement, la naissance de sa fille ou bien encore les relations qu'il a eut avec les directeurs. J'ai même été davantage fasciné par ces confessions que par les histoires.

Tout commence avec « Le billard Darwinien ». J'ai pris plaisir à suivre ces réflexions, mais je trouve qu'il n'y a pas de réelle fin. La suivante, « Le jour des chasseurs » est bien plus amusante à lire. Il y a un petit côté naïf.

Je ne vais pas épiloguer sur chaque nouvelle, mais voici en gros ce que j'en ai pensé. Je n'ai pas aimé « Shah Guido G » (je pense qu'elle doit prendre tout son sens en VO), « Le doigt du singe » et « Il vaut mieux pas » (notons au passage l'absence de négation avec le “ne”, peut-être dû à la traduction?). Je n'ai pas été plus emballé que ça avec Flûte, flûte et flûte ! ». Isaac Asimov, ironie du sort, nous rapporte sa vision de l'impossible accession au Mont Everest, sans savoir qu'un alpiniste saura le dompter 3 mois après son écriture. Il y a un côté littérature jeunesse dans cette histoire.

En revanche, j'ai bien aimé « La pause », j'ai adoré « Tous des explorateurs » et j'ai été comblé par « Blanc ! »

Si je dois en résumer, on a un honnête recueil de science-fiction, mais un Asimov bien moyen.
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Flûte, flûte et flûtes ! et un recueil de dix nouvelles signées Isaac Asimov :
1) le billard darwinien prend la forme d'une conversation entre érudits sur la théorie de l'évolution, qui devient en quelques pages d'un déterminisme à toute épreuve…
2) le jour des chasseurs est une autre conversation, moins érudite celle-là, mais où l'on apprend néanmoins les raisons de la disparition des dinosaures, raisons qui pourraient bien s'appliquer à la disparition prochaine de l'humanité…
3) Shah Guido G. est une nouvelle pour le moins obscure ; mais comme tout repose sur le jeu de mots final, j'imagine sans peine qu'elle prend tout son sens dans sa version originale…
4) Flûte, Flûte et Flûtes ! met en scène un homme et son neveu qui pensent faire une bonne affaire en découvrant une machine à faire voyager les objets dans le temps…
5) le doigt du singe, dans laquelle un singe est capable de parfaire les oeuvres des écrivains…
6) Everest nous explique ce que l'on aurait pu trouver sur le toit du monde avant que l'homme n'y mette ses pieds…
7) La pause, ou si la radioactivité disparaissait, y compris de nos mémoires individuelles et collectives ?
8) Il vaut mieux pas est un récit post-apocalyptique…
9) Tous des explorateurs est une variation sur le thème de l'arroseur arrosé…
10) Blanc !, où la machine à explorer le temps est totalement incontrôlée…
Toutes ces nouvelles ont été écrites dans les années 1950. Si l'on devait leur rechercher un point commun, ce serait indiscutablement l'humour dont elles sont empreintes qui ressortirait. En dehors de cela, leur lecture nous confirme, s'il est besoin, qu'Isaac Asimov est un homme de science et qu'il sait rendre celle-ci accessible à tous.
Mais ce qui caractérise ce recueil c'est aussi les commentaires de l'auteur sur chacune des nouvelles. On se surprend même à être autant, voire plus, passionné par ceux-ci que par les histoires qu'il nous raconte. Isaac Asimov semble en effet prendre le temps de nous expliquer le pourquoi et le comment de l'écriture de ces nouvelles, tout en nous racontant ses relations avec les professionnels de l'édition de l'époque.
En bref ce recueil est un petit plaisir de lecture, en partie pour la qualité de ses nouvelles, mais surtout pour la verve de ce grand Monsieur de la SF.
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Flûte, flûte et flûte... comment ne pas être accro aux nouvelles d'Isaac Asimov. Chacune sont simples, claires, limpides, pas besoin de 20 pages pour comprendre les personnages, les situations, les thèmes, la fin...
Grâce aux principes d'écritures d'Isaac Asimov on est transporté instantanément dans un autre univers, pas besoin d'être scientifique ou érudit.
Les annotations-anecdotes que Isaac Asimov insère entre chaque nouvelle sont enrichissantes, on se rend mieux compte des conditions d'écritures des nouvelles souvent écrites sur le vif ou à partir d'un titre...
Je le recommande à tous.
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La particularité de ce recueil de nouvelles d'Isaac Asimov, c'est que chaque récit est commenté par l'auteur lui-même ; une manière d'expliquer d'où lui vient l'inspiration de telle ou telle histoire, quel est le contexte du récit où tout simplement son avis sur l'histoire qu'il a écrit. C'est plutôt original de connaître le processus de création de chaque histoire même si pour moi, quand je lis un tel recueil, c'est de me laisser porter dans des mondes étranges, étonnants et fantastiques créés par un auteur qui me plait ; en entrecoupant ses textes par ses commentaires, on perd un peu le fil des histoires, même les chutes deviennent un peu plates… Bref, une idée originale mais pas foncièrement utile et pertinente. Un vrai plus pour certains lecteurs mais pour moi cela rend l'ensemble moins passionnant.
Pour en revenir aux différents récits, c'est un peu comme toujours le même bilan pour un recueil de nouvelles : il y a du bien, du moins bien, de bonnes idées et d'autres plutôt plates. J'ai été pour certains des récits déçu de la conclusion finale malgré des synopsis intéressants : la vraie raison de la disparition des dinosaures, l'amélioration des oeuvres par un singe qui tape à la machine à écrire, la conquête avortée de l'Everest, la suppression de la connaissance de la radioactivité pour le bien de l'humanité…
Asimov propose des réflexions intéressantes sur l'Homme dans des récits courts et bien écrits même si l'ensemble des nouvelles de ce livre manquent un peu d'intrigues et d'énergie.
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Cela a été l'occasion de me régaler de l'inventivité géniale mais aussi de l'écriture à la fois très humoristique (presque potache parfois) et parfois incisive de cet auteur, et d'en découvrir un peu plus sur lui dans les commentaires qui suivent chaque nouvelle, dans lesquels il raconte dans quelles circonstances il a écrit chacune.

Le billard darwinien (Darwinian Pool Room), 1950 : des ergotages scientifiques sur la création de l'univers auxquels je ne me suis pas sentie très réceptive. Sans doute la nouvelle qui m'a le moins plu de tout le recueil.

Le Jour des chasseurs (Day of the Hunters), 1950 : un côté fantastique, lovecraftien (impossible de retrouver le titre de la très courte nouvelle que cela m'évoque !), se dégage de cette histoire qui se passe au temps des dinosaures.

Shah Guido G. (Shah Guido G.), 1951 : j'ai beaucoup aimé, j'en retiens une version S-F très réussie d'un certain mythe antique que je vous laisserai découvrir. Asimov nous propose également un héros torturé et c'est assez sympa de voir comment il arrive à nous emmener dans une histoire qui a tout de même duré en l'espace de quelques pages, comme un concentré de ce qui aurait pu être une épopée de planet-opera.

Flûte, flûte et flûtes (Button, button), 1952 : une histoire de savant fou et d'invention délirante. Amusante.

Le Doigt du singe (The Monkey's Finger), 1952 : Concept intéressant, j'ai aussi bien apprécié la mise en scène de l'écrivain de SF vs le directeur d'un magazine de SF – Asimov semble adorer faire ce genre de pied-de-nez qui fait totalement référence à son propre quotidien, tout en le distordant pour lui donner un aspect SF.

Everest (Everest), 1953 : concept amusant, mais classique et peu développé, et chute vite amenée.

La Pause (The Pause), 1954 : j'ai adoré le principe et je l'a trouvé très correctement amené (même si ce n'est pas franchement expliqué, le comment du pourquoi du phénomène, en tous cas pas en termes scientifiques). le lecteur se demande également ce qu'il se passe, et l'apport philosophique est intéressant. Seulement, j'ai l'impression qu'en raison des nombreux termes scientifiques il serait facile de laisser en arrière un lecteur non averti. Je suis d'ailleurs allée rechercher entre autres ce qu'était la pechblende. J'ai aussi noté que le narrateur était particulièrement stupide et que le récit était parsemé de cette peur caractéristique de la guerre froide.

Il vaut mieux pas (Let's not), 1954 : très courte, une discussion post-apocalyptique entre deux savants. Je n'ai pas plus accroché que ça.

Tous des explorateurs (Each an Explorer), 1956 : j'ai beaucoup aimé cette nouvelle, l'idée et la manière dont elle est exploitée ! Des explorateurs se rendent sur une planète où ils trouvent des plantes inconnues. le reste appartient à la biologie avec une histoire d'adaptation à l'environnement.

Blanc ! (Blank!), 1957 : une très courte nouvelle sur le voyage dans le temps. Amusante.

Malgré les réticences qu'il exprime à son propre égard en introduction, Asimov – qui aurait souhaité qu'on ne publiasse que ses meilleures nouvelles, ou en tous cas celles qu'il trouvait bonnes, reste à mon sens un monument de SF, un de ces auteurs incontournables non seulement parce qu'ils se sont imposés comme des piliers du genre , qu'ils l'ont exploré voire inventé pour certains (je ne m'avancerai pas sur Asimov, ne le connaissant pas assez bien, sans parler des autres ; ceci dit vu son oeuvre prolifique et variée, sans parler de son imagination foisonnante, je ne serais pas trop étonnée d'apprendre qu'au moins un ou deux ressorts scénaristiques ou concepts viennent de lui) mais aussi parce que, à quelques exceptions près, il s'adresse à un public très large.
Lien : https://croiseedeschemins.wo..
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Isaac Asimov est un des piliers de la science-fiction moderne et le fondateur des fameuses lois de la robotique reprises par bon nombres d'auteurs aujourd'hui. Il m'arrive de temps à autre de lire ses ouvrages en particulier ses recueils de nouvelles comme ici avec le très court Flûte, Flûte et Flûtes ! qui propose des textes de l'auteur très peu publiés et écrits dans les années 50. Au programme ici 10 nouvelles qui vont traiter du voyage dans le temps, des extraterrestres ou encore de la radioactivité.
On a donc ici un recueil de nouvelles très court qui se lit très vite et qui comme toujours est fidèle au style de l'auteur. On y retrouve son humour, son cynisme et sa faculté de vulgariser des concepts scientifiques et philosophiques pour qu'ils soient accessibles à tous sans les dénaturer. Son écriture est fluide, très agréable mais reste pointue et avec son vocabulaire spécifique et en cela ses ouvrages sont très plaisants à lire. Personnellement j'apprécie beaucoup le format de la nouvelle en science-fiction, car cela permet de rentrer dans le vif du sujet sans avoir à construire un univers sur 600 pages et de proposer une chute souvent marquante, drôle ou tragique. Et pour quelqu'un qui voudrait s'essayer à la science-fiction et à des grands noms comme Asimov sans avoir le courage de se lancer dans une saga aussi complexe que Fondation, ces recueils de nouvelles sont une bonne porte d'entrée. Cela dit Flûte, Flûte et Flûtes! ne sera pas mon recueil de nouvelles préféré de l'auteur, ayant plus apprécié par exemple Cher Jupiter qui fait suite à celui-ci. Les nouvelles sont ici assez inégales et certaines semblent vraiment avoir été écrites dans l'urgence. En revanche les thèmes sont toujours passionnants et variés...
Suite de la chronique sur Pugoscope.fr
Lien : http://pugoscope.fr/3565-flu..
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Je dois avouer être plutôt déçue par cette lecture...
Je n'avais encore lu aucun des livres d'Asimov et j'ai trouvé ces nouvelles sans grand intérêt. Je les ai d'ailleurs déjà oubliées pour la plupart...
Pas vraiment d'originalité, ni de suspense... je dois avouer m'être presque ennuyé à certains moments...

Par contre, j'ai énormément apprécié les morceaux de vie de l'auteur inclus entre les différentes nouvelles, les replaçant dans leur contexte. Je n'avais jamais rencontré un tel procédé et je dois dire qu'il m'a conquise. Si les nouvelles en elles-mêmes ne m'ont pas intéressée, ces minis biographies, permettant de découvrir comment ces histoires se sont créées et ont été publiées, m'ont poussée à continuer ma lecture. Si j'ai bien compris, cela semble d'être une habitude d'Asimov et je retenterai donc l'aventure avec un autre recueil afin de ne pas rester sur une déception.

En conclusion, une lecture plutôt décevante mais qui me pousse tout de même à continuer à découvrir cet auteur, en raison de la mise en situation des nouvelles.
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